Octobre 1990
Judith Stanley à Londre.
Cette nuit. C'était magique. Comment une nuit avec un homme pouvait procuré autant de bonheur ? Je l'ignorais jusqu'à aujourd'hui. Il faut dire que je n'était pas vraiment du genre a coucher avec tout les hommes que je rencontrais. D'ailleurs a part mes deux petits amis je n'avais eu aucune expérience sexuelle. Et il faut l'avouer il était bien médiocre après ce que je venais de vivre. Moi qui croyait bien mis connaître sur tout ce qui concerne le sexe, j'était tellement loin de la vérité. Lui, il s'y connaissait. Cet homme allongé a coté de moi, les yeux encore fermé et pourtant je doute qu'il dors réellement. C'était la première fois que je me laissais allé avec un inconnu. Ou presque. Je connaissait tout de même son nom, mais je ne l'avais rencontré que hier soir. On avait bu, beaucoup plus que je n'avais l'habitude et cela m'avait été fatal. Le trajet du bar a chez lui m'était d'ailleurs totalement inconnu. En faite je ne savais même pas dans quel partie de la ville se trouvait son appartement. L'alcool m'était très vite monté a la tête et les trou de mémoire était toujours nombreux lorsque j'avais bu. Pourtant je ne pouvais pas oublier cette nuit. Un sourire s'afficha sur mes lèvres quand je tournis la tête vers la caisse en bois qui lui servait de table pour poser son réveil, bien qu'a l'état dans lequel il se trouvait je doutait qu'il marchait réellement. Les nombres affichait d'un bleu fluorescent et pourtant légèrement moin éclatant a certain endroit ces chiffres 11:28. Je fit les gros yeux en voyant cela en sautant du lit nu, cherchant a toute vitesse mes affaires parmis les siennes qui trainait. Un grognement se fit entendre pendant que j'enfilais mon pantalon, ainsi qu'une voix roque et fatigué .
«
T'es pressé ma jolie ? Sa t'as pas plus ou quoi ?-
Ouai je suis pressé, mes parents vont me tuer d'avoir passé la nuit dehors. »
J'entendis un léger rire de sa part. Okay c'était pas très « cool » d'habité encore chez ses parents à 22 ans, surtout si les parents était super sévère et que je leur obéissait aux doigts et a l'oeil. Mais j'avais toujours été la petite fille modèle c'était dure de changer du jour au lendemain. Aaron lui avait quitter ses parents à 17 ans, c'était trouvé un petit travail de barman, pris un appartement miteux dans Londres et rêvait de vivre de sa musique avec ses potes avec les quels ils passe tout sont temps. Ils boivent, fument, se drogue, font de la musique, parlent de musique, écoutent de la musique, vont a des concerts... La musique c'est leur truc. Et ils n'écoutent pas du classique bien sur, tout ce qui touche au rock et ces variantes. Moi je n'ai jamais fait partie de se monde, petite fille de riche je me suis toujours très bien conduite, jamais fumé, jamais touché a la drogue et la musique je ne m'y suis jamais vraiment interressé. Ce jours là j'était partis en toute vitesse, laissant mon numéro sur un bout d'emballage de bière que j'avais trouvé et je l'avait glisser entre les cordes de guitare, j'était sur qu'il ne le louperai pas comme ceci.
Et ça avait marché. Il m'avait appellé, on s'est revu, encore et encore m'entrainant doucement dans son monde. Je m'éloignais de plus en plus de ma petite vie tranquille et mes parents me reconnaissait de moins en moins. Tout ceci m'était égale, j'adorais cette vie. Enfin, c'est pas tellement la vie que j'aimais. C'est simplement Aaron. Oui c'est cliché la petite fille modèle qui tombe amoureux du jeune rebelle du coin. Mais je m'enfichais, j'était complètement folle de lui même si il apportait beaucoup moins d'importance a ma personne, je ne voyais rien de tout cela, je l'idéalisait largement. Pour lui je quitta mes parents a qui je n'adressais plus la paroles, je ne voyais plus mes amis vu qu'on avait plus rien en commun, toute ma vie tournait autour de lui, même si sa vie tournait plus autour de la musique et ses potes, je voulais juste être avec lui. C'est au moin de février que tout bascula.
Comme toujours j'avais passé la nuit chez lui, comme la première fois c'était toujours aussi inoubliable une nuit avec ce Dieu! J'était allongé a coté de lui, lui caressant le torse et le moment me paraissait idéal, depuis le moment que je veux lui annoncer.
