Cassidy venait tout juste de se lever pour aller au travail. Il était 10h, vous vous dites qu’elle se levait tôt ? Elle avait finit une journée de 16 hier ou plus tôt aujourd’hui à une heure du matin. Non, cette jeune femme était loin d’être flemmarde et encore moins depuis un an, depuis qu’elle c’était fait planter là. Elle c’était enfermée dans son travail travaillant rarement moins de quatorze heures par jour, elle adorait son travail sincèrement ça l’aidait beaucoup, mais l’empêchait aussi énormément de voir la vie en face et de s’amuser un peu.

Apres avoir prit une douche rapide, Cassy enfila un pantalon d’hôpital bleu, une chemise de la même couleur, un manteau léger, prit ses clé, passa par le garage monta dans sa voiture et décolla. Elle avait toujours hâte de se retrouver au travail, mais aujourd’hui elle s’arrêterait prendre un café au café lindt, tout ses amis, enfin, le peu qu’elle avait serait très fière de la demoiselle qui sortait enfin de chez elle et qui n’allait pas directement à l’hôpital, quoiqu’elle était bien tenté. Elle entra dans le café et commanda un double expresso et une pâtisserie. Elle remercia la serveuse et alla s’asseoir seule à une table. Bien qu’elle aurait pu avoir l’air ouverte à rencontrer quelqu’un il y a un an de ça, aujourd’hui, elle avait beau ne pas lire, ne pas écouter de musique, Cassy semblait totalement fermé.

C’était difficile pour la jeune fille depuis le départ d’Edwin et aussi celui d’une de ces bonnes amies, Palmer. Elle continua de manger et de prendre son café, elle voulait arriver à l’hôpital le plus vite possible, mais elle venait tout juste de remarquer quelqu’un dans la file qui la fit attendre. Cette jeune femme, elle ressemblait, non, impossible, ça faisait trois ans qu’elle ne c’était pas vu, comment était-ce possible. Cassidy attendit un peu et la jeune femme lui fit face, elle l’aurait reconnu entre mille. Elle fit un petit signe à Palmer, sans trop savoir comment elle était supposée s’y prendre après tout ce temps. Elle attendit simplement de voir si Palm allait venir s’asseoir avec elle ou non.

J'avais passé la nuit à la galerie, j'y avait dormi travailler surtout travailler. J'étudiais tout les vieux projets que j'avais fait avant de la laisser tomber, j'avais eu des idées vraiment très bien. Comme le faite d'ouvrir la galerie à tout le monde de mettre de grandes toiles blanches et laisser libre à l'imagination de chacun des plus grands comme des plus petits, des dessins des mots tout était à prendre. Ça aurait été leur exposition, et ça aurait toucher tout le monde au lieu d'attirer seulement les gens qui sont riches et bobos. Je suis désolée de dire ça mais la plus par des gens que je vois entrer dans ma galerie ou plutôt que je voyais entrer son soit des amoureux de l'art soit des gens qui veulent acquérir une nouvelle peinture pour aire bien dans les hautes sphère de la société, c'est d'un narcissisme dégoutant. Ce n'est pas pour eux que j'ai ouvert une galerie même si se sont eux qui acheté le plus, je veux que tout le monde puisse avoir accès à l'art, d'où cette idée d'exposition sauvage. J'ai sérieusement songé à faire se projet.

Il est huit heure je suis de retour chez moi juste le temps de me laver de passer quelques coups de files et depuis je retourne à la galerie à 14h00 j'ai rendez vous avec l'architecte qui s'occupera des rénovations de ma galerie. Je ne pensais pas que j'aurais pu m'y replonger dedans avec autant de passion qu'auparavant mais faut croire que si je suis fébrile à l'idée de réaliser autant de chose. J'avais perdu ce goût de l'aventure, du nouveau et je le retrouve ça fait un bien fou. Aujourd'hui je prends ma voiture, je m'arrêtes non loin de chez moi à Darling Harbour pour me prendre un bon café à emporter. Sur le chemin je ne sais vraiment pourquoi je repense à ma meilleure amie, oui je crois que je peux toujours la considérer comme ça non ? Je veux dire quand on a été si proche d'une personne on ne peut l'oublier même si ça fait trois ans qu'on ne s'est pas vu. Je me suis souper du monde après m'être remarier, après être sombrer dans un mariage qui ne servait à rien puisque la dépression avait prit le pas sur tout, je m'enfermait dans ma tristesse et je ne voulais en aucun cas en sortir.

Me voilà dans la queue du café attendant que se soit mon tour pour prendre commande. Je sens un regard sur moi alors que je tend la main pour attraper le grand café à emporter que l'on me tend. Une fois attraper je regarde dans la direction d'où je sentait un regard sur moi. Je ne pu m'empêcher d'avoir une de ces tête surprise et ahuri, c'était Cassie... elle me fit signe de la rejoindre. Je ne savais pas, je ne sais pas si je devais après tout c'était moi qui avait sans vraiment le vouloir couper les ponts avec presque tout le monde mais elle je n'aurais certainement pas du, j'aurais du la laisser dans ma vie au moment où j'en avait le plus besoin, je déglutit difficilement et m'approcha ne sachant quoi lui dire. Je resta debout une mai sur le dossier de la chaise qui se trouvait en face d'elle, et li dit. « Salut... ça fait... 3 ans. » Je ne trouva rien d'autre à lui dire sur le moment. Je me sentais si fautive d'avoir éloigné de moi une amie qui m'est si chère à mon cœur, la meilleure des amies avec qui j'ai tout fait, danser, embrasser, bu... j'ai fait les pires choses dans ma période de bonheur e d'insouciance, et maintenant que je suis malheureuse je regrette de l'avoir évincer de ma vie au moment où j'aurais du la garder près de mon cœur.