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| Man these times are hard||Fleur | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Man these times are hard||Fleur Jeu 7 Oct - 19:56 | |
| Misery angel & lj
She's all laid up in bed with a broken heart, while I'm drinking Jack all alone in my local bar. And we don't know how. How we got into this mad situation, only doing things out of frustration, Tryng to make it work, but man these times are hard.
Réunion oblige, j'avais dû enfiler un t-shirt à la vavite. J'avais passé la nuit dans les quartiers malfamé et j'avais eu le temps de faire un passage éclaire chez moi afin d'enfiler un t-shirt déformé et déchirer ainsi qu'un jean destroy avant de sortir en enfilant une veste en cuir, que je soupçonnais de ne pas m'appartenir. J'avais ensuite couru jusqu'au restaurant où je devais retrouvé les autres membres de mon groupe tout cela pour discuté, dixit : car l'heure était grave. Bien entendu je n'avais pas comprit le sous entendu caché dans le message que j'avais reçut se matin là. De la coke au bord du nez j'avais juste tiré un autre rail avant d'accepter le verre qu'on m'offrait. Pour ma défense j'avais été aspiré par le monde de la nuit, enrôler par les ténèbres pour les faire vivre à travers moi. Je n'avais pas chuté dans tout cela car j'en avais envie. On m'avait poussé, je m'étais retrouvé suspendu dans le vide, à plonger toujours plus loin, toujours plus bas jusqu'à ce que la nuit ne m'appelle. J'avais passé un stade. Celui de trop. Cette ligne imaginaire qu'il ne fallait pas franchir sous peine de voir son monde s'effilocher et se détruire petit à petit. Alors que je marchais dans Sydney à la recherche du restaurant qu'on m'avait indiqué je planais encore. Enfin, je n'aurais su dire si je planais où si je me trouvais dans mon état normal. Il m'était devenu tellement habituel d'être sous l'effet de stupéfiant que je n'avais plus de lien avec la réalité. Mon visage émacié, par toute ces soirées passé à faire la fête, à ne pas me nourrir et à fumer plus que de raison faisait, peine à voir. J'étais pâle et sous mes yeux se trouvaient des poches creuser par les nuits blanche. Heureusement que mes Ray Ban masquaient mes yeux éclaté. Je me souviens être rentré dans le restaurant, m'être allumer une clope avant que nous ne commandions nos boissons avant qu'une discussion ne commence. C'était mal partit. J'aurais même dit très mal partit. Ils entonnèrent la même rengaine, l'avenir, ces conneries, ces projets qui me passaient au dessus de la tête, mon film etc. Je connaissais le refrain par coeur et ça commençais sincèrement à me fatigué. Seulement je restais silencieux. Tant qu'on ne m'attaquait pas de front je pouvais supporter.
Finalement je n'ai pas tenu aussi longuement que ce que j'avais prévu. Très vite le ton est monté. Ils me reprochèrent ma descente aux enfers, me disant que ça ne servait à rien de se foutre en l'air à cause d'une fille. Que si nous n'étions pas retourné à Paris nous aurions jamais pu ne serait-ce qu'apercevoir les prémices de la gloire. Tout ne tournait qu'autour de ça. Fleur. Ces deux mois de pur folie où je me suis retrouvé déconnecté de la réalité. Prêt à tout, n'importe où n'importe comment. J'aurais soulevé des montagnes, fait construire un monde nouveau, j'aurais été prêt à tout. Au lieu de ça je me retrouvais à Sydney, entant qu'habitué des soirées les plus mal fréquenté possible à me défoncé. Quand les stars se trouvaient sur la piste en train de danser, moi j'étais dans l'arrière sale à acheté ma daube et à m'envoyer plus de saloperie que ce que mon corps ne pouvait en supporter. Tout ça pour dire que je m'étais énervé un bon coup, que comme à mon habitude je leur avait rejeté la faute et je m'étais cassé. S'ils voulaient faire un repas entre hypocrite, je n'avais rien à faire là. Les rues de Sydney m'attrayaient bien plus que ces fausses discutions qui n'amenaient rien. J'étais mal. J'avais envie de tout foutre en l'air, de retrouvé Fleur quitte à retourné en France. Seulement je ne pouvais pas savoir où elle se trouvait à l'heure actuelle. Alors je marchais. Je marchais sans but, sans raison. Juste histoire de ne pas avoir à retourné à la maison. Ne pas avoir à recommencé de faire semblant que tout allait bien. Je ne voulais plus des faux sourires du monde. Je ne voulais plus avoir à me sentir seul dans les bras d'une fille alors que je n'en désirais qu'une seule. Je voulais tant de chose. Que tout change, que je retrouve un équilibre, je le voulais. Seulement je ne pouvais faire ça seule.
