| Sujet: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Sam 2 Oct - 23:19 | |
| © Misery Angel. LEROY, ANDREA LORIS ♣ 25 ans. feat. Mathias Lauridsen.
love always remains ♣ ♣ ÂGE : 25 ans. ♣ GROUPE : The Script. ♣ METIER/ETUDES : Chanteur dans un groupe de Rock. Acteur pour le temps d'un film. ♣ SITUATION AMOUREUSE : Célibataire. Enfin, vogue de conquête en conquête
| ♣ I'd like to make myself believe Je ne saurais trop dire ce que je faisais ici. Il y avait de la musique. Beaucoup de musique. Ça allait fort, je ne m'entendais même plus pensé. Il faisait chaud. L'air était suffocant il y avait de la famille, des centaines de voix qui se supposait dans un brouhaha continue qui me déplaisait fortement. Qu'est-ce que je faisais là bon sang ? Mes Ray Ban sur le nez, je m'allumais une clope en remarquant seulement maintenant qu'il y avait une fille sur mes genoux. Elle était plutôt jolie. De long cheveux lui tombaient en cascade dans le dos et elle avait une silhouette des plus svelte. Je ne me posais même plus la question de savoir ce que j'avais fait avant de m'endormir, ou plutôt de comaté. On va dire que je n'étais plus vraiment à ce stade. C'était fini les questions. Me retrouvé dans le lit d'une inconnue, ou dans le van qui nous servait de car de tourné avec des gens que j'avais jamais vu me paraissait désormais normal. Je n'avais pas réellement choisit ma vie. Enfin, qui la choisit dans le fond? Alors que je me grillais une clope je voyais un rail de coke tracé sur la table en bois qui se trouvait au milieu de la pièce où je me trouvais. Fixant cette belle merde j'avais tout compris sur ce qui c'était passé. Sur ce qui allait se passé. Toutefois, je le croyais; Mais sur le coup. Alors que je me grillais une clope comme bon fumeur que j'étais, je me rendais bien compte que ma vie ne m'avait jamais réellement appartenue. J'étais né dans le Vème arrondissement de parents tout deux de bonne famille, sans pour autant être bourré d'oseille. Alors j'ai fait que suivre la voie qui se trouvait face à moi. J'étais simplement un gamin sans problème. Moyen dans tous ce que j'entreprenais. L'école, le rangement, l'art. Rien ne m'allait. J'étais loin d'être parfait. Mais ça suffisait. J'étais un fils moyen, venant d'une famille moyenne, ayant une vie moyenne et étant destiné à finir oublié ou a jouir d'un coup du hasard qui lui permettra de se révéler et briller face au monde.
On peut dire que j'ai eu de la chance. Beaucoup de chance. Un déclic au bon moment, une envie irrépressible qui ne m'a pas lâché et par la suite un don. Voila ce qui m'a mené ici. Et maintenant. Maintenant que je commence à me faire reconnaître avec mon groupe. Je fou tout en l'air. Pourtant tout avait si bien commencé. Je m'en souviendrais toute ma vie. Ce jour qui a tout changé. Lorsque j'ai découvert en moi ce don pour la musique. Cette passion dévorante et irrépressible pour la guitare. J'avoue que sans mon professeur de musique ça n'aurait pu être pareille. J'avais de la chance. Des parents aimant. Qui était moyennement présent dans ma vie de moyen petit garçon. Ils m'offrirent une guitare, ne se doutant pas un seul instant que ce simple geste qui à l'époque leur semblait tout à fait anodin allait changé ma vie. J'étais doué, je le suis encore aujourd'hui. On me décrit souvent comme un garçon talentueux. Enfermé dans sa coquille. Un artiste écorché qui avec sa voix brisé faisait ressentir des choses indescriptibles. Les critiques sont plutôt sympa avec moi. Ils jugent mon image mais laissent l'homme qu'il y a à l'intérieure. Il laisse tranquille l'enfant apeuré qui aurait aimé retrouver ses parents et le cocon protecteur d'entant. Sur le net on peut voir partout que j'ai appris à jouer de la guitare à 8 ans. Que je n'ai jamais cessé depuis lors et que ce fût à mes 15 ans que je me suis rendu compte que j'avais une voix qui s'accordait bien avec le style musical que je jouais. A l'époque j'étais encore timide. Je n'étais pas Andréa le chanteur et leader d'un groupe qui commençait à se faire connaître un peu partout. J'étais juste Andréa Leroy. Le gars timide du quartier qui ne se rendait pas compte de son talent et qui avait encore un peu de mal à s'affirmer. Un peu gauche et attachant par sa façon de toujours s'emmêler les pinceaux. Ma vie fût pareille à un long fleuve tranquille. J'ai continué l'école jusqu'à l'obtention de mon bac sur Paris sans jamais ne pensé à autre chose que la musique. J'étais un adolescent normal. Seulement, dès lors que je me trouvais face à un micro, dès lors que je laissais mes émotions guidé mon coeur et ma voix, je me trouvais être différent. J'étais quelqu'un d'autre. Deux part d'une seule et même personne. Une star né et un gars dépravé. Perdu dans une jeunesse qui ne savait plus où allé. Je le suis encore aujourd'hui. Malgré les années qui ont passé pourtant.
