S'il pouvait lire dans mes pensées, il comprendrait enfin. Cette sensation de bien être, d'assurance, de protection qu'il me procure lorsqu'il est près de moi, lorsque je suis dans ses bras. Était-ce bien réel tout ça ? Étais-je bien dans son lit, sous son corps tatoué ? Je l'aimais, un peu. Beaucoup. Assez pour que je ne pense qu'à lui constamment, pour que j'ai envie d'être avec lui tout le temps. Il était le maitre de mon coeur, le capitaine de ma libido. Et ça ne me gênait absolument pas.

« Ce n'est quand même pas ma faute si mon charme légendaire vous soumet toutes, si?.. Toi tu es encore mieux tu es hyper sexy comme moineau... » On ne rougit pas, on ne rougit pas. Trop tard. Mes joues sont déjà rosies. « Ton charme légendaire ? Laisse moi rire Louhan. Ton front est trop bizarre! » lâchais-je avant d'éclater de rire. Mes lèvres se posèrent sur les siennes alors que j'avais toujours un grand sourire aux lèvres. Sa langue lapait ma peau et je divaguais lentement dans le pays du plaisir inconscient que me procurer Louhan. Il embrassa mes lèvres, une fois de plus. Son regard était sérieux, presque effrayant. Je lui souris timidement, lorsqu'il remit une mèche de mes cheveux. « Je préfère que ce soit moi alors qui y joue alors.. » Il répondit à mon sourire. J'enroulai mes jambes autour des siennes alors qu'il mordait sa lèvre inférieure. J'aurai voulu lui caresser le visage et glisser mes mains le long de son corps, mais ce débile tenait mes mains fermement d'une seule main et même en me débattant, je n'arrivais à rien. Je laissai tomber, laissa nos langues jouèrent entre elles. Un jeu dangereux qui me donna une idée. Alors qu'il caressait mon ventre et que je frissonnai dans ses bras, je mordis sa langue, doucement, mais assez longtemps pour qu'il ai mal. « Ça t'apprendra, tiens. On ne prend jamais une fille en otage avec sa main. Encore moins quand c'est une Shinedown. » Je lui souris de toutes mes dents, attendant à ce qu'il se venge. Tout le monde sait que Louhan veut avoir le dernier mot.

Lire dans ses pensées? Ho non il aurait été trop effrayé qu'elle tienne tant à lui. Il aurait prit la fuite de peur d'un jour la faire souffrir. De faire quelque chose qui ferait qu'il baisse de son estime. Oui Louhan n'avait aucune idée de la place qu'il avait dans la tête de Hopeless, et s'était mieux ainsi il le savait parfaitement. Il l'aimait trop pour savoir qu'elle était tant accro à lui, il en aurait perdut sa propre confiance en lui.

« Ton charme légendaire ? Laisse moi rire Louhan. Ton front est trop bizarre! » Louhan prit un air outré en entendant les dire de la jeune fille. Son front? qu'est-ce qu'il avait son front? Non mais elle avait de ces trucs elle, au lieux de critiquer ses yeux défoncé, son crâne presque rasé, son trop pleins de tatouages, elle critiquait son front. Il la chatouilla doucement de sa main libre. « Mon front?! Fait attention jeune fille , ici tu es éloigné de toute sécurité je peux te séquestrer comme bon me semble » répondit-il en riant. Totalement éperdut de sentiments si nouveau pour elle. Il finit par reprendre ses lèvres avec adoration. Ils passèrent rapidement au dessus des sujets sérieux tel que le jeu avec le feu dans lequel Louhan berçait depuis longtemps. Bien trop occupé à se provoquer par des baisers, leur corps collé l'un contre l'autre. La main de Louhan venant donc caresser la peau du ventre de la jeune fille tandis que leurs langues s'entremelaient avec harmonie. Il sentit alors les dents de Hope' sur sa langue se refermer. Il sentit une douleur dans sa langue puis s'éloigna légèrement de ses lèvres. Il laissa échapper un "aïe" avec une moue. Voyant la jeune fille en rire. « Ça t'apprendra, tiens. On ne prend jamais une fille en otage avec sa main. Encore moins quand c'est une Shinedown. » Il ouvrit la bouche dans une attitude surprise et choquée en riant. Il laissa ses doigts chatouiller ses côtes, ses lèvres venant mordre le cou de la jeune fille. Il revint lui mordiller la lèvre. « Mademoiselle se pense de taille à affronter un Canterberry? Mais quelle audasse ! » dit-il en riant. Replongeant dans son cou. Au bout d'un moment à la mordre et la chatouiller, la tenant fermemant par une main, il se rendit compte de la marque dans le cou que ses lèvres avaient laissé sur Hopeless. Il sourit amusé, sa main cessant de chatouiller Hopeless. Pour que ses doigts recommençent à caresser sa peau sensuellement tandis qu'il s'aventuraient vers sa poitrine. « Je crois que maintenant tu vas m'appartenir pendant quelques temps avec ce petit jeu » constata-t-il en riant légèrement en parlant du suçon dans le cou de la brune. En effet sans le vouloir réellement il avait légèrement marqué son corps de leur ébats affectueux.

Moi j'aurais bien aimé lire dans ses pensées à lui. J'aurais bien aimé avoir autant mal que lui, pour l'apaiser un peu. J'aurais bien voulu savoir ce qu'il ressent, pour une fois, car j'étais perdue, totalement perdue entre son « Je t'aime » et ce qu'on était, là, maintenant. On aurait dit que rien ne c'était passé, que c'était comme avant. Un jeu purement physique. Pour lui du moins. Je mettais brûlé les ailes bien avant lui, j'étais tombée de haut lorsque je l'imaginais avec une autre fille et que cela me rendait jalouse, j'étais tombée de haut lorsqu'il avait pris une telle importance pour moi qu'il était devenu prioritaire sur tout. J'aurais aimé lire dans ses pensées pour doser mon amour, pour ne pas l'effrayé.

