Un magnifique jour se levait sur Sidney. Le soleil qui brillait de mille feux sur le corps de nombreuse jeune fille donnait envie au beau garçon de faire un petit tour sur la plage, et ils devaient avoir raison. Les belles australiennes allongeaient sur le sable chaud, maillot de bain de toutes les couleurs qui défilaient sur la plage, celle qui sortaient de l’eau les cheveux mouillées, c’était la belle vie. Je devais faire partie des australiennes banals, une journée à la plage pour s’amuser, draguer et surfer, la journée de rêves, ma journée de rêve.

Je m’étais levait tôt ce matin, tout le monde sais que les plus belles vagues on l’est trouve le matin ou le soir très tard. Je n’avais mis qu’un short avec mon haut de maillot de bain et de suite je m’étais diriger vers notre magnifique plage de sable blanc et d’eau turquoise, ce magnifique paysage que je pouvais contempler tout les jours de ma vie. La planche dans la main j’étais en direction de cette magnifique montagne d’eau qui bougeait en fonction des planches et du corps des humains. Déjà quelques heures que mon corps se déhancher avec cette mer et ces vagues, plusieurs beau surfeur m’avait rejoints, mes cheveux était trempée par quelques chutes mais vraiment peu, mon corps humide de cette eau qui se jetait sur moi et sur ma planche tout était parfait pour le moment. J’observer, les gens en trains de bronzer et d’autres qui commençait à se baigner. Les heures qui avaient passé, les vagues n’étaient plus les mêmes qu’au début de cette matinée. Je laissais la place au baigneur et allait m’installer sur une serviette de bain, j’enlevais mon short en jean trempée, le posais sur le coté, un garçon très aimable me massait de crème solaire et j’étais partie pour une journée de bronzage. Entre drague, et glace à tous les parfums, la plage se vidait au fur et a mesure de la journée. Je venais d’aller me baigner et je voyais une amie, avec qui je parlais pendant quelques minutes, j’avais retrouvée une vie tranquille pas comme celle que j’avais pu avoir en Italie. Une balade a la plage, tranquille avec cette amie très sympathique. En une journée j’avais du avoir au moins cinq numéros de téléphone et trois proposition de rencard, tous refusée bien sur.

Le soir arrivait, la plage était devenue déserte, j’étais surement la seule personne qui y étais encore, non loin sur le bord de la plage, sur les trottoirs en bétons, pleins de jeune amoureux transit en train de s’aimer et autres choses ridicules, bien trop souvent blesser par l’amour j’y avais renoncé, il y a quelques mois de sa, après une rupture difficile. On a tous quelques choses pour ce changer les idées, je repris ma planche et allait surfer seule, la mer m’appelait a elle comme si je ne pouvais rien n’y faire elle m’ouvrait grand les bras. Les vagues était encore mieux que ce matin, elles me projetaient encore plus haut que ce matin, mon corps bronzée l’était encore plus, et l’humidité et la fraicheur de l’eau se retrouvait sur mon body tout mouillée comme jamais. Je voyais un homme, au loin je le connaissais je crois bien que c’était le même jeune et mignon homme qui passait très souvent a la plage, j’y étais souvent a chaque fois qu’il y venait, coïncidence? Je ne crois pas, je sortais de l’eau le voyant s’approcher de moi. Je sautais de ma planche et atterrisse dans l’eau turquoise. Un léger mouvement de ma tête en arrière, mes cheveux trempés se posaient sur mes épaules et il dégoulinait sur le reste de mon corps. Mon maillot de bain deux pièces vert m’aillait de mieux en mieux et j’arrivais a ma serviette, plantée ma planche droit dans le sable et m’allongeais sur ma serviette, je le sentais, il n’était pas loin et manque de chance pour lui, j’étais la seule sur la plage, surement la seule a qui il pouvait parlait.

