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le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout

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le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout Vide


MessageSujet: le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout EmptyDim 27 Juin - 16:38

le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout Img-022827inv5p
difficile de se relever quand les sentiments font mal
.
'amour ça ne sert à rien! je ne peux pas croire qu'un jour, j'ai fait la bêtise de tomber amoureuse d'un homme. je suis faible, je suis naïve au point de croire qu'un homme comme lui est pu avoir un jour des sentiments à mon égard. quatre longs mois se sont écoulés depuis que j'ai quitté son lit, son corps et sa vie.je devais passer à autre chose, jouer la jolie petite rousse qui n'a pas le coeur en mille morceau. non, cela je ne l'ai même pas montré, je me contente d'être qu'une façade pure et solide. malheureusement, je n'arrive pas à me relever, je m'écroule à chaque fois que j'essaie d'être heureuse... à quoi servent les sentiments, si c'est pour qu'au final nous ne soyons que malheureux. mon coeur saignent, comme les coups qu'il me fait. je restais avec lui, car entre ses bras, je ne pensais plus une seule seconde à lui. il m'avait fait du mal, il ne sent était même pas rendu compte. je ne le voyais même plus au Rudy. je vais vous dire tant mieux. je ne voulais pas remuer le couteau dans la plaie encore un bon nombre de fois. « Wenn, je t’aime moi. je ne te ferais jamais du mal » les mots qui sonnaient complètement faux entre ses lèvres, il ne m'aimait pas.il était comme tous les autres, une fois que le facteur sexe serait épuisé, il partirait comme tous les autres...blaise était une vieille connaissance de l'époque lycée. Il était d'un an mon aîné et était pourtant dans ma classe, je n'étais pas du tout la même à l'époque. naïve, fragile, trop timide... une fille que je n’avais jamais aimée être. bref, j’étais la seule fille avec laquelle il n’était pas sorti, je n’ai jamais accepté ses avances. le rejetant souvent, car il n’était pas du tout mon type d’homme. qui aurait cru que quatre ans après, il serait tout à fait le bon type, j'étais compliqué et je l'affirmais complètement... mon seul amour, mon seul ami, mon seul amant, celui à qui je n'avais pas besoin de me confier était le Rudy. ce club j'y étais attachée depuis que j'y avais mis les pieds, pour quitter ma vie de famille désastreuse.

ȷe n'étais qu'une âme en peine, errant dans les rues de la capitale australienne sans aucun buts. je ne savais où allais, personne à voir. la plus part de mes amis avaient quitté ma vie aussi rapidement qu'on jette un mouchoir usagé. je n'étais plus intéressante, je n'étais plus la maïwenn qui riait pour un rien, j'étais devenue vide. un corps en lamentation sans un esprit pour le faire agir correctement. j'étais malheureuse. le chaos était entré rapidement dans ma vie, le malheur avait repeint les murs de mon coeur, la tristesse était la douce mélodie qui enivrait mon malheureux coeur. J'avançais sans aucun but, il fessait nuit, il fessait froid, des larmes coulaient sur mes joues, celle-ci refroidies par le vent glacial en cette nuit de fin juin. Je ne voulais pas rentrer chez moi, je ne voulais pas me mettre sur mon sofa et penchais ma tête sur un ou voir plusieurs rails de coke qui m'attendaient bien cachés dans un sachet en plastique dans la boite à bonbon... non, je ne voulais pas me mettre k.o cette nuit, je voulais changer pour une fois... j'en avais plus que marre de coucher sans sentiments - même si c'était agréable - je ne voulais plus boire, je ne voulais plus me drogé. Qui aurais-je étais si je ne fessais pas tout cela ? un jour est-ce que je serais normal. Plus j'avançais, plus je voyais les couleurs d'un néon chaleureux. Je distinguais malgré les larmes r, un u, un d et un y. un soupire et je me retrouvasi enfin chez moi. le RUDY. un soupire et je me retrouvais enfin chez moi. nous étions un lundi soir et le club était fermé, c'était une règle instaurée par le patron. Je ne sais pas pourquoi, mais je devais passer la nuit ici, à me défoulée... je passai par la porte de derrière, nous avions toute la clef de la porte principale, même si je vivais juste l'appartement du dessus, je n'y avais plus mit les pieds depuis quatre mois. Son odeur y était encore, je logeais chez blaise... quelques minutes après, j’étais revêtue ma tenue entrainement ; un simple leggings noir et par-dessus un vieux tee-shirt où on ne voyait plus le slogan tellement il était vieux… la musique emplissait la pièce, je ne voyais plus ce qu’il y avait autour, je m’immergeais petit à petit dans mon mode, dans mon atmosphère de soulagement… j’étais moi… la simple petite maïwenn. Je ne me rappelais plus avoir laissé la porte à moitié ouverte, ni entendu les pas de quelqu’un allé jusqu'à un des tabourets près du comptoir
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MessageSujet: Re: le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout EmptyMar 20 Juil - 13:47

