â g e 24 yo g r o u p e kaponz & spinoza m é t i e r / é t u d e s musicien des Velvet Gangsters et enchaîne les petits boulots comme garçon de café et livreur de pizza. s i t u a t i o n a m o u r e u s e un libertin à qui on a dérobé le coeur, si vous le retrouvez, veuillez le contacter au ... -c'est pas meetic ici, djazz, tu sors-
Le New Item Weekly pour toi c'est... quelque chose de flou [] un journal dont tu ne manquerais pas un seul article [] un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça [x] un journal dans lequel tu écrirais volontiers un article []
Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique... vie quotidienne [] sport [] cinéma[x] meurtres et enquêtes policières [] politique de quartier [] musique [x] mode [] autre []
Si tu devais rajouter une rubrique ça serait... Les petites annonces parce qu'on peut toujours y dénicher des choses rares et étranges.
track one ► TWO PERSONS IN THE WORLD. AND THAT'S ALL . ♫
« Bow' , il faut qu'on ait une discussion d'hommes à hommes. Je suis sérieux » « Je le sens mal. » souffla mon frère jumeau. Taquin, je tapotais le fauteuil près du mien, tout en insistant du regard pour qu'il suive la direction que je lui indiquais. Il me regarda un instant, croyant que je plaisantais puis sans grande conviction, s'affala sur le siège à mes côtés. La situation était cocasse, on aurait dit le début d'une discussion père/fils sur la contraception et la sexualité où bien sûr, je jouais le rôle du mentor expérimenté bien qu'en réalité, Clyde était l'aîné. De quelques minutes seulement, ma mère avait eu du mal à m'expulser et il lui fallait une pause. Il faut dire que depuis treize ans, nous étions nos propres parents puisque lors de notre onzième année, la vie a décidé de nous faire orphelins de père et de mère. Un accident de voiture, dix secondes d'inattention et ils n'étaient tous deux plus là. Par la suite, nous avons été placé chez un oncle avec qui nous avons déménagé en Australie mais nous avons fait notre éducation quasiment tout seul et je crois que ce fut un échec cuisant ou du moins un demi, puisque Clyde est devenu le poète torturé du coin alors que je suis le vilain garçon qui n'aime pas l'autorité. Les jumeaux maudits.
« Donc » reprenais-je, « t'es sur que le bébé de Siohban est le tien ? Je dis pas qu'elle couche n'importe où avec n'importe qui mais on ne sait jamais ». Il me considéra, une pointe d'agacement dans les yeux puis grogna : « Bien sûr que je suis sur, elle n'est pas du genre à vouloir me tromper ». Un ange passe, j'attrape une cigarette et l'allume, puis tirant une première bouffée, dit finalement : « Merde, je vais être tonton. » Je me mis à rire nerveusement. « Je crois que je suis pas prêt, émotionnellement je veux dire. Gérer les cacas surprises, les 'Tonton, je veux çaa et ça aussiiii !", les anniversaires que je vais oublier ... Je suis dans la mouise. ». Bowee me balança un coussin en pleine tête et se mit à rire à grands éclats « C'est pas toi qui va devenir père, je te signale ! T'auras qu'à être 'le méchant oncle pas beau qui pue et qui boit, et que personne n'aime' . Tu sais, comme Oncle Maurice. ». Je lui relançais le coussin, faisant tomber quelques objets en même temps « Au fait, je t'ai pas dis, y a Ster... Attends quoi, tu me compares à l'oncle Maurice ? ». Je me préparais à lui envoyer ce qui me passait sous la main en pleine pire quand on entendit toquer derrière-nous. Sterling se tenait dans l'entrebâillement de mon salon.
« Je vous dérange ? » murmura-t-elle nerveuse. Un échange de regard silencieux eut lieu entre ma meilleure amie et mon frère, un échange de quelques millisecondes mais tellement chargée en tension étrange que mes cheveux devenaient statiques. « Non, c'est bon j'allais partir de toute façon ! » répondit le-dit frère, il ajouta, avec hésitation : « Siobhan a rendez-vous avec son docteur ». Nous acquiesçons silencieusement tandis que Clyde se hâta de prendre congé, il nous salua une dernière fois puis claqua la porte.
Siohban était ma meilleure amie et étrangement, la seule personne en qui j'avais confiance, véritablement confiance. La seule personne sur terre qui connaissait le moindre de mes secrets et les méandres de mes pensées. Même mon frère n'était pas sur de me connaître réellement malgré nos codes génétiques identiques.