Mes pas me menèrent sans que je ne m'en rende compte au parc. Regardant les alentours je vis un endroit vert et comme en dehors du temps. C'était joli, simple, ça respirait la vie. Mais même ça ne me faisait rien. J'étais froid, indifférent, j'aurais tellement aimé que ça suffise pourtant. Que ça me fasse quelque chose. Que cette organe inutile qui se trouvait dans ma poitrine me serve à quelque chose et que pour une fois il se mette à battre. Laissant mes pas continué à me porté je marchais sans but, tel une âme en peine seul à travers cette nuit noir. Une clope à la main je cherchais mon briquet. Fouillant d'abord les poches de mon pantalon je n'y trouvais rien, fouillant ensuite ma veste je le trouvais enfin mais je le fis tombé au sol. Soupirant je me baissais et perdit mon équilibre. Je n'en pouvais plus j'en avais marre. J'aurais aimé me coucher là et fermer les yeux pour de bon. Ne plus jamais avoir à les ouvrir pouvoir vider un peu ma tête, m'enfuir. Au lieu de ça, je restais assis à fixer mes pieds ma clope allumé en train de se consumer. Ma vie était comme cette clope. Inutile, nocive et absolument pas indispensable. J'aurais pu sauté d'un pont que ça n'aurait rien changé. J'aurais pu me tirer une balle de la tête aussi, j'aurais pu tellement de chose. Seulement des gens comptaient sur moi et je voulais la revoir. Juste une fois. Encore une minute. Rien qu'une minute. C'est alors que j'entendis du bruit provenant des graviers de l'allée. Je devais avoir l'air de quoi ? Un clodo avec une paire de Ray Ban sur les yeux ? Non. J'étais juste un gars complètement paumé qui ne savait plus où allé pour se sentir à nouveau chez soi. J'aurais pourtant aimé avoir quelque part où allé. Une paire de bras chaleureux où me réfugier, mais il ne me restait rien. Rien que des souvenirs qu'à force de me remémorer se transformait en douloureux instant à regretter. Il fallait que je me bouge, que je trouve quelque chose à faire. Quelque part où aller. Me levant ma clope à la main je partit d'une démarche rapide vers la sortie du parc avant de bousculer une jeune femme sans le vouloir. Mes Ray Ban tombèrent au sol alors que je trébuchais vers l'avant. J'eu de la chance de me rattraper à temps, mais à peine retrouvais-je mon équilibre que je me penchais pour attraper mes lunettes. D'une voix morne et fatigué je me retournais vers la jeune femme que je n'avais pas vraiment regardé jusqu'à présent et disais : "Désolé je vous avais pas... Fleur ?! "
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| Sujet: Re: Man these times are hard||Fleur Sam 9 Oct - 2:32 | |
| © LJ & COLLAPSING NIGHT
Interminables journées. Sans fin et sans but, strictement identiques aux précédentes.