A l'époque je me prenais pour un caïd. Un vrai rebel. Je fumais une clope et à mes yeux j'avais défié le monde. J'étais jeune. Inconscient. Troublé et je ne désirais que me trouvé alors que j'étais perdu je ne savais pas trop bien où. Mais lorsque je me vois ici. Face à ce rail, en train d'hésité quant à savoir si j'allais encore me l'envoyer, ou si j'allais refuser pour une fois. Me reprendre en main. Recommencer à avoir des projets et m'améliorer comme lorsque j'étais adolescent. Lorsque je pense ça. Que je m'imagine face à cette merde en train d'hésité. Je me rends compte comme les choses peuvent changé rapidement. J'aurais aimé croire que je pouvais y arriver. Refuser et tout changé. Cependant, je savais que c'était joué d'avance. Je savais que j'allais finir par craquer, me pencher et me rouler un billet. Je le savais déjà. Je connaissais bien la nature humaine. Je connaissais bien ma nature, celle-ci même propice à l'autodestruction. J'étais de ces artistes écorché vif et à fleur de peau qui d'un souffle de vent pouvaient se retrouvé brisé. A chaque prestation que je faisais, je me retrouvais à nu face au public. Incapable de caché au monde cette pudeur maladive qui me caractérisait pourtant. Mais malgré cela, j'arrivais à jouer mon jeu. J'arrivais à paraître sur de moi. Confiant là où j'étais au bord de la crise cardiaque a tremblé de terreur face à ces millions de regard braqué sur moi. Seulement, je ne trouvais plus jamais cette fébrilité que j'avais éprouver face à elle un soir d'été alors qu'à cappella je me lançais. Je lui chantais une chanson avec les étoiles pour seule spectateur. J'avais peur du public. Peur du monde, peur de moi. Mais surtout je tremblais d'effroi face à ses yeux qui me mettaient dans tout mes états.
