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I never be the same if we ever meet again.

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I never be the same if we ever meet again. Vide


MessageSujet: I never be the same if we ever meet again. I never be the same if we ever meet again. EmptyLun 9 Aoû - 21:51

I never be the same if we ever meet again. Dayzee38-ap003 I never be the same if we ever meet again. 98359494
♦ I never be the same if
we ever meet again.


    Depuis quelques jours, Ally n’allait pas spécialement bien. Elle avait comme des hallucinations qui ne lui cessaient de lui rappeler l’horrible soir où elle et son amie on mit fin à la vie d’un jeune homme. Une période de sa vie qu’elle croyait pourtant bien derrière elle est maintenant revenue pour l’hanter, de nouveau. Elle avait décidé d’aller voir un psychologue, un des meilleurs et c’est donc un jour par semaine elle devait se rendre à l’hôpital. C’était assez pénible de devoir revivre ce moment, encore et encore. Elle n’en avait pas encore parlé à Siohban peut-être parce qu’elle avait tout simplement peur de la faire revivre ça à nouveau, peut-être qu’elle avait déjà tourné la page et Ally ne voulait pas lui imposer ça. Damon son mari et peut-être futur ex-mari, ne s’était rendu compte de rien du tout enfaîte il était toujours là mais il ne lui prêtait tout simplement aucune attention. Tout dépendait des jours. Soit il était super attentionné soit il s’en fichait tout simplement. Lors d’un de ses nombreux rendez-vous à l’hôpital elle avait croisé quelques fois un garçon qui avait à chaque fois attiré son attention, elle lui envoyait parfois un petit sourire discret mais sans plus. Heureuse ou pas heureuse avec Damon, elle restait tout de même mariée elle lui devait tout son respect. Ally avait peut-être que vingt-deux ans mais elle était très mature pour son âge, après tout la vie ne lui avait jamais fait de cadeau. Comme à son habitude, Ally passait à la librairie pour aller acheter son journal, c’était une sorte d’habitude qui s’était installée dans sa vie. Le journal était une source de nouveautés à ses yeux. Alors qu’elle s’apprêtait à payer son journal, elle vit alors un blond rentrer dans la libraire. Un petit sourire s’est installé sur son visage qui était assez sombre et fermé. « Il faut croire qu’on doit se croiser partout. » En effet, c’était le charmant jeune homme qu’elle avait croisé plusieurs fois à l’hôpital. Suite à cette phrase, Ally était un peu mal à l’aise puisqu’elle ne savait pas tellement quoi dire. C’était sans doute la première fois qu’ils échangeaient quelques mots et bon, Ally n’était pas une grande timide mais cette fois-ci c’était tout une autre histoire. Il aurait très bien pu être comme la plupart des hommes et être désagréable mais à chaque fois il s’était montré correct. Peut-être que c’était un timide. « Vous travaillez à l’hôpital ? » Ally espérait que celui-ci dise non, car peut-être que s’il y travaillait il connaitrait la raison pour laquelle Ally s’y rend et dans le fond celle-ci à peur que les gens puissent croire qu’elle est folle. Cette chose de faire attention aux apparences vient de famille apparemment. Après avoir échangé un sourire celle-ci s’apprêta à partir.



Dernière édition par Ally-Jane Wakefield le Jeu 12 Aoû - 21:12, édité 1 fois
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I never be the same if we ever meet again. Vide


MessageSujet: Re: I never be the same if we ever meet again. I never be the same if we ever meet again. EmptyMar 10 Aoû - 20:14



