© asthenia.

ANDREWSAria,Fatima ♣ 22 ANS.

feat. megan fox.

love always remains ♣ ♣ ÂGE : 18 mai 1989 - 22 ans. ♣ GROUPE : Kaponz & Spinoza. ♣ METIER/ETUDES : mécanicienne de voiture. ♣ SITUATION AMOUREUSE : célibataire

♣ Can I ask you some questions ?

AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: Aimer jusqu’à ne plus savoir vivre que pour lui ? Respirer par son sourire, s’endormir dans ses bras en esperant se reveiller avant pour le regarder dormir encore un peu, être prête à tous sacrifier pour rester à ses côtés jusqu’à l’eternité. Vous parlez surement de ce truc qui vous fait aussi perdre la raison, vous pousse doucement dans une folie dangereuse – il vous détruit et vous rend misérable aux yeux du monde. Vous vole vos biens, votre dignité. Si j’ai connu l’amour, moi ? non.
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: Par Amour, les yeux fermés je suis arrivé à sidney. A vrai dire les raisons qui m’ont poussé à venir ici sont très compliqués. Je n’ai pas toujours été inaccessible. Tout a commencé lorsque j’avais 14/15 ans, j’avais refusé de me rendre à un diner de famille. Mes parents ainsi que Timothy (mon petit frère) s’y étaient rendu sans moi. Je ne sais pas vraiment si je devrais bénir le destin ou plutôt le maudir jusqu’à la fin de mes jours – mais tout ce qu’il faut savoir c’est qu’un terrible accident à emporter mon frère ainsi que ma mère, et les jambes de mon père. Il en perdra légèrement la boule, et on ne trouva de choix que de partir à Sidney en espérant qu’il puisse retrouver le sommeil. Voila ce qui m’a poussé à quitter l’école très tôt, malgré que ma tante s’y était opposée, je comprenais que je ne pouvais compter que sur moi-même. Par amour paternel, je me suis rendu à Sidney…
AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: Si je l’aime mon travail ? J’en raffoles, je suis une amoureuse des bagnoles, je passes mon temps à bricoler un vieux tas de ferrailles qui se trouvait dans mon ancien garage, et je peux vous dire qu’à l’heure de maintenant, on m’envie plus qu’autre chose lorsqu’on voit ce qu’est devenue ma petite Sophie. Bon au Départ, c’est vrai que je le voulais pas vraiment ce job. C’était plutôt le truc de papa. Petite, il m’emmenait au garage, c’est comme ça que j’ai vite appris. Puis lorsqu’il a perdu l’usage de ses membres, il a eu besoin d’aide pour son travail, et je me suis sentie dans l’obligation de sortir de l’école (enfin c’est pas comme si j’étais brillante) pour lui filer un coup de main. Avec le temps j’ai fini par apprécier à sa juste valeur mon métier. C’est pas n’importe qu’elle fille qui serait capable de parler de tunning comme moi, c’est presque devenue une fierté d’avoir arrêter les cours à 16 ans, finalement.

TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ ♣ NOM ET/OU PSEUDO : Amina. ♣ AGE : 19 ans. ♣ RÉGION : méditerranéenne. ♣ FILLE OU GARÇON : Je ne sais pas encore, le premier trimestre n'est pas achevé. ♣ QUE PENSES-TU DU FORUM ? : MA-GNI-FI-QUE que ce soit pour le design, le contexte ou le vaste choix des lieux. ♣ ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Bazzart, pardi. ♣ AUTRES :

Le 12 janvier 2002 ; il y a des dates qu’on oublie pas, comme celle de votre anniversaire, de votre baiser mais il y a aussi des dates plus tragiques, celle qui marque la fin de quelques choses pour vous. Pour moi ce fut la fin de tout, à 14 ans je mettais fin à une vie plutôt aiser pour ce qui allait être mon pire cauchemar. Je n’étais pas une adolescente très turbulante, mais dés que mes parents avaient le dos tourné j’en profitais pour faire des bêtises. Alors imaginez quelle fut ma joie lorsque j’appris que tante Sophie avaient invité toute la famille pour un week end à Sidney. A mon habitude je déclinais l’offre pour me mettre tout de suite après leur départ au préparation de ce qui allait être la fête de l’année. A l’époque nous vivions à Canberra, ma mère dirigeait une agence d’immobilier, tandis que mon père avait son propre garage juste en face de la maison. Timothy et moi allions à la même école. C’était plutôt tranquille là bas. Mais lorsque ma tante appela pour venir me chercher, je compris de suite que quelques choses se tracassaient, et je virais sur le champs les beaucoup d’amis que j’avais invité pour faire la fête. J’harcelais de coup de fil mes parents, mais aucun ne daignait répondre. Peut être me faisaient-ils une mauvaise blague pour me punir de ne pas être venue avec eux. Une façon de me dire que la plage de Sidney était meilleurs que celle de Canberra, tellement qu’ils ne pouvaient même plus en sortir. Oui, ça devait être ça, c’est bien leur genre de tenter de me dégouter d’une sortie que je n »aurais pas voulu faire avec.

