© REDPUPY.

Le New Item Weekly pour toi c'est...
quelque chose de flou []
un journal dont tu ne manquerais pas un seul article []
un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça []
un journal dans lequel tu écrirais volontiers un article []

Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique...
vie quotidienne []
sport []
cinéma[]
meurtres et enquêtes policières []
politique de quartier []
musique []
mode []
autre []

Si tu devais rajouter une rubrique ça serait...
Beaux Arts.

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TOI TOI &TOI icon by lj NOM ET/OU PSEUDO : soulmates AGE : 19 ans RÉGION : bzh FILLE OU GARÇON : F. QUE PENSES-TU DU FORUM : YAOUHHH! ETTTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : BAZZ de mon coeur

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I'd like to make myself believe
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« C'est une vérité universellement reconnue, qu'un célibataire pourvu d'une belle fortune doit avoir envie de se marier, et, si peu que l'on sache de son sentiment à cet égard lorsqu'il arrive dans une nouvelle résidence, cette idée est si bien fixée dans l'esprit de ses voisins qu'il le considère sur le champ comme la propriété de l'une ou l'autre de leurs filles. »

Mon histoire je vais vous la raconter mais avant cela il faut que vous soyez informé d'une chose. Ma vie, mon destin n'a jamais été entre mes mains, et lorsque j'ai décidé d'en faire qu'à ma tête et de prendre les reines cela s'est soldé par un échec, et lorsque j'ai laissé mes parents décidé pour moi cela s'est soldé par un échec. Maintenant je ne sais plus vraiment qui je suis, je navigue entre deux courant, le chaud, le froid. Je ne sais comment être moi même, je ne sais même plus si j'ai été un jour moi même. Si, si, j'ai été un jour moi même grâce à une personne mais cette même personne m'a été enlever. Vos croyez en dieu vous ? Moi je n'y ai jamais vraiment cru, je ne sais pas comment il peu y avoir une puissance supérieur à nous pauvre être humain, une puissance qui nous à crée et qui nous laisse dans la merde comme ça. Je suis sceptique à ce sujet, à vrais dire c'est un des traits de mon caractère je suis sceptique sur beaucoup de chose. Les principales sont la politique, la religion, et surtout l'amour. La seule chose qui pour moi a un sens c'est l'art, mais depuis quelques années maintenant je ne suis plus cette jeune fille en quête d'artiste qui a foi en cette passion, en l'art et leurs artiste. Non je ne suis plus que l'ombre de moi même, et je surprend à ne plus m'émoustiller lorsque je passe devant une toile, une photographie, une sculpture ou une architecture ancienne ou nouvellement innovante. Je m'accroche, mais mon envie d'aventure, est partit en même temps que Tristan. Mon père était dans la politique il a été le maire de Sydney il y a maintenant quelques années de cela. Je viens d'une famille extrêmement protestante. Les bonnes manière, la façon de se tenir à table, la façon d'avoir toujours la tête droite, quels couteaux utiliser, quel verre... tout ça j'ai dut l'apprendre dans mon enfance et se fut une vraie torture. Mes parents on toujours eu des mœurs très très strict. Je suis leur fille unique, j'ai un grand frère mais c'est différent. Moi mon avenir selon eu c'était être une bonne femme, une bonne épouse. Dès mon plus jeune âge on m'a bassiné avec ça, je serait une bonne épouse et surtout j'épouserais l'homme qui sera choisit par mes parents, l'homme qui voudra bien de moi et non l'homme dont je voudrais bien. On se croirais encore dans les années trente... En grandissant dans ce milieu très puritain je ne pu que devenir une jeune femme en proie à l'indépendance et au nouvelles expériences, j'étais un peu la honte de la famille parce que je ne voulu pas entrer à science po après le secondaire mais plutôt en histoire de l'art. Parce que je voulais ouvrir ma propre galerie d'art et découvrir bon nombre d'artiste fabuleux qui sans mon aide serait peu être resté dans l'ombre, découvrir le nouveau Wharol... Cela n'était pas du tout du goût de ma très chère maman. Et encore moins du goût de mon très cher père... Mais ce n'était que le début des grosses déceptions pour ma famille, je savais ce que je voulais et ce que je ne voulais surtout pas c'est d'un mariage arrangé. Depuis mon plus jeune âge on m'a présenté ce Carter là, qui se pavanait devant moi et qui se disait avoir des droits sur moi. Il n'était pas méchant mais jamais je ne tomberais amoureuse de lui et il est important d'être amoureuse pour se marier. En entrant à l'université mes parents qui avait accepté de me laisser entrer en attendait de moi que je leur montre ma gratitude en commençant à entretenir une relation plus que sérieuse avec ce Carter, mais non... il n'en était pas question. Et puis quelques semaines après le début des cours je suis tomber sur lui.. sur ce Tristan, tellement beau mais d'une manière mystérieuse et sans prétention. Il était... j'en ai encore les larmes aux yeux en y pensant. C'était l'homme de ma vie je le savais, pendant les deux ans de mes études à l'université on était ensemble. A 21 ans je sors diplômé et prête à ouvrir ma galerie d'art. Mes parents cède dans l'espoir que je montre encore une fois ma gratitude en acceptant la demande en mariage de Carter. Oh se fut un moment je dois vous en dire quelques mots de plus.

