© chamallow.

Le New Item Weekly pour toi c'est...
quelque chose de flou []
un journal dont tu ne manquerais pas un seul article []
un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça [ x ]
un journal dans lequel tu écrirais volontiers un article []

Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique...
vie quotidienne []
sport []
cinéma[]
meurtres et enquêtes policières []
politique de quartier []
musique [ x ]
mode []
autre []

Si tu devais rajouter une rubrique ça serait...
Comment faire face aux couples en cas de manque de tendresse express?.

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TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ NOM ET/OU PSEUDO : Je m'apelle Malika et mon pseudo est soit Malicious, soit Gorgeous mali x) AGE : j'ai 22 ans x) RÉGION : Je suis québécoise, de GRANBY précisément ! FILLE OU GARÇON : Je suis une filleeee! QUE PENSES-TU DU FORUM : Oh comme il est beau <3 ETTTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : BAZZART POWA!

(c)chamallow


IF EVERYTHING HAVE
TO COME OUT WITH AN END,
I WILL CHANGE IT FOR ANOTHER ONE,
BE SURE.

Montana, USA. Tout le village était au parfum : la première fille des Woodbury allait naitre. QUELLE HEUREUSE NOUVELLE ! C'ÉTAIT LA FÊTE! N'avaient-ils donc rien d'autres à faire que de s'intéresser aux rebondissement amoureux d'une simple famille? Ma famille était aisée, plus qu’aisée même.Mon père, Jonathan , était propriétaire de plusieurs terres dans la région et au fils des années, mais surtout du travail de la sueur de son front, il parvint à accumuler quelques milliers de dollars, et une réputation d'homme d'affaire s'en suivit. Mon père était quelqu’un de travaillant, très ordonné, autoritaire, droit. Il avait du cœur au ventre et de l’ambition dans la tête, il avait un bel avenir devant lui et il en avait parfaitement conscience. Il était aimé de ses prochains et il n'hésitait jamais à aider, même s'il devait mettre tout ce qu'il adorait de côté, c'était quelque chose d'inné chez lui, un trait marquant de sa personnalité. C'était bien là ce que j'aimais de mon père. Quelques années suivant cette ascendance dans l’échelle de l’aristocratie, il rencontra ma mère, Elizabeth. Une femme de tête, un peu folle, libertine. Ce fut le coup de foudre pour les tourtereaux et les choses s’enchainèrent rapidement. Fiançailles, puis mariage, puis déménagement dans un coin paumé du pays, et pour finir enfin moi, la petite prodige des Woodbury, celle qui changea la donne,

« AIE MAMAN! ÇA FAIT MAL! » avais-je donc répliqué d’un ton audacieux pour le petit âge que j’avais. Cinq ans. Ô comme je redoutais à chaque fois ce moment de la journée, comme si c’était la fin du monde. C’est que tous les matins, devant la coiffeuse parfaitement rangée de ma petite chambre à l’aspect royal, ma mère me brossait les cheveux puis les remontait en chignon, cela pouvait sembler tout à fait anodin, mais elle tirait comme une folle sur ma chevelure de blé et je poussais des manifestations de rage à chaque hoquet de douleur. Mais rassurez-vous, ma mère était loin d’être imparfaite. Elle tenait tout simplement à ce que je sois présentable pour aller à l’école. Comme si mes beaux cheveux bouclés ne suffisaient pas à me faire paraitre à mon meilleur.. Enfin bref, c’était son idée et comme toute bonne fillette, j’écoutais ma mère comme si elle était le messie personnifié.Semblait-il que déjà à cet âge, ma beauté charmait les voisins. J’avais quelques souvenirs de ça, de vieux souvenirs qui remontaient un peu trop à mon goût. « Comme elle est magnifique votre petite Dawn, madame Woodbury, elle s’embellit avec les années » Ou bien.. « Il faudra la surveiller lorsque les hormones la travaillera, je suis sûre qu’elle en brisera des cœurs » Et à chaque fois, je me contentais de sourire à ces compliments, bien que j’avais également l’envie de lever les yeux au ciel. À force d’entendre en boucle les mêmes tournures de phrase, je finis par me lasser de toute cette attention portée à mon égard.Malheureusement, ma mère savait lire en moi comme si j’étais transparente, elle se contentait de me tapoter l’épaule doucement pour me remettre dans le bon chemin. L’envie irrésistible de lui tirer la langue se faisait ressentir, mais l’idée de subir son courroux la faisait disparaitre comme par magie.Après quelques années d'un mariage qui ne battait toujours pas de l'aile, ma mère s'était grandement assagie, jusqu'à en devenir autoritaire. Elle représentait tout ce que je n'aimais pas des gens et pourtant, pourtant, j'étais si proche d'elle. Elizabeth avait sa façon bien à elle de démontrer son amour, elle était protectrice et perfectionniste, mais aimante et tendre. Je ne peux dire que j'ai une enfance difficile, en fait. J'ai toujours obtenu tout ce dont je désirais, que ce soit en bien matériel ou en matière d'attention, je n'ai jamais été malheureuse en quoique ce soit. Mais au fils des ans, cette encadrement ne me plaisait plus. Il m'étouffait.

