|  Sujet: LORIS ❀ before the worst Jeu 23 Sep - 16:42 | |
|  © brokenbrainGUIRINEC ETHAN LORIS ♣ 26ans feat. paul wesley
♣ I'd like to make myself believe
On sait que faire sa présentation c'est pas marrant pour tout le monde et encore moins quand un style bien précis est imposé, c'est pour ça que nous vous laissons libre pour cette partie. On devra comprendre à sa lecture qu'elle est le caractère actuel de votre personnage, sa vie ou du moins les détails importants qui ont fait ce qu'il est maintenant, ses études, son milieu social etc... En gros on doit savoir qui il est. Donc au choix, anecdotes, journal intime, RP et autres, comme vous le sentez ! UN MINIMUM DE 30 LIGNES !
« LOLO ! Ramène ta poire dans le coin ! » cria alors la petite fille assise sur le canapé, les pieds sur la table. Un petit garçon, haut comme trois moitiés de pomme arriva en courant. Il se jeta sur le canapé : c'était l'heure de son dessin aminé, rejoignant alors les trois petites filles déjà avachies devant le générique du début du programme. La plus grande s'appelait Dylan, elle était l'aînée de la famille, et avait 9 ans. Elle était de taille tout à fait moyenne, les cheveux toujours attachés en deux tresses. La seconde, c'était Quinn, elle, elle avait 8 ans. Elle était toute bouclée, et avait les même cheveux blonds que sa mère. Ensuite, c'était Juliet, elle avait 6 ans. Une vraie tête de mule ! Personne ne pouvait lui tenir tête. Et pour finir, c'était Ethan, petit garçon énergique de 3 ans, et surtout le dernier de la famille. Tout le monde l'avait toujours appelé par son deuxième prénom, Loris. C'était le seul garçon de la fratrie, mais avait toujours été très apprécié de ses sœurs aînées, elles l'avaient toujours chouchouté.
Les quatre enfants, perçurent alors un bruit, le bruit d'une clé dans la serrure. Ils sursautèrent tous, et se hâtèrent d'éteindre l'écran de télévision. Qu'est-ce que leur père faisait-il déjà là ? Il fallait se tenir à carreaux quand il était là, les enfants le savaient. Le breton avait fait succès en affaire, et avait emménager ici, à Canberra. Louis Guirinec avait été élevé avec les notions de respect, d'écoute, et d'obéissance, et forcément, c'était aussi l'éducation qu'il avait donné à ses enfants : la même que ses parents lui avaient toujours donné. Il voulait faire d'eux des gens cultivés, qui pourraient atteindre la haute société comme il l'avait fait. Ses enfants parlaient donc couramment anglais et français, et avaient très souvent des voyages à l'étranger dans un but pédagogique, et ça depuis leur plus jeune âge. « Bonjour les enfants. » Les enfants affichèrent un beau sourire avant de lancer à l'unisson : « Bonjour, père. » Leur père avait toujours voulu porter cette appellation : "père", alors ses enfants l'avaient toujours appelé comme ça. Pour Louis, c'était comme ça que ses enfants lui montraient leur respect envers lui. C'était pour la même raison que les quatre Guirinec le vouvoyait. Il avait toujours marqué une certaine distance entre lui et ses enfants, et Loris n'avait jamais apprécié, et cette distance entre son père et lui sont encore si présentes aujourd'hui.
Leur mère descendit en vitesse les escaliers, après avoir entendu son mari. Elle, c'était tout le contraire de son mari, elle était si aimante, elle donnait tout son amour à ses enfants. Elle faisait tout pour rendre ses enfants heureux, et elle courait dans tous les sens, tout le temps pour s'occuper de ses quatre enfant, n'ayant que 6 ans d'écart, entre la plus vieille et le plus jeune. À 37 ans, elle se disait comblée car elle avait toujours voulu avoir une grande famille, et elle l'avait, oui, 4 enfants, c'est bien une grande famille. Et c'est pas toujours facile à gérer, quand des enfants comme Juliet, et Loris font partis du lot. Ils avaient ni l'un ni l'autre un caractère facile, mais jamais ni l'un ni l'autre ne le reconnaîtra.
