Sujet: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Mer 11 Jan - 22:58
ROONEY JAMIE DANIELS
nom Daniels. Rooney à toujours trouver ça un peu ridicule. Peut être parce que l'idée d'être plusieurs Daniel à la fois ne la réjouissait pas vraiment. Sans blague, utiliser un prénom en nom de famille en le mettant au pluriel. Pour un peu on pourrait croire que c'est elle qui s'appelle Daniels. Elle exagère peut être un peu, mais il faut dire qu'elle a toujours eu du mal avec sa famille, et elle sait avoir des réactions puérils lorsqu'on en vient à ses parents.prénoms Rooney. On est pas obligé d'apprécié son prénom. Et Rooney représente pour elle tout ce qu'elle déteste. Ca peut être étrange de penser qu'un prénom peut vraiment représenter quelque chose aux yeux de quelqu'un. Quoique. Premièrement si on recherche Rooney sur google, on se rend vite compte que c'est principalement un nom de famille. Et tout de suite on pense que l'appeler Rooney Daniels... Il fallait pas être vraiment futé. On trouve aussi un joueur de football ou de je ne sais pas quoi. Mais surtout on ne trouve aucune jolie signification poétique, ou alors d'histoire génial sur le prénom Rooney qui pourrait un temps soit peu remonter le moral de la jeune femme. Clairement, Rooney ne supporte pas qu'on l'appelle Rooney. Heureusement, ses parents dans un instant de clairvoyance ils lui ont donné comme second prénom Jamie. Et tout de suite ça sonne mieux, ça colle mieux avec les traits doux de la jeune femme. Ca éclaire son caractère bien trempé. Jamie était d'ailleurs le second prénom de sa grand mère préféré. La seule personne de la famille Daniels avec qui Rooney s'entendait bien. Bien sûr sa grand mère avait un prénom plus conventionnel mais elle aussi préférait qu'on l'appelle Jamie. Et c'est aussi probablement grâce à elle que Rooney adore tellement le prénom de Jamie. Car, vous qui ne l'avez pas connu, vous pouvez en être sûr il n'y avait pas plus de bonté, d'humour, et de force de caractère qu'en Jamie Daniels, première du nom. surnom Bella, assez peut de personne l'appelle comme ça. A vrai dire seulement Sarah peut l'appeler comme ça sans l'énervé. Sinon ce surnom normalement affectueux sonnera tout de suite comme "soit belle, et tais-toi" et déclenchera en Rooney des foudres de violence. Si vous voulez lui faire plaisir, et lui donner un surnom qui lui plaira, contentez vous de l'appeler Jamie, ça lui ira à la perfection. âge/date et lieu de naissance Rooney est né le 1er Avril 1986, à Sydney. Et donc si on est pas une brèle en mathématiques, on se rend vite compte qu'elle a dans les environs de 26 ans. Car voyez vous, à partir de 20 ans, la demoiselle à arrêter de compter. Normalement on se dit qu'il y a deux jours ou il ne faut pas naître dans l'année. Et sur 365 jours, petit foetus que nous sommes, on peut espérer avoir la chance de ne pas naître sur l'un de ses deux jours là. Le 29 Février tout d'abord, parce que l'idée d'avoir son anniversaire que tous les quatre ans n'est pas franchement tentant. Et le 1er Avril parce que... C'est une blague ou quoi ? En plus quand on reçoit un faire part annonçant la naissance de notre ravissante fille, et blablabla, le 1er Avril... On peut facilement être tenter de se dire c'est une blague. Surtout que Rooney est né avec un mois d'avance, comme si elle avait volontairement choisi de naître, pile ce jour débile ! Bon quand on regarde de plus près, il est assez désagréable de naître un 24, 25 ou 31 Décembre, et un 14 Fevrier, de peur de se faire piquer la vedette par une autre fête... Mais ça n'a absolument aucun rapport avec le cas de Rooney, pour qui tous les ans, on se demande si quand elle nous dit que c'est son anniversaire ce n'est pas une blague, ou encore que ceux qui le savent lui fasse la blague de ne pas s'en souvenir. Sens de l'humour douteux, bonjour ! métier/études Journaliste. C'est comme un rêve d'enfant, pouvoir dire enfin ce qu'on l'on pense. Être son propre maître, éclairer les autres sur des choses qui nous intéresse qui nous paraisse importante. Avoir la subjectivité objective. Toujours donner le meilleur de soi même, et écrire. Écrire encore et toujours, jusqu'à en avoir mal au poignet. Pour Rooney l'écriture à toujours été un exutoire, elle écrivait sur tout et n'importe quoi. Elle jouait au critique cinématographique et littéraire en donnant son avis sur tout ce qu'elle voyait ou lisait. Elle s'inventait des histoires abracadabrantes ou le monde était enfin à ses pieds, ou la vie pourrait être drôle. Elle savait être caustique, hilarante, et touchante. Elle pouvait avoir les meilleurs mots du monde, mais être écrivaine lui paraissait presque vain. Alors que journaliste, piégé par de petite question tordu, obtenir les informations qui l'intéresse, et les mettre en forme pour que tout le monde le comprenne du mieux qu'il peut. Donner à voir la vérité tel qu'elle est, et sortir enfin une bonne fois pour toute de son rêve éveillé, qu'elle essaye de vivre depuis l'enfance sans vraiment y parvenir. situation sociale Célibataire. A douze ans on trouve ça normal. A quatorze c'est encore plausible. A seize ça devient agaçant. A dix huit on a envie d'en pleurer. A vingt ans on commence à dire que sa vie sera définitivement sans mec. A vingt deux on en a marre des mecs et de leur histoire à la con. A vingt quatre on a remis le couvert plusieurs fois et on s'est encore cassé la figure. A vingt six on commence presque à envisager l'idée d'entrer au couvent et de finir une vieille fille. Ou alors d'être l'une de ses vierge consacrée... Quoiqu'il est trop tard pour ça. Quand on parle d'amour Rooney se trouve toute suite être un cas sociale. Une véritable bombe. Et ce n'est pas le choix qui manque. Mais face à une fille névrosée comme Rooney, il arrive souvent que certains paniques, ou alors c'est juste Rooney qui attire les boulets et qui les chasse à coup de pied. En même temps quand on voit que sa meilleure amie est marié à un abrutit de première par inadvertance, on se dit que c'est peut être transmissible dans les gênes de l'amitié. groupe The script.
