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ROLIRYN -

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ROLIRYN - Vide


MessageSujet: ROLIRYN - ROLIRYN - EmptySam 27 Mar - 12:57

ROLIRYN - 8zg1uv
© young folk.
_____
ROLIRYN HYDE WHITAKER - âge 22 ans
feat MISCHA BARTON

love always remains ♣

â g e ♣️ 22 ans
g r o u p e ♣️ the script
m é t i e r / é t u d e s ♣️ étude de commerce-management
s i t u a t i o n a m o u r e u s e ♣️ instable.


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I'd like to make myself believe
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CRYING " PLEASE, BABY DON'T DO THIT"
TES COUPS SE FONT DANS MA DOULEUR

nous ignorons tout de ce sentiment qui nous prend et qui nous brise
REGARDE LA FEMME MEURTRIE QUE TU M'AS RENDUE. LE PARADOXE EST QUE JE T'AIME COMME JE TE HAIS



Il n’y a que nous dans cette boîte. Nos corps enlacés suivant le rythme sourd d’une musique inconnue. Nos chevelures détachées et nos bras se mouvant sur le son des percutions. Le sol tremble et en chœur nous continuons de sauter comme si nous voulions sombrer tous ensemble dans les entrailles de l’enfer. Les couleurs défilent entre nos chairs comme si nous ne pouvions plus jamais voir. Véridique que tout cela nous aveugle et nous rend un peu plus sourds. « FUCK ME, I’M FAMOUS », nous reconnaissons tous ensemble la chanson de Marilyn Manson. Telle une bande d’abrutis nous criions pour ovationner le choix du DJ. Au bar, les gens lampent comme des trous. Nous pouvons voir ces hommes amadouer des filles futiles. Toujours le même coruscant discours : ils promettent tout et ne leur donneront que la peine d’une relation qui se mourra au crépuscule. Ces femmes sont toutes semblables, elles se sont toutes trouvées hideuses en se réveillant, elles attendent tous un coup de fils qu’on ne leur passera jamais. Dans ces verres sonnent leurs délivrances. La perversité est dans leurs yeux à tous. Aveuglément nous suivons le chemin de la déchéance. . Plus rien n’est trop fort pour nous, rien n’est trop amer ou trop dur. l’alcool et le sexe. Aujourd’hui l’être humain incarne la corruption, la moquerie et le leurre universel. Il se prétend bon et intelligent, mais sa perception est brouillée d'aberrations comme l’argent, la réussite sociale. Nous sommes l’exemple parfait du vice et de la tentation humaine. Nous nous laissons guider facétieusement vers tous les péchés. Ne cachant point notre affection pour les plaisirs coupables de la vie, nous les accumulons tous. Certaines personnes nous traitent d’hypocrite, mais comme le disait Molière : L’hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus. De plus que l’hypocrisie est un art sans pareil. L’imposture a toujours été respectée et bien qu’on la découvre, on n’ose rien dire contre elle.

Les personnes purent n’existent pas. Nous sommes tous des pêcheurs, et même si Dieu sauvera les plus preux d’entre nous, nous sommes tous damnés. La damnation, le jugement dernier, le repos éternel. Encore faut-il que Dieu et son compère le Malin existent. Cela fait longtemps que l’on ne parle plus d’eux. Peut-être car ils ne sont que de vulgaire invention de l’homme ? Après tout, cet être responsable qu’est l’homme cherche toujours un coupable et quoi de plus simple de faire porter le chapeau à être qui n’existe pas et que l’on a inventé de toutes pièces. Dieu est notre prétexte, notre coupable, notre juge, notre responsable. Pendant les guerres de religion, nous nous sommes battus pour son honneur, il est responsable des malheurs du monde et il nous jugera tous. Nous sommes doublement maudits : damnés à vivre une vie dans l’ignorance et la crainte et damnés à l’enfer. Le plus simple vous dira t’on c’est de ne rien croire et de profiter de la tentation. Ainsi vous évitez de vous pourrir la vie avec des règles et des morales, et vous aurez peut-être la chance de ne pas Satan après votre mort. L’être courageux qu’est l’être humain a eu besoin d’inventer le paradis et la vie après le défunt, pour ne plus avoir peur de la mort. Pourtant la mort peut sembler si paisible et si calme. Comme un sommeil éternel. Les gens arrêtent enfin de parler, plus jamais vous ne souffrirez, plus jamais vous ne crierez, c’est un repos immortel.

