Keylian ✂ yes, it's hard to live in the city

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❝ KEYLIAN EMRYS CLIFFT ❞

feat. ian somerhalder.

LOVE ALWAYS REMAINS

SURNOM(S) : Key', diminutif de Keylian, rien de bien compliqué.
AGE : 25 ans déjà.
GROUPE : ✎ Nat King Cole
METIER/ETUDES : Photographe professionnel.
SITUATION AMOUREUSE : marié et très amoureux.

Can I ask you some questions ?

AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: Je suis tombé amoureux très récemment en fait, il y a bientôt un an. Auparavant, je ne l’avais jamais été, pas que je ne le veuille pas mais plutôt que je ne m’y intéressais pas. Ma vie amoureuse se composait essentiellement d’histoires sans lendemain qui ne demandaient pas beaucoup d’implication et qui me permettaient de continuer mes études sans trop me poser de questions. D’ailleurs, la vie était peut-être un peu plus simple à ce moment-là. L’amour est un beau sentiment certes, mais il est l’auteur de grands soucis aux seins de nos cœurs et je l’ai vite remarqué. Oui, lorsque je suis arrivé à Sydney il y a bientôt deux ans, j’ai enfin pris connaissance de ce sentiment, je m’y suis intéressé et très rapidement, moi qui venait dans le but de me ressourcer, je me suis retrouvé à l‘affronter. Sans aucune arme sur moi, il m’est apparu sous la forme d’une jeune femme du nom d’Alec qui est actuellement ma femme et dont je suis effectivement fou amoureux.
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: Pourquoi je n’y serai pas ? J’ai à priori dans cette ville tout ce qu’il me faut pour vivre correctement. Des amis fidèles, des ex sympa, des patrons adorables et même une femme qui m’attends tous les soirs à la maison et qui me prépare à manger. Non sérieusement , j’étais venu dans cette ville au départ afin de prendre mon indépendance, de me couper de toute cette agitation familiale et donc de commencer une nouvelle vie en autonomie. Bien sûr, la perspective d’un contrat intéressant à proximité m’a montré le chemin et m’a aidé à faire mes valises assez rapidement.
AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? ::Je suis le genre à foncer tête baissée dans le tas. Donc, il n’est pas faux d’avouer qu’être photographe n’était pas mon rêve d’enfance. A vrai dire, je ne m’étais jamais imaginé l’être et si on m’avait dit à cette époque que c’est ce métier que j’exercerais à l’avenir, j’en aurais ris. Bien sûr, j’avais toujours su me servir d’un appareil photo - là n’était pas la question- pourtant je n’avais jamais pensé que mes photos franchiraient les frontières des dossiers enregistrés sur mon ordinateur. Lorsque j’avais dix-sept ans, je me foutais carrément de ce qui allait pouvoir m’arriver plus tard de toute manière. J’étais un lycéen assez populaire qui se demandait régulièrement s’il se rendre sur le terrain de sport aujourd’hui. En fait, l’idée m’a réellement traversé l’esprit le jour où l’entraîneur qui voulait se servir des photographies de l’équipe pour le journal de l’école, m’a conseillé de montrer mes les miennes. C’est à ce moment-là exact, que l’idée ne m’a plus parue aussi incongrue qu’elle ne devait l’être.

NOM ET/OU PSEUDO : Lau'
AGE : 1* ans.
RÉGION : GLAGLA ville.
FILLE OU GARÇON : fille.
QUE PENSES-TU DU FORUM ? : J'aime pas. C'est pour ça que je me suis inscrite ne fait. :tongue:
ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : BAZZART.
AUTRES : Ici.

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Spoiler:

I'd like to make myself believe.

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❧ where the story ends.