«
Aaron... Il faut que je te dise quelque chose...-
J'ai été extraordinaire je sais ma belle.-
Non. Enfin si mais c'est pas ça. C'est toujours super le sexe avec toi, et forçément il y a une conséquence inévitable a ça. -
Dis clairement les choses Jud'.-
Je suis enceinte Aaron. »
Le moins que l'ont puisse dire, c'est qu'il n'eut pas la réaction dont je rêvait. Il me regarda d'autre d'un air étonné, puis cela se transforma en colère voir même dégout. Il se leva, commença a me crier dessus, je comprennait pas vraiment tout ce qu'il me racontait, il parlait parlait sans s'arrêté, mais je comprennait très bien les mots qu'il fallait. Complètement désorienté je pris mes affaires et quitta son appartement. Il ne voulait plus me voir. Il ne voulait pas avoir d'enfant. Pas avec moi du moins. Je ne savais pas quoi faire... Mes parents me parlait plus, mon copain m'avait jeté dehors, je n'ais pas de boulot et en plus je suis enceinte. Je m'aurais jamais imaginé que ça puisse m'arrivé a moi. Il y a quelques mois j'était la fille des riches Stanley, qui devait partir faire des études de journalisme en France et a la place j'était une fille enceinte a la rue.
Juin 2005
Toscane Stanley à Londres
«
Tu est exactement comme ton père !-
Comment je pourrais l'être ? Je ne l'ai pas connu parce que tu l'as tellement fait chier qu'il voulait pas avoir un enfant avec une chieuse pareille. Tu m'étonne, je le comprend imagine que j'aurais été comme toi, le pauvre !-
Tu est ridicule Toscane ! T'es aussi égoïste que lui, si il veut pas te connaître j'y peut rien, c'est un connard c'est tout ! Et t'es entrain de devenir comme lui. Tu peut me traité de chieuse autant que tu veut mais je te laisserai pas tranquille pour autant.-
Ouai, c'est ce qu'on verra. J'me barre d'ici. Va voir la bouteille de vodka, ça fait plus d'une heure qu'elle est dans la maison et pourtant encore vide c'est étrange. »
Sur ceux je tourna les talons pour me diriger vers la porte a toute vitesse alors que ma mère criait encore mon nom d'un air sévère et super en colère. Je sais bien que mon père était un connard, mais quand je suis en colère je peut dire n'importe quoi tant que cela fait du mal a la personne en face. En général ça marchait bien et je n'avait aucun scrupules par rapport a ça. Quand c'était ma mère je savais exactement quoi dire pour la faire souffrir, mais après cela j'avais toujours un peu de remord en me disant que j'en avait fait trop. Mais je ne m'excusais pas pour autant, j'ai cette fièrté qui me colle a la peau et qui fait que je ne m'excuse jamais. Ou presque. Je la tiens de ma mère cette fierté et cette agressivité. Je l'avais déjà vu se disputé avec une voisine ou autres, et je peut vous assuré que moi a coté c'est de la rigolade. Elle devient féroce et mesquine et c'est surement dans ces moments là que je l'adore. C'est plutôt marrant a voir, des fois c'est pour des raisons complètement idiote ou alors c'est elle qui est en faute, et même si elle le sais elle ne s'excuse jamais. Pas étonnant que je passe pour une folle dans tout mon bahut avec une mère qui a terrorissé la directrice et quelques uns de mes professeurs. Parce que même si je fait que me disputé avec elle, elle prend toujours ma défense. Elle m'as élevé et même si elle dis que je suis qu'une petite garce, personne d'autres n'as le droit de le faire remarqué. Mais cela n'empêchait pas le fait que je ne la supporte plus. Je me dirigait vers la maison de mon meilleur amis depuis toujours. Il habitait a une rue de chez moi et ces parents étaient toujours absent. Sa mère c'était barré avec un mexicain ou quelques chose du genre, et son père passait son temps dans les bars et chez les putes si il ne trouvait personne dans le bar. Du coup il avait toute une maison pour lui et c'est là qu'on se retrouvait tous. Notre petite bande, LE groupe qui rythme toute ma vie parce que faut l'avouer sans eux je me ferai vrai chier dans cette ville et surtout dans ce lycée ou les gens sont tellement coincé !