my lost soul was saved by a stranger
As-tu déjà connu l'amour ? J'ai très longtemps été le genre de personne qui envers et contre tout croyait à l'amour. Je me repassais Love Actually en boucle en me persuadant que ça m'arriverait. J'essayais sans cesse, me rétamais, et me convainquait que c'était parce que je n'avais pas fait assez d'effort. Je m'entichais des mauvais mecs, je perdais les pédales, et je souffrais d'amour. Mais c'était normal. L'amour ne va pas sans souffrance. bridget Jones n'aurait probablement pas trouver son grand amour si elle n'avait pas été amoureuse à en crever de son con de patron. Et l'histoire aurait perdu de son intérêt si elle n'avait pas chanter complètement bourrée, un verre de vin à la main, l'une des chansons les plus niaises du monde. Alors on peut dire que j'ai été un coeur d'artichaut . Mais quand je regardais mes parents, je ne faisais que penser qu'ils leurs manquaient un coeur, alors au contraire d'eux je voulais montrer que j'en avais un. Mais savez vous ce qu'on fait à ceux qui on du coeur ? On les écrases d'un coup de cuillère à soupe et on les laisse trainer sur le bitume. Je m'en suis ramassée de belle, des drôles, des atroces. Je suis le déchet des relations amoureuses. Peut importe la chute catastrophique d'une relation amoureuse que vous pouvez avoir en tête je l'aurais probablement essayé avant vous. J'aurais pu continuer comme ça, à vie. Après tout les râteaux son les départs des grandes histoires d'amour, on nous fait croire. Mais si avant j'étais un coeur en sucre qui faisait croire de ne pas adhérer à ses débilités. Aujourd'hui je suis quelqu'un qui ne croit plus en rien, et qui fait croire qu'elle est encore un coeur en sucre. Je t'accueille à bras ouvert, et je te fais gouter mon amertume dans un allée simple vers l'ombre des amantes déchues. Pourquoi es-tu en Australie, à Sydney ? J'y suis née, j'y ai grandis, j'y ai développé la plus part de mes rêves, de mes idées d'avenir, et de mes déceptions. La quitté fut mon plus grand malaise. L'idée de ne pas pouvoir y revenir un jour la plus grande de mes peurs. Pourtant New York n'est pas exactement le genre de ville que je peux détester. Mais Sydney à ce petit détail qui fait qu'elle aura toujours mon coeur. Elle a Sarah dans la peau et je ne peux pas m'en passer. Je ne pouvais pas vieillir ailleurs qu'ici. J'ai besoin de mes racines, et de mes erreurs pour m'épanouir. Pourtant j'aurais aimé ne pas être une sédentaire, voyager dans le monde entier, sans attache, avec comme quête que la beauté, et la vie, le rêve un peu aussi. Mais je ne suis pas vraiment ce genre de personne. J'aime voyager, mais Sydney me manque vite, ses paysages, ses bâtiments, ses habitants. Je suis aussi une grande amoureuse de l'Australie. Une chose est sûr, à ma mort j'en aurais explorer chaque recoin. Aimes-tu ta profession ou les études que tu suis ? Le contraire serait plutôt horrible. Se lever le matin serait alors impossible. Et je ne suis pas vraiment le genre de personne qui apprécie braver l'impossible. Je suis journaliste par choix. Parce que j'ai la plume, ou le clavier de mon ordinateur dans mes os depuis bien trop longtemps, et que quoique je fasse j'aurais toujours le besoin de m'exprimer, de peser le pour et le contre de chaque chose devant un public d'anonyme qui ne me répondra pas, mais qui me prendra en compte pour j'espère prendre la bonne décision. Je préfère souvent la critique, à l'actualité. Parce que j'ai souvent du mal avec l'objectivité journalistique. Je suis une grande gueule qui ne mâche pas ses mots. Mais je fais des bulletins à la fois drôle et sincère qui pourront passionné le lecteur. En revanche je n'aime pas mon boss. Justement parce qu'il ne me laisse pas faire ce que je veux. Je serais moi je personnaliserais toute l'actualité, pour la mettre à la porter de tout le monde, dans une sorte de fausse objectivité subjective. Un billet personnel, et drôle qui en désopilerait plus d'un. A la place je suis contrainte de fermer ma bouche sur l'actualité, et d'éplucher les faits divers. Une fois l'an quand j'ai rendu un article qui lui plaisait, j'ai le droit de faire une critique de l'un des derniers navets sortis au cinéma. Mais puisque c'est un navet, la critique est tout de suite moins intéressante à faire. Mais je ne perds pas espoir. Un jour on me reconnaîtra pour mon véritable talent, et on me donnera carte blanche. Ce jour là, je ferais des merveilles.
Citation :
prénom/pseudonyme Margauw / Twisted Sunshine âge 19 ans comment tu as atterri sur LAR Par Sarah et Blade ton avis sur ce dernier C'est vraiment beau ici. et tout le monde à l'air cool. avatar Sophia Bush une dernière chose à dire J'ai hate d'avoir fini, et d'être validée .
Dernière édition par Rooney Daniels le Sam 14 Jan - 18:52, édité 10 fois
Rooney Daniels
◮ messages : 13 ◮ date d'inscription : 11/01/2012 ◮ occupation : Journaliste ◮ envie : Rêver ✘ Retrouver mon optimiste ✘ Et mon esprit de Peter Pan ✘ Danser ✘ Ecrire ✘ Aimer
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Mer 11 Jan - 22:59
❝you saved my dream, you heard me scream❞
« La souffrance peut occuper une telle place qu’on en oublie le bonheur. Parce qu’on ne se rappelle pas avoir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d’autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu’on n’a pas l’habitude, et à ce moment précis, on se rend compte qu’on est heureux. »
C'est peut être étrange de commencer par là. Mais il y a probablement une chose que je n'ai jamais dit à personne. Aussi loin que je me rappelle, j'ai toujours détesté mes parents. Enfin, je les ai détesté comme un enfant peut détesté ses parents. Avec de l'amour à revendre dans les yeux, et un désir que tout s'arrange. Mais à la vérité, j'étais plutôt bien persuadé que ça ne s'arrangerait pas. Je crois bien qu'au fond, je savais qu'ils ne me regarderaient jamais comme je pouvais les regarder. Qu'on se mette d'accord, mes parents je sont pas des loosers. Mon père est diplomate. Et quand on y pense c'est plutôt un métier qui claque. En revanche, s'il a la réputation d'être diplomate avec les dirigeants et les autres diplomates, à la maison c'est une catastrophe. Mon père est bancal. Je pense qu'il ne voulait pas d'enfant, qu'il s'est fait piégé par sa copine du lycée, et qu'il était bon et généreux, et n'a jamais pu se résoudre à abandonner ma mère. Je sais même pas si je peux l'en remercier... Parce qu'au final, il ne peut pas me voir en peinture. Je suis le reflet de son échec, celui qui fait qu'il sera à jamais diplomate, au lieu d'être ambassadeur, ou même président. Mon père à aussi une haute estime de lui. Mais sa haute estime s'arrête là. Il regarde ma mère comme on regarde une pècheresse, et moi, la plus part du temps il ne me regarde pas. Ma mère est commerciale. Un métier qui fait qu'elle a plutôt la tchatche, et puis de toute façon je n'en sais pas plus, car il y a bien longtemps qu'elle préfère rester à son bureau plutôt que de rentrer à la maison s'occuper de moi. Parfois je me dis que je la comprend. Si son grand amour la délaissait complètement comme mon père le faisait, j'aurais tendance à me noyer dans quelque chose, et à jeter tout ce qui me rappelle cet amour raté. Le problème c'est que ce qui lui rappelle cet amour raté; c'est une magnifique maison dans Sydney, un capital bien garni, et moi. Et tout ça, on ne peut pas vraiment le jeter. Alors maman évite la maison, dépense le capital, et fait au mieux, comme si j'étais pas là. A vrai dire, on ne peut pas vraiment dire que je les ai toujours détesté, parce que c'est impossible. Mais à douze ans, je me suis rendu compte exactement quel spécimen j'avais comme parent. Enfin d'abord comme mère, et par son intermédiaire, comme père.
