Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -17%
SSD interne Crucial SSD P3 1To NVME à ...
Voir le deal
49.99 €

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyLun 12 Avr - 16:14


      elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante 20jrf6g elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Mini_090312025634835507
      elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Mini_090312025657197853 elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante 25sakhx
      (c) FOX & ADASTRA
      ♦️♦️ Louhan & Maïwenn
      ▬ Elle est pas commode, non elle est pas comme Aude. Elle est pas froide, elle est pas chaude pour nu réaliste. Elle est pas créditeur. Elle est pas méchante, mais putain qu’est ce qu’elle est chiante

    ▬ attend mais tais toi pour voir? Ouai c'est mieux.
    ▬ mais va te faire voir Louhan! Puré mais tu peux pas tous simplement penser juste deux secondes à une autre chose que toi? Il te suffisait de penser juste à un truc mince
    ▬ mais la ferme...tu m'énerves
    ▬ casse-toi puré...dégages tu es même pas foutu de penser une fois
    ▬ ouai c'est ça je me casse...


    Il avait prit ses affaires, remit son pantalon puis de bon matin chopant son téléphone il avait quitté l'appartement de Maïwenn énervé; claquant la porte il avait vut la vieille voisine de la jeune femme à sa porte encore une fois dérangée par ces cris matinau. Toujours le même garçon, en même temps elle avait vite comprit qu'ils étaient ensemble, enfin c'est ce qu'elle pensait car c'était le seul garçon à venir ici. Pourtant ils criaient tous le temps, où alors si ils criaient pas elle els croisat dans l'escalier montant à toute vitesse déjà entrain de s'embrasser passionnément. Des adolescents, des jeunes évidement. Louhan enfila ses doc marteen devant la porte fermée et reprit son blouson en cuir en main. Sortant son paquet de clopes.

    ▬ pas de ma fautre si votre voisine est timbrée...

    avait-il à moitié cracher avec arrogance et non intéret. Puis il avait dévalé les escaliers et c'était perdu dans le dédale des marches. C'était tousvent la même chose... Il claqua la porte de l'immeuble miteux et rentra chez lui à pied. Même plus en colère, tous simpelment presque innocent, siflottant, veste en cuir balancé sur son épaule, clope au bec et cheveux pas coifé. Il était dix heure et demi, il avait passé la nuit chez Maïwenn et comme beaucoup de matin il n'avait même pas eut le temps de déjeuner chez elle avant de se faire jetter. Il aimait ça, enfin il n'aimait pas les disputes mais qu'est-ce qu'elle était belle lorsqu'elle s'énervait. et puis c'était pas monotone au moins. Il s'acheta un café en route et s'étira presque paisible. Il faisait beau aoujrd'hui et chaud. Il ne se souvenait même plus pourquoi cette dispute avait éclaté alors qu'ils étaient encore nues à partager le même lit. Il haussa les épaules et rentra chez lui se laver un peu dans son appartement miteux mais si vintagement classe.

    Il était quatorze heure trente de l'après-midi et pour une fois Louhan était éveillé chose étrange quoi que vut son réveil du matin.. Il s'était revétit d'un jeans bleu pale délavé à troi, ses basket de skate abimé, et un débardeur blanc en coton avec des inscriptiosn abimé; on voyait tous ses tatouages sur ses bras et il avait mit quelque collier et des bagues, bracelet. Il avait cerné son regard bleu de noir, pour ne pas que l'on voit trop ses cernes rouges du à la cocaïne. Il enroula une écharpoe noir et blanche autour de son coup, enfila une veste de sport grise et prenant ses effets personnels dont il ne pouvait se passé et qui se résumait à son porte-feuille avec des barretes de shit, son téléphone portable, son paquet de clope contenant aussi un sachet de substance illicite et son zippo. Il sortit dehors mettant des lunettes de soleil aviator pour ne pas s'exlopser les yeux dû à la luminosité. Il commença à marcher pour se rendre à la librairie, là où on le connaissait assez bien d'ailleurs. Il entra et se dirigea vers les auteurs moins moderne, fouillant à la recherche d'un auteur qui pourrait lui faire défiler quelques heures de sa vie de manière occupées...
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyLun 12 Avr - 19:18


Un grognent, un mouvement dans un lit qui n’était pas le sien, une main qui se glissa sous les draps et descendit jusqu’à son ventre. Sa peau frissonna, un désagréable envie de sortir de ce foutu lit qui n’était ni confortable, ni agréable. Ne pouvant bougeait, la demoiselle essaya d’enlevait le corps qui lui barrait le descende du lit. Qui était le bel homme qui était avec elle mais qui puer tellement la bière, que son propre cerveau s’était enivré. Wenn préférait sincèrement se bourrait la gueule que s'enivrée comme ça. Le jeune homme ne bougeait toujours pas, il était encore endormit. Merde et sa main continuait à la caressait, bon faut pas être vache pour que reconnaître que c’était agréable mais Maïwenn n’avait pas la tête à ça. Qu’est qu’elle avait encore à être ronchonne ? Merde n’était-elle pas satisfaite de sa nuit, cette partie de jambes en l’air ne lui suffisait donc pas ? La jeune femme rousse péta en quelque sorte son câble, elle grogna et poussa le bras du jeune homme, cette main qui se dirigeait de plus en plus vers sa …. Censuré …. Bon, on ne va pas vous faire un dessin non plus … La demoiselle lui donna une légère tape sur le torse, mais il ne se leva pas, un simple grognement. Ohhh, Maïwenn allait s’énervée s’il ne se levait pas de suite, il allait voir ce qu’il allait voir… une, deux, trois… petit mec si tu tiens à ta raison de faire plaisir aux filles, c’était maintenant ou jamais de te levait… rien… encore et toujours rien…. La jeune femme, le secoua un peu plus…. Tout en ajouta avec une voix un peu voilée :
    – je pourrais avoir mon jean stp…
    – hum enfin réveille … Chérie, où tu vas ?
    – je rentre chez moi
    – mais… Pourquoi ?
    – Désoler … je te l’ai dit, on le fait, pas d’engagement et je me casse une fois qu’on avait couchés ensembles
    – la nuit était bien au moins ?
    – écoute petit mec, si j’ai passé la nuit entière avec toi ça veut dire quoi ?
Sans un mot, la jeune fille enfila son jean et se redressa sur le lit, l’enjamba puis monsieur ne souhaiter pas se levait, elle ne mit rien d’autre que son haut. Mettant négligemment son soutif - et tout le reste de ses vêtements – dans son sac à main. Dix minutes après, la jolie rousse retrouva enfin son chez-soi. Une envie irrésistible de se mettre un film mais avant de se passer dans une bonne douche froide. Le jet coulait, elle n’augmenta pas la température. L’eau était plus que gelée mais la force d’augmenté la température n’était pas là. Qu’est qu’elle avait ? Voilà plus d’un mois qu’elle n’avait plus la force de rien faire. Passant simplement un tee-shirt court et un boxer, la demoiselle se glissa dans son canapé avec une bonne couverture et regarda un de ses dvd qui ne coûte pas très cher. Au bout de quinze minutes de film quelques frappa à sa porte. Merde, elle avait une sonnette pourquoi tambouriné aussi fort sur une simple porte en bois- pas très épais. De mauvaise grâce la demoiselle se leva, un peu plus réchauffé que précédemment. Se dirigeant vers la porte, elle se rendit compte qu’elle allait ouvrir en petite tenue, mais les coups devenaient de plus en plus forts. Doucement, elle ouvrit la porte, ne regardant pas vraiment son invité mais rapidement elle sentit un long frison, un frison d’agacement… Louhan était bel et bien là devant elle. La suite des évènements vous la savez non ? Une nuit ensemble, une engueulade de bon matin et elle dû repartir au Rudy.

Entrainement intensif de dix heure et demi jusqu’à quatorze heure moins le quart. Même si elle était entrée dans le Rudy pour venir en aide à son père, vu la crise financière qu’il avait elle ne regrettait pas son choix… un an qu’elle avait été embauché et la voilà, maintenant sur la scène. Ondulant son corps vêtue de façon sensuelle voir très peu sur des musiques langoureuses. Elle avait charmé un petit public avec son corps porcelaine et ses cheveux de feu. Travaillant trois soirs par semaine en tant que meneuse de revue, l’autre parti du temps, elle était serveuse ou s’entrainait durement comme aujourd’hui. Un soupire, l’heur de sa pause. Il était quatorze heures et elle ne devrait que revenir le soir vers vingt-deux heures trente, pour faire la clôture en ce samedi soir. Sur le chemin, elle s’arrêta au jack Rabbit Slim, un petit bar du potts point – son quartier résidentiel. Un achat d’un sandwich poulet curry et en avant l’aventure. Elle passa alors devant la librairie. Elle, la grande fanatique de littérature était servie ici. Elle poussa la porte à grelots. Un sourire du propriétaire et une silhouette quitté sur le pas de son appartement. Louhan.
    – tien monsieur Canteberry, quand ce n’est pas dans un état d’alcoolémie, je te trouve en train de t’instruire. C’est bien le comble, tout cela.
parole sarcastique de la part de la jeune femme, mais il l’avait bien mérité.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyLun 12 Avr - 20:12


    Tiens Iggy Pop avait écrit un roman? Louhan amusé sortit l'ouvrage; mais il fut d'autant plus surprit car ce n'était pas Iggy Pop qui l'avait écrit mais le titre était bien " On ne s'invente pas tel Iggy Pop". Il regarda la couverture avec un miroire et notre chèr Iggy dedans. Il ne comprennait ni le titre ni le nom de l'auteur qui devait être Russe vut le prénom imprononçable et composé d'autant de voyelle étrange. Il retourna l'ouvrage, tel qui puisse lire la quatrième de couverture et ainsi s'informer sur le thème de ce livre.

    – tien monsieur Canteberry, quand ce n’est pas dans un état d’alcoolémie, je te trouve en train de t’instruire. C’est bien le comble, tout cela.

    Dérangé dans sa lecture il releva la tête pour faire face à la délicieuse créature qui lui faisait face. chevelure rouge famboyante, des yeux délicieusement clair posé avec dédain sur sa personne. Hum...oui c'était jouissif d'avoir affaire à melle Harvey-Boily en persone, dédaigneuse face à Louhan. Elle ne le supportait pas, et il adorait ça. Il sourit avec sarcasme et reposa ses yeux sur le livre comme si elle ne vallait pas le luxe qu'il s'attarde sur elle. Il lit entièrement le résumé se demandant pourquoi des auteur font des thèse sur comment ne pas passé à coté de son "Moi intérieur" en passant par une métaphore d'Iggy Pop. Il était entrain de se poser la question, lorsqu'il termina de lire le résumer.

    – je ne comprends réellement pas pourquoi on doit passer par Iggy Pop pour se rendre compte par métaphore que nous devons rester à l'écoute de nous même et ne pas s'inventer...

    expliqua-t-il relativement poséent à la jeune fille qui se trouvait debout à ses cotés. Comme si elle ne lui avait lancé aucun pique, comme si elle n'était rien d'autre qu'une potiche de magasin prète à répondre à ses interrogations. Oui Louhan pouvait être réellement désagréable sur beaucoup de point et encore plus lorsqu'il s'agissait de cette fille. Pourtant c'était elle qui passait la plus claire de son temps dans son lit, à l'engueuler, à l'embrasser, à le baiser comme une bonne partie de la population. Sauf qu'elle, elle revenait toujours contrairement aux autres, qu'il virait sans hésitation.

    – enfin bon... alors? tu es enfin calmé? Tu es aller te taper un rail et tu peux enfin parlé sans me les briser? Alors Bab' ta journée? tu es pas trop crevée?

    s'informa-t-il le plus innocament du monde et comme si il en avait rien à foutre, sans pour autant l'envoyer dans du sarcasme profond. Et oui pour lui parler ainsi était souvent du plus banal; et puis il aimait la provoqué. De plus c'était presque vrai, il supportait pas qu'elle aille coucher ailleurs encore moins quand elle draguait d'autre sous son nez. qu'elle se tape des rails, c'était osn affaires, il était pas mieux alors il s'en fouttait royalement. Il haussa les épaules, les yeux toujours posé sur le livre puis le reposa sur l'étagère et recommenca à regarder les livres comme si Maïwenn était invisible à ses cotés, pourtant hyper jolie juchée sur ses talons aussi haut et ses fringues si avantageuseS. Il continuait de regarder les ouvrages comme si elle n'était pas là, où comme si elle n'avait été qu'une statue à ses cotés, un pauvre pote qu'on ignore ou que l'on ne voit même pas tellement on en a rien à faire. L'art de la provocation tout faire pour énerver les gens, évidement ça fonctionnait avec elle; ça fonctionnait avec tout le monde même avec lui-même.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyLun 12 Avr - 20:57


    – je ne comprends réellement pas pourquoi on doit passer par Iggy Pop pour se rendre compte par métaphore que nous devons rester à l'écoute de nous-même et ne pas s'inventer...

la jeune femme venait de poser ses grands yeux clairs sur le visage du jeune homme. Celui-ci venait de lire la quatrième de couverture. Alors, lui aussi était instruit. Elle n’en avait jamais douté, mais cela lui fessait étrangement bizarre. Elle qui ne le voyait que dans son lit, et dans des bar. Soit dans un état secondaire, soit avec de sulfureuses blondes dans ses bras. Jamais elle n’aurait pensé cela de lui.
    – enfin bon... alors? Tu es enfin calmé? Tu es allée te taper un rail et tu peux enfin parlé sans me les briser? Alors Bab' ta journée? Tu n’es pas trop crevée?
    – Moi calmée ? Je n’ai jamais été aussi sereine de toute ma vie. Me taper un rail ? Tu insulte mon métier là. Non, on j’étais bien trop occuper à m’entrainer pour le final de ce soir. Une pure merveille. A mon humble avis, certains en seront charmés. Des jeux de jambes, des jeux de lumières, des mouvements sensuels et précis. De quoi en devenir fous. Je dis ça, mais je ne dis rien. De toute façon, tu ne comptais pas venir. A quoi bon tout te dire.