Ces 7 personnes, cont les personnes que j'aime le plus au monde. Chaqu'un très différent, et pourtant on as un truc en commun : on veut tous se barré de chez nous. Il y a la belle Ambre, une petite blonde française qui couche avec tout ce qui bouge, un peut pimbêche sur les bord je pouvais pas la voir au début jusqu'à ce qu'on passe une soirée ensemble par hasard, et sous l'effet de l'alcool elle laisse apparaître un visage complètement différent. Elle devient très fun et même si c'est pas celle que je préfère dans le groupe, je l'adore. Elle se fait traité de salope par toute les filles du lycée, et ça nous fait bien rire de passé notre temps a les provoqué tellement elle sont coincé. Il y a aussi les jumeaux. Jude et Max. Jude est un garçon très timide a l'origine, mais quand il est avec nous il se laisse allez complètement. Il devient le gars le plus cool de la bande et c'est avec lui que je passe surement le plus de temps. Okay, on a déjà couché ensemble, et on le refait souvent d'ailleurs mais entre nous c'est que de l'amitié, aucun de nous ne veut plus et c'est très clair pour chacun. Max lui, c'est le gars qui ne fait que parlé et pensé au sexe. Il y a que ça dans ça vie, il passe son temps a essayé de couché avec tout le monde, garçons ou filles. D'ailleurs il passe son temps a faire des allusions pour voir si les filles du groupe ne veulent pas faire un petit tour dans son lit, personnellement je n'est jamais couché avec lui mais je suis sur qu'Ambre ne sans prive pas et que Tayanne s'est faite avoir. Tayanne, c'est une fille plutôt drôle. Complètement dingue elle passe son temps a prendre des pilules en tout genre et dis n'importe quoi. Elle rie tout le temps et souvent ses phrase ne veulent même rien dire, on parle d'un film elle peut nous sortir une phrase complètement dingue sur un ours qui danse ou quelques choses du genre. Avec elle, on ne s'ennuie pas mais si on veut parlé sérieusement vaut mieux pas qu'elle soit dans les parages. Ensuite il y a le couple inséparable, Jovanna et Rado. Ce sont des étrangers venu étudié à Londres, on ne sais pas trop d'ou il vienne, mais quelques part dans l'est. Ils s'amusent a nous envoyé sur des fausses piste, une fois Pologne, une fois Russie, une fois Roumanie et puis Croatie. Bref on en as aucune idée. Il se sont connu à Londres, et au début personne le leur parlait parce qu'ils ne parlaient pas très bien anglais. C'est comme ça qu'ils se sont connu, ils parlent la même langue. Et puis moi j'ai toujours adoré les pays de l'est, alors je suis allé vers eux pour en savoir plus, enfin de compte c'était des gens très cool et qui m'ont fait découvrir beaucoup de groupe de chez eux et des environs. Pendant le premier mois ou je leur parlèrent ils étaient tout les deux persoïdé que j'était en couple. En couple avec Julian, mon meilleur amis. Celui a qui appartient cette maison dont j'ai parlé plutôt et vers la quel je vais. Lui c'est simplement le mec idéal. Le potes idéal. Il est très différent de moins, déjà lui il ne s'énerve jamais. Il est très calme et super cultivé. Il est très intelligent, a telle point qu'il s'ennuie ferme au lycée et ses notes le font passé pour le dernier des imbéciles. Mais ont peut lui demandé n'importe quoi ou presque il vous répondra une réponse de dingue. C'est avec lui que j'ai rêvé en tout premier de quitté Londres, de voyagé a travers le monde. Vivre de notre art, de nos envie. Vivre de rien quoi. Être totalement libre, seul et indépendant. C'est comme cela que ça a commencer, toute cette histoire de quitté la ville et partir vivre au jour le jour était une idée en l'air, un simple rêve sauf qu'avec le temps notre duo de rêveur s'agrandisa, on étaient huit maintenant a vouloir vivre le bonheur et alors qu'on viens de fêter nos quinze années, ont avaient décidé de réalisé notre rêve.
C'est pour cela que je m'était disputé avec ma mère, encore. Voilà plusieurs mois que je lui parlais du départ prochain de moi et mes amis pour l'Amérique, le pays qui nous fait rêvé, le pays ou tout est possible. Sauf que bien sur elle n'était absolument pas d'accord. Cela faisait plusieurs mois que j'essayais de la convaincre, mais comme toujours avant même que je puisse commençé a négocier on s'emportait toute les deux et les cries prennait le dessus.
