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| MAUREEN ₰ satellite heart. | |
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Auteur | Message |
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| Sujet: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 16:32 | |
| © tumblr.❝ HURTLAKE / MAUREEN JADE ❞ feat. DEBORAH ANN WOLL.
SURNOM(S) : Riri – ou Reeree, ça change selon la carte de fête –, surnom adopté par sa famille entière, autant proche qu'éloignée, cela depuis qu'elle est au monde. On pourrait croire que Maureen, à son âge, le trouve plutôt agaçant vu sa sonorité enfantine, mais, à vrai dire, elle ne s'en soucie guère. AGE : Maureen a eu ses vingt-trois ans le 10 août dernier, à Bondi Beach. GROUPE : Résolumment « The Fray », car ayant beau croire en l'amour comme personne n'y croit plus, Maureen ne l'a jusqu'à présent jamais rencontré. Elle commence d'ailleurs à craindre malgré elle qu'elle finisse vieille fille, la jeune femme ayant fait vœu de chasteté et refusant toute relation en dehors du mariage (sachant pourtant que le mariage peut arriver très tard !). METIER/ETUDES : Maureen, bien qu'étant une bonne élève, question d'argent plus que d'envie, n'a jamais été à l'université. Elle part désormais de mai à juillet travailler au ranch de son oncle, à Gunnedah, et, sinon, travaille comme cosméticienne dans la galerie-beauté d'une pharmacie de la City. SITUATION AMOUREUSE : Éternelle célibataire, comme dit plus haut.
CAN I ASK YOU SOME QUESTIONS ? AS-TU DÉJÀ ÉTÉ AMOUREUX ? Malheureusement, je dois répondre non. Toutefois, ce n'est certainement pas par manque de volonté ! C'est juste que – que, je ne sais pas en fait, ça n'a jamais vraiment cliqué entre moi et quelqu'un d'autre. Enfin, il y a déjà eu des gars chez qui le physique ou la manière de s'exprimer m'a plu, évidemment, mais il y a une différence monstre entre ça et de l'amour. Moi, ma définition d'être « amoureux », c'est vivre une passion sincère, dévorante, éternelle. Pas un petit flirt tiède qui s'achève au bout de deux mois, encore moins au bout d'une nuit ! D'ailleurs, j'éprouve une profonde affliction pour ces gens qui se rencontrent, se trouvent mutuellement "sexy" et s'envoient en l'air sans même connaître le nom de leur partenaire. C'est navrant ! Cette copulation sans émotion nous rabaisse au statut d'animaux, sérieusement. POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? Pour le travail de mon père, qui s'est fatigué du ranch familial et qui a décidé d'aller trouver un emploi « normal », comme il le disait, en ville. Avant, on vivait à Gunnedah, une petite ville à des centaines de kilomètres au nord-ouest de Sydney, dont, pour ma part, je m'ennuie beaucoup. C'est pourquoi je retourne au ranch à chaque été, qui est désormais administré par mon oncle Jerry, où je travaille en tant que simple palefrenière. Cependant, je reste tout de même le reste de l'année dans un appartement à Potts Point, dans l'est de Sydney, parce que la plupart de ma vie y est, désormais. AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? Oui, absolument, quoique je n'aurais pas pu trouver deux boulots plus différents l'un de l'autre. Au ranch, je me promène avec de la paille dans les cheveux, une chemise crasseuse et des baskets qui bâillent ; je peux parler comme je veux, me tenir comme je veux, faire ce que je veux. Après tout, il n'y a personne à impressionner ! Tout est simple, décontracté et, ma foi, un peu crasseux. C'est différent à Sydney, bien sûr. Pas question d'arriver dans un accoutrement négligé – d'ailleurs, il faut toujours être vêtue de noir – ou sans maquillage au travail ! Je dois avoir un maintien élégant, un sourire étincelant et des manières impeccables ; il faut être le plus sophistiquée possible, enchanter la clientèle par notre unique présence... Je crois que c'est justement cet écart si grand entre les deux qui fait que je ne m'en lasse jamais.