Depuis que Fleur avait tout plaqué pour ce monde ludique et aseptisé au bord du Pacifique, pour ce monde dramatiquement opposé à celui dans lequel elle avait toujours vécu, elle respirait mieux. Littéralement. Elle avait l’impression qu’à chaque inspiration, ses poumons laissaient entrer un petit peu plus d’air, un tout petit peu plus qu’avant. Quelques cellules d’oxygène qui lui insufflaient le courage, la volonté nécessaire pour parler, sourire, avancer, esquisser un pas de danse en préparant son café, pianoter une mélodie sur une table comme lorsqu’elle jouait ses barcarolles de Fauré, pour vivre tout simplement. Et c’était étrange, car cet endroit qui lui ressemblait si peu, peuplé de filles blondes et haut de maillot de bain et short en jean, lui permettait de renaître alors qu’Aix, sa ville aux fontaines, lui avait donné l’impression d’étouffer.
Globalement, Fleur allait mieux. Tout lui manquait de là-bas, mais elle l’oubliait un peu, lui, et elle avait l’impression de revivre. Globalement, elle souriait plus qu’elle ne pleurait. Elle pleurait de moins en moins, d’ailleurs.
Mais parfois, les doutes l’assaillaient. Parfois, elle se levait, la joue contre le livre de médecine sur lequel elle avait passé la nuit, et en déambulant vers la cuisine, un vertige l’envahissait. Étourdie, elle posait sa main, n’importe où, se retenait et se forcer à respirer, même si elle sentait un étau compresser sa cage thoracique. Un manque irrépressible. Un manque insurmontable. Un manque d’Andréa.
Ce matin-là était l’un de ceux-ci. Un matin de mélancolie, une bulle de grisaille qui encerclait Fleur dans le ciel bleu azur de Sydney. Qui la suivait sans relâche. La jeune femme avait pleuré en se réveillant, étendue sur le dos sur son lit, ses bras en croix, ses yeux bleus fixant le plafond, les larmes qui trempaient ses cheveux. Elle s’était levée tant bien que mal, indécise, incertaine, tremblante. Elle doutait de sa capacité à faire face à une autre journée de cours théoriques incompréhensibles et d’accompagnement du médecin titulaire dans sa tournée des patients. Mais plus que tout, elle redoutait le regard des gens.
À midi, exténuée, Fleur sortit dans l’air chaud qui l’étouffa un instant. Une envie de crier sa douleur à l’univers l’habitait tout entière, une folie passagère voila ses yeux. Ses pas la menaient n’importe où, loin des gens, loin du monde. Dans un petit parc ombragé, paisible. Elle se laissa tomber dans l’herbe. À défaut de pouvoir hurler, elle arrachait frénétiquement des poignées d’herbe sèche, créant des éclaircies dans la pelouse jaunie par le soleil. Fatiguée, elle s’allongea. Sa peau chauffait rapidement, elle allait attraper un coup de soleil mais s’en fichait complètement. Fleur sentit des larmes lui monter au yeux. L’une d’elles perla entre ses cils. Non. Pas encore la scène de ce matin. Elle ne pouvait pas continuer à se laisser abattre par le désespoir, même si il ne lui restait rien d’autre à faire. Elle se leva péniblement, parcourut les allées, chancelante.
Elle se rendit à peine compte du corps étendu devant elle. Elle recula, juste à temps pour le voir se lever brusquement, se diriger au pas de cours vers elle et la bousculer violemment. Un clodo, un mec vide et dépouillé d’émotions. Une loque humaine lessivée. Des vêtements sales, un visage creusé et sale. Et deux yeux. Deux yeux de cette couleur si reconnaissable, ce mélange de gris, de vert et de bleu, si clair. Elle le reconnut en même temps qu’il la reconnaissait.
Fleur fit volte-face. Prise dans une tornade de souvenirs, elle entendit à peine son exclamations incrédules, puis les quelques interpellations qui suivirent. Elle avait peur de l’entendre crier son nom.
Elle se mit à courir, désespérée. Elle atteignit un arbre, se laissa glisser le long du tronc, essouflée. Elle sentit les larmes déborder, les laissa couler cette fois, enfouit sa tête dans ses mains. Pas lui
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| Sujet: Re: Man these times are hard||Fleur Mar 12 Oct - 22:42 | |
| Misery angel & lj
She's all laid up in bed with a broken heart, while I'm drinking Jack all alone in my local bar. And we don't know how. How we got into this mad situation, only doing things out of frustration, Tryng to make it work, but man these times are hard.