“ SURPRISES ARE STRANGE. ”
ALLY&ROMAN



Putain. Saloperie de puceau. Si je le recroise un jour, je l'éclate. Et pas au sens figuré du terme. Au sens propre. Et avec une envie à en faire pâlir plus d'un. Je n'arrive pas à croire qu'il y ait des hommes en chaleur. Les femmes, je connaissais. Mais alors les hommes. Première découverte du siècle. J'me coucherais moins con. Ce regard qu'il a posé sur ses lèvres. Ses mains posées sur ses hanches. J'ai cru devenir fou. Il s'en ait fallu de peu que je ne lui saute à la gorge. Et au sens propre du terme également. « Romain qu'est ce qui t'arrive? Non, arrêtes! Laisses le! Roman! » Et en plus elle prenait sa défense. Le premier coup parti, je ressentais l'envie de le défigurer, de lui faire regretter sa prétention. Non, je ne suis pas violent. Quoique. Je tiens simplement en horreur les gens qui empiètent sur mes plates bandes. Cette femme est la seule qui tienne mon cœur en haleine, et aucuns hommes ne la touchera. Tant que je serais vivant. Egoïste, peut-être. Jm'en branle. J'demande pas votre avis. J'devais m'en aller très vite, me tirer avant de ne plus tenir compte de ses supplications. Rageux, je foulais les rues de Sydney à grandes enjambées. Au coin de rue du côté de la Renaissance, je m'arrêtais net. N'était-ce pas Héliott? A sa vue, mon cœur s'emballa sans me demander mon avis. Quel con celui-ci. Toujours à faire des siennes. Seulement je n'osais pas aller la voir. A croire que pour une fois j'avais bien fait... Sortant peu après elle, un homme la rejoignit. On voulait vraiment me détruire ou quoi? Chienne de vie. Putain.

Je me réveillais brusquement, de fines perles de sueur recouvrant mon torse dénudé. Encore un de ces rêves à la con. Le même qui me hantait tous les soirs. A quelques exceptions près. Et une fois de plus je rêvais d'elle. Je devais être profondément atteint. Ou tout simplement très con, je n'en savais rien moi-même. Mais ce que je savais, je ne l'admettrais jamais. Jamais. Je tenais à ma fierté. Et celle-ci me soufflait de me débarrasser des souvenirs que j'avais pour toujours. Qu'ils ne m'étaient que douleur. Surtout depuis qu'elle était partie. Que je l'avais fait partir. Sans le vouloir. Les regrets m'empoignaient le cœur comme à chaque fois que j'y repensais. Putain, quel con. Et tout ça à cause de cette saloperie de drogue. Je cachais mon visage entre mes mains hâlées et fines. Soupir. Mais ce qui est fait est fait. Et je n'avais pas pour habitude d'aller remuer le passé. D'y replonger. C'est pourquoi je me penchais vers le sol et attrapais une petite boîte blanche. A l'intérieur, un trésor. J'en sortais un bédo roulé à l'avance. De l'afghane. Rien n'était meilleur. Trempant le bout dans la flamme du briquet, je respirais longuement. J'en appréciais l'odeur, la saveur. Les bienfaits sur mon corps tendu. J'étais contre ce genre de procédé, mais il n'y avait que ça pour me débarrasser de mes angoisses. Avec un bâillement qui se transforma en rugissement j'étirais mon corps, terminant en position étoile dans mon lit deux places. Vide, depuis longtemps. Le délice était tel que je prolongeais le moment. Je conservais mon habitude de glander sous la couette blanche. Je tenais les réveils précipités en horreur. Les rayons du soleil perçaient à travers ma fenêtre et faisaient briller le parquet. Dehors, le chant des oiseaux tournait à l'opéra et me régalait. Bon dieu, ce que ça pouvait être plaisant de tarder au lit sans rien ni personne pour vous déranger. Mais onze heures s'affichaient sur l'écran de mon réveil, me résignant à sortir ma masse des draps blancs. J'écrasais la fin de mon petit plaisir matinal dans un cendrier prévu à cet effet. Je m'étirais à nouveau. Aujourd'hui n'était pas jour de congés. Du moins, pas ce matin. L'hôpital m'attendait sur les coups de treize heures. Fais chier.