Qu’est-ce qu’il l’énervait quand il agissait comme cela. Pourtant leur relation était basée sur cella. Je t’aime bien mais je ne te le dit pas. Tel était la conception des choses pour Maïwenn, elle l’aimait un peu trop, mais ne voulait absolument pas le lui avouer. Si un jour – dans quelques années – elle devrait le lui dire, il devrait lui promettre de ne plus coucher à droite et à gauche. Pour le moment c’est ce que monsieur fessait. Une fille chaque nuit, toute différente et elle, n’était qu’une exception – une régulière comme elle s’appelait. La jeune femme aux cheveux flamboyant, fessait courir les doigts sur les couvertures diversifies des bouquins. Comment ce vengeait-elle ? Très simple, quand il était au Rudy – l’attendant tranquillement devant une boisson alcoolisé ou en charment compagnie – elle ne pouvait s’empêcher de joué deux fois plus la comédie avec les hommes qui bavaient devant ses micros tenues. Il voulait jouer au con, elle allait joue également. Elle allait faire ce qu’il détestait le plus au monde. Charmer, séduction à hauts niveaux, elle se laissait toucher par les hommes aux mains si sales. Elle se fessait du mal, mais elle arrivait à le mettre dans un état qui la satisfaisait. Maïwenn avait bien vu les regards meurtriers qu’il lui lançait. En général, cela se finissait à l’arrière de la scène, dans les coulisses peu éclairés. Il attendait qu’elle sorte, pour l’agrippait violement par le bras et la plaqué contre le mur froid qui était contre elle. Louhan, lui lançait des regards violant, qui montrait également la passion avide qu’il allait mettre à leur jeu au lit. Il lui promettait de lui faire l’amour avec violence, puissance et brutalité. Une relation qui était tout droit sorti des bouches de l’enfer.

Il ne prêtait pas attention à elle, trop occuper à regardait tel au tel livre. Il voulait jouer à ça. Elle allait se faire plus conne que lui. Elle regardait avec faim, le jeune vendeur de la boutique. Un homme qui l’avait déjà vu sur scène. Vu les regards insistants qu’il avait posé sur son corps vêtue d’une jupe verte d’été. Elle s’écarta de Louhan.
    – hum… je revins…
Elle tourna les talons et s’approcha du jeune homme blond qui était affalait contre le comptoir. On entendait le bruits de ses talons que résonner dans la libraire vide. Normal, à cette heure-là. Bref, elle se cala sur le comptoir, fessant les yeux de biche aux vendeurs. Il la félicitait pour son spectacle de la semaine dernière, et lui demandait quand était le prochain. Elle regardait de temps en temps, si monsieur avait bouché de sa place. Cela ne manqua pas. Il s’était approchait d’un pas énervé et rapide près des deux personnes. Il avait attrapé la demoiselle par le bras. Wenn était silencieuse, attendant la réplique du jeune homme…


Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyLun 12 Avr - 22:08


    Louhan avait reposé le livre sur Iggy Pop, n'ayant pas l'intention de l'acheter. Certe il avait la faiblesse d'acheter des tas de livre mais pas non plus de la merde qui lui dirait haut et fort qu'il ne fallait pas s'inventer mais se découvrir. Ho c'est bon pas besoin de faire psy pour dire ça, ni d'être un grand auteur. Louhan était bien capable de le faire et de l'écrire. Oui Louhan écrivait ou plutôt Louhan avait écrit il fut un temps, lorsque les papillons le faisait marrer et qu'il regardait les étoiles avec Tristan à se moment là il écrivait des chanson pour que Tristan les joues, et il écrivait des textes, des romans. Maintenant il n'écrivait plus où du moins rien de bien important, des poèmes et des textes de musique lorsqu'il était défoncé; ce moment de pur vérité où il détestait le monde et l'aimait en même temps. Mais les écrit restaient alors enfermé dans une pièce où seul Louhan entrait personne d'autre. Un soupire de la part de Maïwenn lui fit tourner légèrement les yeux vers elle sans trouner la tête pour autant. C'est bon elle était énervé, c'était partit. Pourquoi diable avait-il besoin de la faire toujours sortir de ses moments qu'elle adorait être calme.

    Moi calmée ? Je n’ai jamais été aussi sereine de toute ma vie. Me taper un rail ? Tu insulte mon métier là. Non, on j’étais bien trop occuper à m’entrainer pour le final de ce soir. Une pure merveille. A mon humble avis, certains en seront charmés. Des jeux de jambes, des jeux de lumières, des mouvements sensuels et précis. De quoi en devenir fous. Je dis ça, mais je ne dis rien. De toute façon, tu ne comptais pas venir. A quoi bon tout te dire.
    – Oui je vois en effet que tu as l'air très calme, finalement tu aurais peut-être du ajouter le rail à ton...métier. Oui effectivement cela ne sert à rien de me le dire je n'allais pas venir... Mais tant pis je serais au courant, et j'y penserais peut-être en sortant de chez moi...arrètes de taper du pied chérie tu vas user tes escarpins

    dit-il avec un calme olympien. Puis on l'énervait plus il était calme; enfin cela dépendait des situations. Mais plus les gens énervaient Louhan et plus son taux de colère grimpait et plus en apparence il restait calme à en faire peur. Et son apparence de calme profond avait le don d'énerver les gens donc en claire des deux cotés la tention montait jusqu'au moment où toujours calmement Louhan glissait poliment son poing dans la figure de la personne face à lui. Bref tout en finesse ce garçon. qu'est-ce qu'elle pouvait l'énerver avec son métier de catin; oui car il ne voyait pas d'un bon oeil ces taré, ces looser qui posaient leur mains dégueulasse sur le corps de la jeune femme. Combien de fois il n'avait pas voulut la toucher avant qu'elle ai prit une douche. Heureusmeent elle-même se lavait toujours dès après ses shows. Ses shows le faisait vomir, il ne lui avait pas dit, il n'avait jamais montrer cela. Mais la voir ainsi lui donnait la nausée, et il la trouvait pitoyable. Mais même dans des situation sir dégradante elle restait pure et jolie. Et il ne pouvait pas s'empécher d'aller la voir, se souler la gueule et patienter qu'elle est finit; lui-même accumulant les conquête. Mais lui ne se faisait pas payer pour ça. elle détestait qu'il aille voir ailleurs? Pourtant il savait très bien qu'elle même ne trainait pas que dans son lit; lorsqu'elle méprisait le fait qu'il couche avec "nimporte quoi"; il ne disait rien répliquait juste qu'il ne se faisait pas reluquer pour de l'argent. Mais au fond il avait bien envie de lui dire qu'elle était pas mieux que lui, qu'elle aussi baisait à tous va. Oui baisait, il n'aimait pas ce mot, il détestait ça. Mais c'était vraiment le mot le plus abject le plus vulgaire et donc celui qui caractérisait leurs actions communes. Sauf lorsqu'ils étaient ensembles; mais "faire l'amour" aurait pas été accorder; ils unissaient leur essence dans un corps à corps passionnel. C'était bien plus...

    – hum… je revins…

    Louhan fit un léger bruitage de gorge qui disait en claire "d'accord" mais continua dans sa contemplation des livres. Il entendait ses talons claquer contre le sol, il adorait le son de sa démarche. après un bref moment il entendit la voix de Maïwenn plus loin, puis celle du vendeur. Louhan leva les yeux au ciel se demandant pourquoi le fichue destin, karma, hasard ou Dieu avait foutu Maïwenn sur sa route pour le déboussoler à ce point, et surtout pour lui en faire voir d'autant de couleur. Il tourna la tête vers ce débile de vendeur, ultra moche, ultra dégueu et client au Rudy. Et voila que mademoiselle en jupe volante verte se déambulait avec ses yeux de biche devant ce mec qui bavait devant elle. Louhan soupira se rapprochant d'elle. Il la prit par le bras , de manière certe assez violente.

    – mec sérieux lâche l'affaire... certe tu peux peut-être pas te trouver de filels j'en sais rien moi...mais vise pas aussi haut...ou aussi bas chacun son éthique. Et merde arrète de te montrer en spectacle rien que pour que je pose les yeux sur toi...c'est bon je sais comment tu es, pas besoin de me faire une scène. Je savais sans non plus te fixer durant des heure que tu portait c'est fringue pour une fois déscentes; que tu es maquillé pour une fois sans outrance; que tu as sans doute mis du temps à coiffer tes cheveux. Pas la peine de draguer le premier venu rien que pour m'oter ces bouquins de la tête...c'est pathétique... nan tu n'es pas transparante, je sais que tu es là je sais à quoi tu ressembles, je sais que tu as un grain de beauté sur la hanche gauche et une cicatrice juste sous ta clavicule. Alors arrète de vouloir être toujorus mon centre d'attention...je ne suis pas client au Rudy pour payer pour te mater excuse moi pour ça bab'

    expliqua-t-il de manière toujorus aussi calme bien que le début est été peut-être colérique lorsqu'il s'était acharné sur le bras de Maïwenn et qu'il avait parlé à ce mec mais il s'était calmé lorsqu'il lui avait dit qu'il pouvait peut-être se trouver une nana. Pour ensuite parler d'un ton blasé à Maïwenn aucune pudeur du faite de "s'engueuler" devant ce mec qui savait pu où se mettre. Exposant ainsi leur "intimité" et le corps de la jeune fille ainsi que son intérêt pour elle. Non il n'avait aucun pudeur, rien de le génait, il avait honte de rien et c'était ça qui faisait sa supériorité à tous dans cette mini ville qu'était Sydney.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyLun 12 Avr - 23:50

La jeune femme se préoccupait plus du jeune vendeur qui se prénommait Rick, que de son amant. Il avait voulu faire comme si elle était transparente, elle avait fait comme s’il n’était pas si important que ça pour elle. Elle entendait les pas qui les séparaient. La distance n’était que de bons mètres, mais son trajet fut rapide. Ses yeux bleus étaient d’une férocité qu’elle ne lui avait jamais vu. Lui si calme, si digne. Avait-elle douchait un point sensible du jeune homme ? Surement pas. Il devait être de mauvaise humeur, plus que d’habitude. Là, le vendeur en fit les frais. D’ailleurs, la jeune rousse perchait sur ses escarpins vertigineux en fit les frais également. Elle faillit s’écroulait par terre vu la force à laquelle, il l’avait attrapé et fait tourné. Elle s’était retenue au comptoir avec l’aide du jeune Nick ou Rick. Bref, passons. Les mains du jeune homme sur sa peau laiteuse tremblaient. Avait-il peur de Louhan ? Surement vu le regard noir qui s’était abattue sur les deux jeunes gens. On aurait deux amants qui se fessaient attrapé par un mari jaloux. Ils n’avaient pas couchés ensembles que je saches. Ils n’avaient fait qu’échangeaient des regards, des sourires et des paroles. Était-il vraiment jaloux qu’elle s’intéresse à quelqu’un d’autre. Elle le sut par son long discours.

– mec sérieux lâche l'affaire... certes tu peux peut-être pas te trouver de filles j'en sais rien moi...mais vise pas aussi haut...ou aussi bas chacun son éthique. Et merde arrête de te montrer en spectacle rien que pour que je pose les yeux sur toi...c'est bon je sais comment tu es, pas besoin de me faire une scène. Je savais sans non plus te fixer durant des heures que tu portais c'est fringue pour une fois descentes; que tu es maquillé pour une fois sans outrance; que tu as sans doute mis du temps à coiffer tes cheveux. Pas la peine de draguer le premier venu rien que pour m'ôter ces bouquins de la tête...c'est pathétique... nan tu n'es pas transparente, je sais que tu es là je sais à quoi tu ressembles, je sais que tu as un grain de beauté sur la hanche gauche et une cicatrice juste sous ta clavicule. Alors arrête de vouloir être toujours mon centre d'attention...je ne suis pas client au Rudy pour payer pour te mater excuse-moi pour ça bab'

La jeune femme rousse fut choqué par ce qu’il venait de dire. Non seulement, il se permettait de la rabaissait devant un client du Rudy, mais en plus il la blésait dans son amour. La colère montait petit à petit dans son estomac. Formant une épaisse boule de fureur en son antre. Qu’est-ce qu’elle le détesté à cette instant même. Il s’était déjà montré dur, mais là, elle ne l’avait jamais vu comme cela. Qu’avait-il à lui reprochait ? Elle jouait au même jeu que lui. Malheureusement entre eux, elle n’avait jamais compris ce qui s’était passé. Il pouvait se montré un amant tendre et attentif. D’autre fois, elle l’avait vu brutal, violant et souffrant. Maïwenn aurait aimé le connaitre un peu plus. Elle ne connaissait que de lui ses tatouages colorés, ses piercings. Chaque centimètre carré du corps du jeune homme. Où commençait une cicatrise d’enfance et où elle finissait. Elle avait voulu le connaitre, elle avait toujours voulu lui proposer de passer le petit déj’ avec elle ou souper avec elle, mais à chaque fois, il avait commençait avec ses discourt sinique, massacrant. Des discours que Maïwenn n’aimait pas entendre. Jamais elle n’avait voulu les engendrent. D’une voix qui montrait la naissance de la colère, elle s’était calmement bien posait sur ses pieds. Reprenant une pose sur et qui montrait qu’elle n’avait pas froid aux yeux. Elle le pointer du doigt.

– Tu me saoule, jamais de ce que je ne fais plaie à monsieur. Mon métier, je ne l’ai pas choisi comme ça. Il y a des choses que tu ignores sur moi. Tu sais peut-être chaque parcelle de mon corps, ça oui. Effectivement, j’ai un grain de beauté sur ma hanche, j’ai une cicatrice sous ma clavicule, mais c’est tu comment je me la suis faite ? Non, ça surement pas. Tu es plus préoccuper à faire joujoux avec mon corps, à me mettre en rogner une fois qu’on a fini de coucher ensemble que de me poser des questions. Je suis peut-être une putain, une catin, une fille de joie, mais alors qu’est-ce t’as à toujours venir trainer dans cet endroit minable alors… je suis rien qu’une fille de plus. Merde Louhan, arrête avec tes insultes et tes discourt rabaissant. Je ne suis peut-être pas le genre de fille avec le quel en vise haut ou bas, je suis rien qu’une fille qui essaie de s’en sortir merde.

