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| ethaniel ₪ there's something that i missed. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 15:51 | |
| © fate-of-faye | tumblr.❝ LEWIS, ETHANIEL-JACOB ❞ feat. alex pettyfer.
SURNOM(S) : Eth, Ethan, EJ. AGE : Vingt-deux ans. GROUPE : Kaponz & Spinoza. METIER/ETUDES : Étudiant en médecine. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire.
Can I ask you some questions ? AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: Qu'est-ce que ce sentiment ? Si ce n'est la terrible envie, l'horrible besoin, de se retrouver face à un miroir ? Une fausse image de vous, déformée à votre guise, modifiée comme vous l'avez toujours souhaité, refaite et améliorée ? C'est drôle que vous me parliez d'amour, moi qui ne crois pas en l'immuabilité d'un sentiment purement narcissique. Si j'ai déjà été amoureux ? La réponse me paraît claire. Je ne suis certainement pas parfait, et une image améliorée de ma personne ne serait sans doute pas plus mal, mais je ne l'ai pas encore trouvée. D'ailleurs, je ne la recherche même pas. Je ne suis jamais tombé amoureux de toute ma vie, bien que l'on parle de l'adolescence comme du temps où le cœur bat plus rapidement face aux personnes de sexe opposé. Disons que j'ai une façon bien à moi de considérer les relations avec les femmes, et cela date de plusieurs années. Évidemment, il a fallu qu'une rencontre bouleverse toute ma vision des choses, me fasse ressentir cet étrange état entre la nervosité et l'excitation lorsqu'elle se trouve devant moi. Je ne sais pas très bien si c'est de l'amour et, à vrai dire, je trouve ce terme terriblement réducteur, vulgaire. Il est trop commun pour décrire ce que je ressens. POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: C'est assez simple : on ne voulait plus de moi à Londres. J'avais dix-sept ans, j'étais intenable, les études étaient la dernière de mes préoccupations et ma mère a tâché bon de me confier à une personne digne de confiance : son frère. Je n'avais jamais vu mon oncle, savais qu'il vivait dans une ville perdue au beau milieu du désert australien, et voilà que j'étais condamné à le rejoindre. J'étais censé y passer un été et puis, loin de ma mère, je me suis senti renaître. Alors, on m'a inscrit au lycée, qui était à plus de trente kilomètres du ranch de mon oncle. Je n'ai plus un pied en dehors de l'Australie ensuite. J'ai choisi Sydney car la ville est beaucoup plus adaptée au genre d'études que je souhaitais entreprendre. AIMES-TU TES ÉTUDES ACTUELLES ? :: Il y a encore quelques années, je répondrais non sans hésitation. Pourtant, cet aspect de ma personnalité a changé. À l'adolescence, j'étais de ces garçons qui déclaraient haut et fort que les études ne servaient à rien dans la vie, que c'était l'expérience qui faisait un homme et non les livres. J'ai appris qu'en alliant les deux, on devient un être meilleur, et c'est ce que je tente de faire. Alors oui, j'aime mes études de médecine. Je les ai choisies attentivement, sans subir de pression, contrairement à tout ce que mon père m'a toujours rabâché pendant mon enfance.