Ce que je fis le reste de la matinée? Je rangeais mon appartement. Et ne riez pas, bande de crétins. Un homme pouvait être ordonné. La preuve, c'était même le seul point sur lequel j'étais intransigeant. Et qui me valait nombres de différents avec Robbyn. Une violente pointe au cœur me fit regretter ce souvenir. Merde, ça n'allait pas recommencer. Elle ne voulait plus me revoir. Je n'avais qu'à m'y faire et laisser de côté ce que je voulais moi. S'il y avait bien une seule personne au monde que je respectais, c'était elle. Et si c'était sa volonté... Alors soit. Ma bonne humeur amenée par un cd des Guns chuta de façon vertigineuse. J'étais dans le négatif. Si la chose était possible. M'assenant un brusque coup de balai sur la tête, je me repris. Allo, j'suis bien chez Hector Roman Lennon? Ouais.


Citation :
Here is to you honey
But I'm out of your league
Never gonna pass me
'Cause I'm out of your league, your league,
your league


Putain c'que c'était bon. Au diable les voisins! Jm'en suis jamais soucié, pourquoi ça commencerait maintenant. Lorsque je terminais de jouer la bonne femme, je baissais mon regard sur ma Rolex. midi vingt-huit, précisément. Il était plus que temps que je vive ma vie. Celle de médecin, secouriste de vie. Filant à la douche pour la deuxième fois de la journée - qui a dit que les hommes étaient des dégueulasses? - je l'expédiais en vitesse. Mes habits? Un jean des plus basiques, une chemise blanche Jules. A quoi bon m'habiller en vêtement du dimanche, puisque je devais revêtir la blouse de travail? J'attrapais mon porte-feuille que je faisais glisser dans la poche arrière de mon jean, mes clés de voiture et mon portable. Je n'en demandais pas plus pour passer une après-midi comme les autres. Investi dans mon travail, au maximum de ma forme. Une fois les remparts de l'établissement derrière moi, je devenais un autre homme. Il me semblait même revivre au contact d'âmes en nécessité, dans cette ambiance détendue et angoissée à la fois. J'étais chez moi, dans ce milieu qui me paraissait fait sur mesure. Je répondais d'un sourire bienveillant aux bonjour qui fusaient d'un peu partout. J'ignorais - en revanche - les minauderies des infirmières. Répugnant. Se dandiner de manière aussi peu respectueuse de soi-même, glousser sans relâche. C'est la séduction mec, tu devrais le savoir. Non, justement. Je n'étais pas un adepte des séducteurs en tout genre. Je faisais parti de ce rare pourcentage d'hommes qui prennent les sentiments au sérieux, qui ont plus de respect et de patience en eux que chez les autres êtres vivants. Certes, cette caractéristique m'avait joué des tours. Mais je ne changerais pour rien au monde. Jamais.

La relève. Une sorte d'extase terrestre, une ébullition de plaisir. Jamais je ne pourrais assez remercier Dieu. Ou mon supérieur, allez savoir. Quoiqu'il en soit, je pouvais enfin me dire ouais, ma journée est finie. Et je ne connaissais meilleure initiative que de faire un détour par la librairie pour parachever ces vingt-quatre heures. J'errais, hésitais, choisissais puis remplaçais... Un peu comme une femme dans un magasin de vêtements, je faisais mes essayages en optant pour l'un ou pour l'autre. La petite cloche annonçant un nouveau visiteur m'arracha un léger sourire. Plaisant. « Il faut croire qu’on doit se croiser partout. [...] Vous travaillez à l’hôpital ? » J'aurais pu reconnaître cette voix entre mille, aussi étrange soit-il. Chacune de mes rencontres avec cette femme s'était déroulée à l'hôpital, et chacune m'avait laissé cuisant, fiévreux de curiosité. Toutefois je ne pouvais me permettre de fourrer mon nez dans les dossiers: respect et secret médical. Je n'étais pas responsable d'elle et des soins qu'elle pouvait recevoir, point. Un bref signe de tête, un sourire. « J'y suis étudiant, en fait. Je parfaire mes études. Puisque l'occasion nous est présentée: Roman, Roman Lennon. » Étrange que de présenter sa main à une femme.
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MessageSujet: Re: I never be the same if we ever meet again. I never be the same if we ever meet again. EmptyMer 11 Aoû - 2:02


