Une étrange journée venait de s’achever sur l’Australie, surtout pour notre belle Rosie. Une journée de folie, vécu avec plein d’enthousiasme et de sport. J’avais passée une journée avec un jeune garçon que je connaissais à peine, Liam il voulait que je l’apprenne à surfer. Les vagues étaient sublimes aujourd’hui tout comme la chaleur sur mon corps. J’étais rentrée très tard de la plage, vers vingt deux heures au moins. Je dinais a peine, un paquet de pop corn devant un navet, un film qui n’aurais jamais du sortir, l’ennuie me montait a la tête, le script de ce navet résonnais dans mon crane, la décision était prise, direction boite de nuit. Je pris une douche comment dire chaude et rapide, je séchais mes cheveux et les laissait ondulée sur mes épaules, un short en jean; un t-shirt blanc super sexy, sac a main et argent et on était parti.

Devant l’entrée, la musique battait son plein, on l’entendait jusqu'à la sortie de l’autoroute. Jamais je n’avais vu une boite de nuit de la sorte, immense et plein de beau garçon même les videurs de la boite étaient sublimes. Je n’avais même pas besoins d’attendre a la queue, le patron de la boite sortait dehors, choisissaient les deux plus belles filles et les faisaient entrer sans payer et sans demander leur âge, il y avait une belle blonde et moi. A peine rentrée qu’on voyait, que la fête battait à son plein et pire encore. La musique détrônait celle de toutes les boites de nuits, les personnes qui dansaient sur la piste étaient pire que déchainait, le corps des jeunes demoiselles se déhanchaient pour essayer d’attraper un homme, rien qu’un seule. Je rejoignais la piste et toute l’attention se portait sur moi, je bougeais comme aucune autre fille de la salle ne savait faire, j’aimais danser et être au centre de l’attention. De l’eau tombait sur mon corps du plafond, je me retrouvais complètement trempée, mes longs cheveux dégouliné sur mes épaules, mon t-shirt blanc était devenue comment dire transparent, il me collait au corps et on pouvait apercevoir mon haut de maillot de bain par dessous. Toute la foule était en délire, il ne réclamait que moi, que je danse et danse encore. Un léger arrêt vers le bar, une vodka orange pour moi et j’étais repartie sur la piste. Des garçons arrivait par millier vers moi, me demandant numéro de téléphone, rendez vous et même quelqu’un parfois carrément défoncer un plan cul, alors que ce n’étais pas du tout mon genre surtout si j’étais encore sobre. Je les refusais tous, pas assez beau, trop beau ou gay ou mariés, tout cela était ringard. Quand on se marie, on ne court pas après les belles demoiselles qui se trouvent en boites de nuit. J’enchainais les verres et toutes les musiques qui passait me déchainait encore plus sur le dance floor, j’aurais pu y rester jusqu’au bout de la nuit. Les heures défileraient sans qu’on puisse sans rendre compte, je n’avais pas vu qu’il était déjà six heures du matin et pour être franche, je m’en sortais pas mal, j’étais consciente et je n’avais pas beau autant que sa, je marchais droit, parler normalement et j’avais encore tout mes reflex. La boite de nuit allait fermée et de nombreux garçon me suivaient, j’arrivais a me débarrassée d’eux et partie a pied pour rentrée chez moi, je n’allais pas conduire parce que j’avais quand bu assez pour ne pas risquer de me tuer lors d’un accident de la route, de plus les stations de taxis était bombées alors autant y aller a pied. La marche donne le temps de réfléchir. Je passais par des raccourcis et par des ruelles sombres, je n’étais pas encore loin de la boite de nuit quand je sentais quelqu’un me suivre.

« Hey ma jolie, attend moi ! On va finir la soirée dans ton lit »