8 ANS. La petite école était vraiment un lieu magique! Enfin, je me plaisais bien à y croire! J'y avais un tas d'amis et vivais un tas d'aventures rocambolesques. Mon partenaire de folies? C'était mon meilleur copain , Emmett. Avec lui tout était si simple, malgré le fait que l'on ne vienne pas du même milieu. Et il m'avait tant appris. C'est d'ailleurs ce petit bonhomme qui démontra qu'il était possible de vivre une vie bien ficelée tout en lâchant son fou de temps à autres. Sans Emmett, je serais sûrement devenue une prostituée ou pire encore une junkie, Dieu sait combien l'emprise de mes parents sur ma vie avait eu le don de me démolir à petit feu. Mais le destin l'avait mis sur mon chemin et je remerciais cet être là-haut qu'on appelait le Tout-Puissant de l'avoir comme meilleur ami. Les années passèrent, firent sa trace et bien rapidement, cette douce amitié se révéla être plus forte que nature. Lui comme moi furent surpris de la tournure des choses. Nous avions 16 ans quand nous nous étions avoués notre amour respectif... et pour tout dire, nous filions le parfait bonheur malgré la désaprobation de mes parents dictateurs. Emmett avait vraiment tout été pour moi; un amant, un livre de vie, un confident , un amoureux mais avant tout un être qui m'était cher. C'était si simple avec lui, je pouvais faire ce que je voulais, commettre toutes les bêtises du monde, il était là pour m'appuyer, me conseiller parfois même, me consoler. Mais dieu semblait avoir d'autres plans pour moi, un diaporama sombre et obscur que je n'avais jamais vraiment désiré. Un beau jour, alors que j'attendais mon éternel ami à notre lieu de rencontre habituel; un banc situé en plein milieu du seul parc du petit village. Je l'avais attendu des heures durant, et l'inquiétude commençait à se faire ressentir. Et comme toute bonne femme, j'avais fait une prédiction de mauvaise augure. Quand je regardai ma montre pour une dernière fois , je poussai un long soupir enragé et me levai brusquement. Ma destination prochaine était sa maison. Je m'y dirigeai à pas précipités avec les mêmes pressentiments ressentis quelques minutes auparavant. Mon coeur battait la chamade , et j'avais du mal à avaler ma salive, ma gorge était atteinte de la sécheresse du Sahara...Mais quelle ne fut pas ma déception lorsque je constatai que la maison de mon amant était vide, morte d'un silence absolu.Je dus faire affront à la vérité inévitable : je devais retourner chez moi. De mon portable, je composai le numéro de la maison et demandai gentiment à mon père de venir m'y chercher. Quelques minutes plus tard, j'étais dans ma chambre à faire les cent pas, rongée par l'inquiétude, quand soudain la sonnerie de mon téléphone portable retentissait dans le silence de la pièce. Un geste rapide et j'avais déjà l'appareil en main.« Dawn, c'est Madame Hepburn... » La mère d'Emmett me parlait d'une voix troublée par le chagrin, je le ressentais à travers le combiné et mon coeur se serra à l'idée que quelque chose, quoique ce fut, soit arrivé à mon précieux ami. Le pressentiment ne m'avait pas lâché d'une semelle, après tout. Plus tard, je m'effondrai sur le sol de ma chambre en poussant un cri strident de douleur. Le temps s'était arrêté et ma vue se troubla de larmes salées qui ruisselaient allégrement sur mes joues de pêche. Alertés sans aucun doute par le bruit, ma mère et mon père montèrent à l'étage à pas furtifs, visiblement paniqués par ce qu'ils venaient d,entendre. Encore allongée sur le sol, je rassemblai toutes mes forces pour leur hurler desssus « LAISSEZ-MOI TRANQUILLE! LAISSEZ-MOI TRANQUILLE! » J'avais adopté la position d'un foetus, et me balançait de haut en bas , l'air lunatique. J'ÉTAIS SOUS LE CHOC.Mon monde venait de s'écrouler en l'espace d'un seul putain de jour.Mais mes parents ne bougèrent pas d'un centimètre, trop effrayés par mes réactions sans doute. Emmett était mort d'un accident de voiture. La nuit précédent sa soudaine absence , lui et un copain avaient bu et fait la fête. Un peu trop bourrés pour prendre les bonnes initiatives, ils avaient tous deux décidés de prendre la route, insouciants. Emmett avait été le passager, et le seul mort dans cette histoire. Ce con de première s'en était sorti indemne. Et mon coeur était meurtri à tout jamais. J'avais perdu ma muse ce jour-là...