« Mais non, je ne fais pas ça pour t’énerver et te blesser maman. Je n’habite déjà plus ici de toute façon alors que je parte habiter un peu plus loin ne changera rien » « Bien sûr que si ! C’est déjà difficile de te faire venir ici alors que tu habites à deux pâtés de maison, ça le sera encore plus si tu pars habiter en Australie! Pour des photos en plus, pour du papier !» « Oh, je t’en prie ne fais pas comme si tu voulais jouer ton rôle de mère autoritaire maintenant, il est un peu trop tard pour ça je pense. De plus, je t’ai déjà dit que ce contrat était une grande chance pour moi et qu’il m’ouvrira plusieurs portes par la suite ! » « Bon, tu te rebelles encore, j’appelle ton père. » « Oui maman, appelle papa ! » répondit Keylian Clifft en souriant de toutes ses dents. Il avait pressenti cette « dispute » depuis deux semaines déjà et en avait averti son père délibérément à l’avance. « JOOOOOOOOOOOOOOOOOOOHN! » Il ne peut s’empêcher de retenir son rire lorsqu’il entendit sa mère crier dans toute la maison à la recherche de son mari. Il allait donc passé deux petites heures dans la maison de son enfance avant de pouvoir monter dans l’avion qui le conduirait vers une nouvelle vie. Résigné, il posa ses valises sur le sol de l’entrée et vit arriver ses deux parents. Son père était à priori très contrarié d’avoir été dérangé pendant un de ses feuilletons favoris et n’avait pas été très surpris de voir son fils dans le hall d’entrée, les valises aux pieds. « Regarde-le, il vient de m’annoncer qu’il part pour Sydney où il a décroché un contrat qu’il juge important. Monsieur a prit sa décision sans même t’en avertir. » « En fait, j’étais au courant et je lui ai donné ma permission » répondit le chef de famille en essayant de retenir un bref sourire. « Ah, merci papa » répondit Keylian en attrapant ses valises. Il voulait partir au plus vite, il savait que l’explosion de sa mère n’allait pas tarder à être déclenchée et il ne comptait pas mourir avant d’avoir réalisé quelques petits projets personnels. Oui, car c’était à ce rythme là que vivait sa petite famille depuis bientôt vingt-trois ans. Il était l'aîné d’une famille de deux enfants et en tant que seul représentants de la gente masculine, son père et lui avaient toujours été proches et s’étaient toujours soutenu. Et ils avaient été mis à rude épreuve avec les crises perpétuelles d’Angela Clifft, maman surprotectrice et épouse capricieuse. Angela était le genre de femme que l’on aimait ou que l’on détestait. Dans le cas de Keylian, il avait fallu apprendre à la supporter. Depuis tout jeune, le jeune homme avait toujours voulu apprendre par lui-même, devenir indépendant. Cela n’avait donc pas été facile en grandissant de se rendre compte que sa mère ne comptait pas le laisser grandir ou encore moins partir. Elle avait fait fuir la moitié de ses petites amies et on pouvait comprendre pourquoi. Elle tenait à être irréprochable en public, elle avait le besoin de tout contrôler et de surprendre, de surpasser chaque nouvelle personne qu’elle rencontrait. C’était une femme superficielle, égocentrique et maniaque qui revenait des boutiques tous les jours, un nouveau sac en main. Dans cette famille, il y avait également Lily de six ans sa cadette qui vivait sa vie d’adolescente rebelle et qui se liguait à la mère de famille pour rajouter plus de péripéties. QUATRE, TROIS, DEUX, UN … « TU AS FAIT QUOI JOHNATHAN ANDERSON PATRICK MICKAEL CLIFFT ? ». C’était en filant vers la porte d’entrée et en faisant un rapide clin d’œil à sa petite sœur que Keylian Clifft se dirigeait - et assez rapidement d’ailleurs- vers une nouvelle vie.

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Keylian venait juste d’arriver sur Sydney, ses bagages en main,il se disait qu’une toute nouvelle vie commençait pour lui aujourd’hui et il en était fier. Il se mit dans un premier temps à chercher un appartement à vendre puis à louer une chambre d’hôtel pour au moins une semaine. Et une fois ses bagages défaits, il se rendit dans un petit café pour apprendre à connaître la vile et les personnes qui y habitaient. Jamais, il n’aurait imaginé pouvoir réaliser ses vœux aussi vite , à peine arrivé devant la porte d’entrée, il vit une fille qui marchait à reculons et qui parlait à une serveuse du bar et qui n’allait pas tarder à le percuter dans une, deux, trois minutes. BAM. Et voilà, Keylian venait à peine d’arriver en ville et il se faisait percuter, et qui plus est par une fille qui ne lui était pas du tout indifférente. « Excusez-moi, je ne vous avais pas vu. » dit-elle en se penchant pour ramasser ses affaires alors que Keylian avait déjà prit de l’avance et se relevait en tenant les dites affaires dans ses mains. Il entrouvrit le livre qu’il tenait dans ses mains. « Alec c’est ça ? Moi c’est Keylian » répondit-il en souriant. « On ne peut pas dire que je vous ai pas… vu pour ma part » ajouta-t-il en haussant un sourcil. Il lui rendit ses affaires et continua sur sa lancée « Enfin, si vous vouliez attirer mon attention, il y avait d’autres manières, vous savez ? » « Merci » répondit-elle en récupérant ses livres et en souriant à sa vulgaire tentative d’engager la discussion. « En fait, je dois fermer, je suis assez pressée là. » En se retournant Keylian constata en effet qu’il était le seul client présent dans le café et que la serveuse présente quelques minutes plus tôt était partie. « Oui, mais vous venez de me bousculer là. Je pourrais porter plainte. Vous m’êtes redevable. » dit-il en s’avançant vers le comptoir. « Vous savez que votre petit jeu, on me l’a déjà fait des milliards de fois ? » « Une de plus, une de moins Alec qu’est-ce que ça peut bien faire ? » dit-il en se servant un verre et en s’asseyant, rapidement suivi par sa nouvelle connaissance Alec.