Je n’écoutais pas l’homme qui devait être ivre mort, sans aucun intérêt je n’allais pas l’enfoncer mais j’accélérée quand même la marche. Je me retournais histoire de voir son visage et c’étais un des mecs que j’avais planté devant la boite. Je continuais la route, mais il courrait derrière moi et se retrouvait vite devant. « Allez ma belle, t’habite ou qu’on s’éclate un peu ? ». Je soupirais, une respiration forte d’un coup, il puait l’alcool comme jamais rien que son odeur me répugnait je n’avais jamais sentie sa auparavant. Je ne répondais pas, et le contournais pour essayer de rentrer enfin chez moi. Il attrapait mon bras par derrière et me plaquais contre un mur de la ruelle. Je ne pouvais crier car il avait une main sur ma bouche, et l’autre qui me tripotaient tout le corps. Mon sac a main tombais mais j’eu le temps d’attraper mon téléphone, je composais le numéro de la police. On entendait la sonnerie et il enlevait sa main de ma bouche, mon téléphone tombait et je vis que cela avait décroché. Je ne pouvais crier sans qu’il remarque quelques choses et j’avais peur de ce qui allait m’arriver. Cependant, je devais donner un indice à la police pour qu’elle me retrouve, je décidais enfin de prendre la parole. « Mike, c’est bien sa ton nom Mike ? » Il acquiescer de la tête pendant qu’il enlevait sa ceinture. « Enfin, c’est idiot, tu ne vas pas violer une fille dans une ruelle certes déserte alors qu’il y a une boite de nuit jusqu'à a coté. ». Je n’eu le temps de dire plus que mon crédit était épuisée. Je ne savais si la police avait bien entendue mes paroles, car on entendait encore la musique de la boite de nuit, plus le bruit des taxis qui démarrait, mais tout de même sa devais leur donnait des pistes, c’est vrai il ne devait pas avoir, beaucoup de boites construite à coté d’une station. La peur me hantait à ce moment là. Qu’allait-il me faire? Pourquoi moi ? Toutes ces questions me trottaient dans la tête. La police était longue, jamais je n’aurais cru sa d’eux, à moins que ce soit le fait d’être la victime qui ne peux se défendre, en tout cas les minutes me paraissait éternité et les secondes l’immortalité. Il avait enlevait son pantalons et jouait devant moi avec sa ceinture comme si il allait me foutait avec. Il abaisser son boxer et tripotait lui-même son sexe. Après quelques instants il prit ma main, la main dans sa main et me forçait à le toucher a ses parties intimes. Je poussais des cris, des appels à l’aide sans réponse sans aucunes aides, je devais attendre que la police soit la. Il me tenait toujours par une main sur son sexe et de l’autre, il déchirait mon t-shirt et léchait mon ventre. Cela m’horripilait, pire que n’importe quoi. Son odeur entait mes sens, le dégout entrait en moi, il puait de partout et je ne vous parle pas de ces parties. Il relevait sa tête lâchait ma main, et je pouvais enfin lâchait son sexe a mon tour. Brusquement et froidement, il m’attrapait par le cou, il appuyait d’une force incroyable, et je ne pouvais essayer de résister tellement qu’il en mettait de la volonté. Je me retrouvais a genoux devant lui, la tête baissée il criait a voix haute : « Lève la tête. ». Si je la levais, je me retrouver avec son sexe droit dans les yeux, il continuait de crier de plus en plus fort et avec son portable il filmait la scène, je devais essayer de me débattre, malgré que tout cela me répugnait plus qu’autre chose, je pris mon poing et lui donnait avec ma force un coup de poing dans ces parties. J’étais déjà presque au fond de la ruelle, je partais en courant le temps qu’il était a terre mais cela ne suffisait pas, le coup n’avait pas été assez fort et il me rattrapait beaucoup trop vite, et il me reclaquais contre un mur, méchamment il m’insultait et il était encore plus énervée qu’avant étant donnée que j’avais voulu prendre la fuite. De sa poche arrière il sortait un couteau me le posait sur la gorge et me dit : « Écoute moi bien, petite salop*, tu as intérêt à m’obéir sinon je te plante ». J’acquiescer de la tête, histoire de ne pas avoir d’ennuie, je n’arrive pas a croire que cela allait m’arriver a moi. Les larmes me montaient, mes yeux se remplissaient d’eau et lui il sortait un rire démoniaque comme dans les films d’horreur ou le méchant à gagner. « Allez ma petite, abaisser toi comme toute a l’heure et commence le travail, tu sais très bien de quoi je veux parler ». Je commençais à m’abaisser au ralenti histoire de freiner le temps mais il appuyait sur ma tête et je me retrouvais en moins de deux à terre, dans ma tête je priais : « Pitie, que la police arrive ». Alors qu’il enlevait de nouveau sa ceinture ce qui fit tombais son pantalon tout seule, et abaissait son boxer, j’avais honte, j’étais devenue comme soumise, j’étais la victime.

