| Sujet: (M) i love you, i hate you ♦ JOSHUA JACKSON Ven 19 Nov - 0:08 | |
| psychozee. ✎ Identité : NOM : Blackwell. PRENOM(S) : Slade Emrys. SURNOM(S) : Slay. ÂGE : 25/26 ans. METIER : Détective privé. STATUT : Célibataire. AVATAR : Joshua Jackson. INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES : J'aimerais quelqu'un qui ne me lache pas après la fiche de rpésentation voir même avant. Quelqu'un qui sache me suivre en RP car parfois je vais jusqu'au 80 lignes voir plus. Oh, l'avatar est non-négociable et le nom complet l'est difficilement. Je suis ouverte aux MP si vous avez la moindre question. ✎ Histoire du scénario : L'histoire est totalement libre. Je n'aime pas imposer comme je n'aime pas qu'on m'impose donc tant que vous respectez le fait qu'il est détective et le lien tout ira bien. ^^ ✎ Lien entre le scénario et vous : PART 1. Une feuille supplémentaire est partie rejoindre une des piles. Castiel Emsworth, assise confortablement dans son siège à son bureau, lunettes sur le nez - malheureusement, étudiait un dossier et rangeait un peu le bordel sur son bureau en même temps. Elle venait à peine de s'installer en tant que détective privé, peu de temps après, elle avait sa première affaire en main. Une affaire d'escroquerie qu'une femme avait dénoncé à la police mais que ces derniers avaient laisser le dossier en suspens pour l'instant visiblement, alors à bout, elle était venue chez elle. Quelques coups sur la porte, Castie relève la tête comme sortie d'un songe et secoue légèrement la tête de droite à gauche pour se réveiller. Elle enlève ses lunettes et se lève pour aller ouvrir la porte d'un mouvement un peu fatigué, les nuits blanches n'aident vraiment pas. Dans l'entrée de la porte se découpait la silhouette d'un jeune homme, plus grand qu'elle, brun aux yeux bleu ... ou vert ? Un mélange intéressant en tout cas car il lui fallut quelques instants avant de sortir un Bonjour pas très énergique. Bonsoir, qu'il lui répondit. Oups. C'est déjà le soir. Tant pis. Elle devait le fixer assez étrangement pour que ce dernier commence à gigoter légèrement avant de tendre la main qu'elle observa aussi. Blackwell, Slade Blackwell. Silencieuse, elle finit par scruter son regard avant de reculer et de faire volte face pour se diriger vers son bureau, la porte toujours grande ouverte en signe d'acceptation. Que puis-je pour vous ? Monsieur ... J'avais déjà oublier, zut. Blackwell, me reprit-il. Pas de présentation, elle savait qu'il savait qui elle était et donc ce n'était pas nécéssaire. Il haussa légèrement les épaules en regardant à droite et à gauche avant d'entrer. Elle porta la main à son café froid. Vous avez besoin d'un co-équipier. Elle s'arrêta dans son geste, cherchant à comprendre si elle avait bien entendu ce qu'elle avait entendu. Je crois que vous faites erreur. Je ne recherche personne. Il émit un faible sourire satisfait. Ce n'était pas une question, qu'il lui répondit. Je crois ... Non, je suis sûr que vous avez besoin d'un collègue pour veiller sur vos arrières ! N'hésitez pas. Reprit-il. Et moi je suis sûre que vous aller prendre la porte dès maintenant, monsieur Blackwell, dit-elle en se levant d'un bond de son fauteuil, comme elle l'appelle. Laissez-moi m'expliquer ... Il avait déjà gagné.