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« Tu es magnifique » dit-il en regardant Alec sous des yeux différents. Ceux d’un mari regardant sa femme. « Je dois être le plus heureux des hommes sur cette planète » ajouta-t-il en se penchant pour l’embrasser pour la énième fois, sous les cris d’enthousiasme de tous les invités. Oui, enfin, ils avaient enfin franchi une étape. Alec devenait madame Alec Harper-Clifft, du nom des on tendre et cher Keylian Ezra Clifft. Depuis qu’il avait rencontré Alec dans son café il y a maintenant presque un an, il n’ avait eu d’yeux que pour elle. Il avait tout essayé pour la faire tomber dans ses bras et ce n’avait pas été facile. Contrairement aux autres filles qu’il avait pu rencontrer, elle ne s’était laissée faire mais il avait senti qu’au fur et à mesure elle attachait à lui. Et puis,il s’étaient mis en couple et il avait su à ce moment-là que c’était la femme avec laquelle il voulait partager le reste de sa vie. Il pensait venir à Sydney pour la réussite professionnelle et finalement, il y trouvait effectivement la réussite professionnelle puisqu’il s’était fait un nom dans le monde de la photographie assez rapidement, mais aussi la réussite amoureuse puisqu’il avait rencontré Alec. « Je suis désolée pour ma mère. Maintenant, tu sais à quoi t’attendre. » dit-il en lui souriant tristement Elle l’embrassa à son tour et répondit en ne pouvant s’empêcher de sourire : « Heureusement que je ne t’ai pas épousé pour ta mère, en effet. ». Oui, en effet sa mère n’avait pas été contente de savoir qu’il avait demandé une autre jeune femme en mariage que celle avec laquelle elle voulait le marier depuis son adolescence. Elle n’avait pas été des plus tendres avec Alec et heureusement qu’elle avait de la personnalité et un fort caractère parce que n’importe quelle future mariée se serait déjà enfuie en courant. Seulement maman Clifft avait une adversaire de taille cette fois-ci. D’ailleurs, il sentait encore son regard outré alors qu’il dansait avec sa femme sur la piste de danse. Il le sentait à travers tous les membres de son corps, il allait y passer. Mais, elle ne pouvait plus rien faire à part se plaindre à présent. Il avait dit oui, il avait juré fidélité et amour à Alec jusqu’à la fin de sa vie et Angela n’avait aucun moyen d’action. Il sentait également le regard de son père, mais cette fois-ci un regard tendre et affectueux. Un regard qui en disait long sur la fierté et le respect mutuel qui liait les deux hommes. Oui, son père était heureux. Heureux parce qu’il avait prit le temps de connaître Alec et qu’il avait reconnu en elle la femme qu’il fallait pour son fils. « Ils te regardent nous, tu as vu ? » demanda-il à sa femme en sortant de ses pensées. « Ou peut-être qu’ils me regardent moi, c’est vrai que je suis pas mal en costume » ajouta-il pour énerver sa femme. « Oui c’est cela, regarde la jolie file blonde avec de sublimes jambes là sur le côté, je crois qu’elle me trouve à son goût. Tu veux qu’on aille lui parler ? » dit-il en souriant en voyant qu’Alec tournait la tête pour jauger la jeune femme en question. « Relax, Max la menace, c’est ma cousine » « Qu’est-ce que tu peux être con ! » dit-elle en lui donnant une tape sur l’épaule. « Je n’étais même pas jalouse de toute façon » « Attends, on va leur montrer à tous que tu es la seule qui compte pour moi » et il pencha sa femme en arrière qu’il souleva et embrassa sous les applaudissements de la foule.

