Etre écrivain, ça à plus d'avantage que d'inconvénient. L'un des avantages étaient qu'il peut faire ce qu'il veut de ses journées, se lever à l'heure qu'on veut. Bon parfois, il y a son éditeur qui l'embête et qui lui dit d'écrire un nouveau livre. C'est la plus par du temps le cas. Car, Jules à tendance à oublier qu'il a un travail, et qu'il faut qu'il écrive au moins deux livres dans l'année s’il veut payer son loyer et de quoi manger. Jules adore écrire, et cela se ressent, car il ne se passe pas une journée sans laquelle il n'a pas de stylo à la main. Même si c'est pour faire les mots croisés du journal local. La plupart du temps, il écrit une page entière chaque jour. Cela n’est pas grand-chose lorsque c’est dit comme cela, mais c’est beaucoup. Jules a à son actif sept livres déjà. C’est beaucoup hein ? La plupart du temps, ses livres sont des livres d’amour. Pas à l’eau de rose, non, c’est surtout sur des rencontres improbables et des situations amusante. On peut donc les qualifiés de romans humoristiques pour la plupart. Aujourd’hui, le jeune homme se leva tôt. Enfin, tôt pour lui c’est onze heures. Comme à son habitude, il s’habilla et se lava. Non, il se lava puis s’habilla, c’est plus pratique je pense parce que se laver alors qu’on est habiller, ce n’est pas ce qu’il y a de plus hygiénique. Tout ça pour dire que le jeune homme était fin près pour aller dans le café où il a l’habitude de prendre son petit déjeuner. Il prit son vélo … Quoi ? Non, je ne rigole pas. Jules est un pur écolo. Pour lui, il faut bruler les voitures et les transports polluant. Non, c’est une blague. Il prit sa moto pour aller au centre ville, il se gara dans un parking qu’il connaissait apparemment. Dans le café, tout le monde le connaissait, du moins, tout le personnel. Bon d’accord, ce n’était pas l’heure, mais, il prit un chocolat bien chaud, bien sucré, avec un suppléant de miel et s’installa au comptoir comme à son habitude. Que faire aujourd’hui ? Du moins, cet après midi. C’était difficile pour le jeune homme de préparer une journée. Il vit au jour le jour, et ne prévoit jamais ce qu’il va faire plus tard. Ce qui peut être une mauvaise chose. En tout cas, Jules savait très bien ce qu’il allait faire vers les coups de dix neuf heures. Prendre un verre au Jack Rabbit slim. Un endroit qu’il adore, pour sa décoration et pour les gens qui y sont habitués. C’est là bas qu’il fait la plupart de ses rencontres.

L’après midi fut longue. Lorsqu’on ne sait pas quoi faire de sa journée, ce n’est pas toujours très amusant. Jules avait visité un musée. Non, il avait revisité un musée de Sidney. Un musée qu’il connait par cœur. Bientôt, il pourra devenir guide dans tous les musées et endroit touristique de Sidney. Ses journées commencé à devenir barbante. Il fallait qu’il y remédie. Les jours où il s’amuse sont les jours de fête, les jours où il est avec un ami ou fait une nouvelle rencontre, ou, la meilleure de ses journées : être assis sur un banc et observer les gens discuter, se disputer, se tenir la main, rompre, écouter des nouvelles déclarations d’amour. Cette journée là, c’est la meilleure pour lui car elle lui donne l’inspiration. D’ailleurs, il ne sort jamais sans un calepin sur lequel il peut écrire ce qu’il voit, ce qui peut lui paraître intéressent, ce qui peut être mit dans un livre. D’ailleurs, si un jour vous voyez que votre rupture est écrite mot pour mot dans un livre, c’est que ce livre est celui de notre beau Jules. Bon, pas tout à fait pareil, elle sera rendu plus belle forcement. C’est Jules après tout, il est parfait –hum. Tout cela pour dire que ça journée n’avait rien de très original. Faire la visite d’un musée qui n’est même pas intéressant, n’est pas forcement le meilleur des programmes. Le jeune homme qui était près de l’opéra de cette magnifique ville jeta un coup d’œil à sa montre. Un sourire se dessina sur ses lèvres. Un sourire qui désigner que c’était : l’heure de l’apéro. Pardon. C’est la joie de boire un coup qui fait cet effet là. Jules fit de grandes enjambés pour arriver au plus vite dans l’un des lieux qu’il apprécie le plus au monde. Arrivé devant le bar, il rentra sans trop attendre, ou plutôt, il se précipita à l’intérieur. Dès son premier coup d’œil, il aperçut une personne qu’il connaissait. Un visage qui ne lui était pas inconnu. Un ami. Mais attention, pas n’importe quel ami. Le meilleur. Jake. Il s’installa à côté de lui près du comptoir. « Comme d’habitude ? Une bière ? » Ses paroles lui était destiné. C’était le barmaid. Jules lui adressa un sourire. « Non, un diabolo grenadine s’il te plait ! » « C’est vrai ? Toi Jules, prendre de la limonade » Le barmaid regarda l’écrivain et lui servit une bière. Il n’avait pas besoin de plus d’un regard pour comprendre qu’il rigolait. Jules boires de la limonade. N’importe quoi. C’est comme si on faisait d’une femme un roi. –quoi ? Le jeune homme dit à son ami. « Comment ça va? Bonne journée ? »