« Loris ! » Loris leva alors la tête vers sa sœur. Punaise ! Qu'est-ce qu'elle pouvait le barber avec sa leçon de moral ! Non, jamais il n'aurait du emprunter la voiture de son père, et aller faire un tour avec. Il avait compris, ça faisait trois quart d'heure que Dylan le lui rabâchait ! Mais, la voiture allait bien, Loris aussi, et son père ne s'était rendu compte de rien : il n'y avait pas de quoi en faire un plat, et le regard exaspéré de Loris le montrait bien à sa sœur aînée. « Loris, tu dois te rendre compte que c'est grave. » « C'est bon, elle va bien la voiture ! » lança Loris coupant la parole à sa sœur. Une enfance si règlementée l'avait fait rapidement se rebeller quand les parents avaient le dos tourné, et rapidement quand ils ne l'avaient plus, mais Loris ne voulait qu'un peu d'attention de la part de son père, juste qu'il s'occupe un peu de lui. Mais, non, il n'avait rien. Son père se foutait complétement de lui, et sa mère, elle, elle était complétement dépassée par la situation, et cette dernière lui échappait tout le temps des mains.
« C'est pas seulement question de la voiture, Loris ! Tu te rends compte que tu aurais pu te tuer ! Tu as 14 ans ! Alors, fous pas ta vie en l'air ... » La jeune femme baissa les yeux, elle en avait marre de voir son frère ainsi, son petit frère qu'elle aimait tant, elle ne voulait que son bonheur, que ça, et là, elle ne faisait que lui empoisonné la vie, elle avait l'impression qu'il la détestait maintenant, pourtant ce n'était pas le cas, et heureusement qu'elle était là pour elle, et Quinn, et Juliet, heureusement qu'elles étaient là avec leur mère, parce que Loris avait vraiment besoin de quelqu'un en ce moment. Et puis, c'était loin d'être fini, non. Oui, mais vite son intérêt se tourna vers les jeunes filles, oui, vite il se trouva un grand intérêt pour les jeunes femmes naïves qui pouvaient vraiment croire qu'il s'intéressait une seconde à elles, pourtant, il s'en fichait : il recommençait autre part de toute manière, alors, même si elles partaient, même si elles le détestaient toute leur vie après, il s'en fichait, il était pas sûr de leur revoir un jour, ces filles ! Cela ne l'aidait pas vraiment à se sentir mieux, mais il continuait comme même, car comme ça, il pouvait ne plus trop y penser, enfin, c'était le but ...
« Je suis Alec, Alec Harper. » Loris rencontra Alec, lors d'un voyage linguistique en Irlande, il avait été envoyé par son père, comme d'habitude. Il l'avait envoyé dans un camp de vacances, pour se changer les idées après une longue année de cours, et de séchage de cours. Il avait 17 ans, et Alec en avait 15. Elle était exactement ce qu'il lui fallait, elle était jeune, séduisante, et largement assez influençable pour croire à ses belles paroles. Loris avait vite compris que Alec était une fille naïve, et qu'elle tomberait rapidement sous son charme, ce qu'elle fit, de toute évidence. Oui, comment elle aurait pu croire une seconde que Loris n'était pas des plus sincère gars qui existe. Rien n'avait pu lui prouver ça, alors, pourquoi aurait-elle chercher je sais pas où ? Non, à 15 ans, on ne pense pas une seconde que le gars de qui on est tombée amoureuse, ne fait que s'amuser avec soit. Non, Alec n'aurait pas pu y croire. Et pourtant ... Alec comblait un vide dans son cœur et dans sa tête : la solitude.