Le monde autour de moi me parvenait par son étouffé. Je ne savais toujours pas ce que je faisais ici. J'étais assis. Prostré et muré dans mon silence alors que je repensais à ma vie. Ce qui m'avait mené à cet instant. Ce choix que je savais d'avance qu'il allait être mauvais. Je repensais à mes débuts dans la musique. Lorsque dans la déch" la plus total moi et les autres membres groupe on passait de village en village essayait de faire salles pleine alors que personne ne nous connaissait. Je me souviens de ma réputation de briseur de coeur qu'on m'avait collé a tord alors qu'a chaque histoire de coeur je mettais un holà ne désirant pas avoir à affronté la réalité. Je n'ai jamais été du genre à m'amuser avec les filles. Je n'ai jamais promis la lune alors que je savais que je ne pouvais l'atteindre. J'ai toujours tenté de rester dans les limites du raisonnable. Je n'ai jamais promis l'amour fou, la passion dévorante et les nuits blanche là où il n'y aurait que quelques baisers échangé avant de se partager des regrets. Redescendant sur terre, je savais que si je continuais sur ma lancé j'allais repenser au pire. J'allais raviver la douleur et me faire du mal pour rien. Je le savais pourtant je ne pouvais m'empêcher d'y repenser. De repenser à cet été simplement inoubliable. Je ne l'avais tout d'abord pas remarqué. Je me souviens encore de la saveur de mon verre de whisky alors qu'elle me demandait si j'étais bien l'Andréa du groupe "The Shallow Heart". On a commencé à parlé. Elle disait être fan. Ça m'avait fait plaisir. Oui, c'était plaisant de savoir que des personnes aimaient mon boulot. On s'est mis à parlé sans plus, je devais avouer qu'elle ne me tapait pas encore trop dans l'oeil. Seulement, lorsqu'elle entonna une des chansons que j'avais écrite et composé seule de A à Z. La chantant sans se tromper sur aucune des paroles, les yeux clos, la bouche à peine entrouverte afin de laisser s'échapper les précieuses notes. Je ne pouvais qu'être éblouie. Je ne pouvais que céder. Je ne pouvais que la désirer. Je la regardais comme on fixe cette chose innommable et indescriptible qui d'un sourire arrivait à vous rendre vivant. Ça n'avait duré que trois minutes. Trois minutes de guitare, trois minutes de sa voix emplissant tout mon espace vital. Pourtant aujourd'hui encore, alors que j'y repense. Je me retrouve comme un con à frissonner. Elle m'avait atteint. Atteint là ou personne n'avait jamais réussit à m'atteindre. J'étais troublé. Impressionné, je l'adulais. Je l'adulais de savoir faire naître en moi ce que personne d'autre n'avait réussit avant elle. Je n'avais pu resté là. Je n'avais pu la laisser ainsi entouré du reste du monde. Tel le propriétaire d'un objet d'une valeur inestimable, je voulais la gardé pour moi. Je voulais à jamais qu'elle m'appartienne, que personne ne puisse en profiter sauf moi. C'était ma Fleur, ma petite fleur sacrée que je devais à jamais conserver. D'un même élan on s'est juste dirigé vers la sortie. Empli de ce même besoin, de cette même urgence qui vous prend à la gorge et vous fait comprendre que vous devez fuir les yeux du monde. Ce fût deux mois et demi parfait. En tout points. En tout instant. J'avais l'impression de renaître dans ses yeux. D'être l'Andréa qui montait sur scène et vivait. Je me sentais vivant comme je ne l'avais jamais été, tout cela grâce à son regard, son sourire. Tout cela grâce à elle.
On passait nos nuits à refaire le monde. Je m'éprenais d'elle un peu plus chaque jours. Sentant se nouer autour de mon cou une chaîne que je n'aurais voulu briser pour rien au monde. Je tenais à elle. Je tenais à elle plus qu'à moi même. Pourtant tout ça a disparu. Le bonheur, les nuits blanches passé dans ses bras, les matins passé à se prélasser au lit m'enivrant de sa fragrance. Tout disparu avec cette saveur amer que laisse le regret. Je me souviens très bien de mon dernier concert. De la fête qui s'en suivit en back stage. On avait bien rigolé. On avait bien cartonné et partit comme c'était partit avec le groupe on était quasiment certain que dans les quelques mois qui allaient suivre on allait décollé. Seulement, je n'étais pas sur de vouloir partit. Je ne voulais pas de Paris si c'était pour perdre ma Fleur. Je ne voulais pas de mon ancienne vie si je ne trouvais rien pour continuer à me faire vivre. Cependant, je me fis avoir. J'avais trop bu, j'avais fumé à ne plus pouvoir, usant un nombre astronomique de paquets de clopes. Mais je m'en fichais, on était bien là. On riait tous. Puis je me suis endormi. Le lendemain matin j'étais dans le van direction Paris. Je ne m'étais rendu compte de rien. Je n'avais pas pu lui dire au revoir et voila que les autres membres du groupes avait supprimer son numéro. J'étais seule. A nouveau à souffrir en silence. Je redevins le gars d'avant. Celui qui ne souriait qu'en de rare occasion. Celui qui collait plus à l'image de star. Cette image qui semble si parfaite mais dés lors qu'on gratte sous la surface, qu'on voit se briser petit à petit...
