© JOO.ke.

BERLINSKY, ALIZÉE CYRIELLE. ♣ 22 ANS.

feat. Rosie Huntington-Whiteley.

love always remains ♣ ÂGE : 22 ans. GROUPE : The Script car derrière cette "party animal" se cache une jeune femme fragile et vulnérable qui a trop souvent vu l'amour s'éteindre. METIER/ETUDES : Mannequin chez Armani SITUATION AMOUREUSE : Célibataire

♣ Can I ask you some questions ?

AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: Est-ce qu'un amour d'enfance compte ? Enfin, c'est le seul garçon que j'ai aimé alors j'espère que oui. Il s'appelle Ilyas et il vient de réapparaître dans ma vie. Je ne crois pas avoir été folle amoureuse de lui, après tout, j'étais un bébé mais disons que j'avais un faible pour lui. Il me faisait rire et tout... Mais lorsque j'avais dix ans, mes parents se sont séparés et on a perdu contact. De toute façon, sa famille ne voulait plus rien savoir de nous. Enfin, c'est une longue histoire...
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: Je suis née dans cette ville et je n'ai jamais désiré aller vivre à l'étranger. Je connais toutes les boîtes de nuit, tous les quartiers... Et la plage. Jamais je ne pourrai m'éloigner de l'océan. Lorsque je ne travaille pas, je suis toujours là, à me faire bronzer. Je descends les vitres de mon automobile et je pars à la campagne jusqu'à la mer... C'est mon moment de bonheur.
AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: Quelle fille ne rêve pas d'être mannequin ? De défiler avec des tenues excentriques devant un public en extase devant votre perfection ? De poser dans les magazines les plus populaires ? Tout le monde veut cette vie. Être belle, prendre une pose, changer de pose... Évidemment, le mannequinat est plus ardu que les gens le pensent et les jolies femmes qui travaillaient dans ce métier ne sont pas toutes des idiotes. Il y en a, bien sûr mais c'est comme ça dans toutes les autres professions. Il va de soi que j'aime ce que je fais. Je rencontre plein de sortes de gens. Je suis invitée à des fêtes mondaines... Je fais la belle vie quoi !

TOI TOI &TOI icon by MISERY ANGEL ♥ NOM ET/OU PSEUDO : Émilie & teens spirit AGE : 14, bientôt 15 ! RÉGION : Montréal, Québec FILLE OU GARÇON : Girl powaaaa. QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Je l'aime, of course (a) ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Mon brother. AUTRES : Si tu lis ça, c'est que je t'aime

Vous croyez me connaître. Vous pensez savoir pourquoi j'agis d'une telle façon mais ce que vous savez sur moi ne sont que de futiles détails. Pour comprendre une personne, il ne suffit pas de poser des questions au hasard sur son passé, son présent ou même son futur. Il faut analyser ses réponses, essayer de saisir le sens caché de certaines phrases. Il faut aussi se mettre à sa place. Pour quelques secondes, être cette personne, voir par des yeux qui ne sont pas vôtres. Évidemment, on ne peut être quelqu'un d'autre. Donc, on ne peut prétendre connaître tous les secrets de son meilleur ami, de son frère ou encore de sa mère car vous êtes qui vous êtes et pas la personne que vous pensez discerner. Voilà pourquoi vous ne me connaissez pas et que vous ne me connaîtrez jamais. Vous n'êtes pas dans ma tête et n'essayez pas d'y entrer car vous allez vous y perdre. Bien sûr, on peut ressentir la souffrance d'un proche ou d'un inconnu mais on ne peut la vivre pleinement. D'ailleurs, chacun a sa propre façon de réagir à un événement. Dans ma vie, j'ai souvent été surprise. Par la tournure que peut prendre les choses. Par les agissements excessifs ou insuffisants de mon entourage. J'ai également appris que rêver ne sert à rien. À la fin, on finit toujours par être déçu car le mot « parfait » est illusoire et fourbe. Les filles, ne perdez pas votre temps à croire qu'un jour, le prince charmant sonnera à votre porte. Les gars, n'essayez même pas, vous n'aurez jamais ma confiance. Je ne suis plus celle que j'étais. Maintenant, tout est terminé. L'amour n'existe pas et je ne le chercherai plus car après tout, pourquoi vouloir à tout prix quelque chose d'éphémère et faux ? Je ne me ferai plus d'illusions. Ce monde n'est pas un conte de fée. Il n'y a pas de souris ou de petits oiseaux qui m'aideront à fabriquer une robe magnifique pour épater le prince... Oh non. Il y a seulement des êtres humains hypocrites et malhonnêtes qui ne pensent qu'à eux. J'étais seule avec mes idées idylliques mais ce temps est révolu. Aujourd'hui et demain, je serai celle qui te mentira, celle qui te manipulera, celle qui t'attire et qui te jette, celle qui aime jouer, celle qui n'a pas de sentiments, celle qui est la définition exacte du mot « pétasse ». N'essaye pas de découvrir ce qui se passe au plus profond car personne ne fait mieux semblant que moi. Je me fous de qui tu es. Va t'en.