Mon corps me fait mal, ma poitrine me brûle. Je me sens si mal, que l'enfer à côté de ça, ne serait d'un doux repos. Mes jambes ne peuvent plus de supporter mon poids et sur le bas-côté de la piste de danse, je reste assise telle une âme meurtrie. Mes bras autour de mes genoux, mon corps avachi sur le sol. Je prie que tout cela s’arrête comme si nous pouvions appuyer sur le bouton pause. Juste un instant, respirer. Sentir l’air dans nos poumons et se dire que nous sommes en vie. Cela peut paraître débile car nous négligions l’importance de la vie. Nous pensons que ce que vous avons est acquis, or nous pouvons appuyer sur la détente qui détruit le destin des gens en un instant. Arrêtons nous un moment voir à quel point la vie est si fébrile et inaccoutumée. Alors que nous respirons sans même en prendre garde, combien de personnes se meurent ? Combien de gens pleurent les êtres chers qu’ils ont perdus ? Combien de personnes dans des hôpitaux ne tiennent qu’à un fil de vie ? Ces gens donneront tout pour ne respirer qu’une dernière brise. Sentir cet instant de vie si vulnérable que les gens considère de manière banale.
Je serre mes lèvres pour me retenir de crier alors qu’un liquide me monte aux yeux et me déchire. Mon ventre se contracte, se tord et me donne envie de dégueuler. Je porte toujours cette douleur dans mon ventre comme si elle était encré en moi, et comme s’il faisait toujours parmi de moi. Parfois j’aimerais avoir cette machine qui me permettrait d’appuyer sur pause, et de revenir en arrière.

« ON REMBOBINE, ACTION »

2 eme mois – la vérité se fait avec lenteur et nous laisse vide.

Nous sommes opposés. Nous incarnons la contradiction et le paradoxe. Tu es le dévergondage et la facilité, et je suis la sagesse et la complexité. Et comme le mal attirant le bien, tu m'as tout suite séduite. L'idiotie est telle, que je savais que en t'aimant de cette manière absurde, j'allais me brûler les ailes. Mais l'amour est idiot, et ne pas t'aimer ne serait que me rendre plus idiote de mes désirs.
Sans trop savoir le pourquoi et du comment, nous sommes sortis ensemble. Deux être enlisés dans la nuit, vivant dans un même merdier et voyant le monde à travers les yeux de quelqu'un d'autre. Certains nomment ce sentiment de légèreté le bonheur. Mais je n'aime pas ce mot car le bonheur se veut toujours éphémère.

« Elyas, je me dois te parler de quelque chose » Je continue de le regarder dans ses yeux d’un noir corbeau envoûtant. Je me mords la lèvre inférieure et je murmure en baissant mon regard « j’ai un problème, ou plutôt nous avons un problème » Je relève mon regard, il continue de me fixer. Ses sourcils se froncent. Je perçois qu’il n’aime pas ce qui se prépare. Je prends ma respiration comme si cela pouvait améliorer la vérité « je … je suis enceinte » Il détache pour la première fois son regard et lâche ma main. Un liquide chaud me monte aux yeux, je sens la fin de nous venir. Nous sommes dans le cliché du type qui abandonne sa copine quand elle lui annonce royalement qu’elle attend un enfant. « tu le sais depuis quand ? » Je lève ma tête pour plonger mon regard dans le sien. Je m’attendais à ce qu’il me quitte et non qu’il s’intéresse à moi, à nous. « depuis 2 mois » je lui dis peut fière de lui avoir caché pendant tout ce temps. « et que comptes tu faire ? » la question qui vaut 1000 et qui ne concerne que la gente féminine. Dans ma tête c’est le trou noir, si seulement je savais. « quoi que tu choisisses, je suis avec toi » je continue de le regarder, mes sourcils se froncent et avec une pointe de persiflage je lui demande « c’est quand que tu me plaques ? » Il me regarde en souriant, je ne sais guère s’il a compris ma galéjade. Dans ses bras, tout me semble si allègre.

