un esprit compliqué, voir même tordu. Tout chez lui est synonyme d'incompréhension. Personne le connaît vraiment, si ce n'est sa sœur. Avec lui, tout n'est que paradoxe et contradiction. Même s'il reste social, il ne parle jamais de lui, ce qui lui donne cet air mystérieux. Il a beaucoup d'assurance, et exprime fortement ses opinions. Il est pour l'anti-conformiste et la liberté d'expression. Il travaille justement dans un journal et écrit des articles sociaux-politiques. Loghàan est un type extrêmement intelligent et très cultive. Il a une culture littéraire incroyable. Ce n'est pas forcément un dom juan, mais il profite des plaisirs de la gent féminine sans vraiment se cacher. Il déteste les filles futiles et ignorantes. C'est également un très bon orateur avec une répartie à couper le souffle.
♦ Histoire.
histoire très banales. Ils sont nés tous les deux en Pologne et ont vécu en Angleterre. Loghàan a légèrement garder son accent anglais, il n'arrive pas à prononcer les "r" à la fin des mots. Mais il travaille dur pour américaniser son accent. Loghàan n'a pas garder de bon rapports avec ces parents. Il est indépendant, et à déménager avec sa sœur en Australie pour son travail.
♦ Autre(s).
L'avatar est négociable avec Ed Westwick, Jamie Dornam, Milo Ventimigla, et autres propositions. Je n'y accorde pas une grande importance mais je me garde un droit de veto. Pour le pseudo c'est négociable, sauf le nom de famille ( voir le lien). Je m'incline, je lave les bottes, j'épouse la personne qui prend ce scénario.
TOI ET MOI DANS TOUT ÇA ... ?
résumé : Loghaan et Roliryn comme leur nom de famille sont frère et soeur. Seulement depuis son plus jeune âge, Loghaan éprouve pour sa soeur un amour malsain. Un sentiment qu'il se tue a cacher. Seulement à ses 20 ans, il apprend que sa soeur a été adopté. Ils n'ont pas de lien sanguin, et son amour pour elle n'est donc pas aussi immoral qu'il le paraît. Seulement cela ne change rien, elle reste aux yeux de tous sa soeur, et pour cette raison, il refuse de lui avouer ses sentiments. Jusqu'au jour ou dans une boite, elle lui demande de l'embrasser. Dans ce baiser il lui témoigne de son amour. Un amour réciproquement caché. ( le scénario est raconté du point de vue de Loghaan)
IMPOSE-MOI TES AXIOMES, LES FAVEURS DE MON ÊTRE, TE SONT DESTINÉES.
Aussi l’indomptable soit-il, il se laisse assidûment amadouer par la circonspection. OH FEMME, REGARDE COMME TU M’AS RENDU ASSUJETTI DE TA MISÉRICORDE. ENSEVELI DANS TA FERVEUR
Aussi absurde soit-il j’ai toujours aimé ma sœur d’un amour infligent. Digne d’un scénario d’inceste, j’ai toujours éprouvé pour son âme et sa beauté, une fascination sans précédent. En sa présence, tout n’était que narcose de désirs. Elle détenait un éclat qu’il la rendait à mon cœur, plus exquise que la passion même d’une femme. Elle me comprenait malgré mes mutismes, et décelait du sens dans chacun de mes gestes aussi banals pouvaient-il sembler être. Elle naissait comme dans ma tête, pleurant mes peines et jouant de mes joies. La vérité est qu’elle connaît les moindres encoignures de ma tête, mes pensés les plus obscènes et mes désirs les plus pernicieux. J’éprouvais pour elle, un amour des plus respectueux, et comme si je voulais la protéger de la passion dévastatrice d’un homme, j’ai toujours recelé mes sentiments à son égard. Je savais que je ne devais te voir que comme ma sœur, mais nonobstant de mes résistances, je continuais à te voir comme une femme. Seulement, pendant 19 ans, j’ai ignoré une vérité qui change tout et qui rend la véracité de mes sentiments pour toi encore plus saumâtre. Aujourd’hui bien que je sache qu’aucun lien de sang ne nous unisse, la génétique et la science, ne changeront rien à cette vérité rebutante : tu demeures ma sœur, même si ce sang qui nous parcourt se veut différent. L’amour que je te porte me guidera en enfer. Oh femme, regarde comme tu m’as rendu assujetti de ta miséricorde. Je suivrais tes axiomes, aussi corrupteur sont-ils, juste pour goûter cette sensation de cordialité qui se danse sur tes lèvres.