Sbaff… Une main se posa sur le visage pale du jeune homme. Elle s’était fait mal à la main en rentrant en collision avec le visage pale de Louhan. Il l’avait bien cherchait. Non, mais au Maïwenn Harvey-Boily ne se laissera jamais faire. Un trait de caractère qui appartient à bon nombres de personne, on ne donne pas un coup dans l’égo des Harvey, sinon on en reçoit un choc plus ou moins important. La grande rousse sur ses talons regard le jeune homme vêtue d’un tee-shirt blanc, d’un jean pale et d’un blouson de cuir et dit d’une voix tranchante.

– Si c’est pour m’insulter, dire que mon travail ou mon métier n’est que celui d’une putain, de me mettre plus bas que terre comme tu l’as fait. Ne vient plus jamais me voir. Qu’on soit claire et net, je ne veux pas qu'un minable pourrisse ma vie, Louhan. Je suis déjà en train de me détruire à petit feu avec les merdes que je prends. Toi, tu ne fais qu’en rajoutait une couche plus importante. A plus tard, Rick.

Ni un, ni deux, la jeune femme sortit de la boutique dans le même tintement de grelots par lequel, elle était entrait quelque instant auparavant. Qu’es- ce qu’elle fichait avec un gas comme Louhan dans sa vie ? Elle ne serait pas le dire. Elle continuait le petit chemin du Potts Point. Réfléchissant profondément à ce qu’était louhan aaron canteberry pour son pauvre petit cœur ? Un garçon comme un autre. Un homme avec qui l’on couche de temps en temps, un homme qui vous en fait voir des vertes et des pas mures. Un homme qu’au fond de soit on aime. Comment ? Un homme qu’on aime ?!? Jamais, elle ne pourrait ce dire qu’elle aimait cet ingrat d’individu, autant vouer son corps aux enfers. Maïwenn ne marchait pas excessivement vite, s’il devait courir après elle ; il pourrait la rattrapé rapidement. Mais le ferait-il ? C’est une autre histoire. Rangerait-il ou mettrait-il son égo de macho pour venir la voir durant quelques instants ? Des questions auxquelles elle ne se donnerait pas des réponses. Ne pas espère pour rien, tel était sa devise.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 0:22


    Le vendeur semblait plus savoir où se mettre. La colère du jeune homme était disons plutôt impressionnante; pourtant il n'avait jamais comprit les gens. Lorsqu'il s'énervait ceux-ci tremblaient de peur, et lorsqu'il était encore bien plus énerver pour s'emporter, els gens le craignait autant. Nan mais sérieusement les gens sont d'une irrationnalité profonde que Louhan ne comprendrait jamais. Il vit Maïwenn retirer son bras de se main et se camper sur ses talons haut; oui ainsi avec ses chaussures certes elle paraissait plus grande et d'autant plus désirable. C'était dingue comme même lorsqu'elle le haissait Louhan la vénérait cette fille. Elle semblait en colère. en colère? Peut-être un petit peu plus, est-ce que l'engueulade du matin même avait-elle aussi amener à cette colère que Louhan venait de faire éclater?

    – Tu me saoule, jamais de ce que je ne fais plaie à monsieur. Mon métier, je ne l’ai pas choisi comme ça. Il y a des choses que tu ignores sur moi. Tu sais peut-être chaque parcelle de mon corps, ça oui. Effectivement, j’ai un grain de beauté sur ma hanche, j’ai une cicatrice sous ma clavicule, mais c’est tu comment je me la suis faite ? Non, ça surement pas. Tu es plus préoccuper à faire joujoux avec mon corps, à me mettre en rogne une fois qu’on a fini de coucher ensembles que de me poser des questions. Je suis peut-être une putain, une catin, une fille de joie, mais alors qu’est-ce t’as à toujours venir trainer dans cet endroit minable alors… je suis rien qu’une fille de plus. Merde Louhan, arrête avec tes insultes et tes discourt rabaissant. Je ne suis peut-être pas le genre de fille avec le quel en vise haut ou bas, je suis rien qu’une fille qui essaie de s’en sortir merde.
    – Ha je n'ai jamais dit cela...tous ce que tu fais ne me déplait pas bien au contraire. Tu crois que j'ai envie de le savoir quand tu te mets à gueuler comme ça? Nan je m'en fiche d'où ça provient du moment que ça me brise pas les ***** car tu cris...mince tu n'as jamais appris à t'exprimer autrement que par des cris? tu sais...

    dit-il d'une voix aussi calme que si il lui démontrait par a+b que le parfum chocolat était plus calant que le sorbet à la fraise. Toujours ausis calme pourtant face à Maïwenn qui ne l'était plus du tout. Mais il n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'il vit la main de la jeune femme partir d'un coup et après un brusque bruit de choc il ressentit une brusque chaleur et douleur sur sa joue. elle venait de le claquer? elle l'avait gifler? Il en revenait pas, certe parfois elle le faisait quand il la poussait à bout mais c'était pas des claques au visage c'était des coups sur le torse rien de tel. Il la regarda interloqué face à cette réaction. Oui en effet il était surprit, mais de là à être blessé. Ces yeux surprit montrait surtout de la surprise, genre "Ho tu as acherter cette robe couleur anis?" mais rien de plus. Il était chiant, c'était sans doute le pire interlocuteur que l'on pouvait avoir car il réagissait jamais comme il le fallait. Mais vous pouvez en être certains il faut s'entrainer des années pour parvenir à autant de maitrise de ses réactions et des ses sentiments.

    – Si c’est pour m’insulter, dire que mon travail ou mon métier n’est que celui d’une putain, de me mettre plus bas que terre comme tu l’as fait. Ne vient plus jamais me voir. Qu’on soit claire et net, je ne veux pas que minable pourrisse ma vie, Louhan. Je suis déjà en train de me réduire à petit feu avec les merdes que je prends. Toi, tu ne fais qu’en rajoutait une couche plus importante. A plus tard, Rick.
    – Et bien arrête d'en prendre alors; certe tu ne l'as pas choisis ta vie actuel mais ton métier si...mais oui vas-y au revoir chérie...

    Elle n'écouta même pas sa réponse; elle venait déjà de tourner les talons; ses long cheveux roux volant de tous els sens. Puis furieuse elle quitta la libraire dans un claquement de talons puis de porte. Louhan soupira et se passa une main dans les cheveux avec lassitude. Et voila encore une jolie séparation.

    – sérieux mec les filles sont incompréhensibles...elle s'énèrve toujours pour rien. Mais mince elles giflent toujorus ausi fort. Enfin bref tiens je vais prendre ça... Et au faite ne t'avise même pas de t'imaginer prendre la relève ou de la regarder encore une fois. allez au revoir.

    Il lui parlait tel un pote à lui le vendeur ne sachant pas trop que faire. Puis il reprit un livre qu'il avait posé plutôt; non pas celui d'Iggy pop rassurez-vous. il le paya puis sa voix catégorique et tranchante asséna ses dernières recommandation avant de tourner les talons. Le vendeur se jurant que maintenant il se mêlerait plus des histoires de couples ni rien. Sortant de la boutique Louhan alluma une clope et regarda le soleil avant de se diriger lentement vers son bar pour entamer son service. Il arriva là-bas blasé et de mauvaise humeur. Insupportable pour ses collègues heureusement la soirée fut pleine et donc ils n'eurent pas à supporter l'humeur noir du garçon. Il termina son service et trouva une fille blonde, il haissait les blondes, pas trop mal qui parlait guère l'Anglais. Il quitta alors le bar en sa compagnie la raccompagnant à son hotel.

    4 heures plus tard
    Louhan jetta ses clef sur sa table basse, se cognant les pieds dedans il grogna douloureusement. Déchiré le pauvre garçon, à moitié défoncé aussi il se souvenait même plus combien de lignes il s'était tapé avec cette mannequin suédoise. Il l'avait laissé à son hôtel et était revenu tant bien que mal chez lui. Il était très tard. Il enleva son pantalon le jettant sur son canapé et idem pour son débardeur sale; il vide una canette de bière puis se brossant les dents difficilement (oui même défoncé il savait le faire) il se laissa tomber dans son lit. A cette heure-ci Maï' finissait tous juste sa soirée; il était 3 heure et demi du matin. Et pour une fois il se couchait tôt le jeune homme. Il pensa à leur dispute et rit doucement dans le noir se maudissant de sa connerie naturel. Il ne tarda pas à sombrer dans un sommeil, libérant la drogue accumulée. Son appartement dans le noir. Trois heure quarante-cinq du matin, Louhan dormait, tout était silencieux dans son appartement...
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 16:24

Un rideau qui dessin des ombres d’une femme qui danse d’une cadence lente et sensuelle. Des yeux rivaient sur la scène. Des applaudissements qui ne fessaient que s’intensifier au fur des minutes qui passaient. Elle devait tenir cinq minutes de plus et un autre show. Après bon débarra, elle n’était pas humeur cette nuit. D’humeur irritable, Mazarine et Satyre avaient fait les frais de sa méchanceté gratuite. Les deux danseuses plus vielles en années passaient ici, l’avait regardées incrédules. Toutes les deux se demandaient qui avait bien put mettre la jolie rousse dans un état comme cela ? Un prénom revient rapidement dans la tête des deux jeunes femmes – l’une d’une jolie chevelure blonde et l’autre une belle femme métisse – un certain jeune homme prénommait Louhan. Vous l’aurez compris elles savaient pour Maïwenn et le jeune Canteberry. Un raie de coke en trop, une coude d’alcool en trop et la voilà reparti sur scène. N’ayant plus aucune idée de ce qu’elle avait bien pu faire pour que les choses en arrivent là avec le jeune homme. La jalousie était souvent là, quand Louhan était dans les parages. Il ne s’empêchait de la mettre en rogne juste parce qu’une simple jolie fille tournait autour de lui. Elle était folle et de suite, elle voulait lui rendre la pareille. Elle charmait bon nombre d’homme rien que pour voir la réaction de celui-ci. Maïwenn voyait bien les nerfs du jeune homme se tendre, elle voyait ses doigts se crispaient quand elle touchait un homme ou se laisser toucher. La jeune femme s’écœurait elle-même parfois, elle détestait se métier, cette vie, ses conditions. Elle ne l’avait pas voulu contrairement à ce qu’il avait dit dans l’après-midi. Oh non, elle aurait préférée travailler dans un café ou n’importe où, sauf ici. Elle n’avait rien trouvé de mieux à l’âge de dix-sept ans. Personne ne voulait d’une jeune fille sans diplôme, sans argent et sans domicile. Elle avait quitté son père, après le départ de sa grande-sœur. Le laissant seul dans un tout petit foyer. Il n’aurait pas à dépenser d’argent pour elle. Voilà ce que pensait à cet instant-là demoiselle. Son regard bleuté se posa sur la première table, elle aurait tant aimé voir un jeune homme au teint si blanc, aussi brun qu’elle était rousse. Un regard aussi bleu que le sien, des tatouages partout, un jeune homme au physique de rebelle. Maïwenn aurait tant aimé le voir à la place de ce vieil homme pervers qui se passait la langue sur les lèvres à chaque fois qu’elle posait les yeux sur lui. Beurk, elle avait espéré un tout petit peu qu’il vienne. Malheureusement, c’était peine perdu. Qu’est-ce qu’elle pouvait être conne parfois. Parfois, un faible mot – se disait-elle.. Trois minutes plus tard, elle se retira dans les coulisses. Quartes jeunes femmes étaient installés sur des caisses en bois – dont Mazarine et Satyre – l’une d’elle se redressa rapidement et s’approcha de notre jolie rousse.

- Wenn tu viens avec nous. T’en a bien besoin la puce.
- Mais, je n’ai pas de fringues pour sortir. Je n’ai que mes tenues de scènes…
- T’inquiète Maz’ te prêtera une de ses tenues…


Mais seulement voilà, les tenues de Mazarine étaient toujours un peu trop olé, olé… la jeune femme blonde lui avait alors tendu une robe ultra courte blanche. Composait d’un bustier argenté, un peu trop décolleté et une simple jupette blanche un peu trop court au gout de la jeune femme. Maïwenn aurait préférait une autre tenue, mais elle avait été gentiment invité par ses amies de travail pour oublier un peu la tension qu’elle avait. Il était deux heures et trois-quarts d’heures, quand les cinq jeunes femmes entrèrent dans la boîte de nuit la plus huppé de Sydney. Elles ne durent pas attendre longtemps pour pouvoir passés les vigiles. Une chance que le brun qui était à l’entrée était une relation de Mazarine – avantage d’avoir un si beau corps que le sien. L’ambiance était chaude ce soir-là, la boîte fêtait ses dix ans, et il y avait du beau monde. Patron de boite musical, grand patron de chaines vestimentaire, des tas de chanteurs ultra connu et des mannequins. Il ne fallut pas longtemps pour qu’un jeune homme blond, au physique parfait s’entiche de la jeune rousse. Qu’avait-il donc tous ? Bref une demi-heure plus tard, le fameux Ulrich – jeune mannequin allemand – avait plaqué la jeune femme contre un mur et posait ses sales pattes sur les jambes laiteuses de la jeune femme. Il commençait à jouer avec la peau en feu de la jeune rousse, avant qu’elle ne le repousse.