Mon rire résonna dans sa chambre, après ma critique sur son front, Louhan avait trouvé amusant de me chatouiller, j'en pleurais presque de rire et gigotais sous lui. « Mon front?! Fait attention jeune fille , ici tu es éloigné de toute sécurité je peux te séquestrer comme bon me semble. » Je souris alors que son rire se faisait entendre. J'aurais bien aimé qu'il me séquestre et qu'on reste ensemble. Toujours. Assez longtemps pour que je ne le déçoive plus comme hier, j'avais eu tellement peur de le perdre que ça m'avait noué l'estomac. Comment vivre sans lui maintenant, hein ? Nos lèvres se touchèrent, se cherchèrent, se trouvèrent pendant que nos langues elles, s'amusaient. Je mordis sa langue, le laissant par la suite se reculer, laissant échapper un bruit de mécontentement. J'étais littéralement morte de rire face à sa tête. Et son front, n'oublions pas son front. Son air faussement vexé était bon, lui aussi. Ses doigts se baladèrent sur mes côtes, les chatouillant, même en plongeant sous lui je n'arrivais pas à me dégager. Ses lèvres s'emparèrent de mon cou et je basculai la tête en arrière, le laissant faire. De toute façon, c'est pas comme-ci j'avais eu le choix, mais ce n'étais pas désagréable non plus. Ses dents mordillèrent mes lèvres, tendrement. « Mademoiselle se pense de taille à affronter un Canterberry? Mais quelle audace ! » Son rire était quelques choses que j'adorai réellement. Grave et vrai. Je souris. Ses chatouillent continuaient pendant que je pleurais de rire alors qu'il avait ses lèvres dans mon cou. Depuis un bout de temps maintenant. Je repris enfin le contrôle de ma respiration et de mes rire. Ça craint son sourire. Qu'est-ce qu'il m'a fait lui encore ? Alors que ses doigts caressèrent mon débardeur, je me mordis la lèvre lorsqu'il s'aventura vers ma poitrine. C'était injuste, car je ne pouvais rien faire et le laissa donc faire ce qu'il lui semblait bon de moi. J'avais l'intime conviction que mon tee-shirt était gênant pour lui, mais pas pour moi, j'étais nue en dessous et si je venais à l'être, ce serait ma perte assurée. « Je crois que maintenant tu vas m'appartenir pendant quelques temps avec ce petit jeu » Je levai la nuque légèrement. « Tu m'as fais quoi, Canteberry ? Tu m'agaces, tu m'exaspères, tu m'énerves! » avais-je dis d'un ton pas convaincant. « Bon okais, peut être pas tant que ça. Mais c'est pas juste ! » J'étais prisonnière de mon prince charmant pas très charmant.

Ho non voir dans la tête de Louhan aurait conduit à sa perte total. Car voir dans la tête de Louhan s'était avoir accès à ses moments de doute, à ses moments de violence. C'était voir des choses qu'il ne faisait pas mais qu'il pensait avec honte. Voir ses pensées aurait achever d'éloigner Hopeless , Louhan en était persuadé. Il l'aimait, c'était le principal. Le reste elle n'avait pas besoin de le savoir, pas besoin de douter. Non il l'aimait, comme il n'aimait personne. Les autres filles? Malheureusement elles étaient bien en phases de devenir du passé, vu à la vitesse que ça allait entre les deux jeunes amoureux. Louhan s'en rendait pas compte, non il plongeait à tête baissé. Cela ne lui ressemblait pas de plonger dans un sentiment si stérile de résonnement. Mais il s'en fouttait c'était Hope'.

On aurait dit des gosses à jouer ainsi. On aurait pas dit un junkie coureur de jupon qui était là au dessus d'elle. Non car avec elle il ne l'était plus. Oui cela ressemblait à leur jeux d'avant; mais car depuis le début avec Hopeless cela n'avait jamais été comme les autres. Car leur jeux prennaient des allures d'éternité et que maintenant l'éternité était bien courte pour racasier Louhan de la présence de la brune. Il avait envie d'elle, il avait envie d'être près d'elle, qu'elle soit à lui, de l'avoir avec lui tous le temps. Et il en avait peur tellement peur qu'il préférait se plonger pour le moment dans se qu'il connaissait et ce qu'ils aimaient. Leur corps à corps. Hopeless se torillait sous lui. Il sentait le corps frêle de labrune bouger sans pour autant avoir gain de cause. Elle était perdue face à elle. Il en rit. Savourant encore plus sa petite victoire. Sa main sous le débardeur de la jeune femme, Louhan seulement vétu d'un boxer. Il la regarda un sourire légèrement pervers aux lèvres. Il la savait nue. Il sourit. Lui-même n'était pas très habillé. seul le drap au dessus de son dos les rhabillait légèrement. Il s'en fouttait. Il la sentit frissoner sous ses caressers, il en rit. « Tu m'as fais quoi, Canteberry ? Tu m'agaces, tu m'exaspères, tu m'énerves! ... Bon okais, peut être pas tant que ça. Mais c'est pas juste ! » Louhan la regarda en riant. Non il se moquait pas. Bon si, mais pas méchamant. Il revint à son cou, sa main libre remontant doucement le débardeur de Hopeless contre son corps. La dénudant peu à peu. « Je n'ai pas fait exprès voyons...c'est juste une légère petite minuscule marque un peu violette rouge... je t'énerves? ...mais tu m'aimes un peu quand même, nan? » s'informa-t-il avec un sourire craquant. Ses yeux plongé dans ceux de la jeune fille. Car derrière ce simple jeu entre eux, derrière ces simples paroles. C'était qu'un mec qui voulait être rassuré. Être rassuré en sachant que la fille qu'il l'aimait, l'aimait elle aussi. Les jambes de Hopeless remontée sur els siennes, cachait sa nudité, malgré tous il continuait à emonter le débardeur toujours plus haut.

J'étais déjà tombée amoureuse. De nombreuses fois. Il faut dire qu'avant un cœur d'artichaut comme le mien, il est simple de s'éprendre d'une personne. Je me souviens que lorsque j'étais entrée dans le bar de Louhan, je m'étais jurée de ne regarder aucun garçon parce que ça faisait mal de tomber amoureuse – surtout qu'il s'agissait de mon frère, dont j'étais raide dingue. Puis il m'a demandé ce que je voulais boire. Je me souviens encore de la grimace qu'il a fait lorsque je lui ai dis « Un diabolo fraise, s'il vous plait. » Je n'avais même pas eu le courage de regarder ses yeux, j'avais juste vu son bras tatoué et sa bouche mais pas plus. Pas encore car le frisson qui m'a parcouru lorsque ses yeux bleus éclatés ont fixés mon regard marron m'a tétanisé. « Vous faites quoi, après le boulot ? » avais-je subitement demandé. Il avait eu l'air amusé et ça avait fini dans son lit. Le même où nous étions aujourd'hui.