Ma mère est le genre de personne qui rédige toujours son journal intime. Mais d'une manière niaise et horripilante que je ne peux pas supporter. Elle fait bonne façade en public, parce qu'elle est femme de diplomate, et qu'elle se la pète, et puis une fois rentrée à la maison, lorsqu'elle est dans sa chambre seul; car il va de soit que ça fait bien longtemps que mes parents ne dorment plus ensemble; elle se plaint sur des pages et des pages. Un soir donc, j'avais douze ans, et je rentrais de l'école dans une maison vide, comme à mon habitude. J'étais malade, mais j'avais été contrainte de rester à l'école toute la journée parce que ni ma mère, ni mon père n'avait voulu me faire plaisir et me ramener dans mon lit à la maison. J'étais aller chercher dans la chambre de ma mère un médicament, n'importe lequel qui ressemblerait de près ou de loin à ceux qu'elle prenait lorsqu'elle avait mal à la tête. Et chose étrange, je trouvais un livre dans l'armoire à pharmacie. A douze ans, je trouve ça étrange, un livre dans une armoire à pharmacie. Surtout qu'il est jolie, et qu'on a d'immense bibliothèque en bas. Intriguée, et en colère j'attrapais le livre, et refermait soigneusement l'armoire à pharmacie. Je retournais dans ma chambre pour m'installer dans mon lit, et entamer la lecture du précieux livre manuscrit. Il ne me fallu pas longtemps pour me rendre compte que c'était la vie de ma mère qui était déballé là. Au fur à mesure des mots niais que je ne comprenais pas tout à fait je découvrais une mère inutile, enfantine, et calculatrice. Elle avait fait exprès de tomber enceinte pour retenir mon père, avant de se rendre compte que je serais celle qui détruirait leur bonheur incertain. Elle me punissait pour sa propre connerie. Dans ses lignes peu objectives je découvrais un père narcoleptique qui se soignait à l'aide de médicament douteux, mais surtout de café à outrance.
Le café à outrance explique tout plus ou moins, mais en revanche ne pardonne rien. Il y a quelque chose que je n'ai jamais dit à personne. Alors que quiconque me connait un minimum sait ma haine vicérale que j'éprouve pour des parents inaptes qui n'ont jamais fait que me reprocher leur propre erreur, une partie, la plus importante reste dans l'ombre. Parce que je n'ai aucune idée de comment l'exprimer. Je vous l'ai dit, mon père me déteste. Je l'ennui à mourir, je suis l'enfant qui a pourrit sa vie, sa carrière et sa vie amoureuse, tout ça parce qu'il n'a pas le cran d'abandonner ma mère à ses magouilles puéril. Mon père me déteste, mon père bois trop de café, et mon père est constamment à cran. Nerveux de nature, irrité en permanence. Je le savais, mais avant de les haïr complètement je tentais souvent quelques techniques d'approche, qui se résumait bien souvent à leur rapporter de bonne note ou à leur faire des poèmes et autres textes mignons et gentil. Généralement je venais les apporter à mon père, parce qu'il était plus souvent en train de travailler à la maison. J'avais rarement franchi la porte qu'il s'énervait déjà contre moi, et qu'il m'en collait une. Bien sûr quand surprise et meurtrit j'osais pleurer, j'en récoltais une deuxième, et le tout ainsi de suite jusqu'à ce que j'ai la bienséance de rentrer en courant dans ma chambre et de m'y enfermer. La bas je ne risquais rien, car ni mon père, ni ma mère ne rentrait dans le terrain qui m'avait été alloué, comme si j'étais une inconnu qui louait le studio à leur frai. Je ne me suis jamais considéré comme un enfant battu. Parce que mon père n'était pas ivre. Qu'il n'y avait aucune volonté de me faire mal, moi particulièrement, que j'étais juste là, au mauvais moment à l'ennuyer et qu'il me punissait pour ça. Ce n'était pas de la violence, c'était une punition normal. Il ne cherchait pas à me faire mal pour me faire mal, il me collait des gifles comme le font tous les parents dans de rare occasion, seulement plus fréquemment. Et puis de la même manière que ni mon père, ni ma mère n'ose se quitter parce qu'une famille unie fait bonne image, je n'osais pas avouer cette violence déplacé que je rationalisais du mieux que je pouvais, pour ne pas casser l'image parfaite de ma famille inexistante.
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❝ Oh life, it's bigger. It's bigger than you. And you are not me. The lengths that I will go to. The distance in your eyes. Oh no, I've said too much. I set it up. That's me in the corner. That's me in the spotlight. Losing my religion. Trying to keep a view. And I don't know if I can do it. Oh no, I've said too much. I haven't said enough. I thought that I heard you laughing. I thought that I heard you sing. I think I thought I saw you try
Heureusement dans ma vie il y avait Sarah. Son père et mon père était ami depuis leur service militaire, avant que mon père se range, et ne devienne diplomate, alors que le père de Sarah continuait à aller en première ligne. Je n'ai jamais compris ce que le père de Sarah pouvait bien trouver au mien, mais au moins grâce à ça, je mettais trouver une famille. Quand je ne savais pas ce que je pouvais être, Sarah s'affirmait déjà comme un garçon manquer. Elle avait plusieurs mois que moi, alors je prenais exemple sur elle, j'essayais d'être une dur à cuir, de ne pas me laisser abattre. Face à elle je sautillait et jouait des poings pour faire semblant de lui ressembler. Elle rigolait, et me mettait à terre et moins de deux mouvements. On était bien différente mais on était parfaite ensemble. Je me souviens d'ailleurs encore de la première fois qu'on s'est rencontrer. Mon père en tant que grand seigneur avait organisé un diner pour montrer notre perfection et avait invité parmi d'autre les Blackwell, parce qu'il lui faudrait surement une tête sympathique dans son entourage inutile. Il leur avait proposé d'emmener leur fille, comme ça au lieu de payer une babysitter, elle pourrait jouer avec moi. Bien sûr je n'avais pas entendu les invité arrivés, parce que finalement tout le monde savait que j'étais là haut, et que mes parents préféraient largement faire comme si je n'étais pas là. Peut être montraient-ils à un moment ou a un autre pour faire visiter la magnifique demeure. Avec une douceur incroyable que je n'ai jamais connu, ma mère avait indiqué à Sarah la direction de ma chambre. J'étais assise par terre en train de gribouillé un tas de chose qui ne voulait rien dire, j'essayais de mettre des idées, mais j'étais brouillon, comme toujours. Sarah était rentrer doucement sans que je me retourne et elle s'était approcher de moi. Elle m'avait regarder avant de me demander. «Tu me prêterais une feuille et des crayons ? » J'avais légèrement sursauté en entendant une voix que je ne connaissais pas dans mon dos, mais avait sourit instantanément en voyant la jolie brune qui me faisait face avec un grand sourire. On était resté assise une éternité à dessiner, sans se parler, mais en s'échangeant des crayons de couleur. Et alors que ses parents venaient la chercher pour rentrer chez eux, on s'était tendu presque en même temps nos dessins, pour se les échanger, et j'avais lachée, plein d'espoir. « On se revoit bientôt? » On s'était revu, et on ne s'était plus quittée.