Sa relation avec la jeune femme ne changeait pas par rapport à celle qu'il avait déjà eu dans le passé avec d'autre jeune fille, à un point près : « Je dois te parler Loris ... C'est assez urgent, j'aimerai vraiment que tu lâches la piscine une dizaine de minutes Loris. » Loris hocha la tête sans être convaincu. Il sortit de la piscine, sans vraiment le vouloir. Il fut alors entraîné par la jeune à un endroit que seuls eux deux ne connaissaient. Arrivés là-bas, Alec se tourna, et semblait éviter le regard de Loris qui était posé sur elle. Elle soupira une bonne dizaine de fois avant de se jeter à l'eau : « Je suis enceinte. J'ai pu acheter un test avec Lily tout à l'heure, je l'ai fait et il est positif. Comme je ne pense pas que ce soit fiable à cent pour cent, j'en ai fait trois autres. Tous positifs. » finit par dire la jeune femme, avec un calme incroyable. Elle restait silencieuse, mais ce n'était pas Loris qui allait rompre le silence, il ne savait que dire, mais qu'est-ce qu'il devait dire, même lui n'en savait rien. « Dis quelque chose Loris. » Elle glissa alors rapidement ses deux mains dans celles de Loris. « Tu pars dans trois jours Alec, qu'est-ce que tu veux que je te dis ?! Tu sais ce qu'il te reste à faire. Je... Je préfère qu'on ne se croise plus jusqu'à ton départ. Alors... Adieu ?! » dit rapidement Loris, avant de lâcher la paire de main de la jeune femme. « Ah d'accord. Je dois gérer la situation toute seule, c'est ça ?! Ok. Profite bien du restant de tes vacances, tu as la conscience tranquille. J'espère juste qu'on ne sera plus JAMAIS amener à se croiser quelque part. » Loris s'en alla alors d'un côté et Alec de l'autre, sans jamais se revoir après. Loris ne sait pas ce qu'il en est, mais il n'a jamais chercher à savoir.
Loris est persuadé qu'il ne va plus jamais revoir Alec, mais on ne sait jamais ce que l'avenir nous prépare ...
Loris a beaucoup évolué depuis ses 17 ans, il a grandi dans sa tête, il a pu évolué. Il est devenu photographe, et c'est son job qui occupe le plus de temps dans sa vie, bien que passer des heures au téléphone avec ses sœurs fait aussi parti de sa vie, son travail passe en premier, et tout simplement parce que c'est la seule chose qui lui reste autre que sa famille qui créer peut à peut leur propre famille maintenant, et ses nombreuses conquête d'un soir. Oui, c'est malheureux, mais ce job est la vie de Loris. C'est pour ça qu'il a voulu quitter Canberra, faire une petite pose avec sa vie professionnelle pour le moment, mettre les choses à plat, visiter le monde, et peut-être trouver une dulcinée ...
♣ Can I ask you some questions ?
AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: « Je dirais que oui, oui. Je dirais que oui, c'est ça. Mais j'ai eu la mal chance de m'en rendre compte trop tard. C'est son absence, à cette fameuse fille, qui m'a fait me rendre compte que j'étais amoureux d'elle. Peut-être était-ce que de la nostalgie, ou une mauvaise conscience trop remplie, mais c'est bien la seule fois où j'ai été amoureux, de toute ma vie. C'est dans ces moments-là qu'on se demande si son cœur n'est pas fait de pierre ... Mais, je crois vraiment, que le bonheur peut toujours arriver. »
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: « Canberra me barbait, voilà pourquoi. Pourquoi Sydney vous allez me dire, et bien, j'en ai entendu beaucoup de bien, alors je me suis dit, "pourquoi pas ?". Me voilà donc. J'viens en touriste permanent. Je compte bien resté un petit bout de temps avant de repartir autre part, ou bien rester, on sait jamais ce que l'avenir nous prépare ! »
AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: « Mouais ... Pas très convaincant comme réponse, je sais. Mais, je vais pas me forcer à être hypocrite, disons, que ça me rapporte assez, et puis, c'est pas trop contraignant grâce à mon imagination, qui avait besoin de servir à quelque chose. Non, sérieusement, je me plains, mais j'aurais du mal à trouver mieux avec ma mémoire de poisson rouge, et mon intelligence de ver de terre ! »
Dernière édition par E. Loris Guirinec le Ven 24 Sep - 22:27, édité 7 fois |
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