C’est en voyant la tête de ma tante, en larme et dévasté que je compris. Je me rappelle d’exactement tout ce qui me passa par la tête. Je n’avais jamais vu tante Sophie dans un état aussi pitoyable. Je hochais la tête de droite à gauche, tandis que mes yeux se remplissait de larmes.

« Non, dit moi que c’est pas à ce que je penses. S’il te plait… NOOOON ! »
« Je suis désolée ma chérie.

Longtemps j’avais pensé que tante Sophie était responsable de ce tragique accident. Sans son invitation à la con à sa ville à la con, Timothy et maman seraient encore en vie. Quant à mon père, il marcherait encore. Suite à l’accident, se fut le seul survivant. Les deux autres étaient mort sur le coup d’après les médecins, quant à mon père, il ne se souvient de rien. Il avait longtemps été au Coma, presque 6 mois, tellement que j’avais cessé de croire qu’un jour il allait revenir à lui. Lorsqu’un matin, il se reveilla alors que j’étais entrain de réviser sur le lit de l’hopital d’à coté, je cru que je ne m’en remettrait pas, tellement j’étais heureuse de l’entendre. Il faut croire que la famille, c’est important. J’en arrêtait mes études pour rester prét de lui. Nous déménageames à Sidney pour ses réeducation (peu d’espoir de le voir remarcher, malgré les greffes miracles que nous ont promis les médecins) et je travaillais avec lui dans son nouveau garage.

« Tu sais ce que tu es ? … Une trainée, voilà ce que tu es ! »
« Je t’interdis de me parler sur ce ton! Si je n’étais pas là tu coucherais surement dehors avec ton pauvre clébard minable. Connard !»

Avec Aaron c’était intense, ça n’avait rien avoir avec la routine des autres couples. Si j’en étais amoureuse ? J’en était folle, oui. Je crois que j’aurais été prête à tout donner pour lui. Mon père voyait d’un très mauvais œil cette relation, et disait que je ne fréquentais que les mauvais garçons – au fond, il n’avait pas tord mais je refusais de me soumettre à son opinion. Non, avec Aaron, ça n’aurait jamais du se finir. On se disputait tout le temps, on en était arrivé aux mains beaucoup de fois. J’avais souhaité sa mort plus d’une fois pour ne plus avoir à souffrir de sa présence, seulement son absence fut plus dure à supporter. Il arrivait qu’il boude durant quelques temps, jamais plus de 3 jours, et qu’il s’en aille de la maison pour revenir ensuite. C’était un peu comme un animal domestique, il finissait toujours par revenir. De mon côté, je passais des nuits blanches à espérer qu’il reviennent, et en m’inquiétant de ce qu’il advenait. Je l’avais aussi plus d’une fois retrouvé à quelques rues d’ici, seringue à la main, défoncé par ce qu’il avait pris.

Cette nuit, il ne rentra pas, ni celle d’après, et ce fut comme ça jusqu’à que je comprennes par moi qu’il ne reviendrait plus. Je sombrais dans une autodestruction lente et douloureuse. J’étais peine à consoler, bien que certains jubiler pour mon bien de cette séparation. Je voulais mon Aaron, tout de lui me manquait. Son sourire, son parfum boisé – mélange de cigarette, joints et alcool. J’aimais tout en lui, malgré qu’il était fait pour que je le déteste.

Je pris du temps à comprendre qu’entre lui et moi c’était fini. Il avait surement eu tout autant marre que moi de nos prises de tête incessante. Je crois que ce fut la derniére fois où je me laissais tomber amoureuse d’un homme. L’experience fut tellement douloureuse que je préfére finalement rester le plus longtemps possible seule, quitte à enchainer les histoires d’un soir, mais au moins je suis certaine que je n’aurais plus à souffrir. Il m’arrive souvent de penser à Aaron, à vrai dire on oublie pas son premier amour. Je crois même que je ne suis guérit de lui que parce que je ne le vois pas, et que c’est plus facile pour moi d’apprendre à vivre sans lui.

Depuis qu’il m’a quitté, je n’ai plus eu de nouvelles. Je ne sais même pas s’il est encore en vie ou qu’il a fini par se tuer avec tout ce qu’il prenait. Mon père a essayé de me caser avec l’un de ses mécaniciens, Ulysse, mais rien y fait, c’était vraiment pas mon type d’homme – je les préfére musclé, dangereux avec un casier judiciaire de préférence.

bienvenue ! Megan est trop belle

Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche .

Welcome (:
Mince, j'ai de la concurence (aa)