J'allais tuer Louhan. D'une manière ou d'une autre, j'allais finir par le tuer. Tout simplement parce qu'il faisait monter un plaisir en moi, un plaisir que je ne connaissais qu'avec lui. L'envie constante de son corps maigrichon et du mains plus rond uni. D'une parce que ça faisait du bien, de faire l'amour. De deux, parce que le savoir en moi plutôt que dans une autre fille, ça me rendait vivante. Et de trois, parce que je l'aimais assez pour ne pas avoir honte de mes pulsions sexuels. Qui m'attiraient délicatement vers lui, lentement mais surement. La main de Louhan se baladait son mon débardeur, si seulement j'avais eu mes mains de libre, croyez moi que tous nos vêtements seraient partis bien vite ! Je regardai son sourire se dessinait doucement. Un sourire que je ne connaissais que trop bien. Je frissonnai sous ses caresses, sous ses lèvres. Ce que je venais de dire ne ressemblait à rien mais tant pis, il avait l'habitude maintenant. Il me regarda, rit et s'attaqua de nouveau à mon cou en remontant délicatement mon débardeur. Je me mordis la lèvre, que pouvais-je faire d'autres ? « Je n'ai pas fait exprès voyons...c'est juste une légère petite minuscule marque un peu violette rouge... je t'énerves? ...mais tu m'aimes un peu quand même, nan? » Son sourire me fit l'effet de milliers d'étoiles dans les yeux. Je souris à mon tour, tendrement. Tant pis pour le suçons avec que j'avais dans le cou. J'étais prête à lui dire que oui, je l'aimais, et plus qu'un peu. Je me ravisa. « Non, je t'aime pas. T'es un méchant qui me ligote depuis tout à l'heure et qui s'amuse à me déshabiller alors que je ne peux rien faire contre ! C'est du viol ! » déclarais-je en haussant la voix. Il continuait de remonter mon tee-shirt et je serrai mes jambes derrières ses cuisses, faisant descendre mon débardeur, un peu plus avec l'aide de ses mains. Avec l'un de mes pieds, je caressai doucement sa jambe lui souriant.

Le jour de leur rencontre? Louhan s'en souvenait bien. Il avait totalement halluciné de voir une fille si sainte ni touch dans son bar. Alors en plus lorsque celle-ci vous commande un diabolo à la fraise c'est vraiment déconcertant. Pourtant il l'avait servit. Comme toujours il avait été dragueur. Et d'un coup elle lui avait posé la question. Et il s'était dit qu'elle, elle avait à oublier une peine de coeur, ou alors elle cachait bien son jeu d'allumeuse. Mais il avait rien dit. Et c'était dans la nuit qu'il avait finit apr comprendre qu'elle n'était ni 'une ni l'autre. Et il n'avait jamais sut pourquoi cette fameuse nuit elle lui avait demandé cela. Ca contrastait tellement avec sa personnalité. Mais cette nuit c'était comme cela qu'ils s'étaient connus, pour ensuite entamé ce petit jeu qui avait aujorud'hui mené à cela. Grâce à son visage si enfantin et angélique il avait accepté la proposition. C'était honteux à dire mais en même temps Louhan disait pas non pour rien, mais bon il n'était pas non plus un mec facile. Il préférait que ce soit lui qui drague. Mais pour une fois, les règles avaient changé.

Pour le moment leur réconciliation de la veille était tangible. Louhan savait que rien n'était aquis. Que ce qui venait de passer n'avait été que le plu facile. Douloureux certe mais el plus facile, car maintenant il devrait toujours prendre soin et prendre en charge Hopeless. car à tous moment rien qu'en resombrant il pouvait tous briser et la briser elle. Mais cela n'empéchait qu'ils soient toujours aussi complice. bien que pour le moment s'était lui qui avait le dessus et cela depuis un petit bout de temps. A moitié allongé sur elle, son corps entre les jambes de la jeune femme. Il la bloquait toujours d'une main, l'empêchant de faire quoi que ce soit car il tenait ses bras. Et elle semblait lui en vouloir se qui le faisait rire. Il la vit bouger ses jambes contre son corps. Rien que ça lui donnait envie de plus, mais il vit que cette technique avait surtout le résultat de refaire descendre le débardeur de la femme. Il la regarda avec un air étonné. A quoi pensait-elle? qu'il la laisserait sans tirer si facilement? Il conitnua de jouer avec sa peau. Son parfums jouant avec son odorat. « Non, je t'aime pas. T'es un méchant qui me ligote depuis tout à l'heure et qui s'amuse à me déshabiller alors que je ne peux rien faire contre ! C'est du viol ! » Louhan qui embrassait son cou s'arreta deux secondes. Mais lorsqu'il s'éloigna pour de nouveau montrer son visage à la brune, il avait fait disparaître ce sentiment du doute que ses yeux avaient trahit. Non ce n'était qu'un jeu. Il lui sourit reprenant contenance, ne la laissant pas voir cet instant. Il sentit la jamb de Hopeless caresser la sienne, il se mordit la lèvre refrénant toutes pulsions qui émanaient de ce résultat.« Oui je le sais, rien n'est juste. Tu pourras toujorus me violer plus tard, je te le permet... et tu sais , tant pis en tous les cas moi je t'aime » dit-il avec ce petit air de dédain. Ce jeu le poussant sans vraiment en avoir conscience à être le mec presque adorable et normal qui disait à sa copine qu'il l'aimait. Il lui disait oui. aussi étrange que cela pouvait araître. Car il ne supportait pas l'idée qu'elle puisse en douter. Il fit passer le débardeur de Hopeless par dessus la tête de la jeune fille. Puis changeant de main sur ses bras il s'en débarassa oujorus en la tenant. Puis finit par la lachern, lui reodnnant sa liberté. tandis que ses deux bras venait enfermer sa taille, se glisser sous son dos pour rapprocher leur deux corps. Amoureux, conquit il l'embrassa.