When I was younger I saw my daddy cry and cursed at the wind, he broke his own heart and I watched as he tried to reassemble it. And my momma swore that she would never let herself forget and that was the day that I promised I'd never sing of love if it does not exist.

« Regarde-moi ». Ilyas. Le rêve de toutes les filles. Dommage qu'il n'ait d'yeux que pour La fille qui ne croit plus qu'un homme comme lui puisse exister. Ilyas est son ami d'enfance mais ils se sont perdus de vue alors que la belle était âgée de dix ans. Secrètement, elle l'aimait. Elle le trouvait adorable, amusant mais avant tout, drôle. Pour un petit bonhomme, il était franchement délirant et hyperactif. Une véritable boule d'énergie au plus grand désespoir de ses parents. Sa mère était une femme introvertie, croyante et conformiste. Son mari, un homme terriblement ennuyeux, appuyait toutes les idées conventionnelles de son épouse. Il lui était arrivé de se demander s'il avait réellement le même sang que ses deux individus. C'est seulement lorsqu'elle eu ses dix ans qu'une haine profonde envers les Heatherfoxt l'envahit des pieds à la tête. Olivia avait toujours été proche de la mère de la meilleure amie de son fils, Clarisse. Mais lorsque cette dernière décida de laisser son compagnon pour une femme, la mère d'Ilyas rompa les liens avec les Berlinsky car elle ne pouvait entretenir une amitié avec une lesbienne. Clarissa déménagea dans une autre quartir, emmenant sa fille avec elle. Pour Alizée, c'était la fin du monde. Personne ne sait ce qui se passait alors dans son cerveau d'enfant mais à partir de ce moment, elle n'a plus jamais été la même. Elle qui, autrefois, était une charmante petite fille se transforma en quelqu'un de méfiant, toujours sur ses gardes. Clarisse savait pertinemment que sa fille avait de la peine, après tout, un divorce n'est jamais plaisant mais elle ignorait à quel point elle souffrait, en silence. Ali avait perdu son meilleur ami, son confident et celui qu'elle aimait. Ali avait perdu l'image sécurisante et joyeuse de ses parents enlacés. Ali avait perdu ce sentiment d'insouciance et d'innocence qui vit en chaque enfant. Ali s'était perdue. Que s'était-il passé ? Pourquoi Clarisse n'aimait plus Joseph ? Pourquoi aimait-elle une femme ? Il était extrêmement ardu pour Alizée d'assimiler ce revirement de situation. Il y a quelques mois encore, son papa et sa maman s'embrassaient et riaient... Elle avait toujours cru qu'ils seraient ensemble pour toujours mais il semblerait que le mot "toujours" ne fasse pas partie de sa réalité. Elle avait peur. Et Cendrillon ? Et la belle au bois dormant ? Les princesses qui avaient bercé son enfance avaient-elles vécues heureuses et avaient-elles eu beaucoup d'enfants avec leur prince charmant ? Lorsqu'elle avait réalisé que ces histoires étaient fausses et qu'elles n'existaient que pour faire rêver les petites filles, elle lança sa poupée d'Aurore dans la toilette et cria qu'elle n'était pas une petite fille. Mais il l'avait retrouvée. Sa Alizée. Il avait boudé ses parents durant des années et les détestait encore à ce jour. Jamais il n'avait cessé de penser à elle mais il se rendait maintenant compte qu'elle n'était plus du tout la même. De l'extérieur, elle projetait une onde sensuelle qui captivait automatiquement les hommes. Le plus surprenant était qu'elle se donnait un air de je-suis-belle-et-tu-me-veux. Alizée. Celle qu'il avait protégée à tant de reprises auparavant. Malgré tout, il n'était nullement déstabilisé. Oh oui, elle y était toujours, derrière ce regard séducteur se cachait celle qu'il aimait, il en était certain. Depuis leurs retrouvailles, il s'était vu cinq fois mais c'était le premier moment qu'il ne passait pas en public. Enfin, elle ne pourrait faire semblant de s'intéresser à un vieillard assis sur un banc. Maintenant, ils étaient seuls et elle devrait le regarder dans les yeux. Pourtant, elle ne l'avait pas encore fait. « Regarde-moi, Alizée ». Elle passa sa main dans ses longs cheveux châtains et soupira. Elle n'avait pas l'intention de croiser ses yeux qui l'analyseraient en quelques secondes. Elle le détestait. Pourtant, lorsqu'Ilyas fixait quelque chose d'autre qu'elle, elle l'examinait et à chaque fois, sa tête tournait et une bête endormie se réveillait soudainement et