nom Jusqu'à ses seize ans, Juliet portait comme nom de famille Princeton-Greengrass, mais suite au divorce de ses parents, elle a pris la décision de ne plus porter le nom de famille de sa mère et de ne garder que celui de son père. prénoms Ses parents ont choisi le prénom Juliet, ils ont choisi ce prénom dès qu'ils ont su que la dame était enceinte. Ils ne cherchaient pas nécessairement quelque chose d'original et c,est pour cela qu'elle porte le prénom de sa grand-mère paternelle. Aussi, elle porte le prénom de l'héroïne préférée de sa mère : Amelia Earhart, cette aviatrice américaine. surnom La plupart de ses amis la surnomment Jules. Sinon sa meilleure amie a le don de lui trouver de nombreux surnoms plus stupides les uns que les autres. âge/date et lieu de naissance Elle a vingt-six ans et elle est née le quatorze mai à Sydney. Sa mère est franco-italienne et son père est australien. métier/études Elle pratique le métier de réalisatrice depuis maintenant trois ans. Elle a longtemps travaillé sur des petits films indépendants partout dans le monde, même quelques documentaires. Son travail a été très apprécié par les critiques et c'est pour cette raison qu'elle a pu travailler sur de plus grandes productions internationales. Elle a bien entendu complété ses études universitaires en réalisation et production cinématographique. situation sociale Jules a longtemps été en couple, mais la relation qu'elle entretenait s'est relevée être un total désastre. Elle est donc maintenant célibataire, quoiqu'elle ne serait pas contre de rencontrer quelqu'un qui la comblerait. groupe The Fray.

As-tu déjà connu l'amour ? Oui, j'ai déjà connu l'amour. À l'époque, je croyais qu'il s'agissait du véritable amour, du vrai de vrai. Nous partagions vraiment quelque chose de spécial. Nous nous étions rencontrés au lycée et nous sommes restés ensemble jusqu'à la deuxième année d'université. Tout semblait parfait au tout début, puis les choses se sont peu à peu dégradées. Mais, nous finissions toujours par revenir l'un vers l'autre, comme deux aimants. Mais bon, rien ne dure éternellement. Je suis tombée accidentellement enceinte et nous n'avions pas la même vision des choses quant à la suite des choses. Nous avons rompu et j'ai perdu le bébé. Fin de l'histoire.
Pourquoi es-tu en Australie, à Sydney ? J'y suis née et j'y suis toujours restée. C'est une ville magnifique, vraiment. Elle a petit quelque chose, mais je ne saurai dire quoi. J'ai toujours aimé me promener dans les rues de Sydney. Elle est loin d'être comme New-York ou Los Angeles. Ou même Paris ou Londres. L'Australie en soi est un pays fantastique. On y trouve des grands centres urbains, mais aussi l'océan, le désert, cette extraordinaire nature. Se trouver à Sydney, c'est avoir accès à toutes ces merveilles choses en même temps. Sydney c'est un peu comme ma maison, une ville à laquelle je serai toujours rattachée. J'ai voyagé un peu partout dans le monde, mais Sydney restera toujours mon chez-moi, la plus belle des villes.
Aimes-tu ta profession ou les études que tu suis ? J'adore mon métier, vraiment. Certes, je ne sauve pas des vies, je ne m'occupe pas d'enfants malades, mais j'aime vraiment ce que je fais dans la vie. Grâce aux quelques reportages que j'ai fait à l'étranger, j'espère avoir pu passer un message humanitaire, avoir sensibiliser les gens. Je ne changerai mon métier pour rien au monde, je me sens vraiment à ma place grâce à lui, dans les meilleures et les pires moments. J'adore faire ces reportages à l'étranger, mais m'occuper d'un film d'action ou d'amour est tout aussi amusant.

Citation :

prénom/pseudonyme âge seize ans. comment tu as atterri sur LAR grâce à Bazzart le magnifique ton avis sur ce dernier il est sublime, comme toujours avatar sophia la plus belle bush une dernière chose à dire vous avez fait du vraiment très beau travail avec cette réouverture

« Tu seras toujours là pour moi ? » Parfois, des liens invraisemblables se créent entre deux êtres humains. Un lien indéfini et éternel. C'était une relation de ce genre qui unissait Jules et Ingrid, elles étaient réunis par un lien fort et incroyable, un lien unique. « Oui. Toi et moi pour toujours. » Ce fut toujours ainsi entre ma meilleure amie et moi. Des véritables inséparables, sinon quelques chamailleries. Nous étions voisines depuis toujours, mais nous sommes vite devenues comme deux soeurs. Nous faisions absolument tout ensemble. On se cachait dans les penderies de nos mamans et on mangeait des biscuits en cachette. Nous étions véritablement véritablement inséparables, nous faisions tout ensemble. Là où Ingrid était, Jules n'était pas loin. Leur amitié n'a jamais cessé depuis cette époque.



La mère de ma meilleure amie me déposait chez-moi. Maman disait qu'elle avait besoin de changer d'air. Maman s'était plongée dans son travail d'avocate alors que Papa s'efforçait de se faire à l'idée que Maman voulait le quitter. C'est d'ailleurs pour cette raison qu'elle avait déménagé dans un petit appartement à l'autre bout de la ville. Je remerciai la maman d'Ingrid avant d'entrer dans la maison. « Je suis là! » Papa, lui, était architecte et travaillait à son propre compte, à la maison. Je montai les escaliers quatre à quatre, vers son atelier. J'avais cette nouvelle habitude de faire mes devoirs dans son atelier. J'avais un petit faible pour les chevalets qu'il utilisait. J'entrai dans son bureau. Il était occupé, en train de travailler. Sentant ma présence, il leva les yeux et me sourit. « Jules! Passez une belle journée? » Je souris et hochai la tête. Je m'approchai et déposai un baiser sur sa joue avant de m'installer à mon chevalet. Je l'avais personnalisé en mettant des photos et des collants. Mon regard se posa sur une photo de Maman et moi. Je mordis ma lèvre inférieure pour m'empêcher de pleurer. Depuis qu'elle avait quitté la résidence familiale, je ne l'avais pas revue. J'ouvris mes devoirs et déconnectai mes yeux de la photo. Elle me manquait tant, j'arrivais à peine à ne pas penser à elle. Certes, je ne voulais pas penser à elle. Je finis bien vite mes maths, avec la motivation, c'est plus facile. Mon père se plaça derrière moi et il replaça une de mes mèches de cheveux et souris faiblement. « Tu es si belle. » Je savais que je lui faisais penser à Maman. Bien que nous fussions totalement différentes, elle et moi avions le même visage. Je souris à mon père, en me retenant de pleurer. Papa et Ingrid disaient qu'elle reviendrait et que tout irait bien, mais j'en doutais. Ça faisait longtemps que je ne voyais plus autant d'amour dans les yeux de mes parents, du moins, dans les yeux de Maman. Je savais qu'elle ne reviendrait pas.