Il n’y a que nous dans cette boîte. Nos corps enlacés suivant le rythme sourd d’une musique inconnue. Nos chevelures détachées et nos bras se mouvant sur le son des percutions. Le sol tremble et en chœur nous continuons de sauter comme si nous voulions sombrer tous ensemble dans les entrailles de l’enfer. Les couleurs défilent entre nos chairs comme si nous ne pouvions plus jamais voir. Véridique que tout cela nous aveugle et nous rend un peu plus sourds. « FUCK ME, I’M FAMOUS », nous reconnaissons tous ensemble la chanson de Marilyn Manson. Telle une bande d’abrutis nous criions pour ovationner le choix du DJ. Au bar, les gens lampent comme des trous. Nous pouvons voir ces hommes amadouer des filles futiles. Toujours le même coruscant discours : ils promettent tout et ne leur donneront que la peine d’une relation qui se mourra au crépuscule. Ces femmes sont toutes semblables, elles se sont toutes trouvées hideuses en se réveillant, elles attendent tous un coup de fils qu’on ne leur passera jamais. Dans ces verres sonnent leurs délivrances. La perversité est dans leurs yeux à tous. Aveuglément nous suivons le chemin de la déchéance. Dans cette nuit qui nous enferme de ce monde de leurres, elle danse sur cette piste de danse. Dans la nuit, il n’y a qu’elle. « Loghaan, embrasse-moi » Je la regarde choqué de son attitude droite. L’idée d’embrasser ma sœur procréait en moi une impression d’ agoraphobie. À la fois pris d’incompréhension et d’attraits, je plonge mon regard dans le sien comme pour mieux la comprendre. Elle reprend comme si elle répondait à mon interrogation muette « il y a ce type qui n’arrête pas de me suivre » . Comme pour vérifier l’exactitude de ces dires, je m’ose à regarder derrière moi. Tel qu’elle me l’avait dit, il se tenait un homme qui ne cessait la regarder d’un regard tenace. Mes poings se ferment alors que mon cœur se tord de calamité. Je haïs ces hommes qui osent la regarder, ces hommes qui ont ce privilège qu’il m’est défendu d’avoir de la toucher, pour la fondamentale raison qu’elle est ma sœur. « Loghaan » murmure t’elle pour me ramener à la raison. Mon regard se repose sur cette femme que j’ai toujours désirée, et qui s’offre à moi comme la charité d’un homme. Mes doigts effleurent la peau assainie de son visage en un mouvement de la va et vient qui se descend sur son cou à découvert. De manière progressive, je l’amène contre le mur afin qu’elle soit à ma merci. Nos lèvres se touchent en un premier contact. La chaleur de ses lèvres closent les miennes. Mon corps se relevant de pulsion, se devient plus violent profitant de chaque plaisir que mon offre son touché. Dans se baiser se délivre ferveur, coït et passion. L’inceste nous tuera.
Dernière édition par Roliryn H. Whitaker le Lun 29 Mar - 20:56, édité 1 fois
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Sujet: Re: (M) l'art de ta contradiction ♦ ED WESTWICK Lun 29 Mar - 20:05
Peut-on me réserver ce personnage fantastique ?
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Sujet: Re: (M) l'art de ta contradiction ♦ ED WESTWICK Lun 29 Mar - 20:49
OMG je te le réserve avec plaisir et je t'épouse en passant
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Sujet: Re: (M) l'art de ta contradiction ♦ ED WESTWICK Lun 29 Mar - 20:50
Wahhhhhh j'ai trop de chance !
Jemma Clifft
JEMMY ♈ it takes my pain away, it's a lie, a kiss with opened eyes.