«
Alors comment ça c'est passé ? »
J'était arrivé chez Julian, quand je suis entrée il descendais en même moment les escalier qui se trouvait juste en face de l'entrée. Il savait parfaitement ce que j'était allé faire chez ma mère, comme tout les autres qui devait surement ce trouvé un peu partout dans la maison. Je suivis Julian dans le salon ou je vis sans surpris Ambre avec Max sur le canapée surement entrain de parlé de truc salace comme il le faisait si bien, Jude près de la fenêtre ou il avait surement du me voir arrivé et Tayanne a la radio entrain de chercher une station qui passait de la bonne musique.
«
Comme toujours. J'ai foirée, elle voudra jamais. »
Je me laissa tombé sur le canapée, Julian me rejoind quelque secondes plutard. Personne ne dis rien pendant un instant avant que je prie a nouveau la parole.
«
On va le faire a la façon de Rado alors. On met en place le plan B. »
Je vis le sourire de mes amis se dessiné sur leurs visages. Bien sur cela aurait été plus simple si ma mère aurait été d'accord, mais on trouvait tous plus marrant de le faire comme cela. C'était comme cela que Rado était partit de son pays d'origine au départ, c'est pour cela que c'était la « façon Rado. »
La nuit du 06 au 07 juillet 2005
La bande, Londres.
«
Elvina ! Qu'est ce que tu fous, sa fait trois plombe qu'on attendent nous ! -
C'est bon j'arrive Max, stresse pas ! »
La bande était dehors, entassé dans la vieille voiture que Ambre avait piqué a ses parents. Max venait de m'appellé, ils étaient tous là et n'attendais plus que moi. Je foira quelques affaires de plus dans mon uniques sac de voyage, on s'était limité a chaqu'un un sac pour pas faire trop de bagage, je savais déjà qu'Ambre allait enfeindre cette règle avec toute les fringues qu'elle as et cette incapacité a choisir qui la rend très agacante parfois. Je déçendis les escaliers d'un pas lent et discrêt. Je posa mon sac dans l'entré pour passé rapidement a la cuisine ou je pris quelques petit truc a manger avant de déposé une lettre destiné a ma mère. J'ai eut un petit pincement au coeur en la déposant, j'imaginait bien dans qu'elle état elle serais quand elle l'ira cette lettre et qu'elle ne me trouverai pas dans la maison. J'avais pas voulu que cela ce passe comme ça, mais personne ne m'empêcherai d'être totalement libre dans ma vie ! Ni ma mère ni personne. Je veut être la seule a déçidé de mon destin. Je soupira et me dirigea vers l'entrée, repris mon sac en main pour enfin fermé la porte doucement derrière moi et me diriger d'un pas enjoué vers la voiture ou mes amis m'attendait en souriant.
Le voyage fut long, parce qu'on avait pas pris l'avion a Londre, mais a Liverpool. On voulait pas partir d'Angleterre en connaissant simplement Londres. On passa par plein de petite ville et village, rencontrant des gens très con, comme très sympa et complètement taré ! On mis un mois à rejoindre Liverpool pour prendre l'avion direction New York. La ville de nos rêves, du moin celle ou tout le monde voulait allé. Oui parce que voyagé a huit c'était compliqué, on avait tous des attentes différents. On s'étaient d'ailleurs fixé plusieurs règles. La première était simple, on commençait par la ville ou tout le monde rêvait d'allé, NY. La deuxième, si quelqu'un déçide de partir autre part, ou de resté justement dans un ville, on ne l'empêcherait pas. Chaqu'un fait comme il le désire mais quoi qu'il arrive on reste en contact au cas ou quelques choses dérapait on reste unis même loin l'un de l'autre.