NOM ET/OU PSEUDO : flash delirium. AGE : seulement seize petites piges ! RÉGION : métropolitaine de montréal. FILLE OU GARÇON : jeune demoiselle. QUE PENSES-TU DU FORUM ? : ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : je le connais depuis un bon moment (grâce à bazzart – quelle surprise ! – à l'origine), j'y ai d'ailleurs déjà été brièvement auparavant, mais bon. ceci est un nouveau départ. (a) AUTRES : j'aime ma maureen. *OUT*
Dernière édition par Maureen J. Hurtlake le Sam 27 Nov - 4:50, édité 39 fois |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 16:32 | |
| COMPTOIR CHANEL ₰ 5 SEPTEMBRE. Maureen regarda discrètement l’horloge au-dessus de l’enseigne noire et blanche au look épuré. Il était presque midi ; dans exactement un quart d’heure serait l’heure où son petit frère Caleb avait succombé à la leucémie, il y avait de ça maintenant – elle fit un rapide calcul mental – douze ans. Déjà ! Il lui semblait que c'était hier qu'elle accourait dans l'hôpital, arrivait dans une petite chambre pastel, trop silencieuse, et puis... La jeune femme secoua la tête. Elle s’en voulait terriblement d’être dans une pharmacie, à conseiller une femme apathique, alors qu’elle aurait dû être en route vers le cimetière, avec maman et papa, et Leigh.
Le visage de sa sœur lui vint en tête, une grande fille, un peu rude, avec un regard très brillant, puis le souvenir du soir où cette dernière avait amené un gamin, dégingandé et boutonneux, dans leur chambre, alors que la mort de leur frère était si récente que Maureen en pleurait encore à chaque nuit, et l’horrible altercation que ça l’avait provoqué. Elle avait alors réalisé que Leigh était une garce, une garce avec un trou béant à la place du cœur. Plus jamais Maureen ne l’avait traité de la même manière après ça et, lorsque Leigh avait quitté la maison, elle avait tout simplement coupé le contact. Leigh n’avait pas trop protesté et, excepté pour l’espace d’un jour, lorsqu’il était temps d’aller rendre visite à Caleb, Maureen ignorait jusqu'à son existence, et c’était bien réciproque. Mais cette fois-ci, Maureen ne venait pas. Pour la simple raison que, l’an passé, une chicane de plus avait éclatée entre elle et sa sœur – sur le fait qu’elle avait amené son copain, un espèce de skinhead tatoué qui puait le gin –, juste au-dessus de la tombe de Caleb. Quand elle y repensait, Maureen ne pouvait s’empêcher de rougir de honte ; elle ne voulait plus jamais faire une telle offense à son frère. Elle avait donc décidé de lui rendre visite la veille du jour de son décès, et qu’elle en ferait toujours ainsi.
« Donc celle-là serait la meilleure ? » la questionna alors la femme avec sa voix trainante. « Oh, heu, oui » répondit maladroitement Maureen, s’extirpant de sa rêverie. « Attendez, laissez-moi vérifier. » C’était la crème Beauté Initiale, piochée sur le comptoir Chanel. « Enfin, oui, elle est énergisante et contient un SPF 15, elle rendra votre peau radieuse et la protégera des oxydants. C’est un excellent choix. » La femme hocha la tête d’un geste lent et, sans souffler un mot de plus, s’en alla tranquillement vers la caisse. Maureen haussa les sourcils un instant, eut un petit rire amusé, puis se retourna vers le présentoir afin de s’assurer que tout était resté à sa place. L’horloge montrait midi et quart.
VICTORY APARTMENTS ₰ 18 SEPTEMBRE. La porte grinça sous la poussée de Maureen, puis s’ouvrit en frottant contre le planché de dalles usées. La jeune femme rajusta son blazer vert pomme, recoiffa ses cheveux qu’un chaud vent, prometteur d’un été agréable, avait décoiffés et s’avança vers la cage d’escaliers, l’ascenseur étant encore en panne. Maureen, si elle était la propriétaire du bloc, l’aurait rebaptisé depuis longtemps, parce que les Appartements de la Victoire n’avaient vraiment rien de victorieux ; de la poussière moutonneuse dissimulée un peu partout, un papier-peint qui s’effritait sans l’aide de personne, une fenêtre ou deux qui laissaient toujours filer un peu d’air on ne savait comment, une plomberie qui aurait éclaté si l’hiver aurait été un peu plus froid, elle en était certaine, et elle en passait. Mais bon, même si le nom était pompeux, le prix l'était pas mal moins, et c'était pourquoi Maureen y vivait.
