| Sujet: (M) Was it a Dream ? ♦ STEVEN R. MCQUEEN Mar 2 Nov - 15:04 | |
| RIDDLE. ✎ Identité : NOM : Williams PRENOM(S) : Kaden SURNOM(S) : Kad' le plus fréquemment et Maracas par Eleonore d'après leur délire sur "Qui a les plus grosses maracas ? LUI !" ÂGE : 22 ans. METIER : Études et métiers au choix. STATUT : Célibataire mais commence à être amoureux. AVATAR : Steven R. McQueen, non négociable. INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES : Attention, ce personnage comprend deux liens dont un avec un autre scénario. Le prénom et le nom sont tout à fait négociable si vous trouvez mieux et vous pouvez rajouter un second prénom. Au niveau de l'activité, je sais qu'on a tous une vie à côté, c'est pourquoi je demanderai une présence régulière avec des posts réguliers, pas obligatoirement tout les jours. J'aimerai quelqu'un qui puisse faire environs une page word sans trop de difficulté et sans trop de fautes de grammaires. Le plus simple serait de m'envoyer un ou deux exemples de vos rps par messagerie. Ce personnage est très important pour l'évolution du mien donc je tiens à ce que le lien soit respecté, ainsi que son caractère et l'histoire. Si c'est pour vous inscrire, poster votre modèle de présentation et ne plus vous revoir par la suite, ce n'est pas la peine merci. Autrement, j'appellerai Dieu la personne qui choisira ce scénario ^^ ✎ Histoire du scénario : ♦♦ Kaden et Eleonore se connaissent depuis qu'ils sont bébés. Ils se sont connus grâce à leurs mères qui étaient meilleures amies. Par conséquent, il doit avoir toujours vécu à Sydney ou dans ses alentours proches. ♦♦♦ Voulant être absolument indépendant, Kaden a arrêté les études après le lycée. Il s'est trouvé un travail en tant que (au choix) mais avec la persévérance d'Eleonore pour le pousser à reprendre les études, il a cédé et désormais, après un an voire deux de non scolarisation, il prend des cours du soir tout en continuant de travailler la journée. ♦♦ Il n'a jamais été amoureux. Pour lui, c'est juste l'histoire d'un soir, mais comparé à d'autres, il prévient d'abord les jeunes filles que rien n’est sérieux. Libre à elle par la suite de continuer ou non. ♦♦ Kaden a de l'assurance, il a confiance en lui. Il joue de la guitare et il lui arrive de fumer quelques joints. Il sait se faire respecter et n'hésite pas à pousser ses différents avec les autres jusqu'aux poings s'il le faut. Mais il ne lèvera jamais la main sur une fille. ♦♦ Attention, Kaden est très très jaloux. ✎ Lien entre le scénario et vous : | A. ELEONORE THOMPSON (c) alexia |
Le bruit de la sonnette de la porte d’entré résonnait dans toute la maison. Margarett Fratanelli-Thompson séjournait sur le pavillon, son bébé aux joues potelées dans les bras. Comme tout les dimanches, elle rendait visite à sa meilleure amie, Elisabeth Williams. Aujourd’hui était un jour un peu particulier car, fraichement sortie de l’hôpital depuis une semaine, c’est la première fois qu’elle allait présenter son enfant unique. La porte s’ouvrit enfin sur une magnifique brune aux rondeurs de la grossesse. Elle aussi avait accouché quelques mois plus tôt et elle peinait désormais à perdre ses kilos en trop. « Oh mais c’est qui ce petit bout de chou ? » Souriait-elle en passant son doigt sur ses joues frêles et en se mettant à faire des bruits non descriptibles. « Oh mais sa peau est froide ! Entrez vite. » Les invitait-elle en dégageant le passage. Sa maison était tout à fait coquette et elle n’avait pas changé depuis que les deux amants s’étaient mariés. Leur hôte les invitait à s’asseoir dans la salle à manger et servit à Margarett son délicieux thé au miel accompagné par quelques biscuits. Ils discutèrent ensemble de la venue au monde de leurs bébés, des difficultés rencontrés lors de l’accouchement et autres, jusqu’à ce que des pleurs se fassent entendre depuis le premier étage. « Ah, il s’est réveillé. Nous allons pouvoir les présenter » S’exclamait Elisabeth avec enthousiasme avant de disparaitre dans les escaliers. Quelques minutes plus tard, elle redescendit avec un petit homme dans les bras. Elle vint par la suite s’installer à côté de son amie et tournait son bébé en direction de l’autre. « Tu vois, Kaden. C’est ta nouvelle amie » lui murmurait-elle pendant que l’autre mère descendait la couverture du visage de l’enfant qui servait à le réchauffer. Elle, c'est Eleonore. Je ne pourrais même pas la considérer comme une simple amie ou comme ma meilleure amie puisqu’elle est tellement plus que ça. Toute notre vie jusqu’à maintenant, nous avons été ensemble, jamais séparés. On s’est connu au berceau et nous voilà toujours inséparable au bout de vingt-deux ans. Pratiquement tous les soirs, nous nous retrouvons chez elle ou dans mon appartement. On joue à des jeux vidéos, on mange des pizzas voir du chinois. Il lui arrive même quelques fois à manger et je l’aide dans la cuisine. Lorsqu’on était petits, elle avait pas mal de problèmes à l’école. Beaucoup la prenait comme souffre douleur et lui faisait les pires crasses inimaginables. Je me souviens que je la voyais comme une pierre précieuse, fragile, qu’on devait absolument tenir délicatement et surtout, qu’on devait prendre soin. Je me suis donc mise à la protéger et même parfois à me battre avec d’autres garçons de la classe qui l’embêtait. Déjà jeune, j’étais un rebelle. Et bizarrement, Eleonore a toujours pris soin de moi :