- Je dois partir…
- Non, reste ma belle…
- Je… non… je ne peux pas… je dois partir… lâche moi, bordel…
- Ne fait pas ta chochotte merde…


Les caresses se firent de plus en plus insistantes. Que fessaient donc les vigiles quand on a le plus besoin d’eux ? Petite information, l’un était avec Mazarine et un autre en train de régler une affaire avec le grand patron. Il fessait noir dans cette ruelle. La jeune femme savait très bien – malgré les verres de vodka pure, les deux rails de coke - que lui avait proposaient un des plus grand fournisseurs de drogues de la ville - qu’elle avait dans le nez, et les envies d’oublier une dispute – que son heure était proche. Ohohoh, non, non, elle ne pensait pas qu’elle allait mourir loin de là. Malheureusement, elle savait que si elle ne reprenait pas son courage à deux mains, elle ferait parti de ses filles qui se font violés après une soirée trop arrosée. Le jeune homme avait posé ses lèvres sur le coup de la jeune femme, aspirant la tendre peau de son coup et serrant plus violemment ses poignets, car il ne voulait pas qu’elle ne le quitte sans avoir passée la nuit avec lui. Il fallait qu’elle se reprenant un peu là. Un de ses genoux entra puissamment en contact avec les parties génitales du jeune homme. Un cri de douleur. Il était plié en deux, sur le sol humide…

- Sale pute…

Maïwenn n’avait pas le temps de répliquait, elle commença à courir dans les ruelles sombres de Sydney. Elle courrait à en perdre haleine. Elle devait quitter ses lieux au plus vite. La jeune femme n’osait regarder derrière elle, voir si le jeune homme blond la suivait. Des sifflements, des coups de klaxons, voilà ce qu’elle rencontra durant sa course folle. Après dix minutes de course, elle quitta ses chaussures pour avancer plus rapidement. Des talons, ce n’est pas toujours facile quand on veut faire deux kilomètre de courses. Elle voyait les avenues de Potts Points se dessinait. Ouf, elle était enfin en lieu sûr. La jeune femme habitait trop loin de la librairie qu’elle venait de passer. Un ancien atelier de peinture s’incrusta dans sa tête. Elle courrait encore, c’était le seul endroit où elle pouvait se sentir en sécurité. L’atelier n’était plus très loin maintenant. Tout était sombre, un néon frétillait à son passage, il n’y avait personne dans les rues. Pas de lumière qui donnait de signe de vie. Pourtant, elle ne fit pas demi-tour comme lui disait son cerveau. Elle aurait dû partir, ils s’étaient engueulés l’après-midi même. Elle l’avait violemment frappé au visage. Jamais, au grand jamais, elle ne l’avait fait auparavant. Il devait lui en voulait. Il devait la haïr, mais à chaque fois, elle revenait ici. La jeune femme poussa une porte métallique, continua sa course – un peu moins rapide que celle dans le couloir – jusqu’à un numéro qu’elle connaissait tant. Reprenant son souffle avec un peu de mal, elle toqua à la porte une première fois. Personne, elle aurait dû s’en douté. Une seconde soir… Un soupire… Une troisième fois…

- Merde Louhan, ouvre cette foutue porte.

Personne ne répondait. Aucun bruit de mouvement, il n’avait même pas laissé la clef qui était sous un des néons. Ou était-il ? Surement dans la couche d’une autre femme. Avec une trainée, comme elle. Maïwenn se recula jusqu’à atteindre le mur en face de la porte d’entrée. Ses jambes la lâchèrent, elle tomba en pleur au sol. Elle devait arrêtée cette vie de merde. Lentement son corps commença à s’étendre sur le sol en béton lisait du couloir. Ce même sol glaçait où elle avait été jeté plusieurs fois. Un paillasson où elle avait attendu devant une porte close un grand moment choqué, de la tournure qu’avaient pris les évènements. Qu’est-ce que Louhan foutait encore à cette heure-là ? Les sanglons venaient de prendre possessions de son pauvre petit corps à peine vêtue. Les larmes coulaient sur son visage peint. Des chemins noirs s’étaient formés sous ses yeux. Elle avait les pieds sales et ouvert. Elle ne pourrait surement pas remontés sur scène pendant un bon mois. Maïwenn serait de corvée de lavage ou de serveuses. Qu’est-ce qu’elle avait rien à faire à cette instant présent ? Elle le voulait lui… il pouvait l’agacé, la mettre hors de ses gonds, mais elle avait à chaque fois besoin d’être auprès de lui
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 17:22


    Non pas ce soir, il n'y était pas aller. Il devait travailler; il est vrai que pourtant d'habitude après son service il s'y rendait, le Rudy n'était pas loin de son bar mais pas ce soir. Il y avait songé tout le long de son service, légèrement ailleurs il avait du enchainer les verres pour se retrouver enfin dans une bonne ambiance digne de ce qu'attendait son patron. Et quand la soirée avait touché à sa fin, quand son patron avait décidé de fermer plus tôt ce soir car il avait des choses à faire. Et bien Louhan avait bien trop de coke dans le sang et n'avait pas voulut y aller. comme toujours sa fierté prenait le dessus sur ses sentiments; il avait envie de s'excuser mais il ne le ferrait pas. Non ce soir il n'irait pas au Rudy voir ces espèce de prostituées se laisser toucher par des mec abject. Il ne s'horrifirait pas devant le corps et l'âme aussi pure de cette jeune fille qui malgré son état vallait bien mieux que ces autres filles. Nan il n'y aurait pas de Maïwenn ce soir. Il allait aller lui même les voir ces filles qui n'ont aucune morale, aucune éthique et ne se respecte pas; les filles qui couchent avec n'importe qui et qui veulent encore croire au prince charmant. Le prince charmant n'existe pas, les filles sont des prostituées et les garçons des salaud, bienvenue dans la dure réalité. Et une fois arrivé à ses fin, une fois vidé de ses envies, vidé de son énergie et se dégoutant d'avoir encore une fois ajouté une personne à son tableau de conquête alors qu'il n'en voulait qu'une. une fois que tous ça fut fait, Louhan rentra chez lui. Car il n'avait rien d'autre à faire, car il tenait plus sur ses pieds, car encore une fois il était défoncé. Refermant brutalement le tiroire de cette pièce si sombre, le jeune homme regarda un instant la phot d'un autre jeune homme brun; juste à ses cotés. Il y a de cela quelques années; Louhan était pas encore autant tatoué sur son bras, il n'avait pas cette allure que la drogue avait imposé à son corps. Il était jeune et vivait de rock, d'alcool et de joie. Il inspira lenteent et quitta cette pièce poussant la porte d'un coup de pièce pas assuré dû à l'alcool; laissant le souvenir de Tristan et lui dans ce vieux cadre.

    Des coups frappé avec brutalité le réveillèrent en sursaut. Il ouvrit les yeux brutalement un mal de crâne énorme s'emparant de lui. Il se retourna sur son matela enfonçant son oreillé sur sa tête. Puré laisser le dormir à la fin, il grogna puis referma les yeux quant de nouveaux les coups se firent entendre. Il retira sa couette avec violence, se disant qu'il allait faire un massacre quoi que our le moment il était même pas capable de réfléchir tellement qu'il avait la tête dans le brouillard. Il se leva difficilement vascillant sur ses jambes, l'alcool toujours présente mais aussi le sommeil et surtout le sommeil. difficilement il atteignit osn salon, allumant la lumière il grogna en atteignant la porte. Les yeux à demi clos, lui à moitié réveillé il ouvrit la porte qui n'était même pas vérouillée comme toujorus bien que personne n'osait rentré chez lui si il venait pas ouvrir...allez savoir pourquoi. Il ouvrit donc la porte voyant l'espace vide; il fronça les sourcil se demandant un instant si il avait pas halluciné; car là ça deviendrait franchement grave. quoi qu'il aimerait bien être fou pour savoir ce que ça faisait. Oui au réveil il avait des idées très étrange. Il entendit alors des sons bizarre, baissant les yeux il vit sur le mur d'en face, ou plutôt au sol, un corps remué par des sanglots. Une chevelure rousse et longue, et un visage à moitié caché.

    – Maïwenn??? ...qu'est-ce que tu fou là?

    demanda-t-il une voix pateuse et ensommeillé, un grognement encore de quasiement mauvaise humeur. Ouai bon c'est pas le top comme réaction mais il vient de se réveiller je vous rapelle. Il la regardait ne comprennant pas pourquoi elle était là. surtout ne réagissant pas sur le fait qu'elle était face à lui. Il resta quelques secondes la debout sans comprendre, un caleçon sur le pas de sa porte. Puis les lumières s'allumant peu à peu dans sa tête, où du moins quelques unes il s'avança vers elle inquièt et se réveillant plus rapidement.

    – Bab'...qu'est-ce qui t'arrive? Qu'est-ce que tu fais ici à cette heure là?

    demanda-t-il en se mettant accroupis à ses cotés, repoussant doucement ses mèches rousses qui barraient son visage. Découvrant de larges trace noirs sous ses yeux, et des larmes rajoutant toujours plus de maquillage sur ses joeus si pâles. il lui avait demander ça toujours ausis endormit, toujours aussi absent mais bien plus doucement. On pouvait certe pas le changer, il pouvait pas enlever ce truc qui montrait qu'il s'en fouttait de tous; mais là évidement c'était elle, c'était pas pareil.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 19:14

Les sanglots étaient de plus en plus violents. Elle s’était repliée de la façon la plus naturel qu’il en soit, en position fétus. Dans son enfance, il lui était arrivé de pleurer. Seulement, les pleurs n’avaient jamais été d’une force comme elle l’était aujourd’hui. Comment en était-elle arrivée là ? Un père un peu trop cruel, une mère morte beaucoup trop tôt, une sœur qui la considèrent en le vilain petit canard de la maison. Combien de fois, elle avait fréquenté des personnes qu’il ne fallait pas pour que son père ouvre enfin les yeux. Elle avait tant voulu qu’il la voit, qu’il l’aide à grandir. Malheureusement, Shilohe était là. C’était toujours la faute de sa grande sœur. Elle lui avait pourri l’existante. Toujours là pour lui dire ce qu’il n’allait pas. Lui dire ce qu’elle devait faire et ne devait pas faire. Maudite grande sœur, bien de fois Maïwenn s’était vengée. Elle lui avait coupé les cheveux un soir quand la belle était endormit. Elle avait bien rit en voyant la tête de sa sœur, quand elle avait mis en ligne les journaux intimes de sa sœur aînée. Maïwenn et Shilohe s’étaient l’une le jour, l’autre la nuit. Une gentille, l’autre la vilaine. Shilohe, l’ange et Maïwenn, la démoniaque. Combien de fois c’étaient-elles disputées pour un rien. Puis vers douze ans, Maïwenn avait changée. Devenant plus sage, plus responsable – en apparence seulement. Puis sans rien dire, sa chère grande sœur était partie pour Londres. La jeune Harvey-Boily n’avait plus eu de nouvelles. Elle s’était retrouvée seule avec un père qui commençait à sombré dans l’alcoolémie, il était violant, chiant et sadique. Maïwenn était parti bien vite, à l’âge de seize ans, elle était à la rue, sans diplôme, à la recherche d’un emploie. Rudy l’avait alors accueil dans son monde sensuel. Elle était un peu comme sa fille, elle lui ressemblait tant. Voilà plus de deux ans que la jeune femme travaillait au Rudy, jamais elle ne s’était plainte. D’abord, elle avait été au bar, servant les clients. Émerveillait par les danses de Satyre et de Mazarine. Les deux jeunes femmes avaient pris sur leur temps libre, pour initier Maïwenn dans leur petit monde de séduction. La jeune rousse ne s’était jamais douté que ce serait-elle qui monterait sur scène. Voilà bientôt plus d’un an, qu’elle avait appris à séduire les hommes avec des danses lentes, sensuelles et charnelles. Elle n’était pas une catin, ni un putain. Elle dansait juste pour le plaisirs des yeux. La seule chose qui la dérangeait, c’était une fois descendu de scène, quand les hommes lui touchaient son pauvre petit corps. Après chaque représentation, elle partait en coulisse se doucher. Enlevant – du moins, elle avait l’impression – les caresses de ses foutus ordures.

– Maïwenn??? ...qu'est-ce que tu fou là?

Elle n’entendit pas la porte s’ouvrir, encore moins, les lumières qui venaient de s’allumées. Ni les grognements de la personne qui venait de passer le pas de la porte. Elle n’avait pas vu les pieds dévêtue du jeune homme en face d’elle. Ses cheveux étaient devant ses yeux bleus complétement défoncés. Ses cheveux avait une odeur de vodka, de cendre et était devenu sale à cause de la poussière sur le sol. Elle soupirait avec difficulté, son cœur n’allait pas tarder à la lâchait. Elle était peut-être sportive, mais elle n’avait pas l’habitude de courir comme si elle avait le démon à ses trousses.

– Bab'...qu'est-ce qui t'arrive? Qu'est-ce que tu fais ici à cette heure-là?

La jeune femme rousse redressa quelques peu la tête. Depuis combien de temps était-il là ? Elle ne l’avait pas vu arriver. A en jugeait par la tenue qu’il avait, Maïwenn en conclu qu’il n’avait pas passé sa nuit ailleurs comme elle l’avait pensé. Il venait de dégageait ses longs cheveux roux de ses yeux. Elle le voulait à pesant devant elle. Qu’il était bon de le voir, même si c’était juste pour quelques secondes. Un soupire, un reniflement. Elle devait lui expliquer, elle devait arrêter de se mentir, elle devait tout lui dire. Merde, après tout il était peut-être le seul à avoir de l’importance à ses yeux.

– Louhan… je…il… on était sorti avec les filles… il a posé ses mains sur moi, il m’a fait mal… je ne veux pas y retourné… je n’ai pas envie de refaire la conne… Louhan, je suis désolé… je ne veux pas… je ne veux pas qu’on se prenant la tête comme ça… je n’ai pas voulu être la bas... je ne veux pas être une pute à tes yeux… j’ai mal Louhan… je me sens sale…

Dit-elle dans un dernier sanglot, elle voulait être à cet instant avec lui. Elle ressentait tant de chose pour lui. De l’amour ? Bien sûr, en autre. Jamais, elle ne lui dirait. Pas pour le moment, elle était trop fière, trop grande gueule pour lui dire.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 19:39



    Louhan s'était agenouillé près de la jeune femme qui était au sol, rouler en boule. Il avait eut du mal à la reconnaitre, mais ses cheveux couleur feu l'avait vite informé sur son identité. que faisait-elle là? Normalement elle aurait dit être chez elle, ou alors avec ses copines du Rudy. Mais pas ici, seule, en larme, allongée au sol devant sa porte de studio. Il lui caressa doucement les cheveux, ne comprennant toujours pas ce qui se passait et ce qu'elle faisait là. Mais la jeune femme reprit la parole, elle se releva doucement en position assise, essayant de retrouver une respiration normale pour lui parler. Il la regardait sans comprendre.

    – Louhan… je…il… on était sorti avec les filles… il a posé ses mains sur moi, il m’a fait mal… je ne veux pas y retourné… je n’ai pas envie de refaire la conne… Louhan, je suis désolé… je ne veux pas… je ne veux pas qu’on se prenant la tête comme ça… je n’ai pas voulu être la bas... je ne veux pas être une pute à tes yeux… j’ai mal Louhan… je me sens sale…

    Le jeune homme l'écouta ne comprennant rien à ce qu'elle disait; pour lui il avait du mal à comprendre étant à peine réveillé. Un homme? Il commença légèrement à sentir ses sens se réveiller ; quel homme? que lui avait-il fait? Ses amis? Il soupira en comprennant peu à peu ce qu'elle était entrain de dire. Il la regarda en soupirant; repoussant les cheveux de la jeune femme en arrière voyant ses yeux défoncés. La différence entre Louhan et Maïwenn était juste celle de leur tolérence aux substances; en effet Louhan avait tellement l'habitude depuis sa jeunesse qu'il arrivait de plus en plus à être normale même défoncé alors que Maïwenn devenait si fragile sous l'emprise de la coke et du reste.