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❝ Every whisper. Of every waking hour. I'm choosing my confessions. Trying to keep an eye on you. Like a hurt, lost and blinded fool, fool. Oh no, I've said too much. I set it up. Consider this. Consider this, the hint of the century. Consider this, the slip. That brought me to my knees, failed. What if all these fantasies come. Flailing aground. Now I've said too much. I thought that I heard you laughing. I thought that I heard you sing. I think I thought I saw you try
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Il faut que je vous le dise, toute ma vie, j'ai été un cas social des relations amoureuses. C'était inévitable. Peut importe la personne qui me plaisait je pense qu'on aurait pu me prédire que ça se finirait mal. J'en ai longtemps rit. Parce que je suis pour la diversité, et que je suis persuadé qu'il faut essayer pour trouver le bon. Contrairement à Sarah qui est ... Tout à fait hors sujet pour le moment. Pour mon anniversaire de mes quinze ans, Sarah était arrivé avec un grand sourire une heure avant la fête et m'avait offert un grand et sombre panneau à accrocher dans l'immense dressing qui ne me servait à rien. En soit offrir un panneau sombre peut être étrange, mais il fallait entendre sa signification. « Dessus on pourra faire le classement de tes copains ... Du plus gros raté au... » L'idée était facilement compréhensible, et je ne me souviens plus si sur le moment j'ai été vexée ou si j'en ai rigolé. Quoiqu'il en soit, j'ai toujours dans mon dressing, un panneau rempli de photo polaroïde de mes exs, classé, du plus catastrophique au plus sain. Ce tableau est plutôt bien rempli, car je suis de celle qui sont rarement seule. Exception faite le 1 er Avril, la date de mon anniversaire ou je crois que je l'ai toujours passé en célibataire... Enfin presque. Il y avait eu Jason quand elle avait douze ans... Elle ne se souvenait même plus ce qui l'avait poussé à sortir avec lui. Il lui avait demander je crois, et elle avait pas eu le courage de dire non. Il était mignon, et au moins elle serait l'une des première fille à avoir un copain. Il avait voulu l'embrassé, et comme elle ne savait pas faire et qu'elle avait eu peur, il lui avait tiré les cheveux. Il avait tiré tellement fort qu'il avait presque arraché une poignée et elle avait été obliger d'aller chez le coiffeur. Pendant des mois elle avait eu les cheveux court, et elle n'avait plus reparler à Jason d'ailleurs. Dorian était magnifique, mais il collectionnait les pièces de monnaie, et il en avait toujours plein sur lui dans les poches et ça faisait un bruit affreux. Elle avait failli coucher avec lui. Ca avait failli être son premier, sauf qu'en se déshabillant il lui avait jeté par inadvertance son pantalon à la figure et elle s'était prise une poche plein de pièce de monnaie en pleine figure et avait eu une bosse énorme. Simon lui avait cassé la jambe. Aaron avait mit le feu à son casier quand elle avait rompu avec lui. Camron l'avait harceler et elle avait été obliger d'aller voir la police pour réclamer une injonction. Elle avait quinze ans. Et puis il y avait Micah. Il était arrivé après un lot plutôt catastrophique. Il était plus vieux, il était charmant. Alors qu'elle était en dernière année de collège, il allait passer son bac, avait une voiture, avait un groupe de musique, disait qu'elle était sa muse. Micah était probablement le premier dont elle avait cru être amoureuse. Il avait été son premier tout court. Mais bien sûr ça ne pouvait pas bien se finir. Ses parents avaient décidés de déménagé à New York, et alors qu'ils avaient prévu de rester ensemble, il n'avait jamais répondu à ses lettres, et Sarah lui avait appris qu'elle l'avait vu avec une blonde. La liste s'étendra bien sûr à New York, mais c'est une autre histoire.
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❝ But that was just a dream. That was just a dream. That's me in the corner. That's me in the spotlight. Losing my religion. Trying to keep a view. And I don't know if I can do it. Oh no, I've said too much. I haven't said enough. I thought that I heard you laughing. I thought that. I heard you sing. I think I thought I saw you try. But that was just a dream. Try, cry, why try. That was just a dream. Just a dream. Just a dream, dream
Un jour c'est juste arrivé. Alors que je ne m'y attendais pas le moins du monde. Mon père avait l'habitude de bouger. A cause de son boulot de diplomate. Mais jamais je n'avais bouger avec lui. Jamais ma mère n'avait bouger avec lui. Parce qu'on restait en Australie, et puis qu'il ne voulait pas nous avoir dans les pâtes. Qu'il préférait partir loin un temps et avoir tout l'espace qu'il voulait pour commettre ses adultères répétitifs. Je ne trouvais pas sa plus mal. Au moins je ne me prenais plus de gifle sans raison apparente et puis un parent de moins à la maison, ça fait deux fois moins de haine à distribuer. Seulement cette fois j'étais assise à mon bureau entrain d'écrire la critique du dernier film que j'étais aller voir. Et mon père était rentrer avec ma mère dans ma chambre. Je crois que c'était d'ailleurs la première fois qu'ils rentraient dedans, à part peut être la fois ou ils avaient tout installé. Je les avais regardé inquiète, ne comprenant pas bien ce qui pouvait les motivés à rentrer dans une partie de la maison qu'ils détestaient tant. Mon père n'y était pas aller par quatre chemin. «On déménage dans une semaine. On va à New York. » J'avais hoché la tête sans comprendre. Pour moi c'était clair, il allait à New York dans une semaine très bien. Mais pas la peine de me le dire, je l'aurais bien vu avec l'une des cartes postales qu'il nous aurait envoyer pour témoigner de sa fausse affection. Mais pourquoi était-il venu dans ma chambre ? Je me souvins qu'il avait dit on, et que... « On... Tu veux dire que mère et moi et vient avec toi ? » J'avais écarquiller les yeux, ne voulant juste pas y croire. Il avait lever les yeux au ciel devant tant de débilité apparente. Ma mère n'aurait pas été là, il m'en aurait probablement collé une. Il avait tourné les talons et avait dit « Prépare tes cartons, on décolle dans une semaine, nos affaires dans cinq jours. » Ma mère muette l'avait suivit, et elle n'avait même pas chercher à me défendre. En même temps je me doutais bien que c'était de sa faute. Qu'à l'entente de New York elle avait demandé à y aller. Qu'elle en avait marre de Sydney et de toutes ses histoires. J'étais descendu et était sorti de la maison en claquant la porte et j'avais couru jusqu'à une maison que je connaissais bien. La maison Blackwell. J'avais rapidement salué les parents de Sarah, et son frère qui trainait dans le salon et avais fait irruption dans la chambre de ma meilleure amie, comme si c'était la mienne. Elle s'était levé en me voyant débouller dans sa chambre et m'avait accueillit dans ses bras alors que je pleurais à chaude larme. Je ne pouvais pas imaginer que j'allais devoir quitter tout ça. Généralement dans la vie Sarah était la seule chose qui me permettait de tenir. La seule personne qui me permettait d'haïr mes parents plutôt que de me haïr moi même de ne pas attirer leur attention. La seule personne qui me réconciliait de toutes mes déceptions amoureuses. La seule personne à qui je tenais plus que ma vie. « On déménage à New York. » Sarah n'avait rien répliqué, elle m'avait serré plus fort dans ses bras, comme pour me retenir à jamais. Elle était mille fois plus forte que moi. Enfin de ce que je pensais à l'époque. Elle avait simplement finit par dire « Dans combien de temps? » Doucement j'avais annoncé la sentence « Une semaine... » Elle avait accusé le coup. Elle n'aimait pas bien ma famille, et là elle les haïssait encore plus. On avait autant besoin de l'une que de l'autre. On était comme des jumelles avec quelques mois d'écart. Elle m'avait écarté d'elle, et m'avait sourit, « On s'écrira tout le temps. Ca sera comme si on était encore ensemble. » Je lui avais fait un faible sourire. Ca paraissait une bonne option. Même si rien ne pourrait remplacer à mes yeux son sourire et sa présence. J'avais pas eu la fois de revenir dans ma maison pour la nuit. D'ailleurs toute la semaine on l'avait passé ensemble dans ma chambre à faire les cartons et à enchainer les soirées pyjamas pour être sûr de ne pas rater une seule seconde de notre dernière semaine.