HJ: Poste pas très bon je crois, je me rattrape au prochain promis

Comme à son habitude, Liam se réveilla en bâillant très, très longuement. Après une série d'étirements et de frottements de yeux, il partit d'un pas traînant ouvrir les rideaux de ma minuscule chambre - on ne pouvait même pas nommer cela une chambre, un placard à balais aurait mieux convenu. Une puissante lumière éclaira mon appartement crasseux, découvrant des murs gris sales, un plancher en béton (on ne peut pas faire mieux question confort !) jonché de différents items les plus divers les uns que les autres. Des détritus de nourriture, en passant par les vêtements puants jusqu'aux feuilles de papier inconnues. Nageant dans cet amas louche, Liam atteint la seule et unique toilette de son appartement qui était si petite qu'il était difficile d'y entrer à deux... Machinalement, le jeune homme actionna la douche et se faufila un chemin dedans. Presque coincé, Liam commença à passer le savon bon marché (étrangement, couleur marron) sur son corps, les bras plaqués sur son torse, laissant couler sur son visage. Au moins, il avait assez d'eau, mais le propriétaire de l'immeuble (un type bedonnant avec une camisole blanche immaculée de taches douteuses) lui avait clairement dit qu'au bout de trois minutes, l'eau était coupée. Heureusement, Liam n'avait jamais eu à subir cette expérience. Il prenait deux douches de deux minutes par jour et cela semblait convenir à M. Pitt (qui ne ressemblait aucunement à Brad, le célèbre acteur). De toute façon, Liam refusait de rester plus longtemps là-dedans. Il était en effet peu possible de s'y mouvoir convenablement à moins d'être contorsionniste et les parois étaient très, très crasseuses. Sans oublier que le jeune homme était légèrement claustrophobe... Bref, trêve de détails. Une fois chaque partie de son corps nettoyée le mieux possible, Liam se sécha et s'habilla en vitesse. Ensuite, il se mit un peu de parfum sur la nuque (il tenait à cela même si ça coûtait plus ou moins cher pour lui). Enfin, il mangea le fond d'une boîte de céréales qui avait été une très belle aubaine à seulement quelques cents la semaine précédente. Il se brossa vigoureusement les dents avec la pâte à dents que Théo lui avait donné en cadeau en riant.

Le jeune universitaire commença sa journée sans trop rouspéter avec pessimisme. En effet, c'était un dimanche et il n'avait donc pas de cours. On l'avait quand même appelé pour travailler au Dicker Order de dix heures à dix-sept heures. Il espérait ne pas travailler le soir même au Jack Rabbit Slim. Disons qu'il avait d'autres projets. Liam, depuis quelques temps, passait tout son rare temps libre à la plage de Woolloomooloo. Il avait découvert ce lieu depuis peu et adorait s'y rendre. Avoir une plage non loin de chez lui était un sacré privilège, s'était-il dit. Liam se trouvait stupide de ne pas être y aller plus tôt. C'était comme se payer un voyage aux Bahamas, mais ça ne coûtait rien du tout ! Liam était hilare en passant aux plages de Grande-Bretagne, nettement plus froides et moins belles. Le jeune homme commençait à croire qu'il y avait quand même des points positifs en Australie. Il n'avait alors jamais vraiment visité la ville, encore moins le pays. Liam se contentait de Potts Point et du quartier de l'université. Pour tout dire, il allait rarement ailleurs. Pourtant, le jeune homme savait qu'il y avait plein de choses à voir, à la City, en d'autres. En marchant pour se rendre au Jack Rabbit, un jour, il avait vu un kiosque où l'on vendait des cartes de la ville. Une carte retournée lui avait fait entrevoir une étendue beige, juste à côté d'une étendue bleue : la plage. Il n'avait jamais pensé que rester cloîtré dans les lieux de sa routine serait si pénible. Et en l'occurence, il n'avait jamais pensé à visiter d'autres endroits pour se relaxer et se changer les idées. Depuis la première fois qu'il avait mis le pied sur cette plage, Liam en était tombé amoureux. Il suffisait de s'asseoir sur une chaise ou se coucher sur une serviette, se mettre un peu de crème solaire et fermer les yeux pour bronzer, bronzer. C'était une activité des plus relaxantes qui pouvait nous enlever tout souci de la tête. De plus, de temps à autre, on ouvre l'oeil et on regarde les belles filles surfer sur les vagues et on se se sent bien, bien, bien. C'est pour ça que, en se rendant au Dicker Order, Liam espérait grandement avoir congé ce soir.