« Chérie, Carter est la tu veux bien rester un peu. » dit ma gentille mère. « Maman, j'ai une galerie en pleine ouverture je dois y retourner. » dis-je soupirant et tout en sachant que ce Carter allait encore une fois me faire des avance alors que ça fait deux ans que je lui répète que je suis avec quelqu'un avec l'homme de ma vie. Ce que d'ailleurs ma mère sait très bien mais pense juste que c'est une amourette de passage. « Cela peut-attendre ma très chère Palmer, j'ai quelque chose à te dire d'important. » Il venait d'entrer dans la pièce vêtu d'un costume trois pièce sans cravate, la chemise légèrement ouverte ce qui lui donnait un coté ultra sexy. Oui je ne nie pas que ce Carter est devenu extrêmement alléchant en grandissant. « Salut Carter, et bien fais vite et concis pas le temps pour les belles tournures de phrase je dois y retourner. » Si je me doutais une seconde de qu'il allait me demander... je serais déjà partit. « D'accord, et bien Palmer Lloyd-Burton, me ferais tu l'honneur de devenir ma femme ? » Tout en disant ses mots il c'était mis dans la position adéquate un genoux à terre une énorme bague dans son écrin dans la main. Je ne pu m'empêcher de rie aux éclat, se fut nerveux et en même temps si franc et spontanée. Je veux dire ça fait longtemps que je dis à Carter que je ne l'épouserais JAMAIS. Et puis je repense à ce qui s'est passé le jour d'avant, Tristan dans la même position sauf sans bague parce qu'il n'avait pas assez d'argent pour l'acheter, ce qui me laissait le temps d'annoncer mes fiançailles à ma famille. Mais tout compte fais je vendit la mèche plutôt. « Écoutes Carter, j'aurais peu être pris le temps d'y réfléchir si je n'avais pas accepter hier soir la demande de mon petit ami maintenant fiancé du nom de Tristan avec qui je suis depuis deux ans, tu sais celui dont je te parles souvent... Je n'arrive pas à croire que tu ai pu pensé une seconde que j'allais te dire oui alors que je suis en couple c'est d'une naïveté... » Ma mère en tomba dans les pommes.

Comme expliquer dans cette petite anecdote, je me suis donc engager avec Tristan à 21 ans, dans la même année ma galerie fut ouverte et j'étais officiellement madame Burton, madame Lloyd-Burton. Et dans la même année, mon très cher mari décidé de me quitter pour aller se battre en Irak. Se fut un terrible choc pour moi je n'arrivais pas à croire que si vite marier la fougue patriotique lui prenait. Il disait qu'il n'arriverais jamais à subvenir à nos besoin et qu'en tant que soldat il gagnerais bien plus qu'en tant qu'artiste maudit. Encore une belle conversation que je doit vous relater dans plus de détails.