Dernière édition par Rooney Daniels le Sam 14 Jan - 12:32, édité 13 fois
Rooney Daniels
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Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Mer 11 Jan - 22:59
❝you saved my dream, you heard me scream❞
«Le temps file, le temps n’attend personne. Le temps guérit toutes les blessures. Tous autant que nous sommes nous voulons plus de temps. Du temps pour se relever, du temps pour grandir, du temps pour lâcher prise. Du temps. »
Bienvenue à New York ! Nouvelle ville, nouveau départ, nouvelle vie ? Bien sûr. Mais je n'avais jamais eu aucune envie de me retrouver projeter dans l'une des plus grandes métropoles du monde à mon entrée au lycée. Surtout que mon père me mettra dans ce qu'il y a de mieux. Pas pour moi, pour lui. Que je rencontre des fils d'ambassadeur, que je lui serve à quelque chose, pour une fois. Est-ce horrible que j'ai vite eu l'impression de devenir la catin de mon père ? J'arrivais dans cette immense pomme avec le teint bronzé et l'accent de l'australienne de base. J'avais pris l'habitude de vivre au gré des vagues et au bras des surfeurs. Non que je dise qu'ils sont mieux que les autres, mais je n'étais pas faite pour m'acclimater aux garçon en costume, et au fille en vêtement de marque. Surtout que ce n'était pas avec ma meilleure amie que j'avais appris à m'habiller correctement. Pourtant mon père avait été très clair dans ses instructions. « Profites en pour te faire des amis correctes... » Comme si Sarah n'était pas quelqu'un de correcte.... On m'avait dévisagé comme la nouvelle fille, parce que dans ce milieu privilégié tout le monde se connait, toujours. Je ne m'habillais pas mal, mais je ne m'habillais pas chic. Je ne savais plus mettre un pied devant l'autre dès que tout le monde me remarquais. Je n'étais qu'une rêveuse renfermé, appréciant que les délices littéraires. Et en rentrant dans ce lycée j'aurais du me douter que tout ça était sur le point de changer.
Sarah, Tu n'imagines même pas à quel point New York est horrible, et à quel point Sydney me manque. Tu ne comprendrais même pas comment toutes ses filles font pour marcher sur leurs plateformes de 12 centimètres et plus. Elles ont probablement tous des maquilleuses et habilleuses personnel, pour perdre moins de temps le matin, dormir plus longtemps et avoir le teint frai toute la journée. Le soleil Australien me manque. J'ai mon teint qui dépérit, et mes cheveux se ternisse au son même de la pollution. Mon père ma presque ordonné de me faire des amis bien né. Mais de très bon ami, histoire que je puisse les introduire à leur parent. Pour une fois qu'ils ont besoins de moi, je suppose que je devrais faire ce qu'il me demande. Et ça ne doit pas être si terrible d'avoir des amis riches. Qu'est ce qu'ils peuvent avoir de plus que toi et moi, mise à part beaucoup beaucoup d'argent ? Niveau amoureux, je ne sais pas trop comment on fait pour rencontrer quelqu'un dans cette ville. Surtout que je ne ressemble à rien avec toutes cette grisaille et cette pluie. Et il y a tellement de gens. Mais les riches sont plutôt pas mal. Et j'ai déjà repéré un terminal qui irait parfaitement avec mon teint verdâtre du moment. Mais je me demande bien comment on fait pour draguer quelqu'un de la haute New Yorkaise... Mais tu sais ce que je dis souvent ? Qui n'essaye rien n'a rien. Je doute que l'expérience soit bien plus concluante que les mecs australien. Mais il faut y croire. New York doit avoir du bon. Mais pour la première fois j'ai du mal avec mon optimisme flamboyant. Tu me manques ma belle.
Ta Bella qui t'aime de ton son coeur.
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❝ where are we? What the heck is going on? The dust has only just begun to form crop circles in the carpet sinking feeling spin me round again and rub my eyes, this can't be happening when busy streets a mess with people would stop to hold their heads heavy hide and seek trains and sewing machines all those years they were here first oily marks appear on walls where pleasure moments hung before the takeover, the sweeping insensitivity of this still life
S,
Oublie tout ce que j'ai pu te dire sur New York. Comme toujours j'ai trouver une solution à tout mes problèmes. Mes cheveux ternes n'existe plus, depuis que comme les trois quart des filles de Manhattan j'ai découvert les coiffeurs coloristes. Mes cheveux sont certes maintenant d'un noir de jais éclatant, mais il s'accorde parfaitement avec la peau laiteuse, je sais tu dirais blafarde, mais un New Yorkais dit laiteuse, parce que la peau blanche c'est distinguée. Je les porte avec un rouge à lèvre rouge sang et j'ai l'air de l'une de ses princesses fatales. J'ai appris à marcher sur leur plateforme, et il se trouve que lorsqu'on y met le prix, elles sont vraiment confortable, et au moins ça fait faire du sport. J'ai presque jamais été aussi svelte. On dit que j'ai une taille mannequin. Je sors avec Aidan, le terminal dont je t'avais parler la dernière fois. Il se trouve que la lingerie approprié sous les vêtements légèrement transparent qu'il faut suffit à draguer n'importe lequel de ses New Yorkais. Je crois que père est fier de moi. Il a déjà pu rencontrer l'ambassadeur Britannique, qui n'est autre que le père d'Aidan. Je crois qu'il pourrait effectivement être le bon. Il est attentionné et brillant. Il a déjà été accepté au préinscription de Yale, et il promet de m'attendre pou mes deux années qui me reste à faire au lycée. Je suis au ange, et je crois que j'ai bien meilleure allure qu'à Sydney. Bien sûr tu me manques atrocement, et le courrier s'envoie bien trop lentement du Sydney à New York, mais tout de même je mène la belle vie. Je t'aime à la folie.
