| Sujet: (M) JAMES FRANCO ♦ our love was forbidden. Lun 28 Mar - 0:40 | |
| © CYRINE ✎ Identité : NOM : Ici. PRENOM(S) : Camden, négociable. SURNOM(S) : Ici. ÂGE : 30 ans. METIER : Professeur de droit à l'université. STATUT : Divorcé. AVATAR : James Franco, négociable avec Misha Collins. INFORMATIONS COMPLEMENTAIRES : J'aimerais quelqu'un qui soit vraiment motivé pour le rôle, car Camden est très important pour l'évolution de Frida, pour le niveau je ne demande rien d'extraordinaire, sachez que je fais entre 600 et 800 mots par RP. J'aimerais quelqu'un qui ne fasse pas des fautes graves, par pitié. ✎ Histoire du scénario : L'histoire est assez libre, je n'aime pas mettre des obligations. Mais il est anglais, il a vécut à Londres jusqu'à maintenant. Il a été prof de droit à l'université jusqu'à ses vingt-sept ans, jusqu'à ce que toute l'histoire entre lui et Frida éclate au grand jour. Il a du être marié pendant son histoire avec Frida, et après il a divorcé, sa femme ne voulait plus de lui, elle ne supportait pas qu'il l'est trompé avec une élève. Il est arrivé à Sydney il y a quelques semaines, maximum deux mois. ✎ Lien entre le scénario et vous : EXTRAIT DE MA FICHEElle n'avait pas pensé que suivre des études qu'elle n'aimait pas pouvait être aussi plaisant, finalement. Mais ce qu'elle faisait, ce qu'ils faisaient ensemble, ils ne pouvaient pas continuer. C'était un professeur. Son professeur. Elle l'aimait, il semble même qu'elle soit tombé amoureuse de lui dés la première fois où elle a croisé ses yeux bleus. Frida avait dix-neuf ans; lui devait en avoir vingt-sept, et il était marié. Professeur de droit, il n'avait rien pu faire, il n'avait pas pu contrôler ses sentiments envers son élève; il aurait voulu, mais elle l'envoutait, il lui offrait beaucoup; elle, était amoureuse. Tout était parfait entre eux; ils se voyaient en cachette entre deux cours, personne ne se doutait de rien. Et ils étaient heureux. Tous les deux fautifs, mais heureux. Lui disait qu'elle lui apportait tout, tout ce que sa femme n'avait jamais su lui donner, soit un véritable amour. Mais ça ne pouvait pas durer indéfiniment, et c'est une amie à Frida qui a découvert la vérité, un soir d'été, c'était les vacances, et ça faisait environ six mois que leur histoire avait débutée. Frida était en compagnie d'une de ses plus proches amies, July, et elles étaient allongées dans l'herbe. Une question brulait les lèvres de July. « C'est qui Camden ? » Frida se tourna vers son amie, le regard inquiet, et surpris. « Pardon ? » « Bah Camden, celui qui t'as laissé ce mot... on ne peut plus tendre d'ailleurs. » « Je... ne... personne, rend moi ça. Où tu l'as trouvé d'abord ? » La jeune femme se leva et s'éloigna de la brune. Frida se leva à son tour, et croisa les bras sur sa poitrine. « Je ne rigole pas July, vraiment. » « T'as tant de choses à cacher ? » « Arrête ce jeu stupide, rend moi cette lettre. » C'est à ce moment là que July sembla réaliser une chose, et inquiéta encore plus Frida. Son cœur battait à mille, elle savait que la vérité allait éclater, là, maintenant, dans quelques instants. « Ne me dis pas que c'est le prof de droit ? » La jeune femme baissa les yeux, elle ne voulait pas se défendre, ça ne servait à rien. Et elle savait qu'elle venait de tout perdre. Son amour, ses études, July, son amitié, sa mère, sa fierté et sa dignité. Et par la même occasion, elle avait certainement ruinée la vie de Camden. Il ne lui restait plus qu'à partir. Loin. Et c'est ce qu'elle a fait. Elle est partie. Sans un mot à quiconque. Elle ne savait pas si Camden avait perdu son emploi, et sa femme par la même occasion. Frida partait sans un au revoir à personne, pas même sa mère. C'est juste en arrivant à Sydney qu'elle lui envoya une carte, dont elle n'eut aucune réponse. Ça l'attristait, mais elle se sentait mieux ici qu'à Londres. La jolie brune a ouvert, à à peine vingt ans, sa propre boutique de vêtements, Kenny Frida. Aujourd'hui, elle ne vit que pour son travail, et ne s'occupe pas de trouver l'amour. Sauf que Camden est lui aussi à Sydney, en ville, ça elle ne le sait pas, et les sentiments n'ont jamais disparu. |
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