Je n'avais pas vraiment essayé de le draguer ce soir là. Non, ce n'était même pas dans mes origines de draguer un garçon encore une fille, pour rire, oui, mais pas un garçon. J'étais effrayée de voir un garçon m'approcher de trop près de façon brutale à cause de ce qui m'est arrivée avec mon oncle. Ça avait littéralement changeait mon comportement envers tout être de l'autre sexe mais bizarrement, avec Louhan, ça avait été bien. Même plus que bien si vous voulez tout savoir, ce gars est un dieu au lit, même si je ne lui dirais pas au risque qu'il prenne la grosse tête. Son front est déjà assez gros.. Je rigole.

Plus vite mon tee-shirt descendrait, plus vite il devra l'enlever, plus vite mes mains serraient libérer. Logique, non ? Je m'accrochais donc à lui, l'aidant à descendre mon tee-shirt, tant pis pour moi qui n'aime pas qu'on me voit nue, de toute façon, c'est facilement la vingtième fois qu'il me verra ainsi, si ce n'est plus. Quoi, on fait que ça ? Oui et c'est pas franchement un problème car personnellement, je ne suis pas prête à me lasser de son corps trop blanc et ses tatouages qui lui remplissent le corps. Il embrassait mon cou lorsque je lui ai dis que je ne l'aimais pas. Bien sûr cela faisait partit de ce jeu, car je l'aimais, beaucoup trop, mais je l'aimais. Il s'était arrêté et je ne bougeais plus. Avais-je fais une gaffe ? Il leva sa tête, me sourit, avant de se mordre la lèvre lorsque mon pied caressa sa jambe. Vive la position dans laquelle j'étais. « Oui je le sais, rien n'est juste. Tu pourras toujours me violer plus tard, je te le permet... et tu sais , tant pis en tous les cas moi je t'aime » Je n'aimais pas cet air arrogant qu'il avait mais je lui souris, sans en prendre compte, car il venait de dire qu'il m'aimait, encore une fois et je sentis mon cœur battre encore plus vite, toujours plus vite. « Je ne suis pas sûre que te violer sois dans mes aptitudes. » soufflais-je doucement en souriant. Je pris ma respiration et lâcha. « Et puis, je t'aime aussi. » J'allais cacher ma tête dans sa nuque, comme d'habitude dès que j'étais gênée. Il me débarrassa de mon débardeur, dommage pour moi, il me tenait toujours. Son regard dans le mien, il me lâcha doucement, venant mettre ses mains sur mes hanches, nous rapprochant. Je posai mes mains sur son visage, le mettant un peu plus proche du mien. J'embrassai ses lèvres, puis son front en laissant un rire m'échappait. Mon pouce caressa ses lèvres alors que je les regardais, le regard brillant. « J'aime être libre de mes moindres faits et gestes. » souriais-je doucement, alors que mon autre main glissait le long de son corps, ne s'arrêtant plus. Je vins l'embrasser, une énième fois.

Louhan se rappelait pas à quel moment il avait commencé à sombrer. Il avait eut beau chercher le moment où il avait baissé sa garde pour laisser Hopeless prendre tant d'importance; il ne le trouvait pas. Peut-être était-ce depuis le tous début. Pourtant au début il l'avait prise comme une fille de plus. Cette nuit là, son corps, leurs ébats. Rien d'extraordinaire à al vie de Louhan. Pourtant il s'étaient revu, malgré qu'elle ne fasse que parler tous le temps. au bout d'un moment elle avait voulut en savoir plus sur lui. Il aurait du se méfier, savoir qu'il tomberait sous son charme. Mais nan c'était déjà trop tard il fallait croire.

« Je ne suis pas sûre que te violer sois dans mes aptitudes. » Louhan rit de cette phrase. Oui essayer de voir Hopeless le violer était inimaginable. Premièrement car elle était trop petite, trop fragile; deuxièmement car Louhan ne disait jamais nan au sexe et troisièmement car si s'était elle; Louhan ne donnait aucune barrière. « Et puis, je t'aime aussi. » Il le vit se blottir dans ses bras. Il sourit, ne faisant rien contre. Hopeless était comme ça, et c'était ça qui était si craquant chez elle. Il lui ota son débardeu. Elle, se retrouvant nue sous Louhan. Lui sentant la poitrine, le ventre de la jeune femme contre son torse. Il la relacha pour savourer cela. Un sourire aux lèvres tandis qu'il l'embrassait. Il sentit la jeune fille caresser son visage puis arriver à son front. Mince alors qu'avait-il donc son front? Il allait complexer maintenant lui. Il ne s'attarda pourtant pas sur ce détail. Sentant la main de Hopeless sur lui. « J'aime être libre de mes moindres faits et gestes. » Il sourit à ses dires. « JE crois que j'avais légèrement compris..mais je ne sais pas si c'est une bonne chose... » murmura t-il sentant la main de Hop' descendre le long de son corps. Lorsqu'il la tenait, il était libre de provoquer le désir chez elle, alors que là il semblait que la jeune fille face de même. Et avec elle face à lui, Louhan perdait vite, très vite contre ses pulsions et envies.

Pourquoi c'était à lui que je m'étais ouverte ? Pourquoi c'est à lui que j'ai parlé ? À lui que j'ai raconté ma vie en long et en large alors qu'il n'était absolument pas intéressé ? Je comprenais un peu mieux son manque de tact parfois, son manque de cœur et sa froideur. Lorsqu'on perd un être chère, on ne peut que devenir plus distant. À cette pensée, je regardai le bras de Louhan où le nom de son meilleur ami était. Je me demandai à quel point leur amitié avait été forte. Je n'étais même pas jalouse, jalouse de savoir qu'il y avait déjà une personne qui régnait sur lui. Il m'aimait, c'était déjà ça.