    – Je ne te prend pas pour une pute bab'... calme toi qui est-ce qui ta fait ça? ... Allez viens, calme toi...tu es défoncé Maï...

    dit-il doucement en la faisant se relever doucement, il glissa un bras sous les aiselles de la demoiselle et sous ses jambes la hissant dans ses bras avec douceur. Il fit demi tour retrant de nouveau dans son appartement en bordel refermant la porte d'un coup de pied. Il regarda la jeune filel au corps si sale, à la tenue si provoquante. Elle était si pure mais ainsi...il prenait les baffes, il la voyait ainsi...et comme toujours il devait aussi réparer les bavures des autres. Il l'amena dans sa salle de bain, allumant la lumière du lavabo pour ne pas lui faire mal aux yeux et pour ne pas s'exploser lui même ses yeux ans le même état que ceux de la jeune femme. Il la reposa à terre doucement, lui remettant ses long cheveux en arrière, il défit lentement la fermeture éclaire de la robe de la rouquine. Laissant le bout de tissu tomber au sol. Il la fit quitter ses sous vêtements; elle semblait bien trop défoncé et trop hagare pour réagir. De toute façon il l'avait vut des centaine de fois nue. Il l'aida à grimper dans la baignoire et alluma l'eau chaude. Il était quatre du matin et pour une fois il n'y avait pas de sexe qui cloturait cette soirée entre Maïwenn et Louhan.

    – Respire bab'...c'est fini; tu es en sécurité ici. Il n'y a personne d'autre que moi. C'est fini, aller calme toi...mets la tête en arrière

    chuchota-t-il en faisant glisser la pomme de douche le long du corps de la jeune femme pour ensuite venir rincer les cheveux dégoutant de la jeune fille; elle était assise dans la baignoire, els jambe repliées contre sa poitrine. Elle semblait presque dans un état second. Et Louhan pour une fois si calme et si gentil. Il éteignit l'eau et prit du shampoing lavant doucement les cheveux de la jeune femme et son corps sans la faire trop bouger. Il prit ensuite une petite serviette qu'il mouilla et il commença à la passer doucement sur les joues de la jeune fille, enlevant petit à petit les trace noir , puis son maquillage laissant aparaitre doucement sa peau naturel, sa beauté non superficielle. Il ne disait rien, il était concentré sur ce qu'il faisait trop en colère contre Maïwenn de s'être plongée dans ce monde atroce; elle n'y pouvait certe rien mais si lui, drogué et toxico avait pu trouver un boulot de barman elle aurait pu trouver mieux. C'était sans doute son destin. En colère contre ces filles , les amis de Maïwenn, qui pourtant étaient incapable de l'aider à s'en sortir. Louhan en avait fréquenté des filles de joie, des filles qui dansaient ainsi dans d'autre bar. Elles étaient pas toute drogué, et alcoolique, elles se faisaient pas toutes touchées ainsi, elles avaient peut-être eut une vie plus facile mais tous le monde pouvait y arriver. Louhan ne disait rien, préférant rien dire, se détestant d'être réduit à ne rien pouvoir faire pour la jeune femme alors qu'il aurait tant voulut l'aider.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 21:25

La jeune femme rousse soupirait, il était agenouillé à côté d’elle. Elle ne le regardait pas vraiment, même si ses yeux ne laissaient plus proliférer ses foutus larmes – des larmes qui devaient être toute celle qu’elle n’avait jamais laissé couler. La jeune meneuse de revue souffrait le martyre. Ses poignets lui fessaient atrocement mal, elle avait la peau en feu. On aurait pu comparait son corps à un brasier, n’importe quel substance aurait pu fondre sur son corps blanc. Elle était en feu, elle avait l’impression d’avoir fait un corps à corps musclé avec Satan en personne. Sa voix se fit plus claire, une fois qu’elle s’était redressait. Elle avait bien vu le changement de comportement de Louhan, quand elle avait mentionnait, les faits qu’elle était avec les filles du Rudy et le fait qu’un homme l’ai touché une fois de plus. Elle-même n’était pas heureuse de ce qui s’était passé là-bas. Elle ne voulait pas que cela recommence une seconde fois…

– Je ne te prends pas pour une pute bab'... calme toi qui est-ce qui ta fait ça? ... Allez viens, calme toi...tu es défoncé Maï...
– Je ne sais pas… il était allemand, un mannequin disait-il… Ulrich… il a voulu … il a voulu me viol… non, je ne suis pas défonce Lou… si un petit peut… j’ai eu peur, il m’a fait mal aux mains et il a… il m’a fait ça…


Elle se laissa prendre dans ses bras, il la conduit jusqu’au pas de la porte. Un coup de pied dans celle-ci montra dans l’état dans lequel était le jeune homme. Il ne l’aimait pas c’était sûr, elle le dérangeait constamment. A chaque fois, qu’elle venait ici ou qu’il allait chez elle, il était toujours énervé ou en colère. Une dispute et après il quittait les lieux pour quelques temps. Voilà huit mois, qu’ils vivaient la même rengaine. C’était plus agréable de vivre comme cela, que comme un petit couple heureuse en avait constaté la jeune femme. La salle de bain, constata-elle une fois le néon en dessus du lavabo mural allumé. Il avait pensé à ses pauvres yeux clairs défoncés et surement au sien. Il était plus habitué qu’elle quand il s’agissait de la drogue. Il était plus expérimenté qu’elle, dans n’importe quel matière : drogue, sexe, alcool. Maïwenn était en quelques sortes une petite novice à côté de lui. Il l’a déshabilla, elle ne dit rien à cela. Il l’avait déjà vu mainte et mainte fois nue. Peut-être à l’expression de ce nouveau tatouage qui était situé à l’intérieur de son bras gauche, une sorte de cercle constitué d’une lune et d’une mer avec un beau soleil, le tout encerclé de pétale. Il était nouveau, elle se l’était faire pendant la journée. Elle l’avait toujours voulu et avait enfin trouvait le temps pour le faire. Calmement, Lou’ lui lava les cheveux, son corps tout entier. Il était agréable de sentir ses mains sur elle et cette eau chaude.

– Respire bab'...c'est fini; tu es en sécurité ici. Il n'y a personne d'autre que moi. C'est fini, aller calme toi...mets la tête en arrière
– mer… merci Louhan d’être toujours là pour moi… j’suis vraiment désole, d’être comme ça… j’veux changer, mais j’me dis que ça sert à rien personne ne veux de moi… mon père ne veux pas de moi… ma sœur, non plus… mes amis d’avant depuis que je ne suis plus aussi riche que crésus… même toi, a chaque fois qu’on est ensemble, je gâche tout… tu m’aime pas je le sais. On passe du bon temps ensemble, mais je sais que ça ira pas plus loin… même si moi, je le voudrais…


Si Maïwenn aurait été clean, chose qu’elle n’était pas à l’instant même. Elle n’aurait jamais dit ce genre de chose là. Elle pensait à voix haute. Le jeune homme en serait surement choquait, mais au point où elle en était plus rien ne lui fessait peur. Elle avait déjà tout perdu : famille, amis, job, études … elle pouvait le perdre à lui aussi dans n’importe quel évènement. Elle l’aimait bien, il lui était difficile de se l’avouer, mais elle l’aimait bien. A chaque fois qu’elle le voyait avec une autre fille, elle était jalousie. D’elles ou de lui ? Des deux, lui qui donnait grâce aux femmes qui se pavaner devant lui. Elles, qui fessaient remontée en elle de vieux démons. Depuis Marek – son premier amour – elle s’était juré de ne plus jamais retombé amoureuse. Est où va-t-elle ? Droit dans le mur de l’amour. Comment cela était-il possible qu’elle l’aime lui et pas un autre ? On dit bien : qui aime bien châtie bien ? Dans son cas, c’était tout à fait cela. Elle l’engueulait, le haïssait, se mettait en colère contre lui, mais elle revenait toujours dans ses bras, dans son lit. Elle aimait le contacte de sa peau contre la sienne, elle adorait voir sa peau blanche sur la sienne. Ses cheveux roux en bataille collaient au siennes, ses lèvres sur chaque parcelle de son corps. Son souffle dans son coup pendant l’acte. L’avoir tout près d’elle, quand il la prenait dans ses bras. Il était sa drogue, son addiction, sa tentation. Elle le voulait à chaque instant près d’elle. Pourrait-elle l’avoir rien que pour elle ? Un jour, dans un futur assez lointain …
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 22:27


    – Je ne sais pas… il était allemand, un mannequin disait-il… Ulrich… il a voulu … il a voulu me viol… non, je ne suis pas défonce Lou… si un petit peut… j’ai eu peur, il m’a fait mal aux mains et il a… il m’a fait ça…
    – Maï les mecs sont des connard...tu devrais le savoir...

    souffla-t-il comme désabusé qu'elle ne le sache pas encore vu pourtant le métier qu'elle faisait. Enervé? Nan blasé, ensommeilé, coké, défoncé, bourré, pas réveillé mais pas énervé. Il avait atteind un stade où il n'arrivait même plus à s'énerver pour cela. Blasé? Oui leur relation avait apporté cela, il ne servait plus pour un rien, enfin ça c'était pas rien. Mais avait-il le droit de lui faire la moral? sur ses fréquentations? Sur ses habitudes? Sur sa vie de débauche? Il était pire qu'elle alors nan il n'avait qu'à se taire et essayer tant bien que mal de la préserver, de ne pas l'emmener dans sa chute tous simplement. Et pour ce soir la seul chose qu'il pouvait faire dans l'immédiat c'était la laver, la soigner sur ses poigné brulé par la poigne du mannequin russe; puis la coucher et attendre que demain elle soit elle-même. qu'elle l'envoye chier et qu'elle lui claque la porte au nez en disant qu'elle le détestait. C'était toujours la même chose, avec des différence prête. C'était ça que Louhan adorait entre eux, s'était pour ça qu'il ne s'était toujours pas barré en courant malgré leur ambigüté de couple.

    – mer… merci Louhan d’être toujours là pour moi… j’suis vraiment désole, d’être comme ça… j’veux changer, mais j’me dis que ça sert à rien personne ne veux de moi… mon père ne veux pas de moi… ma sœur, non plus… mes amis d’avant depuis que je ne suis plus aussi riche que crésus… même toi, a chaque fois qu’on est ensemble, je gâche tout… tu m’aime pas je le sais. On passe du bon temps ensemble, mais je sais que ça ira pas plus loin… même si moi, je le voudrais…
    – Maïwenn... tu es totalement défoncé il est quatre ehure du mat'..le coté spleen je croyais que c'était moi qui le faisais? Mais nan tu ne changeras pas...parce que tu es comme ça et c'est tous...car je ne voudrais pas de toi si tu étais comme toute ces pu**s innocentes, qui font style d'être gentille mais qui n'ont rien dans le crâne et qui tombe amoureuse en deux secondes... tu serais pas si intérréssante si tu n'étais pas toi...autant défoncé que tu l'es en ce moment... Maïwenn tu es totalement défoncée mince, je pensais as que c'était à ce point...tu sais on est pas fait pour être ensemble...tu es trop pure pour moi...allez lève toi

    expliqua-t-il calmement bien que durant quelques seconde il avait été incapable de dire quoi que ce fut. L'aimait-elle vraiment? Voulait-elle réellement plus? Il avait d'abord crut que la coke et l'alcool commencaient sérieusement à endommager son cerveau et qu'il hallucinait mais si il avait réellement halluciné il aurait entendut Maïwenn lui proposer un plan à trois, ou un truc de dingue pas ce genre de débilité à faire fuir n'importe qui. Fuir? Oui car il n'y avait rien de plus effrayant pour le jeuen homme que l'amour de quelqu'un pour lui. Il caressa les cheveux de la jeune femme puis enroula une serviette autour de son corps. Il la vit assoir sur le bord de la baignoir et sécha ses cheveux, puis les coiffa doucement avec un peigne à lui; il lui ramena en queu de cheval un peu décoiffée mais tant pis. Toujours aussi calme et doux il se mit à genou et l'aida à se brosser les dents.

    – craches...

    lui ordonna-t-il doucement lui tendant un verre. Il la fit se relever doucement et l'amena dans sa chambre virant d'un coup de pied des jeans qui trainait et ...des sous-vêtement féminin dont la pronvenance lui échappait. Il la sécha. La jeune fille se laissant faire tel une enfant. Elle était si frgaile et si pure à cette instant. Il lui fit passé l'un de ses tee-shirt au dessus de sa tête puis l'allongea dans le lit rabattant la couette sur elle. Il la regarda un moment les yeux dans les vagues; lui aussi défoncé qu'elle mais pourtant maitre de ses moyens. Il ne retourna pas dans la salle de bain éteindre la lumière, ni celle du salon. Il se coucha près d'elle, prenant sa main dans la sienne, l'amenant dans ses bras. Il embrassa doucement ses lèvres qui avaient gout de dentifrice, il déposa un baiser sur chacuns de se syeux et le regarda elle si pale, si blanche et si jolie; là sans défense, sans méchanceté.