Jake aurait tout fait pour éviter cela à Rosie, il tenait à elle énormément et regrette de ne pas être venu encore plus tôt.
Elle semblait être encore sous le choc de ce qui venait de lui arriver et Jake essayait tant bien que mal de comprendre ce qu’elle pouvait ressentir. Rien que d’y penser l’écœurait, le mettait hors de lui, l’enrageait au plus haut point. S’il en avait le droit, Jake n’aurait pas hésité à tuer sur place ce violeur, ce monstre qui avait osé maltraiter son amie.
Rosie était pour lui comme sa petite protégée, il ferait n’importe quoi pour qu’elle soit en sécurité, et à ce moment précis, il avait échoué dans son travail.
L’homme s’en allait en courant alors que Rosie cria à Jake de le rattraper, en quelques sortes.


« Ne bouges pas d’ici, je reviens ! » lui glissa-t-il en courant à la poursuite de l’homme.

Il la laissa alors seule de nouveau, seule dans une ruelle, sans défense… A vrai dire, il ne l’aurait jamais fais si elle n’avait pas fait remarquer la fuite du violeur, oui, Jake détestait cet homme pour avoir fait du mal à son amie mais en même temps, il préférait prendre soin d’elle plutôt que de perdre son temps avec un déchet comme celui-ci.
Enfin bref, il courut alors après l’homme, il courrait d’ailleurs bien plus vite que lui. Mike étant complètement ivre mort, il ne voyait plus très clair devant lui.
Il arriva alors à la hauteur de l’homme puis l’attrapa par son t-shirt avant de le plaquer contre le mur.


« Si tu touches encore à un seul de ses cheveux t’es un homme mort tu m’entends ?! Tu as attaqué la mauvaise personne ! »

Il poursuivit cette phrase par un coup de poing en pleine figure, l’autre tenta alors de riposter, un e bagarre éclata. Par bagarre, c’était plutôt Jake qui menait la danse disons.
Jake avait finalement entièrement maîtrisé l’homme qui ne pouvait à présent quasi plus bouger au sol. Se voyant dans une situation de faiblesse, Mike sortit une nouvelle fois son couteau et planta Jake au bras gauche. Jake recula aussitôt de l’homme mettant sa main droite sur son bras droit qui, à ce moment-là, saignait énormément. Le policier avait alors mit sa main sur son bras souffrant de sa blessure.
Mike se leva à nouveau, ricanant de son « pouvoir », il essuya rapidement le sang qui coulait de son nez après les coups qu’ils avaient reçus de Jake, puis s’approcha du policier menaçant de le poignarder.
Jake n’eut le choix que de sortir à son tour, son arme de sa poche, évidemment plus imposante niveau « pouvoir » que celle de Mike.
Il pointait à présent le jeune homme ivre de son pistolet qu’il tenait de la main droite. Mike perdit aussitôt son sourire puis répliqua levant les mains d’un air innocent :


« Wow wow wow, mec, déconnes pas ! Je l’ai pas touché moi ta copine enfin… pas jusqu’au bout quoi.
- A ta place, je la fermerai maintenant.
- Ok, ok, pas de soucis, je me tais c’est bon, tu peux baisser le flingue maintenant jte jure je—
- La ferme ! »

Jake s’approcha encore plus de lui.


« Lâche ton couteau et met toi contre le mur.
- Quoi ?!
- Tout de suite ! »

Mike obéissait trop effrayé de se faire tirer dessus. Jake sortit alors les menottes tant bien que mal avec son bras blessé puis s’apprêtait à en finir avec toute cette histoire lorsque Mike se retourna très rapidement, balançant le flingue sur le sol plus loin. Jake n’ayant pas put réagir assez vite n’ayant qu’une seule main pour se défendre, Mike lui donna un coup au ventre le repoussant.
L’homme ricana de nouveau puis ramassa son couteau, avant d’empoigner Jake par son épaule gauche appuyant fortement sur la blessure qu’il avait eut. Il le plaqua ensuite violemment contre le mur.
La douleur était trop forte pour Jake il tentait autant qu’il pouvait de repousser la main du violeur sur son épaule, il sentait que son souffle se coupait face à sa blessure qui ne cessait de saigner, la douleur qu’il ressentait n’avait jamais été aussi forte, Mike riait encore diaboliquement de sa « réussite ».
Ayant complètement perdu la tête, ne réalisant probablement pas entièrement ce qu’il faisait à cause de l’alcool et certainement de la drogue qu’il avait ingurgité, il leva son poignard sur Jake visant à présent… son cœur…