Je devais faire peine à voir. Je n'étais rien d'autre que l'image d'un monde qui pour la richesse, la gloire et toutes ces conneries était prêt à tout abandonner. L'amour, l'amitié, sa propre âme. Je me demandais ce que je n'avais pas vendu en moi. Que me restait il désormais que j'avais tout perdu ? Il n'y avait plus rien pour m'aider à avancer. Absolument rien pour combler mes nuits blanches. Ces heures passées à me retourné dans mon lit me demandant comment aurait pu être le monde si seulement ça c'était déroulé différemment. Le pire dans ce genre de délires c'est qu'on ne connaît jamais réellement la réponse. Elle aurait très bien pu décidé qu'elle ne voulait plus de moi une fois l'été complètement achevé. On aurait pu se disputé. On aurait pu... On aurait pu tellement de chose. C'était ça qui me manquait. Ces perspectives. Cette possibilité d'imaginé un autre monde. De créé des projets en sachant que je pourrais le réaliser si je faisais tout ce qui était en mon pouvoir. A bout, je me suis retrouvé dans ce parc à faire face à un choix. Laissé les choses comme elles étaient, m'enfoncé un peu plus dans cette vie qui ne m'apportait rien de bon. M'approché un peu plus de ma fin. Tout en douceur, en me tuant à petit feu. Ou alors reprendre les rennes, reprendre les clés de mon destin et faire ce que je devais pour arriver, à défaut de changé le passé, changé mon futur. Notre futur s'il était possible que nous en ayons un avec Fleur. Je m'étais levé à la va-vite. Pris par un sentiment d'urgence qui me poussais à faire quelques pas, me ruer sans trop d'assurance vers la sortie du parc avant de malencontreusement bousculé une jeune femme. Après avoir failli m'écraser lamentablement au sol, je reconnu qui était cette jeune femme que je venais de bousculé. Mes yeux rencontrèrent ceux de la belle juste l'espace d'une seconde. Une fraction de seconde qui me sembla pourtant tiré une éternité. Plus je la fixais, plus je me sentais chuté, j'étais noyer par l'océan troublé et troublant de ses yeux bleu.
C'est alors que le monde tenta de récupéré ces instants d'éternité que je lui avais volé, accélérant le temps. Ne me laissant pas le temps de comprendre ce qui se passait que déjà je la voyais me fuir. Je la voyais courir. Toujours plus vite. Toujours plus loin. Comme dans un mauvais rêves. Toujours plus loin de moi. J'avais eu l'impression qu'elle était à porté de main. Abordable comme s'il s'agissait d'un objet que je pouvais touché et désormais il ne s'agissait plus que d'une image que je voyais disparaître devant mes yeux. Pris par je ne sais quel désespoir (j'en avais connu tant et tant) je ne pu m'empêcher de l'appelé de plus en plus fort : " Fleur... Fleur ! FLEUR !!" Poussé par un besoin irrépressible je me mis à courir. Je l'avais vu partir dans une direction que je suivais, je ne savais pas si elle s'était arrêté avait continué, ou autre. Je courrais en regardant à gauche, à droite, sans trop savoir ce après quoi je courrais. Je cherchais un fantôme, un fragment de souvenirs en chair et en os. Une fille qui m'avait fait chuter de mon trône pourtant si bien placé. Sans m'en rendre compte, je la dépassais, passais un arbre, deux, puis je me rendais compte que j'entendais quelqu'un pleuré. Le sang battait à mes tempes. M'arrêtant j'étais quelque peu désorienté. Cela faisait longtemps que je ne faisais plus de sport. Je passais ma vie sur la scène, devant les projecteurs ou caché en coulisse à me détruire. A détruire le reste d'humanité qu'il me restait. Cherchant dans ces insomnies quelques choses qui vaudrait le fait que je survive à une autre nuit.