Ayant beaucoup de mal à vivre sans mon roméo, je quittai définitivement les USA pour voyager vers l'inconnu, poussée par une rage quelconque, je ne savais pas du tout ce que j'allais devenir. Ma destination fut Sydney. Pourquoi Sydney ? Pour le soleil , les plages mais aussi parce qu'il fallait pas moins de 20h d'avion pour s'y rendre. JE VOULAIS être loin de tout, loin de tout le monde, qu'on me laisse seule, qu'on me laisse repartir à neuf.Et j'allais profiter de chaque moments de ma vie, quitte à en perdre la tête, parce que c'était ce qu'Emmett aurait voulu de son vivant, je le ressentais jusque dans ma chair. Alors, je m'inscrivis à l'université en art, me louai un appartement très modeste , et collectionnai les petits boulots. Le week-end, je me plaisais à faire la fête, à rentrer aux petites heures du matin. Je me donnais un mal fou pour profiter pleinement de ma liberté. Ne donnant aucune nouvelles à mes parents, ni à mes anciens amis, je menais une petite vie incognito, une vie douillette dans laquelle je me reconnaissais sans peine. C'était comme si mon ancienne vie s'était envolée quand Emmett est parti, enfin ce n'était pas " comme si " quand Emmett est parti, il a tout laisser derrière lui : joie, amour.... Et aujourd'hui je tente de me reconstruire tant bien que mal. J'ai parfaitement conscience que la route sera longue , puisque même après quatre années , je n'arrive pas à oublier le chagrin que m'a procuré son départ si rapide. Courage petite Dawn, car il ne faut jamais dire jamais...

Comment apprendre à revivre après la sensation d'être morte à tout jamais?

MY PERSONNALITY

20 ANS ● Americaine d'origine ● J'ai un mal fou à me lâcher ● Je sais toutefois boire avec vigueur, personne ne peut tolérer mieux l'alcool que moi ● Je suis quelqu'un de très fonceuse ● J'erre sans but précis dans la vie ● Je fais ce qui me tente et quand ça me tente ● Je suis folle de la musique, en particulier des paroles ● Je raffole de Rock, de punk et tout ce qui décoiffe ● Je suis jeune femme nerveuse de nature ● J'ai tendance à me fâcher pour un rien ● Je suis quelqu'un de très sentimental ● Je suis loyal envers mes proches ● Je suis attentionnée, en effet , j'y tiens ● Je suis accro à la littérature en tout genre, qu'elle soit moderne ou très ancienne ● Il m'arrive d'écrire des romans quand l'envie me prend ● Je ne pourrais jamais me passer de patisseries en tout genre ● J'ai débauché un job chez le disquaire du coin ● Je me sens encore coupable de la mort de mon meilleur ami Emmett ● Je n'ai jamais oublié ce dernier et encore aujourd'hui, j'ai du mal à accepter son départ ● Je n'ai jamais aimé quelqu'un sinon Emmett ● Je ne sais pas absolument pas comment séduire un homme ● Je suis affreusement maladroite ● Je porte un tatouage de cygne dans le bas de mon dos ● Je rêve d'un prince charmant ● J'adore mon cursus à l'université ● je suis plutôt du type introverti, excepté lorsque j'ai une bonne dose d'alcool dans le corps ● Je suis timide de nature ● Je suis entêtée ● Je suis une pauvre brebis égarée ● Je n'aime pas avoir l'attention ● Je suis simple ET compliquée tout à la fois ● ne vous fiez point à mon apparence, je sais parfaitement me mettre en mode " rockeuse " lorsque l'envie me prend ● Je déteste les hypocrites ● Si vous voulez m'entendre hurler, dictez ma conduite ● Je ne supporte absolument pas l'autorité

Emilie est tellement sublime
Bienvenue & quelle belle fiche !

Bienvenue =)

Bienvenue parmi nous

Bienvenue