5 eme mois – l’erreur de nos actes.

Les mois passent, nous avons choisi mutuellement de garder l’enfant du moins jusqu’à la naissance. Il n’était plus question d’avortement, mais question d’élever ensemble ou de le faire adopter. Tout nous semble encore si flou, pourtant plus les jours passent plus le rêve de famille nous vient adroitement. Nous étions deux âmes sœur tachées à jamais. Il y avait une connexion inexplicable entre nous. Nous partagions les mêmes états d’esprit compliqués et la même vision du monde narcissisme. À la fois différents et complémentaires, nous aimions nous disputer pour savoir si « the who » était plus populaire que « the beach boy » ou si le rock us était meilleur que le rock anglais. Un seul de nos regard suffisait à notre compréhension mutuelle. Et je continue de croire que notre passion était vouée au paradis, mais il n’y a jamais de place pour deux au paradis.

« Elyas, arrête ! » les cris et les coups se suivent. Les injures et les violences s’enchaînent, toutes aussi vivaces les une que les autres. Il avait fallu que l’alcool se mêle à leur relation.
Tout allait bien entre eux, jusqu’au jour où sous l’effet de l’alcool tu m’as violentée et insultée. Depuis ce jour je t’évite. Toi tu sembles avoir tout oublier de cette soirée. Certainement as-tu trop bu pour pouvoir te remémorer de cette soirée. Pourtant crois- moi, Elyas ces coups que tu m’as donné et qui m’ont fait perdre notre enfant son gravé en moi. Et aujourd’hui, il ne reste plus que ce souvenir en moi qui luit comme un ostensoir.

PAUSE – retour au présent

Enlisée dans la nuit, cette musique à me rendre sourde résonne comme un écho sans fin dans ma tête. Les mains posées sur mon ventre, je me remémore nos semblants de bonheur. Je me souviens de ces projets d’avenir que nous avions, ces rêves, ces leurres et ces différends. Tout cela me tue. Tu me tues Elyas, d’une mort douloureuse qui ne semble plus en finir. Regarde comment tu m’as détruite. Aujourd’hui la solitude et l’amertume font parties de mon quotidien morose. Sous l’effet de tes coups, je t’ai perdu et j’ai perdu la chair de ma chair. Une partie de toi et de moi qui est morte dans mon être par ta faute. J’alimente ma haine en ton égard en pensant à cette enfant. La vérité, Elyas est que, malgré tes actes, je continue à t’aimer d’un amour futile. Il m’est seulement impossible de te regarder en face sans sentir ce liquide chaud me monter aux yeux. En fait, Je ne meurs que d’une envie : t’embrasser et de frapper comme tu as osé le faire. Le paradoxe est que je t’aime comme je te haïs.



IMPOSE-MOI TES AXIOMES,
LES FAVEURS DE MON ÊTRE,
TE SONT DESTINÉES.