NOM ET/OU PSEUDO : Jeremy, mais je préfère qu'on m'appelle Jem. AGE : 20 ans. RÉGION : La Suisse est-elle une région ? Aussi petite qu'une région en tout ça. FILLE OU GARÇON : Je suis une fille qui s'appelle Jeremy. (a) QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Contexte qui laisse beaucoup de place à l'imagination pour les personnages - ce que j'apprécie - et joli design. ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : C'est Delayed qui me l'a fait connaître. AUTRES :
Dernière édition par Ethaniel-Jacob Lewis le Ven 21 Jan - 17:22, édité 11 fois |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 15:52 | |
| I'd like to make myself believe. Lorsque l'on aborde le sujet du divorce, on fait la grimace. On pense que c'est un drame pour l'enfant qui se retrouve au milieu de toute cette histoire, on imagine ce qu'il endure, seul dans son lit la nuit, lorsque les souvenirs de son enfance lui reviennent, cette période où il était entouré par son père et sa mère, les instants où ils les voyaient heureux et épanouis ; amoureux. Eh bien, laissez-moi vous dire que, dans mon cas, le divorce de mes parents fut une véritable bénédiction. Je n'ai pas le souvenir d'avoir un jour pensé que le couple Lewis ait été amoureux, ni même amis. Mes parents étaient trop différents, et je l'ai immédiatement compris. Peut-être même avant eux ; ou alors, c'était simplement qu'ils se complaisaient dans cette situation de couple marié qui aime à faire bonne figure devant ses amis, mais qui se traite de tous les noms dès que l'assistance à le dos tourné. Le rideau rouge est tombé lorsque j'avais douze ans ; fin de l'acte, la représentation s'est terminée dans une belle explosion de mots soigneusement choisis par mon père, et dans l'effondrement émotionnel par ma mère. Durant toute mon enfance, j'ai connu un père austère et froid, qui privilégiait les affaires dans son cabinet d'avocat plutôt que les diners de famille. Ma mère, elle, côtoyait les clubs de lecture, les soirées mondaines et se donnait des airs de duchesse – ce qu'elle était assez loin d'être. Elle était mère au foyer mais elle a, en tout, dû me border quatre ou cinq fois ; peut-être six, avec la fois où j'ai attrapé la pneumonie. Après le divorce, tout changea du tout au tout. Ma mère a cessé de sortir et s'est enfermée à la maison, devenant étouffante au possible. À toute heure du jour ou de la nuit, je devais être joignable. Mon père, lui, a déménagé et s'est appliqué à m'inviter à passer tous les weekends avec lui – weekend durant lesquels il me faisait subtilement (du moins le pensait-il) comprendre que je deviendrais une déception si je ne choisissais pas la même voie que lui : le droit. En réaction, je suis devenu le fils indigne. A quatorze ans, j'oubliais sciemment mon téléphone portable sur la table de chevet, et ma mère le faisait sonner des dizaines de fois, jusqu'à ce qu'elle le retrouve planqué dans ma chambre. Je trainais toute la journée dans les rues de Londres, sans but précis, sans réelle motivation, tout cela pour que le directeur de mon école téléphone à mon père pour lui apprendre que j'avais encore séché les cours et que j'étais suspendu pour une période de trois jours. Je n'ai jamais rien fait d'illégal ; j'ai toujours côtoyé les mêmes personnes, je n'ai jamais touché à la drogue, et je buvais comme tout le monde boit en Angleterre. Je n'avais pas envie d'être ce que je n'étais pas, seulement de provoquer un peu mes parents. C'est rapidement devenu un jeu dangereux, et je me suis pris à mon propre piège. A force de revêtir un masque différent, vous vous perdez et vous ne savez plus lequel est le vrai. C'est ainsi que je suis devenu un jeune adolescent un peu perturbé qui manque de respect comme il respire. Ma première année de lycée a été rocambolesque et je ne sais même pas comment j'ai fait pour ne pas être passé à tabac par certains de mes camarades. Quoi qu'il en soit, je mettais ma mère dans tous ses états et, lorsque j'ai atteint l'âge de seize ans, et lorsqu'elle passé le cap de la mère qui pense qu'elle a tout mal fait et que tout est de sa faute, elle a décidé de m'envoyer en Australie chez son frère. Un oncle que je n'avais jamais vu de ma vie. En désaccord, je me suis enfui de chez moi pendant la journée et, lorsque je suis revenu, ma mère avait fait mes valises. Je me suis retrouvé dans l'avion sans réellement savoir ce qu'on allait faire de moi, où j'allais atterrir et pourquoi j'y étais envoyé. C'est lorsque j'ai mis les pieds dans ce patelin que j'ai compris qu'on me punissait. Le destin avait décidé, pour une raison inconnue, de me perdre dans cet amas de boue, d'herbes sauvages et de terre. Mon oncle était le vétérinaire le plus apprécié du comté, il habitait lui-même un ranch mais n'avait, en tout et pour tout, que trois chevaux et s'occupait plutôt de ceux des autres. La première semaine, j'ai cru mourir.
