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Matisse Sheridan est né le 14 février 1979, a Perth, en Australie. Sa mère passionnée d’art lui a donné ce prénom en l’honneur d’Henri Matisse, maitre du fauvisme. Fils unique, il fut choyé et aimé convenablement, même si son arrivé avait quelque peu déconcerté ces parents. Sa mère, fiévreuse militante du pouvoir aux femmes, et à la législation des contraceptifs, c’était tout simplement dit que sa venue était un signe du destin. Son père Andrew, est avocat, sa mère Anna est psychologue. Vous devinez que la maison familiale était gigantesque, installé dans la société aisée, les Sheridan vivent très bien. Très tôt, Matisse se tourne vers un avenir artistique, maigrichon, peu doué en sport, il rêve d’être réalisateur, peintre ou compositeur. Il touche à tout, cours de guitare, stage particulier avec quelques réalisateurs (clients de son père). A dix ans, les médecins lui diagnostiquent un trouble obsessionnel compulsif : le jeune garçon est sujet a des crises d’anxiété, et se retrouve régulièrement poussé sur le divan d’un psy’, poussé par ses parents. Cependant ceci ne l’empêche pas de vivre une vie relativement normale, il décide a la fin du lycée, de poursuivre ses études universitaires aux Etats-Unis. Pour de meilleures écoles, mais aussi a cause d’un désir de changement, de se créer une nouvelle vie, de grandir. Ses parents l’approuvent, il s’en va et intègre la Columbia High School, il étudie la musique mais également le cinéma. Le rêve de sa vie est en effet d’être compositeur de musique de films. Ces années a l’université furent pour lui un vrai épanouissement, membre de la fraternité Phi Kappa Psi , il se fait beaucoup de relations, il s’amuse, rencontre des filles et réussi son diplôme, avec une maitrise dans les arts audio au cinéma. Grâce à son diplôme, quelques relations et beaucoup de travail, il commence à signer des musiques de petits court-métrage, diffusé majoritairement dans quelques festivals. Ces cachets lui permettent de vivre sa vie tranquillement, sans grande aide financière de ses parents. C’est un soir tout à fait banal que sa vie bascula. Il avait l’habitude de trainer dans ce cinéma spécialiste des rétrospectives. Comme toujours, la salle était presque vide. A quelques sièges de lui se tenait une jeune femme, il ne l’avait pas plus observé que cela en s’installant, mais c’est lors du film, qu’il se mit à la regarder, il ne pouvait tout simplement pas s’en empêcher, elle était comme magnétique. Brune, quelques mèches retombaient sur son front, son nez droit et fin, laisser place a une agréable bouche, aux lèvres pulpeuses. Elle se tenait droite, bien assise sur son siège, et pas confortablement affalé comme la plupart des personnes. Au bout d’un moment, elle senti son regard sur elle, et elle répondit a ses regards. Très vite un jeu s’installa entre eux, ses grands yeux bleus foncés le faisaient fondre tout simplement. Une grande histoire d’amour débuta. Elle s’appelait Betty, américaine pure souche, elle voulait devenir actrice. Pleine de rêves et d’ambitions, elle payait ses cours de théâtre en accumulant plusieurs petit jobs. Ils tombèrent fous amoureux et très vite Betty s’installa chez lui. Près d’un an plus tard, elle lui annonça qu’elle était enceinte. Paniqué, heureux, pleins de contradictions, ils décidèrent de garder cette preuve de leur amour. Toute la grossesse se passa sans encombre, et puis un jour, elle naquit. Ellie. Ce petit poupon à la peau si lisse et aux grands yeux bleus. Un bonheur inexplicable naquit en même temps à l’intérieur de Matisse : il était papa et c’était la plus belle chose du monde. Comme si la fatalité et le drame ne pouvait pas les laisser tranquille a vivre leur petit bonheur, un jour comme ça, sans explications, ni même d’indices aux préalables, Betty avait disparu. Elle les avait tout simplement abandonné tout les deux, les deux êtres qui pourtant tenait le plus a elle sur ce monde. Matisse fit tout pour la retrouver, il contacta la police, la famille de Betty, ce n’était pas possible, pourquoi ferait elle une telle chose ? Et il resta la a l’attendre. 1 mois, puis 2, puis 3. Au bout de 4 mois, elle le contacta, un simple coup de fil, de 3 minutes a peine. Pour dire quoi ? Qu’elle ne pouvait pas vivre ça, être mère est rien d’autre, c’était trop dur, elle n’allait pas revenir, jamais.
Désemparé, Matisse décida qu’il était temps de revenir près de ses parents, en Australie, pour avoir leur aide, élever Elie tout seul, et travailler en même temps, ce n’est pas chose facile …

Matisse possède une forte personnalité, profondément humaine et altruiste. Il à une forte sensibilité doublée d’une intuition remarquable. Il a tendance à vouloir promouvoir un monde meilleur, malgré les propres malheurs qui le traverse. Tout ce qui est matériel n’est pas a ses yeux quelque chose de primordiale, la sécurité et le minimum de confort lui suffisent. Son coté inspiré, sa créativité se manifeste dans son métier. Il a du mal à laisser parlé son coté inné et appréhender les choses lorsqu’il a confiance en quelqu’un. C’est un homme enclin aux douces rêveries, à l’utopie, la fragilité émotionnelle, mais également la dépendance (c’est un fumeur très actif !). Son équilibre nerveux est souvent précaire car une forte tension nerveuse accompagne souvent ce tempérament passionné. Matisse sera confronté à deux types de situations dans sa relation à l'autre. Soit il sera tenté de prendre la situation en main en assumant, en protégeant et en dominant l'autre ou les autres. Soit il attendra aide et protection de son entourage, maternel et féminin notamment.
Matisse est en quête d'idéal, et possède une haute conception de l'humain. La grande force intérieure qui l'anime le pousse à s'intéresser aux mouvements sociaux et humanitaires. Il est aussi tenté par les voyages, et l'étranger peut intervenir, d'une façon ou d'une autre, dans son existence. Il peut aussi rechercher l'évasion d'une manière différente, en écoutant de la musique par exemple, sa sensibilité ayant besoin de vibrer... Il est d’ailleurs en constante recherche de musique, d’inspiration, d’idées. Même si ces derniers temps, ce qu’il entreprend est dramatique et paradoxalement enfantin. En amour, il est un idéaliste, qui place l'élue de son coeur sur un piédestal, avec les risques de désillusions possibles. A moins qu'il ne s'agisse d'une quête permanente de l'idéal, par une multiplicité d'expériences qui, imparfaites, justifient ce que d'autres nommeraient papillonnage.

Le New Item Weekly pour toi c'est...

un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça


Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique...

cinéma
musique

Si tu devais rajouter une rubrique ça serait...

Hum, rien a rajouté.

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TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ NOM ET/OU PSEUDO : Clo. AGE : 20 ans. RÉGION : Paca. FILLE OU GARÇON : Fille. QUE PENSES-TU DU FORUM : Très beau, attirant, j’espère qu’il ne deviendra pas une de ces usines ou on arrive pas a s’accrocher … ETTTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Une pub sur BAZZART