Aussi l’indomptable soit-il, il se laisse assidûment amadouer par la circonspection.
REGARDE COMME TU M’AS RENDU ASSUJETTI DE TA MISÉRICORDE. ENSEVELI DANS TA FERVEUR

Aussi absurde soit-il j’ai toujours aimé mon frère d’un amour infligent. Digne d’un scénario d’inceste, j’ai toujours éprouvé pour son âme et sa beauté, une fascination sans précédent. En sa présence, tout n’était que narcose de désirs. Il détenait un éclat qu’il la rendait à mon cœur, plus exquise que la passion que la passion même de l'être humain. Il me comprenait malgré mes mutismes, et décelait du sens dans chacun de mes gestes aussi banals pouvaient-il sembler être. Il naissait comme dans ma tête, pleurant mes peines et jouant de mes joies. La vérité est qu’il connaît les moindres encoignures de ma tête, mes pensés les plus obscènes et mes désirs les plus pernicieux. J’éprouvais pour lui, un amour des plus respectueux, et comme si je voulais le protéger de la passion malsaine, j’ai toujours recelée mes sentiments à son égard. Je savais que je ne devais te voir que comme ma frère, mais nonobstant de mes résistances, je continuais à te voir comme une homme. Seulement, pendant 19 ans, j’ai ignoré une vérité qui change tout et qui rend la véracité de mes sentiments pour toi encore plus saumâtre. Aujourd’hui bien que je sache qu’aucun lien de sang ne nous unisse, la génétique et la science, ne changeront rien à cette vérité rebutante : tu demeures mon frère, même si ce sang qui nous parcourt se veut différent. L’amour que je te porte me guidera en enfer. Regarde comme tu m’as rendu assujetti de ta miséricorde. Je suivrais tes axiomes, aussi corrupteur sont-ils, juste pour goûter cette sensation de cordialité qui se danse sur tes lèvres.



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The news item weckly
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Le New Item Weekly pour toi c'est...
♣️ quelque chose de flou []
♣️ un journal dont tu ne manquerais pas un seul article [X]
♣️ un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça []
♣️ un journal dans lequel tu écrirais volontiers un article []

Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique...
♣️ vie quotidienne []
♣️ sport []
♣️ cinéma[X]
♣️ meurtres et enquêtes policières []
♣️ politique de quartier []
♣️ musique [X]
♣️ mode []
♣️ autre []

Si tu devais rajouter une rubrique ça serait...
♣️ évènements culturels
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ROLIRYN - 2vj3gnk
TOI TOI &TOI
icon by MISERY ANGEL ♥
NOM ET/OU PSEUDO : NANA
AGE : 17 ANS
RÉGION : ILE DE FRANCE
FILLE OU GARÇON : GIRLS POWER
QUE PENSES-TU DU FORUM : underco
ETTTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : bazzart


Dernière édition par Roliryn H. Whitaker le Sam 27 Mar - 13:34, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: ROLIRYN - ROLIRYN - EmptySam 27 Mar - 12:57

    FICHE TERMINEEredcarpetfish
    mais je suis hésitante, est-il possible de faire un personnage masculin et de me réserver mischa pour un scénario ? Si ce n'est pas possible je la prend comme avatar (:
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MessageSujet: Re: ROLIRYN - ROLIRYN - EmptySam 27 Mar - 13:35

Bienvenue parmi nous. magicmoment
Je n'ai pas trop compris, tu ne prends pas Mischa comme avatar ? (a)
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MessageSujet: Re: ROLIRYN - ROLIRYN - EmptySam 27 Mar - 13:37

    en fait je n'en sais rien moi non plus redcarpetfish
    j'hésite entre elle et un personnage masculin.
    Et du coup je me demandais, si je prend un personnage masculin, est-il possible de me l'a réserver pour un scénario le temps que je refasse ma fiche ?
    si ce n'est pas possible, ce n'est pas grave (:

    EDIT = finalement je reste sur mischa ->
    je sais je suis compliquée, mais on m'aime pour ça
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MessageSujet: Re: ROLIRYN - ROLIRYN - EmptySam 27 Mar - 13:50

J'ai compris, enfin. Rolling Eyes
Donc Mischa, c'est d'accord. Wink
Je lis ta fiche et j'éditerais pour te valider. gouzigouza
EDIT: Tu es validée, c'est tout parfait et tellement bien rédigé. Laughing
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