provoquait une tempête dans le bas de son ventre. Cette journée-là, il était impossible pour elle de contempler son vieil ami car celui-ci avait le regard braqué sur sa personne. « Arrête de me fixer comme ça », lança-t-elle d'une voix qu'elle essayait de rendre froide. Tout ce qu'elle put obtenir de lui fut un léger rire. Il ne se moquait pas d'elle, loin de là. « Comment peux-tu savoir que je te regarde ? », demanda-t-il calmement. « Euh... je...je le sens », bégaya-t-elle, ébranlée par la douceur de sa voix grave. Elle était paniquée. Soudainement, elle eut une puissante envie de croiser son regard perçant mais elle s'efforça de résister. Ilyas est comme les autres, il m'a retrouvée simplement parce qu'il voulait coucher avec moi, pensa-t-elle pour se redonner une contenance. « Veux-tu voir comment je te regarde, Ali ? », l'interrogea-t-il avec une intensité déconcertante. Tantôt, Ilyas blague et tantôt, Ilyas parle sérieusement. Oh oui, elle brûlait d'envie de le savoir. Le soleil qui pénétrait par la fenêtre du salon de l'appartement d'Alizée illuminait le canapé où ils étaient tout les deux assis. Jamais aucun homme ne lui avait parlé de la sorte... Il était si beau et si... Mais il finira par me briser le coeur, se rappela-t-elle afin de ne pas perdre le contrôle. Perdait-elle à cause du rayon de soleil qui le tapait sur la tête ou était-ce à cause du regard ardent qu'elle sentait peser sur elle ? Elle entendit le grincement du canapé et son coeur se mit à battre encore plus vite. Oh, oh. Elle leva légèrement ses yeux bleus et vit qu'Ilyas s'approchait. Alizée ouvrit un peu la bouche, un baiser serait tellement parfait... Bon sang, mais qu'est-ce qui n'allait pas chez elle ? Ce gars débarque et paf! fout toute sa vie en l'air... Il était si près maintenant qu'elle pouvait sentir son agréable haleine à la menthe. Elle détourna rapidement la tête vers la gauche. C'est alors qu'elle réalisa qu'il pourrait lui faire n'importe quoi, elle n'aurait pas la force de l'en empêcher. Les lèvres d'Ilyas se posèrent sur l'oreille droite d'Ali et celle-ci frissonna. « Ali... Veux-tu voir comment je te regarde ? », murmura-t-il d'une voix très douce mais à la fois incendiante. Sa respiration se fit plus rapide. Pourquoi l'avait-elle invité chez elle ? C'était de la folie et regardez ce qui se passait... Cependant, elle ne céda pas et ne bougea pas. Il poussa un long soupir qui se dirigea dans le creux de son cou. Elle ne put s'arrêter et un petit gémissement sortit d'entre ses lèvres charnues. Aussitôt, Ilyas prit le délicieux visage d'Alizée dans ses mains et enfin, leurs regards se fixèrent. Et ils se scrutèrent pendant de longues minutes. Il la regardait d'une façon inusitée. Un mélange de douceur, d'envie, de douleur, de bonheur et de tristesse. Avec une brillance embrasante. Il l'aimait, il lui offrait son coeur tout entier, pouvait-elle le voir ? Comprendrait-elle un jour qu'il n'y avait qu'elle et que les années passées sans sa présence étaient les pires de sa vie ? Où était donc passée la petite Ali qui jouait au prince et à la princesse avec lui ? Quelle sorte de blessure était ancrée au plus profond d'elle ? Parviendrait-il à alléger son chagrin ? Que lui cachait-elle ? Une larme glissa sur la joue de porcelaine de la jeune femme. Ce sentiment cuisant qui irradiait dans sa poitrine allait-il partir bientôt ? Elle ne pouvait supporter cette sensation. Elle s'était promise de ne plus jamais... De ne pas accorder sa confiance... Mais il l'avait. Dans le fin fond de cette Alizée tourmentée se cachait toujours une enfant rieuse qui croyait en l'amour. Bon dieu qu'elle était bien enfouie mais il savait qu'un jour, elle reviendrait vers lui. C'est pourquoi il effleura la douce, mais mouillée, peau de celle qu'il aimait et se leva alors que les larmes continuaient de couler sur ses joues. Il était si difficile de ne pas pouvoir sécher ses pleurs et de la serrer dans ses bras musclés. Il aurait tant aimé qu'elle se confie à lui mais il voyait bien qu'elle n'était pas prête à cela et il la respectait. Ses yeux se remplirent d'eau, seule elle pouvait le faire pleurer mais il se retint et lui dit simplement, d'une voix chargée d'émotions ; « Je t'attendrai. Toute ma vie s'il le faut ». Le coeur lourd, il la regarda une derrière fois et partit.