« C'était embarrassant ! » « De quoi tu parles ? » répondit-elle, le rouge aux joues. « Y a de l'amour dans l'air » chantonnais-je comme un gamin. « Sterly aime Bowee, Sterly aime Bowee. » « Et avec Ruby (cf : track two), c'en est où ? Au point mort comme d'habitude ? Pas de cartes postales, ni de nouvelles depuis un an ? » siffla-t-elle, un peu piquée au vif. « Ça, c'était bas. » « Excuse-moi, je ne le pensais pas. » « Y a pas de mal. N'empêche, j'arrive toujours pas à croire que tu sois tombée raide dingue de mon frère, il est tellement ... lui quoi ! Les mecs torturés font tourner la tête des jolies filles » « Et si tu savais comme je m'en veux ! Il sort avec ma meilleure amie, qui est enceinte de lui et qui a une totale confiance en moi. Je ne peux pas leur faire ça, ni à elle, ni à lui ... ni au bébé. ». Elle avait finit sa phrase dans un sanglot et je la pris dans mes bras pour la réconforter. J'aurais aimé lui dire qu'il y avait de fortes chances qu'elle et Clyde se mettent ensemble, mais s'ils avaient un enfant ensemble, c'était peine perdue. Il avait beau faire des choix étranges, mon frère tenait ses engagements au pied de la lettre. « Je suis là, darling. Et au pire tu m'épouseras pour être à jamais proche de lui » Ma blague n'était pas drôle mais elle eut le don de lui arracher un sourire, elle me donna un petit coup puis se blottit dans mes bras doucement.
Dernière édition par Djazz E. Howgart le Dim 28 Mar - 2:03, édité 10 fois
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 19:35
(c) Misery angel
track two ► TRIBUTE FOR A BROKEN HEART. ♫
two years ago.
« Ruby, chante. Chante pour moi. », elle leva ses yeux bleu pâle de la partition et les jetèrent en ma direction. Ses doigts se stoppèrent au-dessus des touches du piano à queue noir et laqué qui faisait frétiller encore une douce mélodie se mourant en un decrescendo magnifique. Elle fronça ses sourcils, incrédule et hocha la tête. « Je ne pense pas que ce soit possible, je chante comme un pied, vous le savez bien ». Sa remarque m'arracha un sourire et finissant d'essuyer les dernières échoppes de bière de la journée, je pris place à une table, face à l'estrade où l'instrument et la brune reposaient. « Et le mensonge est une de vos plus grandes tares, milady. Je vous ai vu jouer à maintes reprises, chaque vendredi à vingt heures, depuis deux mois déjà. ». Elle fit mine d'être surprise, tournant une nouvelle page de son cahier : « Oh ! et aurais-je affaire à faire à un fan ? Vous n'envisagez tout de même pas de m'enfermer pour assouvir de quelconques fantasmes inavoués, j'espère ?», ses doigts se reposèrent doucement sur les touches fragiles et les notes naquirent, rythmant notre conversation. « Chante au lieu de faire l'idiote. » lui répondis-je, amusé.
Qu'on cesse nos conversations fugaces, oui, plus un mot, une parole ou un geste inutiles, juste elle, sa voix et sa musique. Elles avaient une de ces vertus analgésiques, mieux que la plus planante des substances illicites. Ruby, son prénom ne cessait de tournoyer dans ma tête comme le refrain des Kaiser Chiefs, oui Ruby, elle n'était pas comme les autres minettes insignifiantes. Je la voyais réellement, la considérait comme une personne et non pas comme une conquête passagère. Elle est arrivée dans ma vie comme une tempête dévastatrice, un chauffard bourré au volant de sa voiture, une claque monumentale sur mon visage de petit musicien suffisant à la c*n. Renversante et irrésistible. Je ne m'y attendais pas, je ne l'attendais pas et pourtant, il m'est impossible aujourd'hui de m'en détacher comme si tout désormais me ramenait à elle, me rattachait à elle. Elle avait passé la porte du café l'hiver de 2008, les cheveux et les vêtements plein de neige. Le patron cherchait des musiciens qui voulaient se produire pour quelques dizaines de dollars mais il s'est foutu d'elle avec son mètre cinquante et sa guitare désaccordée. Ruby ne s'était pas laissé démonter, elle est montée sur l'estrade et a commencé à jouer, et moi, de l'autre côté, je servais les clients durant mon service du soir. A à la minute où ses doigts s'étaient posés sur les cordes et que sa voix s'était élevée transportée par l'excellente acoustique de la salle, j'étais comme paralysé. En transe. Subjugué. Ce soir-là, elle avait remporté plus de pourboires que l'ensemble des serveurs et l'hypocrite de gérant l'avait même félicitée en lui priant de revenir la prochaine fois. Par de grands gestes, je l'avais appelé au boire et sommé de boire quelque chose en ma compagnie, une fois mon service fini. Je lui avais payé un verre et nous avions commencé à discuter. Et c'est là que le mécanisme s'emballe.
a year ago.