    Quand Ally se trouvait au lycée, c’était une jeune fille très sociable qui abordait facilement tout le monde et qui se laissait aborder très facilement. Elle était nettement très populaire mais ne faisait cependant pas confiance à tout le monde. Quand elle est allée vivre à Paris, cette confiance qu’elle avait avant c’est envolée tout comme son bonheur qui est resté ici, à Sydney. À Paris, celle-ci était méfiante, peu bavarde et parfois très distante, la preuve, le seul ami qu’elle avait à paris était Damon et même lui quelques temps après à cessé d’être son amie pour devenir son mari. Sa vie sociale était une vraie catastrophe là-bas. Il y a cinq mois, la belle brune est revenue vivre à Sydney et elle se retrouve enfin. Cette confiance qu’elle avait auparavant elle l’a enfin retrouvée, elle est enfin redevenue la fille que tout le monde prétendait adorer autrefois. Son bonheur, elle ne l’a toujours pas trouvé, il n’était pas à Paris et ici à Sydney elle semble ne pas encore l’avoir trouvé. Elle l’avait avant mais la complètement perdu, à tout jamais sans doute. Sa source de bonheur n’était autre que Jake, son ex petit ami aux airs parfaits. Il lui apportait tout ce dont elle avait besoin pour le matin se lever et avoir envie de vivre une journée de plus, il était la seule chose (plus sa meilleure amie) capable de la faire sourire et de vivre chaque journée comme si c’était la dernière. Les parents d’Ally prétendaient que Jake était une très mauvaise influence car, elle passait les trois quart de son temps dehors à profiter de sa journée dans les bras de son homme. Il n’était pas une mauvaise influence, il était tout ce qu’Ally avait de bon dans sa vie. La manière dont Ally avait à ce moment abordé Roman lui était familière car, avant la jeune fille était ainsi. Epanouie et très peu timide, elle était loin d’être une fille facile ou vulgaire, elle adorait juste faire de nouvelles connaissances, qui sait peut-être qu’en Roman elle trouvera un ami extraordinaire. Peut-être que le croiser de nombreuses fois était un signe de dieu pour qu’aujourd’hui ils se parlent et se rapprochent et deviennent d’excellent amis. Tout est possible après tout. Roman finit par lui dire qu’il était finalement qu’étudiant et que s’il était à l’hôpital c’était dans le seul but de parfaire ses études. Après cette révélation, Ally était assez soulagée de savoir qu’il n’allait sans doute pas avoir accès à son dossier, elle ne savait pas vraiment comment les choses marchaient là-bas, mais au moins qu’il veuille devenir psychologue Ally doute fort qu’il puisse avoir accès. Quelques secondes après, le jeune homme se présenta de manière très charmante et particulièrement galante. Enfin, ses gestes étaient pourtant simples, mais la façon très Bond, James Bond avait littéralement fait craquer la brunette. Elle enchaina donc tout de suite après lui « Ally-Jane, mais pour faire court et simple tu peux tout simplement m’appeler Ally. Comme tout le monde. » Ally n’appréciait pas spécialement quand les gens l’appelaient Ally-Jane, puisque ça lui rappelait les moments où ses parents étaient en colère contre elle et donc ils l’appelaient toujours par ses deux prénoms, Ally-Jane. Si Ally s’en arrêtait là, elle allait couper court à la conversation et c’était bien trop dommage vu qu’elle semblait être bien partie. Elle ne savait pas quel genre de questions elle pouvait lui poser, elle ne voulait pas être trop indiscrète mais elle était bien trop curieuse pour ne pas l’être. « Futur médecin alors ? » Ally était-elle aussi une future avocate, elle espérait réussir un jour. Enfin, tout le monde se demandait pourquoi Ally hésitait tant, pourquoi elle avait encore des doutes quant à sa réussite étant donné qu’au lycée c’était une des meilleures élèves de sa classe, voir du lycée entier cependant, personne ne comprend le fait qu’aujourd’hui elle n’a plus les mêmes motivations.

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