Le noir c’est effrayant, la façon qu’il arrive sans prévenir et recouvre la lumière et les bonnes choses, quand le noir arrive on entre dans un autre monde, tout à fait différent, comme un monde parallèle dont même les puissant dieux ne peuvent contrôlait, quand il arrive, tout peux arriver, le meilleur comme le pire et croyais moi, le pire arrive très souvent et sans prévenir. Avec notre plus grande chance, il ne dure pas longtemps l’été, pendant quelques heures seulement, quelques heures ou tout peux arriver, ou on sue d’angoisse, ou nos membres ne réagissent plus, l’impression que le noir commande nos cerveaux à chaque fois que toutes les nuits tombent. Peut être que c’était ce qui était arrivé a Mike, sa personnalité changeait t’elle durant la nuit. Je m’enlevais ces idées de la tête, c’était vraiment la plus grosse bêtise que j’aurais pu avoir pensais de toute ma vie. La noirceur du ciel s’évacuer peu a peu, comme quelque chose de magique se produisait, je retrouvais ma force de me battre et comprenait que Jake était parti seul à la poursuite du violeur il y a bien trop longtemps maintenant. Il avait laissé sur place sa veste du FBI, bleu et jaune, des couleurs qui ne suivent pas et j’aurais d’habitude refusé de portait ceci en publique mais la, je n’avais vraiment pas le choix. Je l’enfilais et marchais doucement mais surement. Il y avait deux ruelles, je ne savais laquelle des deux prendre, l’une donnait sur la grande place et l’autre nulle part. J’aurais été quelqu’un qui essayait de s’enfuir j’aurais choisit la première mais je ne l’avais pas compris avant alors comment pouvais-je être sur ? Je décidais de demander mon chemin en quelque sorte : « Jake, ou es tu ? ». Je n’entendais aucune réponse clair et précise, des cris mais les rues commençaient déjà a ce remplir par les passants qui partaient travaillé surement. Je décidais de retenter le coup une deuxième fois : « Jake, tu es la ? Répond moi s’il te plait, ou es tu ?» . Des bruits étranges, puis enfin une réponse mais, ce n’étais pas la voix de Jake, mais celle de Mike. J’avais compris, il était dans la ruelle la plus sombre et surement la plus dangereuse mais je me rappelais, j’étais auparavant venue en vacances avec moi père ici, et avec un air de satisfaction je me rappelais, si on passe par la mauvaise ruelle, on n’a cas passait juste devant le fameux café ou ils vendent de magnifique donus et on arrive dans l’autre ruelle. Je fis genre de partir, je supposais que si Jake ne m’avais pas répondue, il devait surement ne pas contrôlait la situation comme je l’aurais espéré. Je me dépêchais alors, passant par l’autre ruelle, puis devant la vitrine du café, je bousculais des gens n’arrêtant pas de crier : « Excusez-moi, je suis vraiment désolé », dans tout les sens sans comprendre les gens me souriait alors que je ne les connaissait pas mais je devais avouer, on ne devais pas voir sa souvent, une fille qui ne portait qu’une veste dix fois trop grande pour elle ou dessus était marquer FBI avec la seule chose en dessous un maillot de bain deux pièces assez sexy d’ailleurs, très même. Étrange, non ? J’arrivais prés de la ruelle, me glissant contre le mur, je penchais ma tête et la, vision d’horreur, Jake ne métrisait vraiment pas la situation mais c’était encore pire que ce que j’aurais pu imaginais. Le ravisseur, violeur, salop enfin tout ce que vous voulait, avait le couteau plantait en direction du cœur, je ne pouvais imaginer que Jake meurt a cause de moi, je le voyais désarmais l’arme en direction de moi, enfin plus proche de moi que le ravisseur. J’entrais dans la ruelle, grâce au bruit des transports en commun et des quelques gens qui passait en direction de leur travail, il ne pouvait pas m’entendre, on pouvait dire que sa commençait à être dur, au plus j’arrivais au plus j’avais l’impression que la ruelle s’agrandissait. J’avançais lentement mais surement, je savais qu’un seule geste brusque pouvait tout gâcher et peut être valoir la mort a cet amour de Jake, mon ami, un tout. Enfin, j’arrivais devant l’arme dite, je m’abaissais doucement et la récupérais dans ma main. Sans trembler, je la levais et visait l’homme avec. Je le regardais avec un mépris énorme et répliquais : « Baisse ton arme, si tu ne veux pas … ». Je n’eu le temps de finir ma phrase, qu’il me coupait avec ces ricanement. « Ah ah ah ah! Tu crois vraiment que j’ai peur de toi, tu n’aurais jamais le courage d’appuyer sur la détente ma jolie ». Mon énervement monter au maximum, rien que de voir sa tête : « BAISSE TON ARME !», ma voix avait augmenté d’un coup sans vraiment réaliser. Il rigolait encore, approchant son couteau encore plus près de Jake et c’est a ce moment la que mon esprit partait. Mes pensées disparaissait, je ne contrôlais plus rien, mon cerveau était comme envolais ainsi que ma raison. Je le regardais droit dans les yeux, d’un regard aussi noir que méchant, et je ne sais vraiment pourquoi, je tirais. Une balle rentrer par sa tempe et en sortie de l’autre côté, il s’écroulait a terre et son sang se répandait telle une flaque d’eau, pendant un jour de pluie, d’une rapidité étrange, mais sans bruit, sans un cri. Je regardais Jake dans les yeux et je laissais tombé l’arme sans savoir comment j’avais pu faire sa. Surement pour sauver la vie de mon ami j’imagine mais … Comme son arme, je m’écroulais a terre, me retrouvant sur les genoux, que venais-je de faire ? J’avais tué quelqu’un, oh mon dieu pardonnait moi. D’une voix triste et pleine de larme comme celle qui coulais sur mon visage je répliquais regardant Jake : « Jake je … Je ne voulais pas. Je … je suis un monstre ! J’ai tué quelqu’un ». Je regardais le corps baignant dans le sang, son sang.