Un jour, je jouais au baseball avec un ami dans mon jardin pendant qu’elle s’amusait avec ses poupées barbies. Elle se refusait d’être un garçon manqué et nous, il était hors de question qu’on touche à ces poupées. Quand mon ami m’a envoyé la balle blanche parsemé de rouge, je l’ai renvoyé avec une force déconcertante. J’étais très fière de ce rejet mais je l’étais moins lorsque j’ai vu la balle passer à travers une vitre de la maison. Déjà que maman me menaçait de m’envoyer à l’école de militaire pour cause de mes bagarres avec les autres, j’étais sur d’y passer. J’entendais déjà les hurlements de ma mère et la porte du jardin claquée. Eleonore ne précipitait rapidement vers nous. « Kaden Williams ! Tu es bon pour l’école militaire cette fois ci ! » Me hurlait-elle. Alors que je traitais de parfait abruti dans ma tête, la petite fille qu’elle était s’avancait vers ma mère, toute timide. « En réalité madame, c’est moi qui est cassé votre vitre… J’ai voulu essayer leur jeu et j’ai du renvoyé la balle un peu trop fort… Je suis désolée madame. » Murmurait-elle. Ma mère lui caressait les cheveux avant de lui dire que ce n’était pas grave, qu’elle n’avait pas fait exprès. Avec moi, ça n’aurait pas été pareil. La grande dame repartit sans rien me dire au final. Je questionnais donc Eleonore sur le pourquoi elle avait fait cette bonne idée. « Tu m’as toujours protégée, je voulais te rendre l’appareil. Et si tu serais allé à l'école militaire, j'aurai pas supporté que tu sois loin de moi. » Lui souriait-elle. C’est depuis ce jour là, nous avons réellement su qu’on ne pouvait pas vivre l’un sans l’autre. J’ai sans cesse besoin de ses rires, de ses crises de sur-protections et des débilités parfois étonnantes qu’elle peut sortir. C’est la personne sur laquelle je peux compter et en qui je peux faire une confiance aveugle. Je lui confis tout et elle fait de même. Mais parfois, je préfèrerai être au courant de rien. Elle m’a avoué il n’y a pas si longtemps de ça, qu’elle était très attirée par son professeur de chimie. Chose à laquelle je n’adhère pas spécialement, voire pas du tout. Tout d’abord, une relation professeur/élève n’est tout simplement pas possible et par la suite, je me surprend moi-même à penser que c’est ma Eleonore, la mienne et que je n’ai pas envie qu’un autre que moi l’approche. Jusqu’à maintenant, je n’avais jamais eu ce problème puisqu’elle n’avait encore pas eu de relations plus qu’amicales avec un homme. Et puis, ce Dorian n’a pas les idées claires, il a l’air faux et je suis sur qu’il l’est. Je suis jaloux à vrai dire, jaloux qu’elle lui apporte un intérêt plus grand que celui qu’elle me porte. En vérité, je crois que je suis amoureux de cette fille. Il a fallu qu’elle soit à moitié dans les bras d’un autre pour que je m’en rende compte alors que je la connais depuis toujours. Seulement, je ne réussirai jamais à lui avouer, je tente par tout les moyens de me dire que ce n’est pas de l’amour mais c’est pratiquement perdu d’avance.. Je préfère encore lui casser la tête à ce type. | DORIAN WALKER (c) alexia |
Lui, c’est le professeur de chimie d’Eleonore. Celui qui tente par tout les moyens de l’avoir et ce qui me mets le plus les nerfs, c’est que ses techniques marchent totalement. Eleonore est à moitié dans ses bras et ça, je le refuse. Je tente par tout les moyens de connaitre son passé et sa réputation avec les femmes. Parfois, je le suis discrètement de façon à savoir où il va et ce qu’il fait. Moi, étant un grand bad boy de la ville, je n’éprouve malheureusement aucun regret à l’épier pour protéger celle que je connais depuis le berceau. Un soir, je l’ai trouvé dans un bar avec une brune qui ne ressemblait pas du tout à Eleonore. C’est là que j’ai compris qu’il se moquait complètement d’elle. Dépucelée une de ses élèves doit être un truc qui l’excite. En tout cas, il m’a chopé un autre soir dans une ruelle et on s’est accroché, même battu. Il fait le gentil devant elle et moi, je tente par tous les moyens de lui ouvrir les yeux. Bien sur, ce n’est pas une mince affaire. Dorian démentit tout ce que je peux lui raconter en se trouvant des excuses pas franchement crédible mais qu’Eleonore, douce et gentille comme elle est, croit sans hésiter. Ce qui est sur, c’est que la guerre est déclarée. ✎ Quelques avatars pour vous aider : - Spoiler:
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| Sujet: Re: (M) Was it a Dream ? ♦ STEVEN R. MCQUEEN Ven 19 Nov - 16:59 | |
| Remis en jeu. |
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