« J’ai promis à ta mère que tu ne resterais pas enfermé dans ta chambre, Ethan. » me lança-t-il alors que mon oncle passait la tête dans l'entrebâillement de la porte. C'était le sixième jour, et j'avais refusé tout contact avec les gens de cette ville, et même de cette maison. Pourtant, la petite femme qui faisait à manger semblait adorable, mais j'étais buté et, du haut de mes seize ans, j'avais hérité de toute la détermination qui coulait dans les veines des Lewis. « Il ne faut pas faire des promesses qu'on ne peut pas tenir. » lâchai-je, cassant, en me retournant dans mon lit. La chambre était sommaire, mais confortable. En fait, j'étais surpris que la maison ne tombe pas en ruine. De l'extérieur, elle semblait vieille avec la peinture décrépie sur les murs mais, en réalité, elle cachait bien des trésors. Évidemment, j'avais refusé de les voir. J'avais même été jusqu'à défier mon oncle, en excluant les dîners à la même table que lui et ses employés – son cabinet se trouvait à côté de la maison et tous ceux qui travaillaient avec lui semblaient faire partie de la famille. Cet excès d'hospitalité me donnait la nausée, et j'en aurais réellement vomi si seulement mon estomac n'était pas tiraillé par la faim. Comme je refusais de manger avec eux, je n'avais droit qu'à des petits restes et des morceaux de pain que la cuisinière mettait gentiment de côté, spécialement pour l'enfant capricieux que j'étais. « Tu devrais faire des efforts, maintenant que tu es ici. Tu as été envoyé chez moi pour t'améliorer. » m'expliqua-t-il pour la centième fois de la semaine, toujours avec sa voix douce qui me donnait envie de me lever et de le mettre une claque pour qu'il s'énerve un peu. Toutes mes tentatives de provocation ne fonctionnait pas avec lui, et cela m'irritait au plus haut point. Alors, je laissai échapper un grognement sonore, je me redressai en tirant les couvertures et crachai mon venin. « Si je suis ici, c'est seulement parce qu'on ne m'a pas laissé le choix. » Je le regardai attentivement, scrutai ses réactions. J'aurais aimé qu'il sorte de ses gonds, mais il reprit tout aussi calmement qu'auparavant. « Puisque c'est comme ça que ça fonctionne avec toi, je te donne le choix : soit tu te lèves, tu t'habilles et tu fais la tournée des ranches et des fermes avec moi ; soit je te tire de force et tu auras l'air d'un véritable crétin. »
Je ne sais pas très bien comment, mais sa manière de faire a plutôt bien marché avec moi. Pas immédiatement, cela a demandé quelques années, mais je me suis fait moins indomptable. Ça a commencé au milieu de l'été, quand je me suis intéressé à ses chevaux, à son travail. J'ai rapidement remarqué que mon oncle était apprécié et respecté pour son boulot de vétérinaire. Et puis, il ne me mettait jamais la pression. Certes, j'étais toujours forcé de l'accompagner dans ses tournées, mais j'avais toujours le choix entre rester dehors ou l'aider dans son travail. Les premières fois, je m'obstinais à demeurer à l'extérieur, à envoyer balader des cailloux avec mes pieds, à parler dans ma barbe en l'insultant intérieurement de faire de ma vie en enfer. J'ai néanmoins très vite compris qu'il n'en avait rien à faire, en réalité et que ma mauvaise humeur n'attisait point la sienne. Tout ce que je faisais, toutes les bêtises que j'entreprenais, se retrouvaient face à un mur d'impassibilité. Il était imperturbable. Alors, c'est la curiosité qui a fait son chemin. Je me suis peu à peu intéressé à ses activités et ma vie s'est remise sur des rails plus ou moins stables. Encore une fois, je ne sais pas très bien comment s'est arrivé, mais je me suis attaché à tout dans ce minuscule village, surtout les animaux. Évidemment, tout ne s'est pas immédiatement réglé et j'ai toujours eu quelques difficultés à renouer avec mes parents. D'ailleurs, je ne les considère même pas comme tels. Ma mère a essayé de m'appeler tous les soirs, mais l'entendre pleurer que son petit bébé lui manquait m'a rapidement lassé. Je n'ai pas le souvenir d'avoir été son petit bébé, pendant qu'elle côtoyait les fêtes mondaines. Mon père, lui, a essayé de me faire rentrer, de me faire entreprendre les mêmes études que lui. Il aimerait que je reprenne son cabinet d'avocat un jour, ce qui ne risque jamais d'arriver car, lorsque j'ai eu fini le lycée, j'ai choisi la voie de la médecine.