N'en pouvant plus je tirais un peu sur le col de mon t-shirt déformé et je me penchais afin de sniffer. Je savais bien que j'allais y passer. Je savais bien que je ne pourrais pas m'en empêcher. Ça faisait si mal. Tellement mal d'y repenser. Alors je me soignais comme je pouvais. J'embrumais mes sensations afin de ne plus comprendre. De ne pas me rendre compte. C'était tellement bon. Ça faisait tellement bien, ça faisait si mal. Tirant tout les rails qui se trouvait sur la table je me retrouvais dans un état pitoyable. Je repensais à tout ce qui m'étais arrivé désormais depuis son absence. Les contrats, le film. Et sans en connaître la raison je me mis à rire. Juste pour le plaisir. Pour me dire que je pouvais le faire. Que je riais à la face du monde. On m'avait abattu, j'étais ballotté d'endroit en endroit sans retrouvé cette éclat. Cette flamme au milieu de la nuit qui pourrait m'aider. Je courrais dans les rues, je traversais des nuits blanche. Je voyais des villages dépeuplé et je me sentais plus mort que vivant. Pied nu dans ce monde qui ne m'acceptait pas. Je m'en fichais. Je m'en fichais. Bon sang je ne m'en fichais pas. J'avais envie d'hurler. Tout retourné. Ce que j'allais faire. J'allais le faire. Je poussais la jeune femme qui était toujours assise sur mes genoux la laissant s'échouer lamentablement sur le divan sans dignité aucune avant de me lever. Mes deux mains tenant la table j'allais la renverser lorsque quelqu'un posa sa main sur mon épaule. Me tournant pour le regarder je remarquais que c'était Guillaume. Le batteur. De sa voix calme et grave il me dit : "C'est à nous, faut monté sur scène gars." Sur le coup je ne su pas ce qui m'énerva le plus. Le fait qu'il soit si calme ou que je doive monté sur scène alors que je n'en avais pas envie. D'un coup d'épaule j'arrivais à faire tomber sa main qui se trouvait là et je me reculais pour sortir des back stage. Je n'avais pas envie de monter. Pas envie de chanter. J'avais envie de rien. Je voulais déprimer dans mon coin. J'en pouvais plus de cette vie. De faire semblant que tout allait bien car j'étais adulte. C'est alors qu'il croisa mon regard et qu'un autre membre arriva : "Bordel Andréa t'es encore défoncé !? Mais t'es con ma parole, on doit monté dans dix minutes." "Lâché moi les gars, j'en ai rien à foutre!" " Tu va pas briser tous ce qu'on a fait parce que t'as toujours pas digéré qu'on t'ai séparé de ta minette." Je n'en revenais pas. Je n'arrivais même pas à formuler une phrase tant la rage me bloquait la gorge. Je l'attrapais par le col le plaquant contre un mur sans ménagement : "Tu te fou de ma gueule ou quoi ? Tu sais très bien ce que c'était gars! Et tu sais très bien ce que t'as fait. Tu pensais peut-être que c'était pour notre bien, mais tu t'es gourré... ". Guillaume nous sépara calmement sans même paraître troublé avant de reprendre : "De toute manière après ce soir tout va changer. On s'envole pour l'Australie. Tu fais ton film et on reprend tout à zéro. Il est temps de prendre un nouveau départ. Tu ne crois pas Andréa ? "
Un nouveau départ ? Comment savoir ?
♣ Can I ask you some questions ?
AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: Oui. Non. J'en sais rien. L'amour ça existe pas de toute manière ! On tombe pas amoureux. On tombe juste en pièce. Dès lors qu'on croise le regard de cette fille. Qu'on voit ses cheveux brun légèrement bouclé et son sourire qui vous fait fondre. Je suis pas tombé amoureux. Elle m'a fait tombé de mon piédestal. Elle m'a poussé" jusqu'au ravin en prenant bien soin de m'y voir tombé. Ouais je suis tombé amoureux, je suis tombé en pièce. Mille et un morceau que je tente de recoller. L'amour c'est la souffrance. Aimer, c'est souffrir. Souffrir c'est donc aimer. Pourtant je n'aime pas souffrir. Donc je n'aime pas aimer. Je n'ai jamais aimer ça. Et je ne l'aimerais plus jamais. POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: J'ai reçu un script un jour chez moi. On va dire qu'avec ma profession ça ne colle pas réellement. Mais le script était plutôt plaisant à lire. L'histoire, bien qu'un peu trop à l'eau de rose à mon goût, était vraiment bien écrit. J'ai donc accepté le projet et j'ai signé pour six mois de tournage en Australie. Et voila que j'ai prit un avion. J'ai tout quitté et je me retrouve à tourné un film alors que je ne m'y connais absolument pas en jeu d'acteur. Enfin, je joue quasiment mon propre rôle, donc ça va. AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: La musique c'est toute ma vie. Je joue avec des personnes sur qui je peux compter et qui comptent sur moi. Être sur la scène, ça signifie retourné à la maison à mes yeux. Dans ces court moment je me retrouve plus vivant que je ne le suis jamais en autre instant. C'est toute ma vie et j'aime ça. Quant au cinéma. Je trouve qu'il est épanouissant de passé des journées à essayé d'être quelqu'un d'autre. Je découvre un nouveau point de vue qui m'est tout à fait différent.
| TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ ♣ NOM ET/OU PSEUDO : Chef-Kiwii ♣ AGE : 15 ♣ RÉGION : Belgique, du côté germanophone ♣ FILLE OU GARÇON : F ♣ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Il est trop bien j’ai pas pu résister >< ♣ ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Par un lien qui m’a mené à un lien qui m’a mené à un autre lien… ♣ AUTRES : |
Dernière édition par Andréa L. Leroy le Dim 3 Oct - 1:28, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Sam 2 Oct - 23:23 | |
| Bienvenue sur le forum Bonne Continuation pour ta fiche |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Sam 2 Oct - 23:29 | |
| Mon Dieu, Fleur va être vraiment contente. Elle l'attendait, son homme ! Merci beaucoup de ton inscription et bonne chance pour ta fiche, mais surtout :
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE SUR LAR !
Je te réserve Mathias, c'est un excellent choix d'ailleurs. |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Sam 2 Oct - 23:33 | |
| Merchiiiiiii Enfin quand j'ai lu le scéna j'ai même pas tenté de faire genre je vais résisté il gère juste trop la fougère |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Sam 2 Oct - 23:44 | |
| Han merdouille je viens de faire un scéna avec Matthias --' Bon ... bah ... Bienvenue quand même --' xD Et bonne chance pour ta fiche (aa) |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Sam 2 Oct - 23:56 | |
| Bienvenue sur le forum ! Mathias est un super bon choix |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 1:19 | |
| Bienvenue parmi nouuuuuus (: Mathias Bonne continuation pour ta fiche ! |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 1:29 | |
| Je pense pouvoir dire que j'ai terminé ma fiche. En espérant que ça sera suffisant
Merci Jake ^^ |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 2:07 | |
| Ta fiche me semble amplement suffisante pour être validée, cependant je vais d'abord laisser Fleur confirmer tout ça et nous dire si tout convient à son scénario (: mais pour moi, tout est bon (; |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 2:13 | |
| Merci Jake ^^ Bah j'espère que ça va lui plaire |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 9:49 | |
| Bienvenuuuuuuuuuuuue |
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Jemma ClifftJEMMY ♈ it takes my pain away, it's a lie, a kiss with opened eyes.
◮ messages : 3659 ◮ date d'inscription : 30/01/2010 ◮ envie : toffifee - nuts - coffee - lemon tart - eliot - caramel - cigarettes.
◮ copyrights : Aurélie, lj. ◮ pseudo : Shivery.
| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 11:17 | |
| Bienvenue parmi nous. |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 20:51 | |
| C'est ... parfait Just amazing. |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 21:01 | |
| Oh tu aime >.< |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again Dim 3 Oct - 22:10 | |
| JE TE VALIDE. |
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| Sujet: Re: Andréa~Before our hearts decide it's time to love again | |
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