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Keylian était sur les nerfs en ce moment. Il venait d’être lâché par une dizaine de mannequins après avoir passé ses nerfs sur elle et il ne savait pas où est-ce qu’il allait en trouver d’autres pour la couverture du magazine qu’on lui demandait de ramener dans deux jours au studio. Il fallait en plus de ça rajouter ses problèmes de couple avec Alec, qui était la source majeure de sa mauvaise humeur. C’était à cause de cette accumulation de mauvaises tensions et ce cercle vicieux dans lequel il s’était enfourné, qu’il était rentrée chez lui dans un état second. Alec était sortie faire un tour et il s’était donc retrouvé seul chez lui. En ce moment, la solitude était sa compagne. Il ne voyait pas Alec, très souvent, il avait même l’impression qu’elle l’évitait au maximum et quand elle se trouvait par miracle en même temps que lui dans LEUR appartement, elle ne disait pas un mot. Elle répondait toujours de manière évasive et était toujours à cran. Parfois, elle devenait désagréable, alors il s’énervait et il allait se coucher sur le canapé du salon. Leurs rapports étaient devenus plus que tendus depuis un certain temps. Puis, il avait trouvé un test de grossesse dans la salle de bains et avait attendu qu’elle lui en parle. Il avait compris son attitude et s’était calmé. Il préférait qu’elle attende un bébé, plutôt qu’elle ne le trompe à vrai dire. Mais elle n’avait rien dit, absolument rien dit. Alors il s’était imaginé des choses, peut-être qu’il n’était pas le père, peut-être qu’elle avait peur. Oui, c’était dans cet état d’esprit que Keylian était depuis bientôt deux semaines. Et là, il avait clairement besoin de faire le point, de faire une pause. Il se rendit dans la chambre où il n’avait pas dormi depuis bientôt une semaine et se mit à vider ses affaires dans un sac. Il ne savait pas exactement quand est-ce qu’Alec allait rentrer mais il voulait le faire avant qu’elle ne rentre. Manque de pot, rien qu’à cette pensée, il entendit la clé tourner dans la serrure et entendit les talons de sa femme claquer dans le couloir pour gagner la chambre où elle apparut à l’encadrement de la porte. « Keylian, qu’est-ce que tu fais ? » demanda-elle avec une voix qui trahissait l’angoisse et la curiosité. « Je fais mes bagages, Alec, je vais passer la nuit chez Benji » dit-il en refermant la fermeture éclair du sac et en se rendant chercher quelques dernières affaires dans la salle de bains. « Pourquoi ? » répondit-elle en le suivant. « Pourquoi ? Pourquoi Alec ? Tu me demandes pourquoi ? De toute façon, je ne dors même plus dans cette chambre, on ne communique même plus. Tu ne m’adresses plus la parole. J’ai l’impression de vivre seul. Tu n’es jamais là et quand par miracle tu es là, et bien tu vas te coucher immédiatement J’en ai marre de cette situation Alec, tu me rends fou. Tu savais que je venais de perdre 3 de mes mannequins parce que j’avais passé mes nerfs sur elles ? » dit-il avec une voix plus dure qu’il ne l’aurait voulu. « Keylian, non. Reste. Tu ne peux pas parti, si tu pars tu sais ce que ça signifie. » « Oui, on ferra, on fait une pause Alec. Je n’arrive plus à te comprendre » répondit-il en plongeant ses yeux dans les siens alors qu’elle détournait une nouvelle fois les yeux. Il gagna rapidement la porte alors qu’Alec essayait en vain de le retenir. « Non, on va parler Keylian, on va arranger les choses. » Il s’arrêta net. « Oui, parle. Je t’écoute Alec. Tu es enceinte c’est ça ? Dis-moi donc Alec avec encore une de tes nombreuses excuses. QU'EST-CE QU'IL SE PASSE DONC POUR QUE TU SOIS DEVENUE AINSI ALEC ? » dit-il alors qu’il avait complètement perdu son calme. « Non, je ne suis pas enceinte, enfin je l’étais mais j’ai avorté. Je n’étais pas prête, enfin pour ça. Pour la maternité je veux dire. ». Keylian resta silencieux deux bonnes minutes. S’il s’attendait seulement à ça ! Il avait retrouvé son calme après cette révélation mais en avait trop apprit pour le moment. Il réussit à articuler quelques paroles : « Pourquoi tu n’as rien dit Alec ? Je t’aurais soutenu, aidé. Depuis le temps qu’on en parlait Alec. C’est beaucoup trop pour ce soir, je vais dormir chez Benji. » « Non ! Tu vas boire dans un bar et ensuite tu vas finir la nuit chez Benji à déprimer. Je ne peux pas te laisser partir » « Tu ne peux pas ? Mais tu n’as plus aucun droit sur moi pour le moment Alec. Je fais ce que je veux. » et il claqua la porte.

Mon mari.

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Je suis vraiment très contente que tu sois là. Si tu as des questions concernant le personnage ou notre relation, n'hésite surtout pas. Bonne continuation pour ta fiche. Keylian ✂ yes, it's hard to live in the city 853842