La musique était assourdissante. Un verre en plastique empli de bière à la main, les yeux papillonnant d'une tête à l'autre, d'un visage au suivant, je me tenais immobile, adossé contre un mur de la maison, ma petite bande d'amis discutant autour de moi, s'agitant comme des enfants, mais attirant à peine mon attention. Si elle n'était pas entrée dans la salle de la démarche que je lui connaissais si bien pour l'avoir observée mille fois, je m'en serais demandé ce que je fichais là, à cette fête à laquelle je n'étais même pas certain d'avoir été invité. Mais elle était là, à rire avec son entourage. J'observai chacun de ses gestes, étudiai le moindre de ses mouvements, notai mentalement chacune de ses petites manies de gestuelles. « Il semblerait qu'on ait perdu Ethan. » lâcha Carol à ma droite, ce que j'entendis parce qu'elle prononça mon prénom avec une voix parfaitement ridicule. Mes yeux lâchèrent leur prise et se posèrent sur le sourire taquin que mon amie arborait, triomphant, jubilant de m'avoir attrapé la main dans le sac. J'arquai un sourcil, la défiant de me révéler le fond de sa pensée, mais Marc la devança, avec toute la finesse qui le définissait si bien. « Moi je crois que c'est plutôt la petite blonde du fond qui lui retourne le cerveau. » J'étouffai un juron tandis qu'ils éclataient de rire. En un sens, Carol n'avait pas tort : j'étais perdu. Je n'avais jamais sincèrement cru en la durée des sentiments, je n'avais jamais idéalisé la relation de mes parents, et j'avais compris depuis que j'étais gosse que l'amour et le mariage était voué à l'échec. Surtout s'il me concernait ; j'étais le roi pour fuir les troisième rendez-vous, j'admettais avoir eu des relations amoureuses un peu plus sérieuses que des flirts, mais pas suffisamment importantes pour qu'elles me donnent envie d'aller loin. En résumé, je n'étais qu'un jeune étudiant qui profitait de ce qui lui était donné, sans chercher à avoir plus. Pourtant, avec elle, c'était différent. Je l'avais remarquée dans une soirée exactement comme celle-ci ; elle avançait dans la masse et je m'étais pris au jeu de l'observation. Sans comprendre qu'un piège se refermait sur moi, sans comprendre que le jeu de l'observation avait vite laissé sa place à une sincère fascination. Depuis, je m'étais renseigné : elle s'appelait Loan, elle était née en Australie et étudiait le droit. La première fois que je l'avais vue, elle agissait exactement comme elle le faisait là, en cet instant : elle faisait tourbillonner le liquide dans le fond de son verre, les yeux parcourant la pièce, un sourire distrait sur le visage. Je crevais d'envie de faire un geste brusque, d'attirer son attention sur moi, parce que je savais qu'elle ne m'avait encore jamais remarqué, alors que je savais presque tout d'elle. En tout cas, j'avais conscience des frissons qu'elle faisait naître sur ma peau lorsqu'elle souriait. Soudainement, une main s'abattit sur l'arrière de mon crâne, et je ne pus retenir le juron qui déborda de mes lèvres. « Monsieur l'bourreau des cœurs, on te parle ! » Je grimaçai en massant ma nuque, me retournant en direction de mes tortionnaires. J'entrouvris les lèvres pour leur demander de me lâcher, mais on ne m'en laissa pas l'occasion. La meilleure amie de Carol abattit son bras sur mes épaules, comme si elle avait me faire part d'un secret. « C'est qui ? » Un sourire déforma mes lèvres, et je haussai les épaules en posant mon regard sur Loan. « Je ne sais pas très bien. » Pas encore...
