JULES ϟ Let the rain wash away all the pain of yesterday.

❝ JULES BARNEY-HORSFILED ❞

feat. keira knightley.

LOVE ALWAYS REMAINS

SURNOM(S) : Souvent surnommée par l'abréviation Ju ou encore Juju. Son mari la surnomme Princesse depuis le jour de leur rencontre.
AGE : 25 ans.
GROUPE : Nat King Cole.
METIER/ETUDES : Organisatrice de mariage.
SITUATION AMOUREUSE : Mariée.

Can I ask you some questions ?

AS-TU DEJA ETE AMOUREUSE ? :: Je ne l'ai été que deux fois. On a tous eu le grand amour de votre vie, pour ma part ce fut à la fois mon premier amour et ma plus belle histoire. Nous étions à l'époque de jeunes adultes, on cherchait à se connaître, nos parents se détestaient et pourtant, on ressentait ce besoin d'être proche l'un de l'autre. Notre relation a duré pendant deux années, lors de mes 20 ans, j'ai subitement quitté la ville, lorsqu'il m'a prononcé son premier "Je t'aime". Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu ce besoin de m'éloigner loin de lui, et finalement je ne suis jamais revenue. Cependant, par la suite j'ai changé, mûri et j'ai rencontré Riley, une histoire bien différente.
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: Lorsque je suis arrivée à Sydney, il y a 5 ans, je ne pensais pas rester pour une longue durée, me poser et me marier n'était pas dans mes priorités, puis l'amour est venu s'interposer, et depuis je n'ai pas quitté la ville. A la base, je venais le temps de quelques semaines de vacances, puis je me suis prise au jeu et suis restée quelques mois, trouvée un emploi, rencontrée Riley. Rien ne m'attendait, je suis restée.
AIMES-TU TON EMPLOI/ÉTUDES ACTUEL(LES) ? :: Autant aimer son métier, non ? J'ai toujours aimé réaliser le bonheur des autres, et je le réalise quelque peu en réalisant le mariage de leur rêve. Je m'étais pourtant dite qu'au contraire de mes clients, jamais je ne porterais une robe blanche pour dire un simple "oui". Puis, l'amour a été plus fort.

NOM ET/OU PSEUDO : Tears Emptiness, Caroline.
AGE : 5 petites années.
RÉGION : Au pays des bisounours.
FILLE OU GARÇON : Le sexe fort.
QUE PENSES-TU DU FORUM ? : ~~Il me ressemble : Il est parfait !~~ Un grand bravo à cette jolie nouvelle version.
ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Ca fait longtemps que je suis là.
AUTRES : JULES ϟ Let the rain wash away all the pain of yesterday. 448644

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I'd like to make myself believe.

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Jules et Billy entretenaient une relation impossible. Des parents qui se faisaient la guerre depuis des années pour une broutille de voisinage, tandis que leurs enfants se voyaient en cachette. Pour Billy cette relation cachée durait depuis trop longtemps, il ressentait le besoin de se montrer avec Jules, de s'installer avec elle, et de fonder une famille. Depuis deux ans, elle lui disait que bientôt elle irait parler à son père, en repoussant toujours la date de quelques semaines, ou bien mois. Toquant à la porte, Jules ouvrit sa porte pour retrouver Billy en face d'elle, elle le fit rentrer d'un geste rapide, sans manquer de jeter un regard dans les environs, hors de question que quelqu'un les voit. Fermant la porte derrière, elle fronça les sourcils tout en demandant sèchement. « Qu'est-ce que tu fais là ? On pourrait nous voir. » Un long soupire prenait part chez le jeune homme, cela l'exaspérait que la première chose qui venait à la tracasser était que quelqu'un découvre leur soit disant relation. Tentant de lui faire changer d'état d'esprit, il déposa ses lèvres sur les siennes pendant quelques secondes, déposant ses mains sur les joues de Jules, elle afficha un léger sourire envers Bil. « Tu me manques Jules, j'en ai marre de devoir être caché pour te voir. Ca dure depuis trop longtemps. » Alors qu'il se détachait délicatement d'elle, Jules eut ce réflexe de le retenir, coller contre lui, sa main passant dans les cheveux du jeune homme, elle tentait sa phrase magique. « La situation sera bientôt différente, tu le sais. » Chaque jour, où le jeune homme remettait sur tapis qu'il en avait marre de la voir en cachette, elle lui disait que cela n'était que pour une courte durée. Cette courte durée, durait depuis deux ans bientôt. « Depuis deux ans tu me dis ça chaque jour, et qu'est-ce qui est différent ? Rien ! » Brutalement, il quitta l'éteindre de Jules. « Tu le connais il pourrait.. » Alors que celle-ci gardait son calme, et parlait de sa voix douce, il lui coupa la parole, aussi froidement qu'il s'était séparé d'elle. « .. très mal le prendre, t'interdire de me voir et compagnie. Tu n'as plus 15 ans, tu en as 20. J'ai besoin d'avoir la femme que j'aime à mes côtés. Je t'aime Jules. » Il avait raison, mais elle savait que son père serait blessé de le savoir en couple avec Billy. Elle avait toujours tout fait pour être la fierté de son père, elle avait réussi, et il était hors de question qu'elle gâche tout pour un homme. Certes, elle l'aimait, beaucoup plus qu'il ne le faudrait, mais d'une certaine façon, elle refoulait ses sentiments, en s'interdisant de l'aimer plus que la normale. Lors de sa dernière phrase, il s'était rapproché d'elle, la première et unique fois qu'il lui avait dit ses trois mots. Ce je t'aime était sacré, et d'une certaine façon, cela avait peur à Jules. « Il est tard, tu devrais y aller, on se revoit demain, d'accord ? » Il ouvrit la porte pour la refermer derrière lui dans la seconde qui avait suivi les paroles de la jeune femme. Ce soir-là, ce fut le dernier soir où le couple se voyait. Le lendemain, Jules avait quitté la ville sans donner d'explication à Billy, ou à sa famille, elle quittait sa ville natale pour Sydney, son départ datait d'il y a cinq ans.

