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LOAN LIBERTY-LANE ♣ 20 ans.

feat.Dianna Agron.

love always remains ♣ ÂGE : 20 ans GROUPE : Kaponz & Spinoza. METIER/ETUDES : Etudiante en droit SITUATION AMOUREUSE : Célibataire

♣ Can I ask you some questions ?

AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: L’amour. Beaucoup de sentiments face à quelque chose d’aussi petit, d’aussi niais. Non, je ne crois pas avoir été amoureuse une fois dans ma vie. Même pas du voisin d’à côté quand j’avais quatre ans. Enfin, j’ai du avoir quelques petits copains lorsque je n’étais qu’une gamine, mais cette époque remonte à loin déjà. Aujourd’hui, je n’ai pas envie de l’être et ça tombe bien parce que je ne le suis pas.
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: Je ne suis pas venue ici, j’y suis née. Donc pour moi, l’équation était déjà toute faite, je n’ai pas eu beaucoup à réfléchir. Alors, pourquoi je suis encore ici ? Sans doute parce que je n’ai pas envie de partir, que j’adore être ici et que pour rien au monde je ne pourrais quitter mes petites habitudes qui me sont si familières. Peut-être que la vie est mieux ailleurs, peut-être pas. Je ne suis pas une grande curieuse donc je me limite à Sidney, ce qui m’est bien suffisant.
AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: Nous grandissons tous avec des envies plus ou moins particulières et de mon côté, j’ai toujours vu devenir enseignante. Pas ici, certes. Mes parents me disent sans cesse que je ne gagnerais pas ma croûte en faisant de l’humanitaire, à croire que c’est l’argent le maître du monde. Je dois bien avouer que sans cela, nous ne sommes pas grand-chose, mais quand même. Donc oui, j’aime beaucoup ce que je fais, ce sont les seuls moments où je peux m’épanouir réellement.

TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ NOM ET/OU PSEUDO : Olivia AGE : 18 ans RÉGION : Picardie, France. FILLE OU GARÇON : Fille. QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Et bien, je le trouve très beau. Les gens sont très accueillants. Bref, il a tout pour me plaire (a) ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Sur Bazzart. AUTRES : Vous rocksez

Je voulais croire en tout et surtout, en moi-même. Les autres ne faisaient partis que d’un ensemble avec plus ou moins leur importance. Moi, je me voulais exceptionnelle, unique aux yeux de ceux-ci. J’ai pourtant rapidement réalisé que personne ne peut se démontrer parfait, encore moins lorsqu’on le désire pour sa propre fierté, pour être heureux semble-t-il. Vous a-t-on déjà dit qu’il n’y avait que les riches pour se rendre comptent que l’argent ne fait en aucun cas le bonheur. Croyez-moi ou non, mais cette petite anecdote est véridique. Née à Sidney,je n’ai jamais eu me plaindre en apparence. En effet, mes parents ont toujours été présents. Très jeune, je prenais déjà des cours de danse, de piano aussi et je faisais partie des meilleures écoles de la ville. Ne trouvant pas ma voie, ils l’ont trouvée à ma place et décidèrent que plus tard, je serais une bien grande avocate, que je serais un individu important dans une société corrompue. Tout au fond de moi, cependant, je savais que je ne pourrais jamais faire ce à quoi ils me destinés. Apprendre un bouquin par cœur, très peu pour moi. Défendre les autres alors que j’ai toujours eu du mal à m’affirmer, c’est encore pire. Je me suis tus souvent. Je n’ai rien dit jusqu’à ce que j’obtienne mon diplôme, que mes parents se séparent et que mon père, trouve une nouvelle petite amie qui a pratiquement mon âge. Vous savez, dans des circonstances pareilles, on se pose de nombreuses questions, et si … Et si nous prenions en main notre propre vie sans se soucier réellement ce que penseraient nos parents, de notre famille qui appartient à la haute bourgeoisie ? J’ai toujours adoré les soirées mondaines car elles me permettaient de porter des robes tout à fait sublimes. Mais il y a aussi des inconvénients à faire partie de ce monde. On ne peut pas faire tout ce que l’on veut, on ne peut être avec qui l’ont veut et ça, franchement, j’ai toujours détesté.

Je n’ai jamais rien fait de spécial dans ma vie. Enfin, rien de bien exceptionnel qui ferait en sorte qu’on connaisse mon nom. J’ai toujours adoré qu’on prenne soin de moi, mais j’ai aimé encore plus lorsque j’ai pris mon indépendance. Trop tôt, trop tard, je ne sais pas tellement. Dans tous les cas, je ne suis plus cette petite fille gentille et chaque jour qui passent me détruise encore un peu plus.

***

« Mademoiselle accepterait-elle de danser avec moi ? » J’étais venue sans cavalier au bal du lycée. Je regretterais d’être venue et non pas de n’en avoir pas trouvé bien avant, de trouver le courage de parler avec un garçon de mon lycée. J’étais plus ou moins timide et tout ce qui se rapprochait de près ou de loin à la gente masculine me foutait une trouille pas possible. Incapable de contrôler mes jambes tremblantes, les mains moites ou alors que mes joues s’empourprent quand j’avais la mauvaise idée de croiser le regarde de l’un d’entre eux. C’était terrible dans le fond parce que d’après ce que j’avais entendu, je plaisais à quelques uns. J’avais peur. J’ai toujours eu peur. « Je ne peux pas. » J’avais déjà cette boule au ventre, un mal atroce venant me frapper dans l’estomac. Tout le monde connaissait Danaël, il était le garçon le plus connue au lycée. Hey oui, encore et toujours ces questions de popularité, mais malheureusement, on ne peut pas changer le monde quand bien même on le désirerait plus que tout.
« Tu vois que tu peux. » Il avait pris ma main comme s’il ne me laissait pas le choix. J’avais joins mes mouvements aux siens pour une danse lascive et pour la première fois depuis longtemps, je me sentais bien. Moi-même. Ce sentiment est tellement rare chez moi que je me demandais encore si je ne rêvais pas, si je n’étais pas entrain de fantasmer sur une personne qui m’était complètement indifférente dès le début. En effet, je n’ai jamais été le genre de fille à vouloir sortir avec les types jouant au football américain ou bien au basket ou tout autre sport dans le même genre. Eux, ils se fichent pas mal des filles. Tout ce qu’ils désirent c’est passé un peu de bon temps avec elles et rien de plus. Moi, je voulais autre chose, je voulais des sentiments et pas qu’on me brise le cœur dès le moment venu. Je relevais alors doucement la tête, un sourire sur les lèvres et nous avons continué à danser une bonne partie de la soirée. Il ne m’a jamais quitté, même quand je lui ai dit que j’avais dépassé l’horaire auquel je devais rentrer. J’ai insisté, il a abdiqué. Danael a fini par me raccompagner chez moi et au moment même où nous allions nous embrasser, ma mère a ouvert la porte. Je l’ai revu, oui. Beaucoup plus tard.

Bienvenue J'espère comme Alec qui tu seras la bonne

Liam E. Bellamy a écrit:

BIENVENUUUUUUUUUUUUUE SUR LAR !
Merci beaucoup de ton inscription, bon courage pour ta fiche. J'espère qu'on aura enfin une Kristen active.