« Chérie, Palmy ? Viens ici faut que je te parle d'un truc, un truc important. » Je sortit de mon bouquin sur un artiste londonien fabuleux, un photographe. « Oui ? Qu'est ce qu'il y a pourquoi tu prends encore cet air grave sur ton visage ? Si c'est une question d'argent tu sais très bien que je peux quand tu voudras m'occuper de tout ça j'ai qu'a parler à mon père il reviendra sur sa décision de me couper les vivres... » Il soupira longuement et commença à tapoter ses doigts sur le plan de travaille, ce qu'il faisait lorsqu'il ne savait pas comment aborder un sujet, je commençais à m'inquiéter. « Non c'est pas une question d'argent, et je te ferais dire que c'est parce que tu t'es marier avec moi que ton cher père t'a coupé les vivres... Non c'est plus compliqué que ça, et plus important. Viens par là mon cœur. » Je me suis lever sans discuter et me suis mise de l'autre côté du plan de travail. Il me prit par les mains et commença son discours. « Mon cœur, tu sais que l'Australie à décider de suivre dans cette ... Tu sais qu'il y a tout les jours des australiens qui meurt, tu sais qu'on a besoin d'argent, et tu sais que mes petites toiles qui se vendent pas ne nous nourrira pas. Et je déteste rester là à rien faire.. » Je le coupa, inquiète. « Qu'est ce que t'es en train de me dire Tristan ?? » Il poursuivit. « Laisse moi finir mon cœur... laisse moi finir... Hier pendant que t'étais à la galerie, j'ai fait des recherches et je me suis décidé à m'engager dans l'armée Australienne. » Au moment ou les mots engager et armé furent dit je fondit en larme. « Écoutes mon cœur pleures pas, tu sais très bien qu'on est plus au temps de 1914 ou de 1935 la guerre elle est plus pareille, je vais revenir en vie et surtout fière de ne pas être le genre de mari qui ne fait rien dans sa vie... » J'arrivai à dire entre deux sanglots. « Et tu pars quand ? » Il resta silencieux un moment avant de me répondre. « Demain, demain soir. »

Deux mois plu tard l'on m'informa que le régiment de Tristan avait été attaqué alors qu'ils rentraient à la base. Il est mort me dirent-il, il est mort... Ces mots retentirent dans ma tête, je ne pu ni manger, ni parler ni même boire pendant dans jours. L'ont du me faire entrer dans une clinique privé, une clinique psychiatrique. Je fit une grosse dépression et je crois qu'encore aujourd'hui je n'en suis pas totalement remise. J'étais vulnérable anéanti, et mes parents en profitèrent pour me convaincre d'oublier ma peine dans un nouveau mariage, un heureux mariage.. avec Carter ? Non lui il c'était marier à une jeune fille de bonne famille.. Non il y avait aussi Philippe... j'acceptai. A ma sortit de cette clinique j'étais fiancé, encore en mauvaise état, en état de vulnérabilité. Une semaine plu tard j'étais marier à ce Philippe, qui s'avérait être une jeune homme imbu de sa personne et plus que détestable. Je suis rester marier à lui tout le temps qu'il m'a fallut pour me remettre de la mort de mon très cher mari, je me suis remarier à 22 ans, et je suis divorcé depuis quelque mois à l'âge de 25 ans. Trois ans de vie commune avec ce monstre. J'ai toujours cette galerie mais elle prend poussière depuis que Tristan s'est engagé je n'y suis plus retourné. Mes parents m'ont remit sur leur testament pensant que j'ai subit bien assez d'épreuve pour mériter leur argent une fois eux deux morts. J'ai de nouveau assez d'argent pour vivre et même pour ouvrir une seconde galerie voir bien plus. Je suis une désabusé, j'ai vécu l'amour avec un grand A, et on me l'a enlever. C'est cruel, la vie est cruel.