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Une légère robe, des cheveux soigneusement coiffés, elle avait passé des heures dans cette salle de bain, pour que son mari n'ait que regard pour elle. Riley l'avait invité à une inauguration pour l'ouverture de leur dernier projet en date. Par politesse, elle avait accepté, malgré le fait d'écouter des individus à parler d'un sujet dont Jules n'en comprenait pas le quart. Comme à chaque fois, elle faisait cet effort, cependant cette fois-ci, elle pourrait rencontrer la fameuse Kristen, la nouvelle PDG de l'entreprise où travaille Riley. Une femme banale, lui avait-il raconté. Alors qu'ils arrivaient, elle fut dans les quelques minutes suivantes confrontées à elle. Des formes généreuses, des lèvres pulpeuses, elle était quelque peu le contraire de Jules, qui complexait de sa maigreur. Déposant ses joues contre celles de son mari, pour un signe de salutation, elle afficha un sourire forcé lorsque venait son tour pour une simple poignée de main. « Riley ne nous a pas présenté, je suis Kristen Stanfield son employeur. » Il n'y avait pas de doute, cette soirée risquait d'être longue. Alors qu'elle dévorait son mari des yeux, Jules eut cette fâcheuse habitude de glisser son bras dans celui-ci de Riley et se serrer contre lui, tout en disant d'une voix plutôt joueuse. « Enchantée, je suis Jules, sa femme. » Riley connaissait sa femme sur le bout des doigts, ainsi que son côté de jalousie abusive. Cependant, ce soir il n'y avait pas de doute, cette femme jouait de son charme sous les propres yeux de Jules. Le bras du jeune homme se séparait de celui-ci de sa femme, lorsqu'il déposait un baiser sur sa tempe, avant de s'exprimer. « Tu m'excuses ? » Jules n'avait pas vraiment le choix, alors qu'elle voyait son mari s'éloignait en compagnie de cette Kristen, la jeune femme n'avait nul choix que de se trouver de la compagnie. Se dirigeant vers le comptoir, elle accumula les verres de vin blanc, du début à la fin de soirée.

Lors de la fin de soirée, le retour fut long. Le trajet de la voiture se fit dans le silence, la montée de l'ascenseur en direction de leur appartement en fut de même. Pénétrant à l'intérieur, Jules se dirigea vers la salle, y passant une dizaine de minutes, le temps de se démaquiller, se changer et rejoindre leur chambre où Riley l'attendait. « Tu ne m'avais pas dit que ta patronne était séduisante. » Le ton de sa voix sonnait plutôt froid, il savait pourtant qu'en agissant de la sorte, Jules sortirait de ses gondes, et sa jalousie maladive ferait surface. Il en avait confiance, mais agissait différemment. « Je n'y ai pas fait attention c'est tout. » Jules s'arrêta net face à son conjoint, les yeux écarquillaient, elle s'avançait vers sa direction. Toute la soirée, il l'avait passé en sa compagnie, alors qu'elle dévorait chaque partie de son physique. Lui n'était pas complètement indifférent, il l'écoutait d'une oreille attentive, buvant ses paroles. « Sérieusement Riley, tous les hommes se retournent quand elle passe. Regarde-moi et dis-moi que tu ne l'as jamais regardé elle et ses deux amis. » Lorsqu'elle parlait de "ses deux amis", elle désignait de ses mains sa poitrine, qui au contraire de la patronne de Riley, celle-ci n'était pas avantageuse. Le mot qui désignait Jules était "plate", elle n'avait aucune forme. « Jules, arrêtes. Tu sais comment ça va se terminer. » Si la jeune femme continuait, elle quitterait la chambre et dormirait dans le salon, séparément de son mari. Voilà comment elle fonctionnait après une dispute. Elle ne pouvait pas lui en vouloir d'être séduis par d'autres jeunes femmes qu'elle, mais c'était plus fort qu'elle. La peur de le perdre, qu'il la quitte, chaque jour elle ressentait cela. « Tu ne m'as pas adressé une seule fois la parole pendant cette stupide inauguration. Elle te bouffait du regard et toi, tu buvais ses paroles. Dis-moi qu'elle ne t'attire pas et j'arrêterais. » Haussant le ton, cette soirée avait horrible pour Jules, pour seule compagnie un verre de vin blanc, elle n'avait adressé la parole à personne. Des gens inconnus, seul son regard était resté sur Riley et Kristen, qui à son contraire avait l'air d'apprécier la soirée. Son regard posté sur celui-ci de Riley, il ouvrit la bouche comme pour en sortir une phrase, qui restait bloqué. « Bonne nuit. » Attrapant un oreiller, ainsi qu'une couverture. Riley connaissait le rituel, un "bonne nuit" froid, elle quitterait la chambre, passerait la nuit dans le salon et demain matin il viendra s'excuser, Jules en ferait de même en disant que c'était plus fort qu'elle.