Dernière édition par Ethaniel-Jacob Lewis le Ven 21 Jan - 17:18, édité 13 fois |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 15:56 | |
| Bienvenuuuuuuuuuuuuuue ! |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 15:57 | |
| T'aurais pu le signaler que tu étais une fille. Bienvenue en tout cas et merci encore d'avoir pris mon scénario |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 16:00 | |
| ALEX Bienvenue sur le forum, l'équipe te remercie de ton inscription Bon courage pour la suite de ta fichette |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 16:04 | |
| Je pensais que tu l'avais compris, Olivia. J'aurais tué pour prendre un de tes scénarios, tu le sais. (aa)
Merci tout le monde. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 16:56 | |
| ALEX PETTYFER. Je l'avais en DC auparavant avant de changer d'avatar, je suis très heureux que Loan l'ait récupéré... et qu'il ait été pris si vite.
BIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUE SUR LAR ! Et merci beaucoup de ton inscription, bonne chance pour ta fiche.
PS; À moins que j'aie très mal compris, t'es un garçon en plus ? Bienvenue dans le club de l'espèce menacée du forum, mon gars. Au dernier recensement, il n'y avait plus qu'Austin et moi, notre cher Emrys nous a quitté. En tout cas, la bonne nouvelle, c'est que tu es là. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 18:46 | |
| Merci beaucoup. Ah, eh bien... Merci d'avoir changé, histoire que j'ai pu le récupérer. (a) Eh oui, je suis bien un homme. On se fait rare, c'est certain. Mais c'est mieux comme ça, on est toujours chouchouté sur les forums. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 19:00 | |
| Bienvenue et fait toi bien chouchouter ! C'est vrai qu'on se fait rare sur les forums rpg |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 19:35 | |
| MDR' T'as bien raison. Et derien, j'avais envie de changement, alors voilà. (: Andrew, on parle des gars derrière l'écran. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Sam 15 Jan - 21:15 | |
| Bienvenue ♥ Bon amusement ici ^^
Liam; Andrew est un homme derrière l'écran xD |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Dim 16 Jan - 1:06 | |
| Ah oui ? T'as raison, c'est écrit dans sa fiche de présentation, mais apparemment, je l'ai vraiment bien loupé. En tout cas, on est quatre, donc. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Dim 16 Jan - 4:59 | |
| Arf, mais on est trop. Si j'avais su, je ne me serais pas inscrit. Trop de mâles, je serais pas le roi. C'est triste.
Merci tout le monde. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Dim 16 Jan - 11:59 | |
| Mais non Ethaniel ! Vu les préférences d'Andrew ! tu peux garder toutes les filles XD Donc, cela te ferra encore plus de choix ^^ |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Ven 21 Jan - 17:23 | |
| Ça ne s'est pas fait très rapidement, mais j'ai terminé. J'espère que ça conviendra à Loan. (: |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Ven 21 Jan - 17:33 | |
| Bienvenue ! Alex Pettyfer |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Ven 21 Jan - 21:16 | |
| Pour toi, tout est parfait (: |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. Ven 21 Jan - 23:13 | |
| Ta fiche est vraiment superbe, Ethan. (: Tu écris avec une grande facilité, sans faire la moindre faute d'orthographe, ton texte se lit tout seul. C'est fluide avec d'excellentes idées. Tu m'as l'air très bon en RPG, c'est clair. Je te valide donc, fiche parfaite ! Il nous faudra un lien, je le sens. |
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| Sujet: Re: ethaniel ₪ there's something that i missed. | |
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| | | | ethaniel ₪ there's something that i missed. | |
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