Ta Bella.
A la vérité tout n'était pas aussi beau que je le disais. D'ailleurs c'était déjà le début de la fin. Mais je n'arrivais pas à le lui dire. Comment dire que tout ce que nous avions construit allait bientôt s'effondrait. Que je me détruisais peu à peu pour essayer d'obtenir un peu de fierté de la part des parents qui ne voyaient en mon beau visage qu'un moyen d'accéder au haute sphère d'un monde mauvais pour moi ? Elle était à l'autre bout du monde et elle ne pouvait rien faire. Pire que ça, pour elle aussi, la vie partait en lambeau.
Sarah,
J'ai appris pour ton père et ton frère. Je ne comprendrais jamais mes parents. Mon père était pourtant l'un des plus grands admirateurs du tien. Enfin je le pensais. Mais ils ont refusés de me payer un billet pour l'Australie, et on d'ailleurs juré que si je retournais là bas, peut importe les raisons, je ne serais plus leur fille. Je sais que ce n'est pas une excuse pour t'abandonner dans une pareil épreuve. Tu m'as appris à être forte dans toutes les situations, et pour toi je ne pleurerais pas si tu en as besoin, et je pleurerais toutes les larmes de mon corps sur leur mémoire si ça peut t'aider à te sentir mieux. Je voudrais pouvoir les envoyer bouler et venir te rejoindre dans la seconde qui suit. Quoiqu'il faudrait que la téléportation existe. Toutes mes pensées vont vers toi. Et si je le pouvais je te donnerais toute la force que je possède pour supporter cette épreuve. Même si il doit me rester plus rien. Ils vont me manquer autant que tu me manques à chaque seconde. Ils étaient ton rayon de soleil, mais je t'en pris si tu n'arrives plus à garder le soleil allumé, au moins n'éteint pas la lune. Tu as besoin d'astre pour briller dans ton univers. Tu sais que si tu me le demandais j'irais t'en chercher, ou s'il y en a plus je t'en inventerais. Ne perd pas espoir ma belle. Je suis toujours là, pas très loin. Tout comme eux, et ils t'entendent. Ils t'aiment. Ils te comprennent. Ils ne t'oublieront pas. Si tu veux te changer les idées à toi et à ta mère, vous êtes les bienvenues. Mes parents dans un accès de bonté mon mis dans un pentahouse. Oui être diplomate pour les américains paye bien mieux, et ils ont pu me mettre à distance, quoiqu'ils profitent toujours bien de mon réseaux. N'hésite pas à me demander ce que tu veux, je serais là pour toi à n'importe quel heure du jour et de la nuit.
Je t'aime à la folie. Ta Bella
Loin d'elle je me ronge le sang, je m'éteins à petit feu. La savoir loin de moi alors qu'elle meurt de chagrin me tue. Je n'ai d'appétit pour rien. Mon coeur se révulse à la vue de n'importe quel nourriture et mon estomac suit bien vite le mouvement. De toute façon ici personne ne mange, tout le monde fait semblant. Je vois mes parents s'éloigner. Je ne leur présente pas assez de gens. Je ne plais pas assez. Je suis nerveuse, anxieuse, fatiguée, stressée, affamée et calée. J'entend bien les murmure se lever autours de moi. « Bon sang, elle a encore maigrie. Elle doit être anorexique. » Mais à la vérité les gens ne voit pas plus loin que le bout de leur nez. Et il ne reconnaîtrait pas un éléphant s'il en voyait un. Je veux la rejoindre. Elle a besoin de moi. Je crois qu'Aidan s'amuse avec moi. Les murmures disent qu'il s'en fiche, que je ne suis qu'une de plus, et qu'il sortirait même avec une pauvre grosse si elle avait une belle poitrine et qu'elle couchait. Je sais bien que je ne dois pas écouter les murmures, c'est ridicule. Je crois que je suis ridicule.
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❝ hide and seek trains and sewing machines (oh, you won't catch me around here) blood and tears (hearts) they were here first Mmmm whatcha say, Mmm that you only meant well? well of course you did Mmmm whatcha say, Mmmm that it's all for the best? of course it is Mmmm whatcha say? Mmmm that it's just what we need you decided this whatcha say? Mmmm what did she say?
❧
Sarah,
Je me demande bien si je n'ai pas fait la pire connerie de ma vie. Aidan est parti à l'université. Tu devineras bien qu'il ne m'aura pas attendu. Ce qui est dur à encaisser c'est que c'est sa copine du moment qui a casser avec moi, plutôt que lui. Enfin qui a dit qu'il rompait avec moi et qu'il n'avait pas le temps de le faire lui même. Mais je crois que pour la première fois de ma vie je n'en ai rien à faire. J'ai été prise pour interpréter le rôle principale de la pièce de fin d'année. Ce qui est plutôt remarquable vu que je ne suis pas une vraie New Yorkaise, et que j'ai toujours été bizarrement intégrée à cause de ça. Mais là je suis en passe de devenir une vraie diva. Enfin c'est sans compté le prof de théâtre. Il est jeune, séduisant, marié, et soit il ne s'en souvient pas, soit il n'éprouve pas de scrupule. Enfin il ne l'aime plus c'est ce qu'il dit et il veut divorcé. Je sais ce que tu te dis depuis Sydney. J'espère que tu n'as pas fait ça Rooney parce que sinon. Sinon rien je te dirais que tu n'es pas là, que tu n'es pas à ma place, et que tu ne vis pas tout à fait l'enfer que je vis tous les jours. Je sais ce que je te disais l'année dernière. Mais les mois passe et tout s'empire, et avec lui je me sens revivre. Et il me regarde comme je suis vraiment. Il me voit belle peut importe comment je suis habillée. Peut importe si je parle comme une New Yorkaise ou si je fais ressortir mon accent Australien. Il apprécie mon jeu naif, mon optimisme à toute épreuve, et m'encourage dans mes rêves du grand amour. Je sais que tu penses que c'est une bêtise. Qu'on ne sort pas avec un homme marié, encore moins si c'est ton professeur. D'autant plus que c'est du détournement de mineur. Mais devrais-je le laisser passer s'il est l'homme de ma vie ? De toute façon c'est trop tard, la bêtise et faite, et tu n'es malheureusement pas là pour m'empêcher de la continuer. Et puis le secret est bien plus excitant que tout ce qui existe à New York.
Tu me manques, je t'aime. Ta Bella.