le chaos d'une vie, c'est le début d'un tout Zn36vm
il suffit d'une seconde, une seule seconde pour baisser les bras
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« Hope'; on sort ce soir ? Allez c'est les vacances, on pourrait sortir ensemble ce soir, ça fait un bail » Louhan était en caleçon et en débardeur blanc, assis sur sa fenêtre, une clope au bec. Il regarda la brunette se vernir les ongles des pieds. Depuis dix minutes il se fichait de sa tête. Riant d'elle, assise au centre du salon,concentrée. Il riait gentillement. Elle bougonnait, lui disait d'arreter mais avec cette voix amusée. Un parfait petit couple à en vomir. Louhan en aurait gerbé si il s'était vu. Depuis des semaines. Pas une seule engueulade. Juste deux corps, envouté, des effluves de Dolce&Gabbana mélangé à la vanille, des bras et des jambes emmélés, des sourires sur l'oreillé, des rires., des douche à deux. Des baisers enflammé, des réveil brutaux et pour finir dans les bras l'un de l'autre.Des regards, des taquineries, des soirées à rien faire. Des sortit au cinéma, main dans la main, des dîners au restaurant. Et toujours ce même besoin de l’autre. Des semaines que cela durait. Pourtant Louhan n’avait pas tenu longtemps sans sortir. Il avait vite ressentit le besoin de sortir avec ses potes, au bar de rentrer plus tard. Mais cette envie, qui grandissait peu à peu avait réussit à être contrôlée. Pourtant ce soir il en avait besoin. Il savait que la plage avait été dévastée suite à une tempête. Que l’été se déroulait donc à Los Angels, que les étudient se démenaient dans le centre. Et Louhan qui avait besoin de sortir. Il ne survivait que de quelques rails et surtout de joints depuis des semaines. Refusant d’appeler son dealer, essayant de se contrôler avec Hopeless. « Je dois aller voir une amie ce soir. On devait y aller ensemble, mais si tu veux vas-y. On va se faire une soirée entre fille. » « Mouai, j’aurais aimé être avec toi. Demain on sort ensemble alors. » Termina Louhan avant de se lever. Il alla enfiler un jeans défoncé, une chemise à carreau rouge, bordeaux et blanche. Il laissa son débardeur blanc en dessous et enfila des boots marron en cuir abimé. Il prit son portable, son portefeuille et son paquet de clope. Il s’enfila une bouteille de bière avant de sortir de la salle de bain. Une odeur Dolce&Gabbana se répandant dans l’appartement. Hopeless releva la tête en souriant. Louhan vint vers elle et se pencha pour l’embrasser. Elle s’agrippa quelques secondes à lui avant de le relâcher. Des semaines que cela durait. Il lui rappela juste de simplement fermer la porte en sortant. Elle rit en disant qu’elle risquait de rentrer chez elle cette nuit. Il hocha la tête et sortit de chez lui. Une étrange impression au fond du ventre.

Louhan marchait dans la rue ; un joint aux lèvres. Les yeux scrutant les rues qu’il connaissait si bien. Il était tard. Il sortait d’un bar, ayant retrouvé ses potes. Ayant dû expliquer pourquoi on le voyait plus, pourquoi le croyait-on mort etc. Boire, plus que de raison. Pourtant il essayait tant bien que mal de se contenir. Mais les démons de son passé, de l’habitude perdu revenaient peu à peu plus fort que jamais. Louhan inspira puis expira l’air, de la fumé sortant de sa bouche. Un bâtiment plus loin, au delà de la route. Des lettres en rouge enivrant. R. U. D. Y. Ce bâtiment qu’il connaissait si bien. Qu’il avait tant fréquenté sans être des autres, rien que pour une femme. Sans qu’il sen aperçoive il se mit à traverser la route. Il voulait juste voir de plus près. C’était fermé, c’était le lundi. Le lundi c’était toujours fermé. Il l’observa face à lui. L’envie criant, hurlant, se déchainant pour qu’il cède. Il posa sa main sur la poignée. La porte était entre ouverte ; il fronça les sourcils. Non il voulait juste aller vérifier. Il se donnait cette excuse. Il s’engouffra dans l’obscurité. AU loin une musique. Qui pouvait bien être ici. Même si son prénom se chuchotait au fond de lui, il le faisait taire grâce à sa raison. Il avança, une blonde apparut enfin sur scène. Un visage si familier, un corps non étranger. Elle. Il l’avait croisé il y a quelques jours plus tôt dans la rue. Choqué par cette couleur de cheveux, choqué par ce changement. Déboussolé par son retour. Que faisait-elle ici. Il chercha un tabouret. Silencieux. Elle savait toujours aussi bien danser. Elle était toujours pareil ; même si tout son corps criait le contraire, hurlait le changement. Il n’avança pas, restant sur place. Que lui avait-il prit de rentrer ? De sortir ? De retrouver tous cela.
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