Jake sentait qu’il allait réellement y passer cette fois-ci, une voix familière résonna dans la petite ruelle. Jake tourna la tête vers Rosie qui pointait à présent son arme sur Mike.
Pour être honnête, même si la vie de Jake était en jeu, il n’était pas certain à 100% si elle oserait tirer sur cet homme même s’il menaçait de le tuer.
Rosie était une femme forte mais fragile à la fois, et à vrai dire, même si c’est Jake qui peut y passer, lui-même ne voulait pas sincèrement qu’elle tue cet homme. Tout le monde pense que si, bien sûr qu’elle a raison de le tuer après ce qu’il lui a fait, mais est-ce qu’elle supporterait de continuer de vivre après avoir tué un être humain ? Peu importe ce qu’il avait fait. Personne ne peut réellement vivre après avoir ôté la vie à une personne. On a bien souvent répété aux policiers que si une vie d’un innocent est en jeu alors ils pouvaient tirer sûrement. Jake l’avait déjà fait, et pas qu’une fois à vrai dire, et il sait pertinemment que si on ne s’y habitue pas, si on n’a pas apprit à tuer sans que ça ait un impact sur notre vie privée, il est évidement difficile de vivre avec…
Jake se sentait coupable d’avoir mit son amie dans cette situation-là, il était venu pour la protéger et voilà que c’était elle qui devait le sauver…

Cependant, malgré sa culpabilité, Jake ne voulait pas mourir, qui le voudrait dans cette situation, n’est-ce pas ? Et il ne voyait pas réellement de solution autre que celle qui se jouait sous ses yeux.
Mike, trop stupide, ne s’était pas arrêté pour autant, Jake retenait d’une seule main celle du ravisseur qui serrait le poignard, l’empêchant tant bien que mal de le tuer.

Finalement, un son qui faisait effrayer n’importe qui, résonna enfin dans le noir de la ruelle. Elle avait tiré, sans hésité, elle n’avait même pas sourcillé, elle venait tout juste de tuer un homme. Mike tomba raide au sol. Jake, surpris par ce qui venait de se passer, regarda Rosie bouche bée.
Il n’avait pas cru qu’elle tirerait, encore moins pile dans sa tempe, Jake n’aurait certainement pas tiré directement à un endroit vital comme celui-ci, il aurait certainement visé son bras ou n’importe quoi qui l’aurait blessé mais pas tué… Mais avec la pression, le stresse, la peur et ce qu’elle venait de vivre à présent, il trouvait ça plus ou moins normal qu’elle n’est pas pensé d’abord par le blesser… enfin c’est ce qu’il espérait qui s’était passé dans la tête de la belle brune.