    – quand cesseras-tu de vouloir jouer au grand hein? Ce n'est pourtant pas un monde pour toi ici... regardes toi tu es totalement méconnaissable, là...dans le lit d'un garçon infréquentable, un junki...tu es là sans défense, totalement défoncé, sans méchanceté. Tu mériterais mieux chérie, tellement mieux...

    sa voix était douce, calme et si supérieur. Il était franc, méchant peut-être mais pourtant c'était tellement vrai. Oui il disait tout le temps ce qu'il pensait et il savait que demain matin; lorsque les souvenirs de ces paroles reviendrait en tête à Maïwenn elle l'engueulerait. Le traiterait d'enfoiré; il il lui rirait au nez. Puis lorsqu'elle serait partit il se dirait que oui elle avait raison. Puis ça recommencerait...
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMar 13 Avr - 23:55

– Maïwenn... tu es totalement défoncé il est quatre heure du mat’. Le coté spleen je croyais que c'était moi qui le faisais? Mais nan tu ne changeras pas...parce que tu es comme ça et c'est tous...car je ne voudrais pas de toi si tu étais comme toute ces pu**s innocentes, qui font style d'être gentille mais qui n'ont rien dans le crâne et qui tombe amoureuse en deux secondes... tu ne serais pas si intéressante si tu n'étais pas toi...autant défoncé que tu l'es en ce moment... Maïwenn tu es totalement défoncée mince, je ne pensais pas que c'était à ce point...tu sais on n’est pas fait pour être ensemble...tu es trop pure pour moi...allez lève toi
– je ne suis peut-être pas une pu**s innocents comme tu dis, mais je suis une fille dévergondée, non présentable à des adultes, qui n’a pas été fichu de poursuivre ses études, qui fait du n’importe quoi de sa vie. On n’est pas fait pour être ensemble ? Alors qu’est-ce qu’on fous à chaque fois fourré dans le lit de l’autre, à penser à l’autre, à le rendre jaloux quand il s’affiche avec un autre. Tu n’as peut-être pas la même vision que moi…


Elle avait parlé sans réfléchir comme toujours. Disant des trucs qu’il ne fallait pas dire en présence d’un homme. Des choses qui les fessaient furent instinctivement vers la sortie la plus proche de la vie d’une femme. Quand la belle jeune femme était défoncée, elle ne s’empêchait de dire la vérité. Qu’elle vous aime ou pas, elle vous le dira sans honte. Peut-être qu’elle le regrettera le lendemain matin, mais au moins, elle aura eu le courage de vous le dire. Chose qu’elle ne ferait pas complétement clean. Une fois le lavage de son corps complètement fait, il passa à ses cheveux. Grrr, qu’est-ce qu’elle détestait ses longs cheveux roux. Elle n’aimait pas être rousse, elle n’aimait pas avoir le teint si clair. Elle aurait aimé être Mazarine ou Satyre … personne n’aiment les rousses à part sa mère – qui était maintenant décédée – et son ex-premier amour – chose qu’elle ne veut se rappelait. Elle se laissa faire comme une bonne petite fille qu’elle aurait dû être jadis, dans sa plus tendre enfance. Elle aurait être une fille modèle et pas le démon turbulent qu’elle était.

– craches...

Elle ne disait rien, fessant ce qu’il lui avait dit de faire. Maïwenn avait très bien vu qu’il n’était pas facile de discuté avec lui à quatre heure du matin. Elle avait la tête en vrac, des envies de suicides, des envies de meurtres et des envies de corps contre corps. Pas obligatoirement de sexe, non, elle n’avait pas envie de coucher avec lui. La jeune femme rousse se redressa et le suivit jusqu’à sa chambre. Un bordel pas possible trainait sur le sol, elle dit levait bien haut les jambes pour ne pas s’entravait les pieds dans un de ses jeans ou un string. Un string ? Louhan portait des strings ? Non, il n’était pas du genre à mettre un truc aussi flashy. Il ne s’agissait pas d’un truc à elle. Donc elle devait en jugeais qu’il avait eu de la visite depuis vendredi dernier – les dernières fois, qu’ils avaient couchés ensembles c’était dans son appartement miteux qui n’était pourtant qu’à cinq pâtés de rues d’ici. Bref, elle n’allait pas se prendre la tête avec ça. Oh non, déjà que la jolie rousse avait un mal de crâne infecte, alors autant ne pas s’engueuler… elle resterait silencieuse. Maï sentit le matelas s’affaissait près d’elle – où Louhan l’avait posé quelques instants avant vêtu d’un de ses tee-shirt trop grand pour son maigre physique

– quand cesseras-tu de vouloir jouer au grand hein? Ce n'est pourtant pas un monde pour toi ici... regardes toi tu es totalement méconnaissable, là...dans le lit d'un garçon infréquentable, un junkie...tu es là sans défense, totalement défoncé, sans méchanceté. Tu mériterais mieux chérie, tellement mieux...
– jouer dans la cour des grands ? Qu’est-ce tu sais de moi, pour dire ça ? J’y joue depuis l’âge de dix-sept ans. J’ai foutue ma famille en l’air, j’ai tué ma propre mère avec mes conneries. Mon père est devenu alcoolique par ma faute, j’ai fait perdre de l’argent à ma famille, ma sœur est partie à cause de moi, car je lui en ai fait baver. Je préféré être défoncé, sans défoncé. Que de refaire une quatrième tentative de suicide, de me couper encore les veines ou de faire encore une autre connerie du genre mortel ou à ne plus bouffer. Je ne mérite pas mieux, je ne suis pas mieux que tout le monde. Je ne suis que moi, merde Lou’…


Elle l’avait laissé l’embrasser, elle avait besoin de réconfort, de soutient, pas de cette méchanceté gratuite dont il avait le secret. Qu’est-ce qu’il pouvait l’énervé parfois. Parfois ? Non, tout le temps. La seule chose qu’elle approuvait en parole était les bruits qu’il pouvait pendant leur partie de jambes en l’air. Elle ne disait rien, préférant profiter de ses bras, du maigre fait qu’il soit près d’elle. S’il elle devait cacher ce qu’elle ressentait, elle le ferait. Elle reviendrait à chaque fois, mais cela serait de plus en plus dur… elle le savait, surtout durant les jours qui allait venir…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMer 14 Avr - 0:49


    – je ne suis peut-être pas une pu**s innocents comme tu dis, mais je suis une fille dévergondée, non présentable à des adultes, qui n’a pas été fichu de poursuivre ses études, qui fait du n’importe quoi de sa vie. On n’est pas fait pour être ensemble ? Alors qu’est-ce qu’on fous à chaque fois fourré dans le lit de l’autre, à penser à l’autre, à le rendre jaloux quand il s’affiche avec un autre. Tu n’as peut-être pas la même vision que moi…

    Il ne répondit rien. Lorsque les gens étaient défoncés, la plus part passait leur temps à s'appitoyer sur leur sort, à se penser les plus malheureux au monde à ne voir que leur malheur et à chercher des tas de détails qui justifiait leurs misère. Louhan était comme ça la moitié du temps, mais ça se passait dans sa tête. Maintenant c'était du passé, il se savait défoncé et un salaud, mais il s'en plaignait pas. Il y avait des types plus malheureux et plus abject que lui. Il était qu'un simple mec qui voulait sa part de coté rebel attitude, qui avait voulut jouer avec la vie et qui était tombé dedans. Il voulait pas se plaindre, ses parents avaient toujours été cool. Certe ils n'avaient pas été là souvent mais c'était pour leur travail alors il ne leur en voulait pas; il avait eut une adolescence géniale, baigner dans le rock, les soirées et l'amitié. Il avait pas eut une vie de conte de fée certes, son meilleur ami était mort brisant toute sa vie. Et alors? La vie continuait après tous. Mais il n'en dit rien. Maïwenn se serait énervé, encore, et il aurait élevé le ton, probablement. A quoi ça servait? Les gens vouplaient toujours qu'on s'appitoyent sur leur sort, Louhan allait pas refaire le monde, il était pareil aux autres. Au lieux de cela il ferma sa bouche et coucha la jeune femme. Il l'embrassa doucement avant que celle-ci réponde à sa tirade. Il la regarda sans rien dire. Oui sa théorie se confirmait. Mais Louhan voyait pas en quoi il devrait se taire. Quoi? C'est vrai, elle avait fait des tentatives de suicide et alors? Il se mordilla la langue; oui lorsque els gens disaient ce qu'ils pensaient on les disaient méchant mais bon Louhan voulait être franc rien de plus.

    – jouer dans la cour des grands ? Qu’est-ce tu sais de moi, pour dire ça ? J’y joue depuis l’âge de dix-sept ans. J’ai foutue ma famille en l’air, j’ai tué ma propre mère avec mes conneries. Mon père est devenu alcoolique par ma faute, j’ai fait perdre de l’argent à ma famille, ma sœur est partie à cause de moi, car je lui en ai fait baver. Je préféré être défoncé, sans défoncé. Que de refaire une quatrième tentative de suicide, de me couper encore les veines ou de faire encore une autre connerie du genre mortel ou à ne plus bouffer. Je ne mérite pas mieux, je ne suis pas mieux que tout le monde. Je ne suis que moi, merde Lou’…
    – Qu'est-ce que j'ne sais de toi? Strictement rien et alors? Evidement que tu y joues dans un jeu où tu n'as pas ta place...quoi une fille de bonne famille qui a tout perdu...tu pouvais au moins finir caissière par danseuses à gogo... je suis pathétique? je vaut pas mieux que toi car j'ai de l'argent? C'est vrai je suis comme toi; je ne m'en vante pas. A quoi cela te sert de faire des tentatives? Tu ne vas pas jusqu'au bout, tu penses défier la mort...et tu te trompe tu reviens d'entre les deux mondes; les gens se sont fait un sang d'encre pour toi. Tu pensais que tous serait mieux mais quand tu réouvres les yeux tu vois que rien à changer. Que tout est comme avant ,alors tu en refais une...après tout au moins on voit que tu vas mal...et finalement les gens qu'est-ce qu'il en on à faire? On a chacun notre vie, chacun notre merde; alors il sans foute de toi, mais ils ont peur, car ils tiennent en tant soit peu à toi... mais tu t'en fiche...tu es trop renfermé dans ton malheur, encore une fois...défoncé, à te taper n'importe qui, n'importe quoi ;et on s'enfonce doucement dans des trucs minable. Et ça fait honte et on en est fière. Nan on est pas fait pour aller ensemble, dans une autre vie j'aurais été un type normale, riche et j'aurais travaillé dans une banque, ou j'aurais été avocat. tu aurais une fille parmis tant d'autre, innocnente, indifférente, transparante. Et on aurait rien eut à se dire, on se serrait pas connut...au pire on se serait connut; on serrait peut-être tombé amoureux, un surcit. On se serait marié, on aurait des gosses, qui auraient alors tour défié la vie, puis serrait venu le temps où on aurait plus rien eut à se dire. On aurait baisé pour combler les blanc, puis on aurait finit par plus baiser. Et je serais aller voir ma secrétaire; toi ton patron ou un type quelquonque. On serrait resté ensemble pour les gosses, car on en aurait peut-être eut quelque chose à faire d'eux... Non on ne s'aime pas...on veut se rendre jaloux car au fond c'est la seul solution pour se garder en vie. Car être en couple nous tuerait, nous séparerait; on en aurait vite marre de la monotonie et on finirait par se haïr...encore plus que maintenant... Tu pourrais te tailler les veines , je pourrais faire une overdose ; mais à quoi bon? On a pas une vie de merde, on se fait une vie de merde. On s'invente des excuses pour se foutre en l'air rien de plus...

    il parlait d'une voix douce, comme si il lui racontait simplement une chose banale. Car au fond c'était banal, c'était leur vie. Il s'en plaignait pas, il voulait pas qu'on le plaigne, ou alors juste qu'on s'intéresse à lui. Car au moins il serait moins invisible. Elle avait beau le trouver méchant, elle n'avait pas la même vision que lui. Il était pas plus abject, pas plus intelligent, ni plus bon,ni plus beau, ni plus défoncé. Nan il était juste différent et il avait sa vision des choses. Mais ce qu'il savait c'est que chaque personne ici vallait mieux que ce qu'elle était, même Maïwenn, même lui, même les inconnus défoncé dans la rue. Il l'embrassa, doucement, sentant son souffle contre sa peau. Oui c'était un peu son alter égo. dans un sens il avait besoin d'elle pour vivre, mais il avait raison dans une autre vie, ils ne se seraient même pas regardé. Ou alors, peut-être que tous les deux sains et cleans, ils se seraient aimé passionnément, ils n'auraient fait que vivre une belle histoire d'amour, soient ils n'auraient jamais romput, ou alors ils auraient cassé mais comprennant tous les deux que cela les avait fait avancé. Ils n'auraient pas été triste, la vie aurait été belle. Mai même ici la vie était belle, Louhan la regarda ses yeux bleu posé sur sa peau si pale. Il était dingue d'elle certe mais pourtant il pouvait pas lui donner ce qu'elle attendait, il ne pourrait jamais. alors ils continueraient comme ça, jusqu'à temps qu'un d'eux deux trouvent une personnes mieux, ou alors jusqu'a ce qu'un des deux se lassent avant l'autre. Louhan lui sourit, un sourire amoureux, un sourire sincère, un sourire totalement défoncé mais il maitrisait comme toujours.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMer 14 Avr - 15:12