Elle resta assise sur le canapé, dans la même position, pendant une heure, se ressassant les derniers moments. Alizée cachait un terrible secret. Pas même sa meilleure amie, Jaymia, était au courant. Son frère, Viktor, avait tenté de s'enlever la vie, quatre mois plus tôt. Si vous êtes plutôt malin, vous comprendrez pourquoi. Ali n'est pas devenue cette garce finie seulement parce que ses parents se sont séparés alors qu'elle avait dix ans. Vik' était en peine d'amour lorsqu'il a voulu partir pour toujours. Sharayah l'avait trompé avec un autre. C'est à partir de ce moment qu'elle s'est promis de jamais jamais ouvrir son coeur à une personne qui peut facilement décider qu'elle n'en veut plus. Elle avait arrêté de pleurer et se sentait affreusement vide. Elle ne savait plus quoi faire. Et si elle disait à Ilyas qu'elle l'aime et qu'un an plus tard, il perd la flamme alors qu'elle est encore folle amoureuse ? Aurait-elle le même désir que son frère avait eu à ce stade là ? Tremblante, elle se dirigea vers la salle de bain alors qu'elle repensait à la tentative de suicide de Viktor... Elle longeait les corridors de l'hôpital d'un pas pressé et déterminé. Ses longs cheveux se balançant au rythme de ses pas. Elle était furieuse. Son grand frère... merde. Celui qui l'avait toujours protégée avait voulu partir et la laisser seule sur cette Terre... Ils s'étaient soutenus lors de la séparation de leurs parents mais cette fois, elle devait faire face à ce nouveau drame sans lui car il en était la cause. Elle lui en voulait. Elle rentra dans la chambre où était couché Vik' et laissa aller sa rage : « T'es un maudit con, merde ! J'peux même pas croire que t'as fait ça ! À quoi tu penses ? Moi ? Maman et papa ? Tes amis ? On s'en fout merde de Sharayah, c'est une pétasse et c'est tout ! Tu l'oublies et tu t'en trouves une autre ! TU ESSAYES PAS DE TE TUER, CRÉTIN ! », cria-t-elle en essuyant les larmes brulantes qui coulaient sur ses joues. Aussi brutalement qu'elle s'était installée, sa colère disparut. Son frère lui souriait, de l'eau brillait dans ses yeux. Il était pâle, faible et fatigué mais il affichait un sourire heureux. « Tu m'as manqué. Je t'aime et je m'en veux. J'ai jamais voulu te quitter, crois-moi mais... tu n'as jamais été en amour comme je l'ai été... chut, chut. Laisse-moi terminer. Je sais que ce n'est pas une bonne raison et que ça ne justifie nullement ce que j'ai fait. Je sais pas quoi te dire mais ça fait du bien de me faire engueuler. Maman et papa n'ont presque rien dit. Ils pleuraient. Je suis vraiment désolé de vous avoir fait souffrir et quand je sortirai d'ici, on prendra du temps juste toi et moi ». Impossible d'être fâchée plus longtemps contre lui. Il avait une façon bien à lui de calmer ses proches. « Et moi, quand je sortirai d'ici, je vais aller péter la gueule de Sharayah », dit-elle en retrouvant un semblant de sourire. Elle soupira de bonheur alors que l'eau chaude de la douche réchauffait son corps car celui-ci s'était vachement refroidi au départ d'Ilyas. Demain, elle irait voir son frère chez lui et lui raconterait ce qui s'était passé avec son ancien ami d'enfance... Dans le passé, ils étaient de bons amis, surtout qu'il avait le même âge...
Si seulement vous saviez l'histoire tordue qui se trame entre ses quatre personnages... À suivre dans le scénario d'Ilyas, de Viktor et de Sharayah.

bienvenuuuuuuuue ♥

WEEEEEEEEEEEEEELCOOOOOOOOOOOOMEEE !