Il fallait dire que je savais être bornée quand je le voulais. C'était d'ailleurs presque autant ma plus grande qualité que mon plus grand défaut. Quoique j'eu entreprit je ne baissais jamais les bras. Dans n'importe qu'elle catégorie de ma vie. A l'école je m'engageais dans tout ce que je trouvais intéressant et tenait le cap, que je sois fatiguée, éreinté, qu'on m'aime ou me déteste. Après je rentrais chez moi, et pleurais s'il le fallait, mais à la face du monde je n'abandonnais pas. J'étais la reine des relations désespérées qui dure parce que j'essayais de les sauver. Je ne sais pas baisser les bras. Je ne sais pas mettre un point final sur autre chose qu'une phrase. Je ne peux pas me dire que j'ai échoué avant d'être sûr d'avoir tout tenté. Sauf que ces derniers temps j'enchainais les mauvais choix, je tentais beaucoup de chose, et échouais sans cesse. Savez vous combien c'est éreintant d'échouer ? Surtout quand vos parents vous regarde déjà comme quelqu'un d'inutile. Inutile de vous dire comment ma relation avec le professeur c'est finit. Mal. Comme toute relation avec un homme marié c'est voué à l'échec. Après ça j'ai passé plusieurs mois dans un centre hospitalier pour soigner mon anorexie. Je ne m'en étais pas rendu compte mais j'étais au seuil de la mort. L'avantage que j'ai d'avoir été à New York pendant tout ce temps alors que Sarah était à Sydney, c'est que je pouvais donner ma version des faits. Je sais bien que Sarah n'est pas de celle qui me jugerait. Bien que je suis sûr qu'elle penserait aussi que j'ai fait des choses plutôt stupide. Mais je refusais de lui faire plus de peine et de sang d'encre. Dire que je mettais presque laisser mourir de faim et de désespoir alors que tout en moi à l'extérieur criait un bonheur factice que je m'étais inventé. C'était improbable alors qu'elle avait déjà tant perdu. Comme je l'avais toujours fait, je prenais sur moi, et m'en sortirais seule. Je minimisais la chose à son maximum pour quand même avoir de ses conseils, et puis c'était suffisant. Ou moins je croyais.
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❝ ransom notes keep falling out your mouth mid-sweet talk, newspaper word cut outs speak no feeling no I don't believe you you don't care a bit, you don't care a bit (hide and seek) ransom notes keep falling out your mouth mid-sweet talk, newspaper word cut outs (hide and seek) speak no feeling no i don't believe you you don't care a bit, you don't care a (you don't care a) bit (hide and seek) oh no, you don't care a bit oh no, you don't care a bit (hide and seek) oh no, you don't care a bit you don't care a bit you don't care a bit
L'université ou le temps des désillusions, des revanches, de la douleur, et du bonheur. Comme toujours je me jette corps et âme dans des causes perdus. Il y a toujours cette cause minable qui va me toucher alors qu'elle ne touche quasiment personne. J'ai eu dix huit ans, et j'ai arrêté de parler à mes parents. Ils m'ont payer l'université par bonté d'âme, ou simplement parce qu'ils ne peuvent tout simplement pas assumé que leur fille soit une raté finit. Alors au moins quand on leur demande ou est leur précieuse fille, ils peuvent dire qu'elle est dans une brillante université, et pas besoin de dire qu'elle les déteste et qu'eux n'en n'ont rien à foutre, qu'ils ne savent même pas ou elle est. J'avais appris à en faire qu'à ma tête, à défié l'ordre et la moral du moment que ça tenait à ma moral à moi. Au Etats Unis j'ai un casier judiciaire bien garnis. Infraction dans un laboratoire de l'université pour y libérer des souris. Trouble de l'ordre public lors de manifestation. Protection d'immigrer sans papier. Bien sûr tout ceci allait de paire avec mes relations amoureuse. Le sans papier j'étais persuadé que c'était lui que j'allais épousé, mais les policier l'ont chopé avant. Avant cela je sortais avec un caïd des manifestations et de la défense des animaux. Je suis aussi sorti avec un futur avocat pour l'environnement et est passé plusieurs nuit en haut d'arbre qui allait être abattu. Je suis cette tête brulée de liberté, qui n'en fait qu'à sa tête, et qui s'écrase trop souvent. Bien sûr je suis plutôt fière de cette partie de ma vie. Je suis fière de la personne que je suis devenue. J'ai la soif de voyage, de justice, et de rendre le monde meilleur. Je veux de la beauté partout, de l'amour pour tous les goûts.
Enfin je voulais. Maintenant je ne sais plus. Tout s'est détruit en quelques secondes, et je ne suis plus qu'un évier sans fond. Devon. Futur sénateur des Etats Unis. Brillant, délicat, amoureux. Et qui m'aimait autant pour mes défauts que pour mes qualités. Ils s'amusaient de me voir si bornée, si crédule, et si naïve. Il aimait me voir faire un grand oui à la vie, et des bras d'honneur à tous les lâches et les mauvais. Il était passionné par mes croyances dans les histoires romantiques, et les causes perdus. Il disait que j'étais son super héros sorti de l'imaginaire. Et il était exactement tout ce que j'avais rechercher. Un homme, un vrai. Avec de l'ambition, du désir, de l'avenir, de l'amour à revendre, d'une droiture sans borde, d'une honnêteté à toute épreuve. Une honnêteté et une ambition qui causeront ma perte. Mais tout s'écrase quand la machine vire au rose. Qu'après des mois et des mois de relation parfaite, on se met à avoir la nausée, et par vomir tous les matins. Tout est trop clair et trop évident, et on se retrouve pris au piège. Et à ce moment vous ne pouvez même pas vous douter du doute qui s'empare de vous et qui remet en question tout ce dont en quoi vous croyez. Je suis par définition contre l'avortement. Je suis contre tout ce qui blesse un être vivant, c'est un mode de pensée. Mais quand je me suis retrouvée face à Devon, à lui annoncer la triste nouvelle, j'ai vu son avenir s'éteindre dans ses yeux. J'ai vu mon avenir s'éteindre avec le sien, et je ne l'ai pas supporté. Alors que ça allait contre toutes mes croyances, et que je bafouais complètement, dans le seul but de rester avec Devon je me suis fait avorté. Je ne raconterais probablement jamais cette expérience à personne. D'ailleurs s'était fait dans la plus grande discrétion pour éviter qu'un scandale éclate. Sarah est arrivé après, et je ne lui ai jamais rien dit. Il est des secrets qui doivent rester enterré jusque dans notre tombe. Mais j'étais heureuse, s'il l'était. Enfin c'est ce que je croyais. J'ai recommencer à faire de l'anorexie. C'est ma manière à moi de me punir de mes conneries. Et sans même que je me rende compte, Devon se pointait devant moi, un faible sourire sur les lèvres les yeux vide. « Tout est finit entre nous. » J'ai éclaté de rire. C'était ridicule dit comme ça. Et rien ne clochait entre nous. « Je ne plaisante pas. Je ne peux plus continuer comme ça. » Je suis resté sans voix, rien n'était cohérent dans cette histoire. Hier encore on parlait avenir, mariage, et tout ce qui viendrait avec le temps. Sa place comme