Je me blottis dans ses bras, embrassant sa mâchoire. Il me retira mon débardeur, venant coller son corps au mien. Je lui souris, avant de l'embrasser, de caresser son visage et de glisser l'une de mes mains en direction du Sud. J'aurai bien aimé tourner sur moi-même pour qu'il soit en dessous, mais je n'ai pas assez de force pour le faire. « Je crois que j'avais légèrement compris..mais je ne sais pas si c'est une bonne chose... » Mes mains descendirent de plus en plus et je passai la limite de son boxer, alors que mon autre main jouait avec ses cheveux et que nos lèvres se cherchèrent, sans jamais se trouver. Nos regards amusés se croisèrent avec la même envie. Mon visage s'élargit et je mis enfin fin à ce supplice, me laissant aller contre les lèvres du Canteberry. À l'aide de mes deux mains, je glissai le boxer de Louhan, caressant doucement ses fesses. C'est pas ma faute si je les trouve parfaites ! Mes mains remontèrent le long de son dos, caressant ses épaules. « Sachez que j'adore vos fesses, Monsieur Canteberry. » souriais-je de toutes mes dents. Mes lèvres se posèrent sur celle de Louhan, puis sur son menton, sa mâchoire, sa nuque, ses épaules, ses tatouages. Je soupirai d'agacement. « J'aimerai bien aller plus bas, mais je ne peux pas car tu as plus de force que moi alors je viens te demander si tu pouvais bouger ton joli petit postérieur et t'allonger sur le lit, que je me mette sur toi ? » soufflais-je alors que je m'amusais à lui mordiller l'oreille.

« Sachez que j'adore vos fesses, Monsieur Canteberry. » Louhan l'avait laissé lui descendre son boxer. Il l'avait ensuite oter à l'aide de ses jambes, à le croire expèrt. Maintenant ce bout de tissu devait trainer au fond du lit mais cela ne semblait pas être le soucis premier du couple. Il sentit ses mains descendre vers le bas de son corps; tandit que leurs lèvres se retrouvaient enfin. Louhan appréciant ce contact, ce sompteux sentiments que lui apportait Hopeless. Il sentit ses mains sur ses fesses et rit de sa remarque. « la dernière fois que l'on m'a dit ça c'était pour me proposer un plan à trois mec, alors je préfère l'oublié ce morceau de corps si attirant » dit-il en riant plus qu'autre chose. Il caressa le ventre de la jeune fille, ses doigt descendant le long de son ventre descendant toujours plu bas. Il était bien avec elle. Il se sentait tellement bien là. Il la regarda et déposa des baisers sur les os de sa clavicule qui resortaient légèrement. Il déposa de doux baisers tandis que leur s corps nu étaient si collé, sans pour autant être unis comme beaucoup de fois il l'avait été. « J'aimerai bien aller plus bas, mais je ne peux pas car tu as plus de force que moi alors je viens te demander si tu pouvais bouger ton joli petit postérieur et t'allonger sur le lit, que je me mette sur toi ? » Louhan éclata de rire. S'emparant avec fougue de ses lèvres il resta au dessus d'elle. Il caressait son corps entièrement à sa diposition vu sa position. Il rempositionna ses maisn dans le dos de la jeune filel et se colla légèreent à elle avant de finalement tourner pour l'avoir au dessus d'elle. Il déposa un baiser sur son nez en souriant. « Comme ça c'est mieux ? » demanda-t-l ses doigts traçant des sillons dans le dos de la jeune femme. « J'y crois pas je suis totalement soumis... et à une fille...à ma propre copine » soupira -t-il en riant. Pronoçant la fin de la phrase en la regardant légèrement. Souriant et déposant un baiser sur ses lèvres il attendit de voir comment elle réagirait face à ce nouveau pas franchit. ma copine. C'était si étrange à dire. Il se disait que plus rien ne serrait comme avant.

« La dernière fois que l'on m'a dit ça c'était pour me proposer un plan à trois mec, alors je préfère l'oublié ce morceau de corps si attirant » je le regardai, grimaçant. La seule réponse que je trouvai à lui dire fut un simple « Ah.. » avant de l'embrasser, comme pour oublier ce qu'il venait de me dire. J'avais du mal à imaginer Louhan avec d'autres garçons, en faites. Je me demandais même s'il l'avait fait, avec un garçon. Je secouai doucement la tête. J'aimais son rire enivrant. Quitte à être saoule, j'étais saoule de lui et entièrement de lui. Pour un bout de temps. Ses doigts parcouraient mon corps, descendant plus bas que mon ventre, me laissant juste le temps de me ressaisir et de lui faire la même chose. Ses lèvres sur ma peau me rendait folle, c'est pourquoi je voulais être au-dessus. Le rendre fou à mon tour. Il éclata de rire à ma demande et je le regardai, les yeux brillants avant qu'il ne vienne capturer mes lèvres soudainement. Mon corps frissonnait sous son toucher et je me jurai de ne pas craquer maintenant. Un seul petit bout de tissus nous séparer encore et je comptais bien le garder encore un peu. Posant ses mains contre mon dos, il nous fit tourner et embrassa mon nez. « Comme ça c'est mieux ? » je lui souris, sentant ses mains dans mon dos. « Beaucoup mieux, merci. » Je l'embrassai avant de le laisser parler. « J'y crois pas je suis totalement soumis... et à une fille...à ma propre copine » Moi qui tenait dessus lui à la force – faible – de mes bras, je tombai net sur son corps lorsqu'il prononça la fin de sa phrase. Je souriais bêtement, parce que ça me rendait heureuse de savoir que j'appartenais à un garçon maintenant. Que je lui appartenais. « Il n'y a pas de honte à être soumis, parfois, surtout par sa propre copine. » J'avais répondu avec ses thermes. « Mon copain. » m'amusais-je à murmurer, je ne savais pas s'il avait entendu. Je vins m'accrocher à ses lèvres, caressant son ventre. Toutes les parties de son corps me rendait folle. Était-ce possible d'être à ce point accroc ? Il faut croire. Mes lèvres suivirent mes caresses et je finis par embrasser ses hanches, tendrement. De sa vue, on devait plutôt voir une boule sous les draps, en y réfléchissant bien.