« J'en peux plus Djazz. J'en ai assez de tout ça, OK ? » elle s'extirpa des draps et se rhabilla avec précipitation. J'avais merdé, encore une fois mais cette fois-ci, j'avais dépassé les limites. Je la rattrapai avant qu'elle ne puisse sortir de la chambre, une chaussure en moins, la chemise boutonnée une fois sur deux et les cheveux en bataille, puis passai mes bras autour de sa taille et stoppai sa course. Elle se débattit un instant mais j'avais assez de force qu'elle pour que finalement, elle abandonne. Elle se mit à sangloter, s'abandonnant dans mon étreinte et je me sentis comme le pire des salauds. « Je ne pense pas pouvoir continuer ainsi, je n'ai plus l'énergie, ni la force de me battre vainement Djazz, j'en ai fini avec tout ça. » « Ça ? Que veux-tu dire exactement ? » « De toutes ces barrières, ce château fort entre nous ! Marre de passer des nuits blanches à attendre que tu m'appelles, appel promis mais que tu ne passes finalement pas, marre d'entendre par la commère du coin que tu dragues chacune des clientes pour flatter ton égo alors que tu tabasses chaque mec m'approchant, marre de te voir déserter le au petit matin quand j'ai envie de me blottir dans mes bras. J'en ai assez de ton air condescendant, de ta gueule de jeune premier, de ta voix qui me fait frémir, de ta lâcheté, de nos adieux, de nos disputes et surtout de tes "je t'aime" à demi mot. Tu ne m'as jamais dit que tu m'aimais, que tu tenais à moi, que je te manquerais si je m'exilais au Kilimandjaro. Et quand il y a une minute à peine, je t'ai demandé si tu m'aimais, une nouvelle fois encore, tu as fui. » Elle renifla bruyamment, le dos tourné. Je ne savais que répondre. J'étais con, oui, et tout ce qu'elle avait dit était vrai, j'étais lâche, égoïste et je me voilais la face depuis le début. Je l'aimais, c'était évident mais j'avais bien trop de fierté ou j'étais effrayé à l'idée de lui dire et pourtant, l'envie de lui décrocher la lune, de lui chanter la sérénade était là, bel et bien là. « Il y a bien une raison pour que je te demande ça aujourd'hui et spécialement ce jour : je m'en vais pour un an Djazz. Je fais la première partie des Red Winkles, tu dois les connaître. » Elle se tourna et me fit face, puis plongeant ses yeux embués dans les miens, elle me dit : « Dis-le moi avant que je parte, demande-moi de t'attendre et promet moi d'être là à mon retour. Aime moi. » Un long silence s'installa entre nous, j'ouvris la bouche pour parler mais aucun son ne s'échappait. Je voulais lui crier 'reste parce que mon coeur va exploser sans toi, je t'aime comme je n'ai jamais aimé personne' mais rien. Le néant. « Excuse-moi » soufflais-je, doucement. Je plongeais mon visage dans sa chevelure et expira son odeur si apaisante pour la graver dans ma mémoire. J'embrassais son cou délicatement, j'en étais fou mais j'étais follement fier pour le lui avouer. Elle s'écarta violemment, récupéra son autre chaussure puis dans un dernier regard, lança : « Au revoir, Djazz, j'aurais au moins voulu que tu me souhaites bon voyage. »
TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ NOM ET/OU PSEUDO : Caroline AGE : 17 ans RÉGION : France (49) FILLE OU GARÇON : F QUE PENSES-TU DU FORUM : Il est vraiment magnifique, un plaisir à regarder et on voit combien les administratifs s'y sont investies. Bravo ETTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Bazzart surement (a)
Dernière édition par Djazz E. Howgart le Sam 27 Mar - 22:04, édité 4 fois
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 19:36
Luke welcome ^^
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 19:36
LUKEEE le magnifique ton prénom £ ton vava j'adore bienvenue amuse toi bien
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 19:37
Bienvenue.
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 19:40
Merci les filles vous êtes rapides que de merveilleux chois d'ava'
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 19:41
Bienvenue
Jane Rosebury
SKYDEN ☂ it's difficult to love me.