À dix-sept heures, le libraire se rendit illico chez lui pour recevoir l'appel qui lui dirait s'il travaillait ou pas. Debout devant le minuscule comptoir de la cuisine, le jeune homme avait le regard fixé sur son vieux téléphone à roulette, qu'il se rappelait avoir trouvé dans le sous-sol poussiéreux de son meilleur ami, à Londres. DRING, DRING, DRING ! L'appareil sonna, tout enroué qu'il fut. Liam saisit le combiné et entendit son boss du restau, à l'autre bout de la ligne.

« Salut Liam, tu as congé », dit-il d'une voix monocorde où perçait nettement la fatigue.

« Merci ! », s'exclama l'interpellé en guise de réponse, reposant le combiné avec force.

Il trépignait sur place, très excité. Jamais, jamais il n'avait été aussi content depuis longtemps. Ce n'était plus du tout le Liam de tous les jours, qui gardait le profil bas, la mine sombre. Cette fois, il avait l'occasion de se rendre à la plage et cela l'emplissait de joie. En prime, il aurait assez d'argent pour payer son loyer du mois, même sans ce quart de travail au Jack Rabbit. Sans tarder, le jeune homme prit le prochain bus pour Woolloomooloo, avec une chaise, une serviette et une bouteille de crème solaire. Il s'était aussi mis en maillot aussi. Tous ces items n'étaient franchement pas du luxe, mais il s'en fichait éperdument. Sa chaise était très inconfortable. Il l'avait acheté depuis peu à un prix très bas dans un magasin de surf. Sa serviette était déchirée en plusieurs endroits, on aurait plutôt pensé à une guenille. Sa bouteille de crème solaire n'avait plus qu'un fond, il se l'était déniché chez Théo, comme la pâte à dents. Le maillot de bain avait appartenu à son père. Liam avait horreur de porter ce vêtement qui le lui rappelait, mais il n'avait rien d'autre. Le pire restait cependant que le maillot était trop grand pour lui. En effet, il avait toujours été beaucoup plus mince que son père. Aussi, ne croyez pas que M. Bellamy ait donné cela à fiston de son propre chef. Disons que Liam avait volé quelques trucs pour subsister en Australie, à son départ de l'Angleterre...

Liam avait mangé un brin avant de partir et il s'installa donc dès l'heure du dîner sur le sable. Le soleil était peut-être déjà en train de descendre, mais cela ne faisait rien : la paix était quand même présente. Liam passa près d'une demie-heure, les yeux clos, à se laisser bercer par le bruit des vagues. Il avait la tête complètement vide, à présent. Il avait tout oublié. Même son horrible maillot orange ne pouvait pas le distraire. Enfin, il entrouvit un oeil, puis un autre et balaya son regard sur la plage. Il ne restait guère de personnes. Parfois, un couple, une bande d'adolescents ou des vélos passaient devant lui, mais le soleil était presque complètement couchée et personne n'était resté sur sa chaise pour profiter du soleil ou dans l'eau pour s'amuser avec les vagues. Personne, sauf elle. Cette surfeuse aux beaux cheveux bruns dégoulinant en cascade sur son dos. Liam avait plusieurs fois eu la chance de l'observer. Cette fois encore, il la contempla attaquer les vagues, devenues très hautes. Elle était très belle et Liam perdait toute lucidité en la regardant. Il avait envie de la rejoindre. Elle était seule, complètement seule dans cette mer... dans cet océan. Liam avait presque décidé de la rejoindre quand elle sortit de l'eau et s'installa avec sa serviette à seulement quelques mètres de lui. Le jeune la regarda se coucher sur le dos et son envie grandit encore plus. L'une des raisons qui le poussait à venir à la plage était les surfeuses. Et celle-ci était la plus intriguante de toutes. Cette fille-là passait ses journées à affronter les vagues, telle une guerrière solitaire. À l'instant où Liam pensait à cela, il se décida à l'aborder.