« Beaucoup mieux, merci. » Louhan lui sourit avant de recommencer à l'embrasser. Ho oui on tomberait bien vite dans l'aspect fleur bleu du couple. A peine une nuit et déjà Louhan faiblissait. Qu'allait-il donc devenir? Mais surtout tiendrait-il longtemps loin de la douce habitude de la nuit? Il n'y pensait pas , bien trop heureux pour voir au loin les fantôme de son passé, roder près d'eux. Non il était bien trop heureux pour le moment avec ce petit bout de femme. Bout de femme qui lui tomba alors dessus. Louhan surprit eut le souffle coupé avec de partir dans un fou rire. Il n'y avait que Hopeless pour réagir ainsi. Il passa sa main dans les long cheveux de la jeune femme, lui remettant en arrière. Pouvant ainsi mieux voir son visage qui était si joliment comblé. Il rit de son regard, amusé et content de son effet. Bon ok un peu batard comme idée, mais quoi? Autant s'amuser. Et cela l'amusait tellement, à ses oreilles ma copine était si étrangé que le dire était... vraiment inhabituel. Même avec Ma¨wenn il ne l'avait jamais prononcé. Sans doute car Maïwenn n'était pas sa copine, Maï' était la fille la plus génial au lit, la fille qui hantait ses nuits. Mais Maïwenn avait toujours été trop dans le cliché type des gogodanseuses. Et elle n'avait pas eut l'impact, l'effet que Hopeless produisait sur Louhan. « Il n'y a pas de honte à être soumis, parfois, surtout par sa propre copine. » Louhan la regarda avec un sourire sournois. « Ha ouai? Tu crois cela? ... » Provocation, provocation toujours la même d'ailleurs. Louhan ne poyvait pas changer s'était impossible. Il entendit Hopeless murmurer autre chose. Il sourit doucement. Et retrouva ses lèvres l'embrassant amoureusement, doucement. La jeune fille quitta ses lèvres pour descendre le long de son torse, descendant ses baisers. Et plus elle descendait plus Louhan se mordait la lèvre. fou d'elle. Elle disparut bientôt sous le drap se qui fit beaucoup rire Louhan. Ne voyant plus le petit bout de femme qui était toujours bel et bien présent. Surtout vu l'effet qu'elle lui faisait... Elle était bien trop bas pour qu'il fasse quoi que ce soit, il sourit se sentant vraiment "soumis" à sa copine...

Est-ce que mon superman resterait-il avec moi assez longtemps pour que tous les sentiments qui me tuent, petit à petit, disparaissent enfin ? Est-ce que grâce à lui, enfin, j'allais vivre une existence dès plus normal et pas ronger par l'amour que je porte à mon frère ? Parce que oui, je l'aime, toujours et cet amour ne peut se comparer à celui que j'éprouve pour Louhan. Tous deux, ils sont différents pourtant, tous deux font de moi quelqu'un de vivant. Quelqu'un d'heureux. L'un plus intensément que l'autre. J'étais petite, quand je me suis rendue compte que c'était dans les bras de Nathaniel que je voulais vivre pour l'éternité. Mes parents trouvaient ça normal: j'étais jeune, insouciante et mon frère m'avait toujours protégé du monde extérieur. Comme un super héros. Plus un super zéro. Je me souviens du mal que ça m'a fait, de l'entendre gémir dans les bras d'une fille, je me souviens que j'ai vomis mon cœur, en le voyant en embrasser de nombreuses. Toutes. Sauf moi. Je me souviens de la crise qu'il a fait quand ce fut ma première fois, de l'état de sa chambre après, il avait tout ravager par colère. J'avais les larmes aux yeux en y repensant, et cacha ma tête dans la nuque de Louhan, l'embrassant doucement. « Ha ouai? Tu crois cela? ... » Il ne changerait dont jamais. Je soupirai, le regardant droit dans les yeux. « Oui, je le crois. Vraiment. » lui dis-je avant qu'il ne m'embrasse. Ça me paraissait tellement irréel qu'il soit désormais mon petit ami que je m'amusai à le prononcer à haute voix. Son sourire se dessina, lentement. Le sourire d'un ange. Mon ange. Je descendais mes baisers plus bas, toujours plus bas. Ses hanches, son ventre, son nombril. Je me redressai, faisant glisser le drap sur ma peau. Il était nu, je le voyais bel et bien et désormais, je n'étais plus cachée sous le drap blanc. Je frissonnai, légèrement, avant de caresser doucement son sexe, faisant des gestes de va et vient. Si vous voulez tout savoir, si on comparait l'entre jambe de Louhan et Nathaniel, c'est Nate qui le remportait. Par contre, je ne pourrais pas juger du plaisir que les deux m'ont apporté, étant trop différent et tout aussi bon. Je secouai la tête. Mais qu'est-ce qui me prenait de comparer Louhan à Nathaniel ? Me manquait-il ? Sûrement, assez pour qu'il comble mes pensées. J'étais assise devant Louhan, comme lorsqu'on prit, les genoux sur le matelas. J'accélérai mes gestes alors que je le voyais défaillir, je souris, bêtement.