– Qu'est-ce que j'ne sais de toi? Strictement rien et alors? Evidement que tu y joues dans un jeu où tu n'as pas ta place...quoi une fille de bonne famille qui a tout perdu...tu pouvais au moins finir caissière par danseuses à gogo... je suis pathétique? Je ne vaux pas mieux que toi car j'ai de l'argent? C'est vrai je suis comme toi; je ne m'en vante pas. A quoi cela te sert de faire des tentatives? Tu ne vas pas jusqu'au bout, tu penses défier la mort...et tu te trompes tu reviens d'entre les deux mondes; les gens se sont fait un sang d'encre pour toi. Tu pensais que tous serait mieux mais quand tu réouvres les yeux tu vois que rien à changer. Que tout est comme avant, alors tu en refais une...après tout au moins on voit que tu vas mal...et finalement les gens qu'est-ce qu’ils en ont à faire? On a chacun notre vie, chacun notre merde; alors il sans foute de toi, mais ils ont peur, car ils tiennent en tant soit peu à toi... mais tu t'en fiche...tu es trop renfermé dans ton malheur, encore une fois...défoncé, à te taper n'importe qui, n'importe quoi ; et on s'enfonce doucement dans des trucs minable. Et ça fait honte et on en est fière. Nan on n’est pas fait pour aller ensemble, dans une autre vie j'aurais été un type normal, riche et j'aurais travaillé dans une banque, ou j'aurais été avocat. Tu aurais une fille parmi tant d'autre, innocente, indifférente, transparente. Et on aurait rien eut à se dire, on se serait pas connut...au pire on se serait connut; on serait peut-être tombé amoureux, un surcit. On se serait marié, on aurait des gosses, qui auraient alors tour défié la vie, puis serrait venu le temps où on aurait plus rien eut à se dire. On aurait baisé pour combler les blancs, puis on aurait fini par plus baiser. Et je serais allé voir ma secrétaire; toi ton patron ou un type quelconque. On serait resté ensemble pour les gosses, car on en aurait peut-être eut quelque chose à faire d'eux... Non on ne s'aime pas...on veut se rendre jaloux car au fond c'est la seul solution pour se garder en vie. Car être en couple nous tuerait, nous séparerait; on en aurait vite marre de la monotonie et on finirait par se haïr...encore plus que maintenant... Tu pourrais te tailler les veines, je pourrais faire une overdose ; mais à quoi bon? On n’a pas une vie de merde, on se fait une vie de merde. On s'invente des excuses pour se foutre en l'air rien de plus...
– caissière ? Même pour être caissière, il vaut un diplôme. J’ai déjà demande, j’ai fait de nombreuse demande qu’est-ce que tu crois. Je ne voulais pas être une danseuse à gogo comme tu le dit. Je ne vais pas jusqu’au bout, car je sais que même si j’ai une vie de merde, je trouverais peut-être un raison à ma vie. Non, je ne recherche pas le prince charmant, je ne suis pas une de ses filles niaises qui croit qu’il va arriver sur un beau cheval blanc. Le mien, il est arrivé sur une vielle moto noire et au final, qu’est-ce qu’il a fait ? Il m’a brisé le cœur, comme vous autres les hommes, vous le faite si bien. Après son débat, qu’est-ce qui s’est passé ? J’ai découvert que monsieur m’avait mis en cloque à l’âge de seize ans. Oh non, ne prend pas cet air outré. Comme tu le dit, on se fait une vie de merde. Malheureusement, pour mon cas, j’y ai foutu les deux pieds. Je ne pouvais pas faire demi-tours… la vie n’est pas un Disney, comme tous prêtent nous le prouvez. J’ai foutu ma vie dans la coke, l’alcool et le sexe, même je j’essayais de quitté tout cela, je ne pourrais pas. De toute façon, je sais très bien que tout cela – notre relation, si on peut l’appeler cela comme ça – ne mènera à rien. On baise ensembles, on s’engueule, on haït l’autre. Au final, on repart dans le lit de l’autre alors qu’on nous a foutu à la porte comme un vulgaire aliment qu’on fout à la poubelle. Je suis une de tes régulières, ça je le sais. D’ailleurs, comprend pas pourquoi moi et pas une autre ? Je n’ai rien de spécial. Si peut-être un don à toujours me foutre dans des situations minables.


Reprenant petit à petit son souffle, elle venait d’analysé la situation. Il n’était pas son prince charment – d’ailleurs, elle n’avait plus jamais cru au prince charment depuis Marek. Elle ne voulait plus jamais retombée amoureuse, même si cela peut arriver n’importe quand et avec n’importe qui. On ne peut refouler ses sentiments pendant un certain moment, cela elle en était consciente. Bien des fois, elle s’était rendu compte que son cœur battait un peu plus pour tel ou tel personne. Elle voulait se montrée froide et impartial, mais jamais elle n’avait eu le don qu’avez eu son père – celui d’avoir un double visage ou personnalité. Non, nous ne parlons pas la de la schizophrénie… Maïwenn soupira doucement. Il continuait de l’embrassait, la jeune femme avait toujours eu besoin de plus avec Louhan. Il n’était pas son amant préféré - comme avait dit Mazarine – non, il était son seul et vrai amant. Les autres n’étaient que des hommes, avec qui elle essayait d’oublier un peu la situation. Des hommes qui prenaient parfois le visage du jeune Canteberry pour lui faire faire encore plus de remord. Le destin jouait à chaque fois avec son cœur, il la poussait encore et toujours dans ses bras. Elle lui caressa lentement le bras.

– Merde, pourquoi j’ai toujours autant envie de toi à chaque fois ? Pourquoi, je peux ne pas te faire la gueule interminablement. Je sais qu’un jour, je me lasserais de toi ou toi de moi… mais pour le moment, j’ai envie de faire comme si rien existé. Ne pas vivre une relation de couple bien bidon. Non, je veux qu’on ait une relation libre, comme on a toujours eu. On demande des comptes à personnes. Tu couches avec les nombres de filles que tu veux, je ne te dis rien et je fais pareille. J’essaierai de me trouver un autre job… je sais que je n’aurais pas beaucoup, de choix. S’il faut que je nettoie des toilettes toute ma vie, je le ferais. J’ai pas envie de me faire retouchée par des mecs ignobles… peut-être que tu ne voudras plus de moi, mais au moins, j’aurais réussi à quitter ce merdier…

La jeune femme ne réfléchissait plus tellement, elle était crevée, sur les nerfs, au bout du rouleau. Tout ce que vous voulez, mais elle avait une soif, une envie à assouvir. Elle avait envie de lui, la maintenant. Elle oubliait lentement tout ce qu’il avait pu se passait cette nuit. Fessant comme si cela n’avait jamais existé. Oubliant, la douleur de ses mains, ses jambes qui tremblaient sous elle, oubliant le dégoutant suçon qu’elle avait au coup. Maïwenn glissa ses doigts sous le tee-shirt du jeune homme. L’appartement était silencieux, elle frissonnait contre le corps du jeune homme. Profitant de l’instant présent…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyMer 14 Avr - 19:13


    Louhan l'écouta mais ne répondit rien à sa première tirade. Que répondre? elle était défoncé. Elle trouverait toujours quoi répondre car elle se pensait la plus malheureuse au monde. Il était défoncé. Et il trouverait toujours quoi répondre car il n'avait qu'une vision critique des choses de ce monde. Alors à quoi bon? Elle allait déjà assez mal pour en plus la faire crier en pleine nuit, peut-être que demain il lui dirait cela. Mais il savait pertinament que le lendemain il s'en souviendrait plus de ce qu'il voulait dire et donc ne dirait rien. Et ils se disputeraient peut-être sur autre chose, ou alors ils pourraient prendre un petit-déjeuner ensemble? Pour la première fois peut-être... Louhan en savait rien mais ce qu'il savait c'est qu'il n'avait pas envie de se prendre la tête avec des problèmes comme ça. Car la vie était bien trop compliquée, car en effet à quoi bon se prendre la tête alors que d'autres avaient plus de problème? Louhan avait juste envie de vivre sa vie; de voir de quoi demain serait fait et puis voila...

    – Merde, pourquoi j’ai toujours autant envie de toi à chaque fois ? Pourquoi, je peux ne pas te faire la gueule interminablement. Je sais qu’un jour, je me lasserais de toi ou toi de moi… mais pour le moment, j’ai envie de faire comme si rien existé. Ne pas vivre une relation de couple bien bidon. Non, je veux qu’on ait une relation libre, comme on a toujours eu. On demande des comptes à personnes. Tu couches avec les nombres de filles que tu veux, je ne te dis rien et je fais pareille. J’essaierai de me trouver un autre job… je sais que je n’aurais pas beaucoup, de choix. S’il faut que je nettoie des toilettes toute ma vie, je le ferais. J’ai pas envie de me faire retouchée par des mecs ignobles… peut-être que tu ne voudras plus de moi, mais au moins, j’aurais réussi à quitter ce merdier…
    – Je sais pas Maïwenn...sans doute qu'on veut ce qu'on ne peut pas avoir entièrement. Combien de emc sont prêt à tomber à tes pieds? Tous je suppoes, et moi c'est pareil pour les filles, en même certains mecs, alors que nous on n'en veut pas de ça... Oui on s'en lassera mais à quoi ca et sert de même juste pensé que je me tape d'autre fille? C'est pas important, on s'en tape du reste. on est là ensemble c'est tous.

    cuchota-t-il doucement. Il caressa son visage, l'embrassant doucement. Il sentit la main de la jeune femme glisser sur son torse (il est en caleçon je te rappel xD). Il la regarda; avec tous son cirque de défoncé et ses monologue existenciel elle lui avait passé l'envie de faire quoi que ce soit. Mais de simple caresse provenant de la jeune femme faisait tous revenir. Il sourit légèrement, se mordillant la lèvre. D'un geste souple il passa sa jambe par dessus le corps de la jeune femme se retrouvant au dessus d'elle. L'embrassant doucement, le désir se faisant de plus en plus présent. Il fit descendre lentement sa main le long du corps de la jeune femme. Même défponcé et chiante il l'aimait cette fille. Et c'était peut-être ça qui était si mal. Il soupira légèrement encore une fois il ne pouvait se battre contre leur désir. Remontant lentement sa main sous le long tee-shirt qu'elle venait à peine d'enfiler. Caressant sa peau nue sous ses doigts. Elle sentait encore le gel douche avec lequel il l'avait laver; mélangé à son propre parfum corporel. Il descendit lentement ses baisers dans le coup de la jeune femme, l'embreassant sur l'arrête de sa machoir, puis dans sa nuque, arrivant à sa clavicule déposant de léger baisers embrassé de désir.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyJeu 15 Avr - 21:05

– Je ne sais pas Maïwenn...sans doute qu'on veut ce qu'on ne peut pas avoir entièrement. Combien de mec sont prêt à tomber à tes pieds? Tous je suppose, et moi c'est pareil pour les filles, en même certains mecs, alors que nous on n'en veut pas de ça... Oui on s'en lassera mais à quoi ça sert de même juste pensé que je me tape d'autre fille? Ce n’est pas important, on s'en tape du reste. On est là ensemble c'est tous.

Maïwenn ne trouva rien à dire. Elle ne voulait plus parler, elle voulait un peu de tendresse pendant une partie de la nuit – hum, du moins, la fin de sa nuit. Elle caressait doucement la chair du jeune homme (oups désolé, je m’en rappelais plus) donc elle caressait belle et bien le torse du jeune homme. Peut-être que l’envie qu’elle avait toujours eu pour lui, c’était quelque peu évaporait pour leur monologue et leur discourt ultra-tête-de-mule. Jamais la jeune femme rousse n’avait ressenti autant de désirs avec l’un de ses partenaires. Avec les autres, c’était du genre vite fait, bien fait. Quand elle était dans les bras et dans le lit à Louhan, c’était autre chose. Elle voulait que le désir naissent petit à petit, qu’il soit attendit et que son amant devient fou. Fou de ses caresses un peu déplaces, fou de la sensualité qu’elle l’y mettait. Malheureusement pour elle, plus elle attendait, plus elle se rendait folle à son tour. Le désir est quelque chose qui ne se contrôle pas, et qui a du mal à patienter. Maïwenn regarda le jeune homme venir sur elle, rapidement un sourire se dessina sur son visage… frissonnant sous ses tendres baisers emplit de désirs, la demoiselle lui les rendit…

Quelques heures plus tard …

Mal de crane, envie de vomir, courbature dans les jambes, un dos endolorie. Voilà ce qui réveilla notre charment demoiselle. Elle tapota discrètement la table basse qui se trouvait du côté gauche. Bizarre, il n’y avait pas son portable – portable qu’elle laissait toute les nuits là, car mademoiselle avait la flemmingite aiguë de s’acheter un réveil – et son bouquin sur la littérature anglaise non plus. Lentement la demoiselle ouvrit les yeux, une douleur vit lui clouer les yeux. Merde encore, qu’avait-elle fait de sa nuit ? Soirée bien trop arrosée ? Surement. De la coke de très bonne qualité ? Une multitude de oui. Une soirée qu’elle n’aimait pas vraiment faire. Malheureusement, elle savait qu’elle avait suivi les filles du Rudy. Après elle ne se souvenait plus de rien. Flou total, comme si elle avait été amnésique. Perte totale de mémoire, ça elle si connaissait. Combien de fois la demoiselle s’était réveillée dans cet état présent ? Bien trop de fois à son gout. Parfois, il lui arrivait même de ne pas se retrouvait dans son propre lit. La douleur qu’elle avait eue précédemment aux yeux s’estompa. Il poussa un long soupire. Enfin, elle y voyait correctement. Elle ne reconnut ni ses draps, ni sa chambre, ni ses propres meubles. Encore moins ce papier peint, ni les vêtements qui traient au sol. Les siennes étaient pourtant rangées correctement dans une armoire. Merde qu’est-ce qu’elle avait fait la nuit dernier. Elle roula sur ses flans, et se retrouva nez à nez avec Louhan. Du moins, un Louhan endroit. Ils ne s’étaient pas disputés la veille ? Si ses souvenirs-là étaient clairs. Elle était nue, il également. Avaient-ils passés leur nuit à se réconciliés sur l’oreiller ? Surement et fort probable, connaissant Maïwenn quand elle est ivre et pas tout à faire claire. Elle soupira encore une fois. Quelle conne… pourquoi ne pouvait-elle pas passée une nuit normale, sans qu’elle soit dans les bras du jeune Canteberry ? Vous m’expliquez, s’il vous plait.

-Merde, qu’est-ce que je fous là ?

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyJeu 15 Avr - 21:53


    Louhan détestait cela quand miss tête de mule décidait de le faire languir de plaisir; il avait horreur de patienter. Elle le savait, elle en jouait. Pourtant il s'était vite rendu compte que Maïwenn n'était pas non plus d'une grande patience. Et donc il avait apprit à se taire, à la laisser jouer car à chaque fois elle perdait. Du moins elle perdait en surface car Louhan bien évidement se rendait bien avant elle; elle était plus patiente que lui. Elle était dix fois plus forte à ce jeu, isl le savaient mais Louhan le reconaissait pas. Certe s'était un mec il en était fière, et les mecs sont réputé pour ne pas être patient sur ce terrain là. Mais il avait quand même son débile d'égo du faite de ne pas vouloir perdre face à une fille, surtout face à cette fille. Macho? Nan juste qu'il aime pas se sentir inférieur à une fille; encore moins à Maïwenn, non pas qu'il voulait la faire passer pour moins bien. Mais il était le mec il était censé assurer, non? Alors à chaque fois il se faisait violence, ne pas perdre patience; elle savait y faire. Elle était douée, elle apprenait hyper vite. C'était ça qui avait prouvé à Louhan qu'elle allait voir d'autre typque que lui. Il s'en était rendu compte car elle progressait vachement dans ce domaine comparé à leur première fois ensemble et donc elle allait voir ailleurs. Il le savait, et il en souffrait; au fond. Mais n'avait-il pas été voir ailleurs le premier après tout? Il n'avait pas son mot à dire tous simplement, il avait voulut jouer, il avait fixé les règles du jeu et Maï ne les enfrégnait pas au contraire elle respectait très bien les droits et devoirs du joueur.