« Vous venez souvent à la plage, à ce que j'ai remarqué », dit-il à haute et intelligible voix.

La fille se tourna vers lui et le regarda. Liam poursuivit :

« Je m'appelle Liam, et vous ? »

Spoiler:

Quand le soir tombe, il ne reste plus que le bruit des vagues et de mes pas sur le sable. Les vagues font une berceuse magique alors que mes pas s’arrête pour profiter du dernier éclat de soleil, de ce coucher qui voudras dire : « GO, TO PARTY ROSIE » . Seule, sur le sable chaud, mes yeux rivait sur l’immensité de l’océan qui m’avait si souvent fait peur mais depuis que j’avais trouvait une planche rien de tout sa n’arrivait, je n’avais plus peur, juste envie d’être comme elle, libre sans aucune attache, sans aucun moyen de souffrir, loin de la méchanceté des personnes de cette terre, comme quelque de libre qui faisait ce qu’il voulait de sa vie. L’océan, plus que ma propre vie. Je pense, qu’elle était comme la seule chose avec qui j’étais vraiment proche, j’aime l’océan, sa fougue qu’elle donne lorsque qu’une surfeuse arrive sur elle, sa passion qu’elle transmît de génération en génération et tous les habitants qu’elle recueille au fond d’elle, elle partage son amour avec tout le monde, protège ceux qu’il la respecte, si c’était un homme, nous serions déjà marié.

Mais l’océan a ces fins, et c’est à 22 heures qu’il s’arrêtait avec moi, la dernière personne qu’il voit et la première qu’il retrouve le matin. Sur le sable chaud, une dernière touche d’auto bronzant, a vingt deux heures c’est un peu fou mais c’est une chose que j’aime, le parfum du monoï sur ma peau légèrement bronzée et trempait grâce a mes cheveux dégoulinant, personne ne me voyait et pourtant, j’étais a mon avantage. Alors que je commençais à m’allonger sur ma serviette, quelqu’un venait m’interrompre très gentiment. Je pensais dans ma tête : « Oh mon dieu, enfin un homme a cette heure du soir, il a une voix si parfaite, espérons qu’il le soit aussi ». Tout doucement, je basculer légèrement ma tête avec mes cheveux mouillée surement trop, qui faisait un effet comme dans les films, puis je voyais la tête du jeune homme. Certes, il était mignon mais il faisait jeune pour moi, à vrai dire mais je souriais, j’avais quand même quelqu’un qui me parlait. Je me levais de ma serviette avec mes mains, frottait le sable qui restait sur quelque une des partis de mon corps et je regardais le jeune homme. « Vous venez souvent à la plage, à ce que j'ai remarqué ». Je souriais a sa remarque, sa veux dire qu’il m’avait surement vu avant, enfin ce qui était assez normal vu que je passais mes soirées a la plage donc. « Oui, je viens souvent ici, j’aime l’océan et la plage c’est comment dire, quelque chose qui me détend ». Un petit sourire a ce jeune homme qui après quelque seconde repris la parole. « Je m'appelle Liam, et vous ? ». Liam c’est un très jolie nom, pour un beau jeune homme, stop Rosie, il est beaucoup trop jeune c’est sur. « Je m’appelle Rosie, Rosie Vanderosieren. Dites-moi Liam c’est sa ? Que me vaut votre présence sur une plage déserte a une heure pareil ? ». Il était tard, enfin pas pour moi, la soirée ne faisait que commençais enfin, elle commencera dans une bonne demi-heure après ce coucher de soleil, qui sera magnifique c’est sur.