◮ messages : 1582 ◮ date d'inscription : 30/01/2010 ◮ occupation : SERVEUSE DANS UN STARBUCKS, BIENTOT SECRETAIRE CHEZ UN NOTAIRE ◮ envie : DE NE PLUS AVOIR LE COEUR BRISE ?
Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 20:29
DJJJJJJJJAZZZZZZZZZZ calmez-vous les filles, il est à moi ou pas ... merci encore d'avoir pris le scénario ! c'est le must d'avoir Luke en meilleur ami quand même ...
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 20:33
Luke Bienvenue
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Sam 27 Mar - 20:47
Djazz E. Howgart a écrit:
Merci beaucoup vous quatre aux ava' orgasmiques Palmer darling, finis ta phrase
j'aurais aimé mais y a des jeunes ici je veux pas heurter leur sensibilité.
Jemma Clifft
JEMMY ♈ it takes my pain away, it's a lie, a kiss with opened eyes.
Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Dim 28 Mar - 1:56
Djazz E. Howgart a écrit:
« Donc » reprenais-je, « t'es sur que le bébé de Siohban est le tien ? Je dis pas qu'elle couche n'importe où mais on sait jamais ». Il me considéra, une pointe d'agacement dans les yeux puis grogna : « Bien sûr que je suis sur, elle n'est pas du genre à vouloir me tromper ». Un ange passe, j'attrape une cigarette et l'allume, puis tirant une première bouffée, dit finalement « Merde, je vais être tonton. » Je me mis à rire nerveusement. « Je crois que je suis pas près, émotionnellement je veux dire. Gérer les cacas surprises, les 'Tonton, je veux çaa et ça aussiiii !", les anniversaires que je vais oublier ... Je suis dans la mouise. ». Bowee me balança un coussin en pleine tête et se mit à rire à grand éclats « C'est pas toi qui va devenir père, je te signale ! T'auras qu'à être 'le méchant oncle pas beau qui pue et qui boit, et que personne n'aime' . Tu sais, comme Oncle Maurice. ». Je lui relançais, faisant tomber quelques objets en même temps « Au fait, je t'ai pas dis, y a Ster... Attends quoi, tu me compares à l'oncle Maurice ? ». Je me préparais à envoyer ce qui me passait sous la main sur lui quand on entendit toquer derrière-nous. Sterling se tenait dans l'entrebâillement de mon salon.
j'ai rigolé toute seule pendant cinq minutes
ta fiche est superbe vraiment je te valide avec plaisir (:
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Dim 28 Mar - 1:58
Sterling H. Ellysson a écrit:
Djazz E. Howgart a écrit:
« Donc » reprenais-je, « t'es sur que le bébé de Siohban est le tien ? Je dis pas qu'elle couche n'importe où mais on sait jamais ». Il me considéra, une pointe d'agacement dans les yeux puis grogna : « Bien sûr que je suis sur, elle n'est pas du genre à vouloir me tromper ». Un ange passe, j'attrape une cigarette et l'allume, puis tirant une première bouffée, dit finalement « Merde, je vais être tonton. » Je me mis à rire nerveusement. « Je crois que je suis pas près, émotionnellement je veux dire. Gérer les cacas surprises, les 'Tonton, je veux çaa et ça aussiiii !", les anniversaires que je vais oublier ... Je suis dans la mouise. ». Bowee me balança un coussin en pleine tête et se mit à rire à grand éclats « C'est pas toi qui va devenir père, je te signale ! T'auras qu'à être 'le méchant oncle pas beau qui pue et qui boit, et que personne n'aime' . Tu sais, comme Oncle Maurice. ». Je lui relançais, faisant tomber quelques objets en même temps « Au fait, je t'ai pas dis, y a Ster... Attends quoi, tu me compares à l'oncle Maurice ? ». Je me préparais à envoyer ce qui me passait sous la main sur lui quand on entendit toquer derrière-nous. Sterling se tenait dans l'entrebâillement de mon salon.
j'ai rigolé toute seule pendant cinq minutes
ta fiche est superbe vraiment je te valide avec plaisir (:
Je sais que vous avez dit pas de pas poster dans les fiches des autres quand on est pas validés, mais là... J'avais genre pas le choix! C'est quoi cette fiche de fous ! J'ai aussi rit pendant super longtemps en lisant ce passage !
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Sujet: Re: DJAZZ - « requiem for a dreamer » Dim 28 Mar - 2:00
Han vous êtes adorables Et ce sera encore pire qu'on on RPetera ensemble (j'ai fais des fautes par contre, faut que je corrige u__u) Merci beaucoup en tout cas Je suis validéééé
Love Always Remains
◮ messages : 470 ◮ date d'inscription : 30/01/2010