Stoppé à quelques mètres de la jeune femme, j'hésitais à me retourné. Je pouvais l'entendre pleuré. Je savais que c'était à cause de moi et que si je n'avais pas été là, elle aurait sans doute été mieux en ce moment même. Seulement j'avais besoin de lui parlé. Savoir ce qui c'était produit depuis mon départ forcé. Je voulais savoir comment elle allait. Si elle vivait bien, si elle... si elle m'avait oublié. Si je n'avais été qu'une étoile filante qui était apparu dans son ciel une nuit pour disparaître un matin. Sans trace, juste un léger goût amer et une nostalgie mal dirigé. Prenant une longue respiration, je me retournais. Le visage à découvert. Des cernes largement creusé en dessous de mes yeux hagard. Je n'étais que l'ombre de moi même. Et même si des tonnes de maquillage pouvait tout camouflé, même ma médiocrité, ça ne changeait rien à ce que mes yeux pouvaient dire. Je la regardais là. Assise dos à un arbre, recroquevillé sur elle même en train de pleuré pour un mec qui n'avait jamais mérité une seule de ses larmes. En train de pleuré pour un connard qui n'était autre que moi. Et bordel, j'avais envie de pleuré aussi. Pour elle, ce con que j'étais et toutes ces conneries que j'avais faite. J'aurais aimé être différent, j'aurais aimé que tout soit différent. Cependant, nous étions là. Moi debout, elle recroquevillé sur elle même, si fragile. Tellement à fleur de peau pourtant à des années lumières de moi. J'avais mal. Mal de la voir comme ça. Mal de me dire que c'était à cause de moi. Autant que j'avais mal j'étais en colère. Énervé contre le monde qui nous avait fait ça, contre moi qui ne savais assumé ce qui était de ma faute. Et en même temps tous ce que je désirais c'était la prendre dans mes bras. Retrouvé cette paix et cette quiétude que j'avais découvert dans ses bras et qu'elle m'avait offert sans demander rien en retour. Un don d'elle même pour un gars qui ne connaissait jusque là rien de la vie. Rien de ce qu'elle pouvait offrir, ou de ce qu'elle cachait.
J'aurais aimé trouvé les mots. Comme pour une chanson. Savoir dire ce que je pensais. Tourner ces choses en de belles phrases et arrivé à lui exprimer tout ce qui passait par ma tête. Seulement dans la vraie vie ce n'était pas aussi facile. Il ne suffisait pas de chanté quelques notes, jouer quelques accords, pour arriver à obtenir ce qu'on désirait. Pas lorsqu'on la désirait en tout cas. Frustré comme jamais. Je cherchais en moi cette vérité qui pourrait tout changé. La vérité devrait apporté toutes les réponses. Nous faire progressé dans le bon sens et tout arrangé. Seulement, je n'ai jamais vu que les choses étaient aussi simple. Il y avait toujours quelques choses pour assombrir le ciel qui n'était déjà pas bien bleu. J'avais peur. Très peur. Je ne savais pas trop comment faire. Comment lui dire ce que je pensais, ce que je devais. Ces mots qui pourrait lui faire comprendre que ce n'était pas de ma faute. Que je n'avais jamais voulu partir. Que je voulais savoir ce qu'elle était devenu. Savoir ces petits détailles qui changeaient tout. Les lèvres pincés, les yeux troublé, je cherchais inlassablement mes mots, plus qu'à court d'idée. "Fleur... qu'est-ce que je peux dire ? " Rien ne me venait. Rien ne paraissait assez sincère, ou assez particulier que pour tout expliquer. J'avais un monde à lui raconté. Un monde à lui dépeindre pour qu'elle comprenne ce qu'il m'était arrivé. Pourquoi je me retrouvais face à elle, pas mieux fringué qu'un clochard et pas vraiment en meilleure état que n'importe qu'elle Sdf qui logerait sous un pont. Je devais tout lui raconté, seulement je n'étais pas sur qu'elle désire réellement m'écouter.
Dernière édition par Andréa L. Leroy le Jeu 14 Oct - 22:03, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: Man these times are hard||Fleur Jeu 14 Oct - 1:34 | |
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