Elle monta les marches dont les bandes antidérapantes étaient presque entièrement disparues sous le fréquent passage de pieds, arriva à l’avant-dernier étage et inséra sa clef dans la serrure d’une petite porte brune. L’appartement 5. Elle arriva dans un petit vestibule délimité par un tapis usé à la corde, à droite, un salon, à gauche une cuisine/salle à manger, tout au bout, la chambre à coucher. Le tout n’était pas très décoré ; quelques reproductions d’œuvres célèbres ça et là, des plantes, parfois vraies, parfois fausses, et puis une lampe au design étrange qui trônait à côté du divan crème. Maureen s'y sentait bien ainsi ; contrairement à sa mère, elle n'avait jamais été une grande fan de la profusion de bibelots.
Elle se souvenait de ceux qui recouvraient le manteau de la cheminée de leur petite maison de Woolloomooloo, un peu miteuse, certes, mais quand même chaleureuse, avec le massif de tulipes dont maman peinait à contrôler l’exubérance, la clôture peinte en rouge pompier et, à l’intérieur, la large table de la salle à manger que papa avait acheté chez un antiquaire à Melbourne et avait rapporté en l’attachant sur le toit de la fourgonnette familiale, une péripétie qui faisait toujours rire Maureen lorsqu’il la racontait. Avant que Caleb meure, on y vivait très bien. À cette pensée, la jeune femme baissa la tête et marmonna une prière. Elle en était un peu mélancolique, d’ailleurs. Le décès de son petit frère avait bringuebalé sa vie sans dessus-dessous, avait été un point tournant entre un grand bonheur et, bon, malheur était un grand mot, mais disons une existence bien moins sereine. Outre la relation catastrophique entre elle et sa sœur qui avait suivi, elle s'était, sur le conseil de grand-mère tournée vers la religion, en espérant ainsi qu'à force d'entendre parler du Ciel et de l'Enfer, elle y verrait un peu Cal à travers. Erreur. Lorsqu'elle le regardait avec le recul, avoir la foi ne l'avait qu'emberlificotée dans des croyances presque handicapantes du point de vue social. Et pourtant, c'était trop tard ; elle croyait en Dieu et en ce que le prêtre prêchait. C'était contradictoire, oui, mais c'était devenu instinctif chez elle.
Maureen s’assit sur sa vieille chaise berçante brinquebalante, s’étira en creusant le dos et sortit un beau journal en cuir fatigué de sous la table basse. Elle transcrivait sa vie dans ce livre depuis maintenant dix ans, le voyant comme un exutoire pour toutes ces petites frustrations, peines et douleurs qui arrivaient trop souvent à son goût et, surtout, un exutoire pour sa solitude qui, elle, était perpétuelle.
Il ne fallait pas croire qu’elle était une ermite ou quelque chose dans le genre, non, Maureen avait de la famille, des amis, des collègues de travail, mais elle y avait toujours ce sentiment d’insatisfaction qui traînait quelque part dans un recoin de son cœur, qui la faisait soupirer alors que tout aurait dû aller pour le mieux, qui lui faisait écrire un journal. « On ne s’est pas trouvé tant qu’on a pas trouvé l’amour. » Elle avait gribouillé ça quelques années plus tôt, saisie d’une bouffée d’inspiration sans trop savoir si c'était la sienne ou celle de quelqu'un d'autre, et avait réalisé à quel point c’était vrai. Il lui manquait un prince charmant, une tendre moitié, une âme sœur, appelez ça comme vous voulez. Il lui manquait ce que les plus grands romantiques appelaient une raison de vivre, définition à laquelle Maureen adhérait vu qu’elle se considérait elle-même comme une fleur bleue irrécupérable.
« Une autre journée banale, au risque de me répéter. » Elle s’arrêta un instant, gribouillant au coin de la page pour faire mieux fonctionner son stylo mâchouillé. « J’ai bossé, je suis allée manger au chinois d’en face, même son poulet aux arachides est atroce, et j’ai bossé encore. » Maureen se mordit la lèvre inférieure un instant. « Je commence à avoir peur, vraiment. » Les mots avaient fusé, noirs sur le papier crème. Peur de quoi ? « Peur d’être seule. Peur d’aller dans mon lit et d’y avoir froid. Peur que jamais personne ne lit ça et me dit combien j'avais tort. »
Maureen ferma son journal dans un claquement sec. Clac. Un long silence s’en suivit. Enfin, c’était toujours silence quand on vit seule et qu’on n’est pas assez folle pour se faire la super conversation à voix haute, mais un long silence s’en suivit tout de même dans le sens où Maureen, contrairement à l’habitude, n’alluma ni la télé ni la radio pour le masquer. Elle resta là, à se bercer doucement dans sa chaise, le regard dans la vague. Ce n’était pas vraiment la première fois que ça l’arrivait. À vrai dire, c’était presque devenu une journée mensuelle ; le moment où Maureen se permettait de s’apitoyer – quoique ce fut un bien grand mot – un instant sur son sort, puis de reprendre son rythme de vie quotidien.