Sénateur... « Et tu comptes me quitter sans explication, ou alors tu vas me dire pourquoi ? Qu'est ce qui cloche. » Il était d'une froideur extrême et je ne le comprenais plus. « Il le faut. C'est toi ou ma place de sénateur. » Je commençais à m'énerver. Il se foutait de ma gueule. « Je te demande pardon ? » Avec cette même froideur qui ne lui ressemblait pas il continua «Tu m'as très bien compris, mon attaché de presse m'a montré ton casier judiciaire, et m'a clairement dit que si je restais avec quelqu'un comme toi je perdrais toute chance d'accédé à mon poste de Sénateur. Je suis désolé, rien ne me fera changer d'avis. Tu n'es même pas américaine. » Et là je perdais mon sang froid. Non pas parce qu'il me quittait pour probablement les pire raison qui pusse exister. Seulement parce que j'avais fait tant de chose pour rien. J'avais détruit toutes mes croyances les plus profondes pour un homme qui me larguait pour ses mêmes croyances que j'avais détruite... « Tu te fou de ma gueule ? Mais tu le savais depuis le début tout ça. C'est pas comme si je t'avais cacher quoique ce soit. Et tu pouvais pas me le dire avant que ça ne marcherait pas. Que tu préférais ta putain d'ambition à moi ? Tu pouvais pas me larguer avant que j'avorte bordel ? Avant que je m'écrase et tue tout ce que j'étais pour toi. » A l'intérieur tout s'effondrait. La seule chose qui me permettait encore de tenir face à mes actes étaient que Devon et moi nous allions bien. Que j'avais enfin trouver ce que j'avais toujours chercher et que ça valait bien quelque sacrifice. «Je suis désolé. » « Tu es désolé ? Pas autant que moi surement. Et tu sais quoi. Quand tu seras sénateur célibataire et sans famille, tu repenseras peut être à nous. A nous et tout ce que tu as détruit. En attendant, toi l'homme le plus droit du monde, je te dis ça. De tous les connards avec qui je suis sorti tu es clairement la cerise sur le gâteau. Le roi ! Tu m'as juste tout pris. Alors ta droiture, ton honnêteté et ta candeur sur laquelle tu te base. Tu peux te la foutre dans le cul car il n'en est rien. Tu n'es rien Devon. Et l'Amérique ne te le pardonnera pas. » J'étais parti en courant sans retourner. J'avais peut être un brin exagéré, mais c'était toujours comme ça. Quand Sarah me proposa de rentrer à Sydney avec elle, j'acceptais avec grand plaisir.
Aujourd'hui je suis revenu. Je ne suis plus rien qu'un tas de rêves déchu, de rancoeur. Je me bas contre une haine dévorante, un doute constant. Mais il paraît que je m'en sortirais, parce que Sarah est à coté de moi. Un jour il faudra bien que je retrouve mon chemin. S'il y a une chose qu'il reste de moi c'est probablement ma détermination. Je ne sais plus ce que je veux. Mais une chose est sur, c'est que je l'aurais.
Dernière édition par Rooney Daniels le Sam 14 Jan - 18:49, édité 14 fois
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Mer 11 Jan - 23:31
Sarah Blackwell-Castiells a écrit:
OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII
Ma chérie je suis trop contente que tu ai pris Rooney Je ne pouvais pas rêver mieux comme meilleure amie
Moi non plus Faut que tu m'expliques les liens avec Blade et Liam.. Parce que le temps que je lise les romans que vous avez pondu comme fiche, et qui on l'air magnifique, mais, long, long, long ^^ Si je pouvais avoir une vague idée avant de faire ma fiche
Merci Faye, on est d'accord
Emeel-John Winehouse
◮ messages : 155 ◮ date d'inscription : 02/01/2012 ◮ occupation : étudiant dans la psychologie humaine. ◮ envie : qu'il pleuve, qu'il neige afin d'éveiller ma joie.
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:17
sophia quel excellent choix bienvenue et bon courage pour la rédaction de ta fiche !
Blade Castiells
◮ messages : 103 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : driver (illegal) ; volunteer fireman and sometimes barman and garage owner ◮ envie : de meurtre et pas sur n'importe qui ! # de vitesse pour oublier et ne pas comettre de meurtre !.
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:19
Chérieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee trop heureuse que tu sois parmi nous en plus avec ma Sophia oui tu sais combien je l'aime x) vivement que tu finisses ta fiche
Rooney Daniels
◮ messages : 13 ◮ date d'inscription : 11/01/2012 ◮ occupation : Journaliste ◮ envie : Rêver ✘ Retrouver mon optimiste ✘ Et mon esprit de Peter Pan ✘ Danser ✘ Ecrire ✘ Aimer
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:35
Merci Emmeel
Blade Castiells a écrit:
Chérieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee trop heureuse que tu sois parmi nous en plus avec ma Sophia oui tu sais combien je l'aime x) vivement que tu finisses ta fiche
OUiiii en plus ça fait tellement longtemps que j'ai pas jouer Sophia J'ai hate de l'avoir finit aussi
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:36
Alors alors ... En ce qui concerne Liam, je te laisse voir avec le principal concerné ( qui n'est autre que Cyrielle muahahahahah! ) Ensuite Blade, c'est simple tu le déteste
Rooney Daniels
◮ messages : 13 ◮ date d'inscription : 11/01/2012 ◮ occupation : Journaliste ◮ envie : Rêver ✘ Retrouver mon optimiste ✘ Et mon esprit de Peter Pan ✘ Danser ✘ Ecrire ✘ Aimer
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:39
Je saiiis, ça va être trop de la balle Hum.. Je le déteste... Je sais faire ça
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:48
OH ouiii. Mais pour toi je serais même encore plus horrible que ça avec lui. En même temps si j'étais venu à LAS VEGAS tu serais probablement pas marié avec lui... ^^
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 0:53
Ouais donc ça peux aussi être totalement ta faute ... Mah non je t'aime quand même
Blade Castiells
◮ messages : 103 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : driver (illegal) ; volunteer fireman and sometimes barman and garage owner ◮ envie : de meurtre et pas sur n'importe qui ! # de vitesse pour oublier et ne pas comettre de meurtre !.
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 1:58
Genre comme si je verrais pas qu'elle me fou un coup pour tomber à d'autres !
Tiger K. Rhodes
◮ messages : 66 ◮ date d'inscription : 04/01/2012 ◮ occupation : étude de design et danseuse. ◮ envie : de courir à travers champs, de danser jusqu'au bout de la nuit, et de l'embrasser.
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Jeu 12 Jan - 22:29
Bienvenue par ici !
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Ven 13 Jan - 18:13
C'est parce que je suis la meilleure
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises
Sujet: Re: ROONEY ➵ Hand in the air like we don't care. Ven 13 Jan - 21:42
Merci ma belle
J'essaye de finir ça ce week end
Sarah Blackwell-Castiells
◮ messages : 286 ◮ date d'inscription : 01/01/2012 ◮ occupation : Avocate et Lieutenant Colonel dans la marine. ◮ envie : De ne plus voir sa tête de débile dans son salon ! Et d'un bon grand saladier de fraises