On arriva donc en quelques heures à New York. Ce fut fantastique. L'arrivée dans cette ville je m'en rappellerais toute ma vie, ont étaient complètement ébloui et impressionné par tout ce qui nous entourait. D'ailleurs j'avoue que les premiers jours on été dure. On passa plusieurs semaine a dormir dans la rues, ou dans les établissements qui acceuille les sans abris. Le temps qu'on trouve tous un petit boulot de serveur ou barman ou n'importe quoi, on aurait fait n'importe quelle petit boulot ingras pour pouvoir resté dans cette ville plus longtemps et donc de trouvé un appartement. On réussie a trouvé un petit appartement au bout d'un mois là bas, un appartement initialement conçu pour quatre personnes, pas huit mais on s'enfichait. On s'était entassé dans l'appartement et on rigolait bien, peut important qu'on avait pas beaucoup de sous, qu'on mangeait souvent la même chose et qu'on dormais a trois dans un lit ou alors par terre. C'était le début de la grande vie pour nous. D'ailleurs Jovanna trouva son bonheur dans cette ville. Un jours alors qu'elle se promenait dans un centre commercial avec Ambre et moi, on remarqua qu'une agence de mannequinat faisait « un casting sauvage » dans celui ci, Ambre fut tout de suite tenté de se présenté et je poussa Jovanna a se présenté avec, je l'avais toujours trouvé très belle et surement que sa beauté slave ferait effet. Et comme je l'avais prédis elle fut retenu, contrairement a Ambre qui fut assez jalouse. C'est pour cela que quand on deçida de partir de New York une années après, Jovanna ne voulait pas. Elle commençait une nouvelle carrière ici, et cela marchait plutôt bien. On perdit alors Jovanna et Rado qui resta avec elle par amour, ne voulant pas la quitté surtout qu'il se plaisait aussi a New York. Comme on l'avait dis, ont allait pas les forçé a partir d'ici, même si cela nous faisait un peu mal au coeur de les quitté et continué sans eux.
On partie alors pour la Californie. Sa c'était le rêve d'Ambre. Le soleil, la mer, le sable et les beau surfeur. C'était tout ce dont elle désirait. Et il faut avouer que les fête sur la plage était super, les surfeurs super cool et toute l'ambiance là bas très détendu. Bref, ce fut 6 moi superbe également. On avait mis un peu d'argent de coté avec nos petit boulot a New York du coup cette fois ci on avait pas besoin de vivre dans la rue un moment, on trouva rapidement un appartement un peu plus petit que celui de New York mais après tout on n'était plus que six... Le séjour là bas était très agréable mais très vite ce qu'on redoutait tous arriva. Qu'est ce qui se passerais si on se disputait ? Comme ça nous arrivait souvent, sauf que d'habitude on vis dans la même ville sans bouger. Et bien là, Ambre et Max ne s'entendait plus du tout, Max déçida de partir seule vers le Brésil, Ambre voulait resté en Californie ou tout les garçons était a ces pieds, ils ne restaient plus que Jude, Julian et moi pour continuer ensemble notre voyage.
A ce moment là tout s'accelera. On allait de ville en ville, un peu au hasard, on as fait quasiment toute l'Amérique, enchainant les fêtes, et les voyages sur la route. On passa rapidement au Brésil pour passé voir Max, et a parament tout allait bien pour lui, il avait trouvé un boulot de barman et vivait comme il le désirait, entouré d'alcool, de drogue et de filles ! Il couchait avec une fille différentes tout les soirs « la vrai vie » comme il le disait. On partie vers l'Europe donc tranquille de savoir que chacun de nos amis vivait comme il le rêvait. On continua a faire les pays de l'Europe, France, Espagne, Italie, Pologne, Croatie, etc... Tout ce passait bien pendant très longtemps. Sauf que deux gars avec une fille, c'était un mauvais plan enfin de compte. Depuis longtemps je couchais de temps en temps avec Jude, Julian avait toujours été au courant mais sans y être vraiment confronté, là il n'avait pas le choix. Nous voir s'embrasser le fit réalisé qu'il tenait peut être plus a moi qu'en amie. C'est alors qu'il commença a agir différement avec moi, et j'avoue que cela me plaisait. Je me mis a couché avec lui également, mais c'est très facile a comprendre. Une fille qui se met a couché avec ces deux meilleurs amis alors qu'elle voyage avec eux, c'était forçément une mauvaise idée. Après beaucoup de mois, beaucoup de dispute , de coucherie et de discution je déçida de les quitté, les deux. Toute seule je voulais continué mon voyage pendant un moment du moins. Comment on ce l'était tous promis ils ne me retenait pas et je continua toute seule. Après de nombreux voyage, surtout en Hongrie et Russie je déçida de me rendre dans une ville dont je rêvait depuis longtemps : Sydney. Je me mis en route donc, seule et indépendante comme je l'avais toujours rêvé.
Accueil 
dix neuf ans