La sonnerie du téléphone, reprise techno d’une chanson de Beethoven, retentit alors à travers l’appartement exigu, tirant la jeune femme de sa torpeur. Elle se leva, laissant derrière elle la chaise se bercer doucement dans le salon immobile.
RESTO JACK RABBIT SLIM ₰ 1 OCTOBRE. Maureen roula des yeux en écoutant sa mère sermonner la serveuse sur la cuisson de son poulet. « Non mais ! Il est tiède ! Vous savez pas faire la cuisine vous ma p’tite dame ? » Elle s’adressait à une gamine d’à peine seize ans, frêle et chancelante sur ses patins à roulettes. « Non maman, bien sûr qu’elle ne sait pas cuisiner, ce n’est que la serveuse… » soupira Maureen en sachant très bien que madame Hurtlake ne l’écouterait pas une seconde. « ... À croire que ma fille fait exprès pour m'amener dans un endroit horrible. » acheva finalement sa mère avec un claquement de langue désapprobateur. « C'est ça maman, c'est ça... » grommela Maureen. Pour sa part, elle aimait bien le Jack Rabbit Slim. Sans que ce soit un endroit cinq étoiles, il était sympathique et, bon, sans que ce soit de la grande cuisine, d'après elle on y mangeait convenablement.
Elle regarda sa mère retourner son plat avec un air presque fier, ne pouvant s’empêcher de se demander à quel moment cette dernière était devenue une telle mégère. En ce qui lui semblait si peu de temps, elle avait rapetissé, elle avait engraissé, son visage s’était couvert d’encore plus de maquillage que de rides et sourire était devenu sardonique. Maureen n’aimait pas critiquer, mais, vraiment, Jessica Hurtlake n’avait rien conservé de son attrait d’antan. Elle se souvenait du visage qui avait couvé sa jeunesse, cette femme qui était douce des yeux jusqu’au sourire, des cheveux jusqu’au bout des doigts, de la même manière dont elle se souvenait de Cal ; comme quelqu’un de mort. « Et puis, ta maison ? » lui demanda soudainement sa mère, la tirant de sa réflexion. « Toujours dans le même appart’, maman. », souffla Maureen. « Je sais pas comment tu fais pour vivre dans ce quartier, c’est un trou à rats ! » La jeune femme se contenta de hausser les épaules en guise de réponse. « ... Et les amours ? » Maureen soupira. « La même chose. » Sa réponse était sans équivoque.
« C’est pas normal. » Visiblement, madame Hurtlake avait oublié ce que signifiait “sans équivoque” ou du moins, comment on l’interprétait dans une conversation. « Ha. », rétorqua Maureen en enfourchant un peu trop énergiquement une malheureuse pomme de terre. Toutefois, ce détail échappa à sa mère car, au même moment, la serveuse nulle en patin revint avec l’assiette de cette dernière.
« … Qu’est-ce que je disais ? Ah oui, c’est pas normal. Tu as vingt-trois ans, Maureen. A vingt-trois ans j’étais enceinte de Leigh, moi. » Maureen était de plus en plus agacée. « Et c’est censé être quelque chose de positif ? » Sa mère secoua la tête, comme si elle était navrée. « Oh, Maureen, l’important n’est pas de qui j’étais enceinte, mais le fait pur et simple que j’étais enceinte. » « Eh bien, félicitations, maman. » Elle engloutit une ou deux asperges, puis repoussa délicatement son assiette. « Je crois que j’ai fini. »
« Et alors ? Pas moi. » Maureen, face à cette réponse, s’agrippa à la table si fort que ses jointures en blanchirent. « Bon, maman, c'était un plaisir de répondre à ton invitation, mais j’ai du travail. » « Du travail ? Tu parles de ta petite job à la pharmacie ? » « Exactement. Mon shift commence dans quinze minutes. » C’était un mensonge, mais sa mère lui tombait royalement sur les nerfs avec son attitude désabusée et surtout, déçue. Comme si tout ce qu’elle avait fait et faisait n’était jamais satisfaisant ! Après lui avoir adressé un petit signe de tête, Maureen enfila son blazer et coinça son sac à main dans son coude. « Bon, bonne journée. Conduis prudemment. Je t'aime. » « M’ouais… », répondit sa mère tout en triturant une cuisse quasi-carbonisée. Ce fut la dernière image que Maureen eut d’elle avant de quitter le restaurant.