Si à ce moment là Louhan avait sut que Hopeless pensait à son frère, cela en aurait été finit. Si il avait sut qu'elle y pensait, qu'elle repensait à des souvenirs, Louhan serrait sans doute retourner dans cette pièce froide et sans coeur qu'était son ancien lui. Il n'aurait pas supporté de savoir que la fille qu'il aimait, la fille à qui il avait avouer ses sentiments, pensait à son frère lorsqu'elle couchait avec lui. Cela en aurait été trop. Déjà que la veille il n'avait pu s'imaginer Hopeless juste dans les bras d'un autre homme. alors là... D'ailleurs il n'avait pas penser encore à Hopeless et son frère en temps que frère et soeur. Non il n'avait pas encore eut heureusement le temps de s'attarder sur les vision de Hopeless couchant avec un autre mec, non plutôt Hopeless couchant avec son frère. Sa Hopeless. « Oui, je le crois. Vraiment. » Louhan sourit amusé. N'ajoutant rien. Hopeless étant toujours dissimulée à son regard pas ce drap.
Mais bien vite elle se releva légèrement le drap coulant le long de son dos, elle étant à moitié nue devant lui, et lui nu n'étant pas le moins du monde géné par cela. Louhan ne souffrait surement pas u moindre complexe au niveau de sa nudité. Il la sentit accélérer ses gestes et laissa échapper un soupire de plaisir, tandis qu'il rejoignit juste la main de la brune caressant son bras. Il la regarda avec un sourire. Puis sans vraiment le vouloir ce fut à ce moment là que la vérité s'installa. Elle et son frère. Elle et un membre de sa même famille. Louhan avait couché il y a longtemps avec Tristan et ils n'avaient pourtant aucun lien de sang et s'était déjà assez étrange. Et puis à ce moment Tristan ne fréquentait personne d'autre, lui. Il s'imagina Hopeless faisant les mêmes gestes mais pour ce mec, pas pour lui. Il serra les dents détournant les yeux. Dégouté par cette vision? Il n'en sut rien, il serra les dents et bannit cette image. Il ramena Hopeless à lui, l'interrompant. Nan il ne voulait plus voir cette image. Il la voulait elle, car c'ets lui qu'il l'avait. Pas ce mec. Il embrassa son cou, refusant de voir son visagependant quelques secondes. Il passa sa main sous la culoette de la jeune fille et lui ota d'un geste rapide. Se penchant par dessus elle il ouvrit son tiroir. Sortant un préservatif il déposa un baiser sur les lèvres de Hopeless. Oui l'ambiance avait changé. Et Louhan luttait pour garder loin de ses yeux l'image d'Hopeless et son frère. Il appliqua lui même le préservatif. Concluant assez rapidement le préliminaires à vrai dire. Non il voulait en finir. Et pour la première fois il se dégoutait lui-même rien que de coucher pour coucher. Mais il voulait qu'au moins cela lui enlève cette sensation. qu'il soit rassuré et qu'il retrouve ce sentiment de posséder le coeur de la jeune fille en même temps que d'être en elle.

Je t'aime. J'aurai dû lui dire, au lieu de penser à mon frère. J'aurai dû dire à Louhan que je l'aimais lui, plus que n'importe qui et plus qu'il ne me sera permis d'aimer. Mais je lutai contre ses visions incessantes de mon frère et moi, nus, sur l'herbe, en train de consumer notre amour réciproque. Qu'est-ce que je faisais ? Il fallait que j'arrête, maintenant, que je stoppe ce jeu puéril. J'allais perdre Louhan or cela m'étais inconcevable. Hopeless sans Louhan, c'était Hopeless dans son désespoir. Ce n'était pas imaginable. Jamais. Hopeless serait toujours la fille qui sourit au monde entier. Je serai toujours la fille qui sourit au monde entier.

Il me ramena à lui, brusquement, embrassant ma nuque. Je fermai les yeux. « Tu es avec Louhan. Tu es avec Louhan. Tu es avec Louhan. » me répétais-je inlassablement. Oui, j'étais avec lui et mes pensées ne devaient être que pour lui. J'ouvris les yeux, caressa son visage, avant d'embrasser ses lèvres. Il était sur moi et près à me pénétrer. Je glissai mon visage dans sa nuque, soupirant contre sa peau. Il était en moi, désormais et ses vas et vient étaient presque brutaux. Comme s'il voulait en finir et vite. C'est ce que je voulais aussi, même si je ne voulais pas l'admettre. J'embrassai ses lèvres, caressai sa joue, ses épaules, son dos. Notre orgasme arriva en même temps, il resta en moi alors que je l'embrassai, toujours. Notre rapport avait été court et bon. Nous avions tous les deux envie d'abréger ce moment, pourtant si précieux avant. J'étais de nouveau sur terre, avec lui. Louhan me ferait toujours le même effet. C'était sûr. Maintenant que nous étions allongés l'un à côté de l'autre, un silence stressant régné. J'embrassai délicatement son épaule et lui sourit. « Tu penses à quoi, Louhan ? » dis-je timidement, le regardant de mes yeux brillant, de mon regard amoureux et conquis par l'amoureux junkie.

Louhan toujours aussi complexe. Il aurait dû être heureux d'être avec elle. Avec Hopeless. Rien qu'avec la fille qu'il aimait. Sa copine. Sa petite -amie. C'était dur à dire, pas facile à imaginer. Mais il s'y était fait. Par contre les images du corps de cette fille, avec celui d'un autre. non ça il ne s'y faisait pas. Il ne pouvait cesser d'y penser. Il aurait du se convaincre qu'elle l'aimait lui. Elle l'avait choisit. Elle lui avait dit la veille. Elle ne voulait que lui. Elle était censé le dire à son frère. Mais d'un coup il doutait. Etait-ce la vérité? Où n'était-ce qu'un mensonge? Qu'un jeu. Il n'en savait rien. Et il n'aimait pas cet état. Être réduit à devoir faire aveuglement confiance à quelqu'un d'autre que lui; aimer quelqu'un autre que lui-même, avoir peur que cette personne s'en aille.

Oui pour une fois, pour la première fois Louhan coucha avec une fille en voulant que sa se termine au plus vite. C'était ignoble, il aurait du tous stoper mais nan. tous plutôt que d'avouer qu'au fond il doutait, il souffrait. Il avait la machoir crispée, il avait du mal à imaginer que c'était Hope' que c'était la fille qu'il aimait. Ils couchèrent ensemble. Non ils baisèrent rapidement, le therme est choquant mais rien d'autre ne pouvait qualifier leur ébats sans substence, sans sentiments. Ca se stopa. Louhan chavira sur le coté, abandonnant le corps de la brunette Ce corps qu'il adorait, ce corps qui le faisait tant rêver, ce corps si désirable. Il ferma les yeux sur le dos il balança la capote à la poubelle, enfil son boxer et se coucha sur le dos. Leur orgasme? Aussi choquant que réel il n'en gardait qu'un vague souvenir. Il voulait effacer ce souvenir de sa tête, car pour lui faire l'amour avec Hope s'était pas si naturel. C'était toujorus génial alors que là pour la première fois il n'avait pas aimé. Il n'en dirait rien, car c'était pas elle. C'était pas Hop', c'était l'autre. C'étai ce frère qui lui barrait la route. Il aval sa salive, sentant les lèvres de sa petite amie sur son épaule. Il avait les paupières close. « Tu penses à quoi, Louhan ? » A quoi pensait-il? Comment pouvait-il lui dire sans lui faire du mal? Il sentait son regard et il ne voulait pas que celui-ci s'assombrisse par la culpabilité. Il ne voulait pas qu'elle s'en veuille de le faire souffrir. « A rien. » Il réalisa que sa voix avait été dur, presque cassante. Il s'en voulut et chercha , les yeux toujorus fermé la main de la jeune fille. Lorsqu'il la trouva près de son épaule il l'emprisonna dans la sienne, étant réduit à ne rien pouvoir faire d'autre. Ne pas faire face, ne rien faire...