      AU PETIT MATIN


    Louhan ouvrit lentement les yeux, il grogna légèrement en se retournant s'extirpant lentement des bras de la personne qui était près de lui. Il ouvrit un oeil mais la lumière trop vive lui conseilla de le refermer de suite ce qu'il fit d'ailleurs. Puis comprennant peu à peu son réveil il ouvrit lentement les deux yeux. Première chose sur, il avait mal au crâne, était était ajeun, et la coke et l'alcool ne faisaient plus effet. Comment le savoir? Il avait une humeur de chiotte, un gout amère dans la bouche, mal à la tête et avait déjà la déprime qui pointait le bout de son nez. Deuxième chose sur, il était chez lui. simple comme bonjour, il entendait plus loin le charcutier ouvrir la boutique. Troisième chose sur il était nu, totalement nu et une personne dans son lit devait être dans le même état. Il tourna le regard vers cette personne, une fille vu la main qui était posée sur l'oreillée, une rousse. Il soupira en reconnaissant les cheveux de la jeune femme. Il la regarda quelques secondes puis se leva. Il devait pisser c'était obligé. Il allait dans sa salle de bain retrouvant les fringues de Maïwenn , il fit ce qu'il avait à faire sans se rhabiller. La nudité était le truc qui gênait absolument pas Louhan, un truc de fou. Il ouvrit la pharmacie et sortit un aspirine, puis regardant la boite il soupira et un prit un autre les laissant dans un verre. Il fit de même en remplissant une autre verre et en les laissant tomber dedans. Buvant d'une traite le premier verre il grimaça. Puis regardant sa tête dans le miroir, il soupira. Il était mal rasé,comme toujorus, il avait les yeux rouge, comme chaque matin, ders cernes violette, comme chaque jour, et le visage blanc comme souvent. Bon ba rien d'inhabituel. Il soupira et prenant le deuxième verre il re tourna dans sa chambre. Posant le verre sur la table près de Maïwenn il retourna au lit décidant que si elle dormait encore il pouvait faire de même. Il retourna sous la couette, restant tous de même éloigné de Maï pour ne pas la réveiller. Il la regarda pendant un moment, frolant doucement de son index la courbe de ses hanches puis le dessin de ses reins. Il soupira refermant doucement les yeux se laissant emporter par le sommeil, un sommeil léger mais ô combien satisfaisant.

    -Merde, qu’est-ce que je fous là ?

    Louhan entendit cette phrase prononcée au loin, il hémergea doucement sans pour autant bouger. Et elle était réveillée, et elle se souvenait de rien. Sacré Maïwenn, toujorus la même. Il se doutait la veille qu'elle se souviendrait de rien au réveil. Tant mieux peut-être, mais bon il savait combien s'était frustrant d'être dans cette état. Qu'elle se rassure et se sente joyeuse elle avait attérit dans son lit et pas dans celui d'un pervers. Quoi que cela devait être une mince consolation vut le ton de la voix de la jeune rouquine. Il soupira et se retourna pour changer de coté, gardant les yeux fermé se remettant bien installer pour recommencer à pioncer.

    - Tu étais défoncée...tu t'es fais agressée et donc pour venir te consoler tu t'es dit que le seul mec potablement assez con pour se laisser plumer c'était moi... Tu étais stone et tu t'es endormis dès que t as été satisfaite...ha et tu as de l'aspirine sur ta table de chevet.

    évalua -t-il d'une voix monotone. Blasé? Comme toujorus, de plus il ne révélait que la simple vérité. elle avait eut envie de lui, elle était venue car elle se sentait seul et comme toujours tel un con il avait ressentit la même chose alors pourquoi se privé. Et ils l'avaient fait comme souvent. elle devait avoir l'habitude pour ne se rappeler aucunement leur gestes, la drogue effacait pas les gestes étrange donc pour elle s'était une habitude. Louhan remonta la couette un peu le long de son dos pour ne pas avoir trop froid, tourant le dos à la jeune femme qui devait être sacrément en colère. contre ce qu'il avait dit? Oui et contre elle-même sauf que ça allait encore retomber contre lui car comme lui Maïwenn quand elle était en colère contre elle, elle était méchante avec lui. Il essaya de se rendormir qui sait cela le sauverait peut-être de la réplique qu'allait lui sortir Maïwenn suite à cette réponse qu'il venait de lui dire.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyVen 16 Avr - 18:38

-Tu étais défoncée...tu t'es faite agressée et donc pour venir te consoler tu t'es dit que le seul mec probablement assez con pour se laisser plumer c'était moi... Tu étais stone et tu t'es endormi dès que t’as été satisfaite...ha et tu as de l'aspirine sur ta table de chevet.

Elle venait d’entendre la voix à moitié endormi de Louhan. Lui informant de ce qui s’était réellement passé durant sa nuit. Petit à petit des flashs sinisèrent dans son crâne. Elle s’était faite agressée ?! Petit à petit, elle revoyait les mains du mannequin allemand sur sa peau. Passant de la chair de ses cuisses qui avaient la chair de poule, jusqu’à l'embrasure de ses sous-vêtements. Maïwenn eu un spasme de frayeur. Qu’elle essaya de contrôlé tant bien que mal. Revoyant les yeux de désirs et de violence de l’être qui l’avait adressait quelques heures plus tôt. Ensuite, des verres de vodka qu’elle s’enfilait cul sec. N’ayant pas trop l’habitude de boire autant de verre. Une demi-douzaine de ligne de coke, de la pure - avait dit le dealer de Mazarine. Je revoyais encore le corps de Mazarine contre un mur de pierre, embrassait par un jeune agent de la sécurité. Vu le sourire qu’elle m’avait fait, ma copine de scène avait l’air d’apprécier les caresses que lui fessait le beau jeune homme brun. Bref, ce qui lui mit également une claque au visage, c’est le coup de pied qu’elle avait mis à l’autre connard pour partir. Elle ne se connaissait pas avec une telle dose de violence. Ajoutons la dispute avec Louhan + sa mauvaise humeur + la trop pleins de verres d’alcool + les rails de coke en plus + l’acharnement que mettait l’autre blond dans ses caresses et le fait qu’il la tienne contre son gré = à une Maïwenn qui ne se contrôle plus du tout. Qui devient faible et agressive, sur le bord de nerfs et qui ne se contrôle plus du tout. Les images défilaient petit à petit. Elle se rappelait exactement la course éfrénait qu’elle avait faite de la place central jusqu’à potts point. Ses pieds en compote, les escarpins de Mazarine cassés et la fin d’une course, les pieds ensanglantaient se dérobant devant chez Louhan. Pourquoi n’avait-elle pas continuée quatre pâtés de maisons plus loin ? Pourquoi avait-elle choisit de frappé à sa porte ? Pourquoi n’était-elle pas partie chez sa meilleure amie ? A croire que ce foutu atelier de peinture était son aimant. Pourquoi à chaque fois, elle avait ce besoin fou de retourner dans ses bras ? Elle secoua sa petite tête. Non c’était rien qu’une attirance physique, une fichu attirance fusionnelle, pas de l’amour… jamais il n’y aurait de l’amour entre eux. C’était le jeune homme qui était près d’elle, étendu sous les draps qui lui avait dit ou plus au moins fait comprendre.

-j’suis désolé que tu penses que tu es ma route de secours. Loin de là. C’est bête mais j’me sens bien ici. En sécurité, de blabla qui ne te serve à rien… t’es pas con, lou… t’es juste un mec bien au fond… juste au fond alors…

Elle se sentait mal qu’il soit pris comme un simple épaule ou un corps de secours. Un con qu’elle pouvait manipulait comme bon lui semble. Pourtant, il était le seul de ses amants vers qui elle revenait à mainte reprise. Elle soupira, elle avait tellement mal pour lui. Elle avait ressenti cela avec Marek. La jeune femme regarda l’aspirine qui était posé sur la table de chevet. Une piètre et petite attention qui lui fit chaud au cœur. Il avait pensé à elle.

-mer…merci…


Elle eut tant de mal à dire se simple mot. Jamais elle n’avait été correcte envers lui. Pas une marque de reconnaissance, ni une marque d’affection. Elle n’était pas un monstre. Oh non, mais jamais elle l’avait gratifie de ses quelques bonnes action. Aujourd’hui était un jour nouveau, autant faire des choses nouvelles. Au lieu de sortir du lit en furie, mademoiselle se repoussa les couettes et attrapa le haut gris qui lui avait servi quelques temps d’affaire de secours. Elle se redressa, but rapidement l’aspirine et se dirigea vers la cuisine. Autant lui faire un café bien noir, comme il les aimait – seul chose qu’elle savait de lui. Aujourd’hui elle n’allait pas faire comme tous les matins, oh non, aujourd’hui, un café au lit et quelques bisous. Après nous ferons la suite des évènements. Il allait être choqué se pauvre petit Canteberry. Le blopblop de la cafetière et l’agréable odeur du café laissèrent en éveil une Maïwenn différente. Une fois terminé, elle attrapa un récipient – il n’y avait pas grand-chose dans cet appartement décidément – qui lui ferait office de tasse et une tasse rescapée qu’elle avait trouvée au sol. La jeune femme le remplit avec le liquide noir et corsé. Elle repartit dans la chambre, escaladant le corps inerte de Louhan et se reposa à sa place.

-voilà pour toi…
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptySam 17 Avr - 23:46


    Louhan se posait même pas la question de savoir si oui ou non elle le prennait comme la cinquième roue du carrosse. Nan il n'avait pas assez le temps et pas l'envie de se torturer l'esprit et se sentir mal parceque Maïwenn était ainsi. Il l'avait dit ici car s'était les seul trucs qu'il avait eut à dire mais il ne s'était jamais posé la question. Bien que pour lui il pensait sincèrement qu'elle venait vers lui quand elle avait roien à faire; il le pensait pas en mal et ne le en voulait pas, il était nullement affecté par ce genre de chose. Il l'avait dite ce matin car l'occasion s'était présentée mais rien de plus. Il n'avait pas l'intention de se faire passer pour la victime car il ne l'était pas du tout, après tout il était totalement consantant lorsque Maïwenn voulait venir se refugier dans ses bras.

    - j’suis désolé que tu penses que tu es ma route de secours. Loin de là. C’est bête mais j’me sens bien ici. En sécurité, de blabla qui ne te serve à rien… t’es pas con, lou… t’es juste un mec bien au fond… juste au fond alors…

    Louhan l'entendait en fond sonore, il avait légèrement émergé du sommeil en l'entendant s'excuser. Elle avait l'air touchée mais bon il avait vraiment envie de lui retorquer que c'était point la peine de lui dire tous cela. qu'il était pas comme tous ces mecs qui ont besoin d'amour ect. Il lui en voulait pas. Néanmoins il fut surprit lorsqu'il entendit un merci de sa bouche. Il se demanda pourquoi il était surprit, ce n'était qu'un merci. Mais bien vite il se rendit compte qu'lele ne lui avait jamais dit merci. En même temps, quand tu couches avec quelqu'un on lui dit rarement "merci pour cette nuit". Et vu qu'en dehors ils se voyaient rarement à part pour s'engueuler et bien il n'y avait pas beaucoup d'occasion pour dire merci à l'autre. quoi que il est vrai que Louhan l'avait peut-être déjà dit...

    - Maï je ne t'ai pas demander de me jurer fidélité je m'en contre fou d'être 'nimporte quoi... ce que je sais que je suis au fond c'est que je dors la s'il te plai..

    bougonna-t-il. Louhan restait Louhan et donc il pouvait certe manqué de tact mais en même temps; les discussion de remerciement sentimental s'était très peu pour lui donc il préérait envoyer gentillement les gens se taire. Il n'avait toujorus pas ouvert les yeux. Il sentit la jeune fille bouger et sortir du lit. Un élan de mélancolie et de ...tristesse l'envahit. Tristesse? Peut-être pas autant mais qu'elle se casse aussi vite était assez étrange et disons qu'il en était pas non plus fou de joie. Il n'ouvrit pourtant pas les yeux et sombra dans le sommeil peu affecté par le départ matinal de la jeune femme. Il était fatigué il avait la flemme de se faire un café, il se prendrait une ligne dans la matiné voila tout. Il rêvait de rien, ha si d'une odeur de café. Waow il était tant en manque de caféine que ça? Il sentit alors quelque chose bouger, il sentit un truc l'enajmber. Il se tourna légèrement grognan. La voix de Maïwenn. surprit il entre-ouvrit la yeux pour la voir. Belle, naturelle, ravissante dans son propre tee-shirt blanc en coton. Avec...une tasse à la main. Louhan fronça les sourcils, du CAFE??? O_o Il se releva doucement, gardant la couette sur ses hanches toujorus pas habillé. Il prit la tasse ou du moins le récipient non identifé il le porta à ses lèvres.

    - Merci...

    Il but une gorgé ne comprennant toujours pas ce qui lui arrivait. Il sentit alors le liquide brulant dans sa gorgé, amère, fort. Le café comme il l'aimait. Il ferma les yeux profitant de ce matin si particulier. Puis sa tête se mit à marcher. Maïwenn était bien gentille ce matin, mince qu'est-ce qu'elle avait à lui annoncer? Il ouvrit les yeux et posa sa tasse sur la table de nuit légèrement affolé. Enfin affolé à la manière de Louhan car Louhan ne s'affole jamais de rien.

    - pourquoi ce café? qu'est-ce qui se p... Nan..Maï'...ne me dis pas que tu prends plus la pillule et que la caopte à pétée...c'est pas ça pitié?

    demanda-t-il se passant les mains dans les cheveux. Mince il était bien dans la galère si c'était ça. Pourtant il avait dit ça d'une voix calme, blasé, pas du tout affecté ou du genre affecté comme si on lui disait que le chat avait pissé dans le salon.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante EmptyDim 20 Juin - 18:56

SUJET ABANDONNE
mettre à la poubelle
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé


elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Vide


MessageSujet: Re: elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante Empty

Revenir en haut Aller en bas

elle est pas méchante mais putain qu'est-ce qu'elle est chiante

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
 :: COMMENCEMENT. :: Corbeille-