Dernière édition par Maureen J. Hurtlake le Sam 27 Nov - 1:08, édité 87 fois |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 16:43 | |
| DAW Très très bon choix d'avatars Bienvenue sur le forum, et puis bonne continuation pour ta fiche ! (: |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 16:52 | |
| HAAAAAA DEBY' ^^ welcome |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 16:56 | |
| Qu'elle est belle
Bienvenue et bonne continuation pour ta fiche (: |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 17:07 | |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 17:59 | |
| Haaan, vous êtes gentils, merci !
Dernière édition par Maureen J. Hurtlake le Sam 13 Nov - 19:44, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 18:03 | |
| My god qu'est-ce qu'elle est belle je te la réserve, très bon choix Bienvenue parmi nous et très bonne continuation pour ta fiche |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 19:06 | |
| SUPER CHOIX Bienvenue sur le forum |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 19:19 | |
| DAW LA PLUS BELLE. Bienvenue, excellent choix. |
| | | Jane RoseburySKYDEN ☂ it's difficult to love me.
◮ messages : 1582 ◮ date d'inscription : 30/01/2010 ◮ occupation : SERVEUSE DANS UN STARBUCKS, BIENTOT SECRETAIRE CHEZ UN NOTAIRE ◮ envie : DE NE PLUS AVOIR LE COEUR BRISE ?
◮ copyrights : (C) HEART LINES ◮ pseudo : ALMOST EASY
| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 19:38 | |
| WELCOME excellent choix |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 19:43 | |
| Wahou, mygod, mille mercis ! Contente que Debbie vous plaise. |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 19:49 | |
| Elle est magnifique. BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE SUR LAR ! Merci beaucoup de ton inscription, je te souhaite bonne chance pour ta fiche. J'aime beaucoup ce que tu as écrit, déjà. (: |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 19:50 | |
| DEBORAH JE L'AIME TROOOOOOOOOOOP Très bon choix d'avatar et bienvenuuuuuuue |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 21:10 | |
| Bienvenue sur LAR! Bon courage pour ta fiche^^ |
| | | Jemma ClifftJEMMY ♈ it takes my pain away, it's a lie, a kiss with opened eyes.
◮ messages : 3659 ◮ date d'inscription : 30/01/2010 ◮ envie : toffifee - nuts - coffee - lemon tart - eliot - caramel - cigarettes.
◮ copyrights : Aurélie, lj. ◮ pseudo : Shivery.
| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 13 Nov - 21:49 | |
| Bienvenue. |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Dim 14 Nov - 0:57 | |
| Aaw, merci encore.
Dernière édition par Maureen J. Hurtlake le Dim 14 Nov - 18:16, édité 4 fois |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Dim 14 Nov - 17:00 | |
| Bienvenue sur le forum ! |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Dim 14 Nov - 17:50 | |
| Merci ! |
| | | Joey Wintersjoey ❝ my mind is a warrior, my heart is a foreigner. ❞
◮ messages : 1740 ◮ date d'inscription : 11/08/2010 ◮ occupation : regretter ses faits. ◮ envie : du joli corps de son voisin.
◮ copyrights : matsou. ◮ pseudo : tears emptiness.
| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Dim 14 Nov - 18:13 | |
| Bienvenue. |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Ven 19 Nov - 16:53 | |
| Ton délai se termine demain, tu peux en demander un supplémentaire. |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 20 Nov - 1:37 | |
| Oh oui, ça serait vraiment apprécié, je comptais la finir ce week-end ! |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 20 Nov - 2:09 | |
| Je t'accode cela. Bonne chance encore, ce que tu as déjà fait est GÉNIAAAL. (: |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Sam 20 Nov - 7:47 | |
| Haaan, merci je t'aime.
J'espère que la suite le sera tout autant (a) |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. Mer 24 Nov - 1:45 | |
| Bon, désolée, mais Internet a décidé de me lâcher ce week-end (en fait, de lâcher toute ma région), donc je m'y mets tout de suite. |
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| Sujet: Re: MAUREEN ₰ satellite heart. | |
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| | | | MAUREEN ₰ satellite heart. | |
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