C'est quand même compliqué, l'amour. Je veux dire, il faut être avec quelqu'un qui rentre dans la norme, quelqu'un qui n'est pas son frère, par exemple, mais qui n'est pas non plus un drogué. Quelqu'un qui doit plaire à votre famille autant qu'il vous plait. Quelqu'un qui est respectable est qui sait se faire respecter. Quelqu'un de chaleureux, doux, qui vous prouve son amour chaque jour que dieu fait. Quelqu'un de pas trop prise de tête, avec qui vous vous sentez bien en toute circonstance - même quand vous faites l'amour et que paf, vous vous mettez à penser à votre frère. Quelqu'un qui vous aime, bien évidemment et que vous aimez. Pourtant, je suis amoureuse de Louhan, mais je suis absolument certaines qu'il ne plaira pas à la moitié de mes amis, de même avec mes parents. Je m'en fiche, à vrai dire. Oui, parce que c'est lui que je veux, c'est avec lui que je me sens bien, c'est Louhan que j'aime, un point c'est tout.

« A rien. » la voix de Louhan est dure. Cette voix qui habituellement me fait planer, que je me repasse en boucle des centaines de fois lorsqu'il n'est pas là me fait peur, à l'instant même. Peur de quoi ? Je ne sais pas. Peur du malaise qu'il y a entre nous, je suppose. J'ai peur qu'il lise dans mes pensées, en faites. Peur qu'il sache que je pensais à mon frère lorsqu'on couchait ensemble. Je ne peux même pas dire « faire l'amour » parce que sur le coup, c'était pas vraiment de l'amour. C'était seulement physique. Tout ça à cause de moi. Je sers la main de Louhan lorsqu'il touche la mienne et pose ma tête contre lui. Je ne dis rien, il n'y a rien à dire. Même si ce silence est pesant, il n'y a rien à ajouter. J'ai presque envie de rentrer chez moi et de me cacher sous une couette, tellement j'ai honte de moi. J'ai l'impression de l'avoir trompé par la pensée ! C'est bête à dire, mais c'est vrai. Je me redresse et m'allonge sur lui, embrassant délicatement ses lèvres, caressant sa mâchoire carrée. « Je t'aime.. » que je souffle contre ses lèvres, avant de l'embrasser tendrement, encore une fois.

Le silence entre eux, dans cette pièce. Louhan essayant de refouler le moindre doute. Non il ne va pas tous gâcher alors que ça vient à peine de commencer. Il a pas le droit. Il peut pas ; plus maintenant. Si avant il se dérobait par jeu, et par non envie de l'autre; là c'est différent. Là c'est Hopeless dont il est question. Alors il reste et se tais. Car il vaut mieux néanmoins se taire que de dire des bêtises, ce dont il est roi. Il la sent se caler contre lui; il la laisse faire. Distant mais la laisse faire. Puis elle bouge doucement, se relève. Un crainte sourde monte en lui; cette crainte de la voir partir. Et il se rend compte à cet instant que l'autre imbécile de frère peut bien exister; il ne peut pas renoncer à Hope. C'est impossible. Elle s'allonge sur lui, et il sent alors sa gorge se détendre; il ferme les yeux. Et referme les bras sur elle. Heureux qu'elle reste là, heureux qu'elle ne soit pas le genre de fille au moindre problème; heureux qu'elle soit elle. Il respire son parfum enivrant et songe avec amusement et néanmoins une certaine amertume ; qu'il est foutu. Qu'il est bel et bien fichu et qu'il est tombé sans se rendre compte dans le pièce ignoble de l'amour. « Je t'aime.. » Ces trois petits mots si difficile à dire. Il a l'impression que lorsqu'il lui a dit pour la première fois, ça remonte à des semaines. Non c'était il y a trois jours, avant qu'il apprenne pour son frère, avant qu'il apprendre à s'ouvrir, avant qu'il apprenne à l'avouer. Il caresse ses cheveux avec douceur. Un bon moment, restant là, ses bras fermé avec douceur et amour autour de son corps tiède. « Moi aussi... » Ce ne sera pas par tout de suite qu'il recommencera à s'ouvrir à ce point avec ces trois mots; mais déjà c'est un bon début non ?

Ils restent ainsi de longues minutes, peut-être une heure ou deux. Louhan perd toute notion de temps avec cette jeune fille dans les bras. Il caresse ses cheveux et découvre que l'on peut rester avec une femme dans un lit sans qu'il n'y ai que du sexe. Et il se dit qu'elle lui fait tout redécouvrir. Puis il tourne la tête regardant l'heure; il constate que la journée est bien avancé. Rein fichu; bon c'est un peu son emploi du temps quotidien c'est vrai. L'après-midi est bien entamé et le soleil donne par sa fenêtre. « Mademoiselle*, vous ne devriez pas être en cours à cette heure là? » Où a-t-il apprit la français? Ho ça va ce ne sont que de simple bases même un clochard le saurait de plus il a été au lycée, il a son diplôme faut pas l'oublier. Il remet les cheveux d'Hopeless en arrière; souriant. L'amour ça rend c** mais au moins on est joliment c**. Non pas qu'il veuille se débarasser d'elle loin de là mais tous de même il ne veut pas la retenir prisonnière et qu'elle oubli sa vie. Ca doit continuer, la vie continue oui. Mais maintenant il va falloir que le jeune homme apprenne peut-être à vivre déçament et avec un rythme, un respect et une hygiène de vie meilleure qu'avant. Il va aussi falloir qu'il arrête la drogue, et les prostitué aussi. Bon la drogue c'est pas gagné mais les prostitués facile il les prend pas; par contre les filles... Non aucune de vaut Hopeless maintenant!

*NDRL; en français dans le texe ^^