PART 2. Toc, toc, toc. Putain, Slade, réponds merde ! Que t'en sautes une ou pas, rien à foutre mais bordel, réponds. Dis-je entre deux larmes. Grand silence ... Je recommence à tapper comme une folle sur la porte. Finalement, j'entends du bruit à l'intérieur. Le con, il faisait semblant. Connard, marmonais-je pile quand il ouvre la porte. Merci. Qu'est-ce que j'ai encore fait pour ... Cas ? Je baisse mes yeux bourrés de larmes. C'est la première fois que je pleure devant lui, ça doit faire un choc, je comprends. Je ... Je peux entrer ? Finis-je par demander d'une toute petite voix en le voyant comme paralysé. Il hoche la tête comme un automate et se pousse légèrement. j'entre en le bousculant légèrement, je fais une grimace. Merde, ma blessure ! Je l'avais oubliée. Je pose ma main dessus et serre fort. Cas ? Je me tais et regarde obstinément le sol en avancant. Castiel ! Je m'arrête net, je ne supporte pas quand il me gueule dessus. Quoi ? Fis-je en me redressant d'un coup comme si de rien était. Montre-moi. Je grimace de douleur, heureusement il ne peut rien voir. Tss ! Te montrer quoi ? Répliquai-je. Ta blessure. Je me mords la lèvre d'un coup. Il n'en démorderais pas... Je dois saigner là aussi maintenant ... Quelle blessure ? Je l'entends soupirer. Ne joue pas à ça avec moi, Cas. Je baisse la tête et avance vers ce qui me semble être le salon. J'entends des pas derrière moi, il me suit donc bien. Je m'installe sur le canapé noir en cuir et enlève ma veste. Je l'entends plus que ne le vois s'asseoir près de moi par contre j'ai bien vu sa grimace de circonstance. C'est si grave que ça ? Il lève les yeux vers moi, je les évite. Ca aurait été mieux si tu avais directement été à l'hôpital. Je mordille ma lèvre en sang ... Tant pis. Il soupire et se relève. Je vais chercher de quoi te soigner ... Tu pourrais ... ? Je fronce les sourcils. Fais pas ta prude, Slade, oui je peux enlever mon tee-shirt. C'est d'ailleurs ce que je fais immédiatement et me retrouve en top bretelles. Quoi ? Déçu ? Fis-je en riant. Dans ce métier, vaut mieux prévenir que guérir. Je l'entends râler, comme quoi il n'est pas pervers lui, en allant vers la salle de bain, je ris silencieusement. Une fois de retour avec la trousse et quelques instruments supplémentaires, il s'est installe rà côté de moi, à ma droite et à ouvert le trousse avant de la poser sur la table basse en verre. Ne bouge pas. Je roule des yeux. Je sais. Je l'entends marmonner des trucs incompréhensibles puis je sens enfoncer un truc dans mon bras, je lâche un petit cri de douleur puis serre fort les dents. Désolé ... Je ferme les yeux. Ce n'est pas de ta faute ... Il souffle. Je sais mais ... Je soupire. Slade ... Je sens la 'machin' se retirer. C'est bon. Je soupire de soulagement. Ce n'était pas spécialement profond, heureusement pour toi. Il a sortit une aiguille et du fil. Oh non ... Il a sourit. Eh si. Ca t'apprendras à faire la maligne. Je me suis directement refermée comme une coquille. La maligne ... Ouai, c'est ça. Vas-y. Il a levé le regard vers moi. Sûre ? J'ai hoché la tête. Ok. Il a enfoncé l'aiguille avec le fil et j'ai gémit de douleur. Ce fut plus silencieux que la première fois mais toujours aussi douloureux. Je lâchais des "argh" et des "aïe" constamment. Je m'étais connue plus dure. C'est bon ! J'ai soufflé à nouveau de soulagement. Enfin terminé. Allellujah. J'en avais presqu'oublie rmon père pendant la séance de torture ... Et rien que d'y penser le slarmes ont recommencer à couler. Castiel ? Je ... j'ai fait un truc qui fallait pas ? Je t'ai fait mal ? J'ai ris, un rire un peu hystérique. Non, non, c'est pas toi. Il a reculé un peu, sans doute le rire de folle qu'il ne me reconnaissait pas. Mais mon père est mort aujourd'hui. C'est ça la blessure. J'ai tué le type. Tu sais, j'avais pas le choix et ... J'ai éclaté en sanglot, comme ça, ce fut imprévisible. Je l'ai entendu posé rapidement les affaires et s'approcher de moi. Il m'a prit les bras devant mes yeux et m'a tiré vers lui. Viens ... Je l'ai directement etouré de mes bras, posé ma tête sur son épaule, et j'ai chialé comme une filette de dix ans. |
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