Elle lâcha ensuite l’arme puis tomba à genoux au sol à son tour, en larmes se défendant comme elle pouvait, disant qu’elle ne voulait pas, mais en même temps se reprochait son geste, ce qu’il redoutait arriva, elle se sentait maintenant terriblement mal, elle se sentait coupable, c’est exactement ce que Jake avait imaginé dès le départ…
Elle se mit à pleurer à chaudes larmes alors que Jake se relevait tant bien que mal, il jeta un regard bref vers le corps de l’homme mort puis s’approcha lentement de son amie tenant toujours son autre bras blessé.
Il se baissa près d’elle, puis l’entoura d’un bras, elle posa sa tête contre le torse du jeune homme pleurant encore. Il répliqua tentant de la consoler :


« Rosie… tu m’as sauvé, tu m’entends ? Tu n’avais pas le choix, il allait me planter ce couteau dans le cœur, tu devais l’en empêcher… »


Comment consoler une jeune femme après qu’elle ait tiré dans la tête d’un homme… ? Si vous le savez, contactez Jake, parce qu’il a sincèrement du mal à trouver les mots.


« Je suis désolé, je n’ai pas été à la hauteur pour t’empêcher de vivre ça… »


Il s’en voulait sincèrement, mais à présent, c’était fait, et rien ne pouvait changer… Il serrait autant qu’il pouvait Rosie essayant de la calmer comme il pouvait.
Il appellerait sûrement bientôt ses collègues et tout le petit monde pour venir s’occuper du corps et certainement discuter de tout ça, mais Jake ne pensait pas que c’était le bon moment, Rosie devait se calmer avant toute chose et il ne voulait pas lui faire revivre tout ça aussi rapidement…

Autour de moi, rien n’allait normalement, les gens passait dans la rue comme si tout était normal mais depuis le bruit du coup de fusil, tout le monde c’était arrêté devant la ruelle, quelque un était rentré afin de voir le corps, d’autre prenait des vidéos et des photos, du corps de moi. J’étais vraiment devenue un monstre. Tellement de choses se bousculait dans ma tête : « Pourquoi je ne l’ai pas blessé au lieu de le tuer ? Tu es vraiment qu’une idiote Rosie Vanderosieren. » . Les passant tournais tout autour de moi, leur paroles, leur larmes, leur dégout, tout ceci me donner un mal de crane insupportable. J’entendais Jake parlait mais rien n’y faisait, il avait beau tout essayé rien ne marcherais, j’avais tué quelqu’un est je le porterais toute ma vie, pourquoi ne pas en finir maintenant ? L’arme de Jake étais juste à coté de moi, pour le moment je ne fis que la comptempler sans rien dire, pour ne pas inquiétait Jake et les nombreux habitant de Sidney. L’homme qui était déjà mort continuait à perdre du sang, il flottait dans sa flaque et j’avais l’impression qu’elle arrivait vers nous a grand vitesse comme pour venir me cherchait. Jake qui me prenait dans ces bras, je me sentais en sécurité mais tout restait encore confus dans mon esprit. Le nombre de personne augmentait de plus en plus, il devait le faire quitte à ce que j’aille en prison. Il appelait des renforts. : « Ici Jake Daniels, un homme est tué, prés de la grande place, dans la ruelle d’à coté, venait vite ! Intitule d’appelait les secours, il est déjà trop tard ». Le bruit assourdissant des sirènes arrivait vers moi, Jake devait se levé afin d’aller expliquer a ces collègues ce qui c’était réellement passez. Les passant du continuaient leur routes vers leur travail, il bouclait le périmètre avec des bande jaune ou dessus on pouvait voir en bleu : Scène de crime, FBI. Tout ce cinéma était de ma faute, rien que de la mienne, je ne pouvais croire que Jake se sentait coupable, il avait été parfait vraiment parfait. Il revenait prés de moi durant quelque instant le temps que ces collègues aillent voir le corps de Mike. Je lui pris la main, comme un signe de merci et de je t’en serais toujours reconnaissant, je serais toujours la pour toi : « Jake, arrête de dire des bêtises, tu as était parfait. Tu n’as rien à te reprocher. Merci, merci pour tout ce que tu as fait, tu ne m’as pas forçais a le tué, j’aurais pu seulement le blesser mais je ne sais pas encore pourquoi j’ai fais ceci ». Ces collègues, l’appelait, il allait les rejoindre pendant qu’un d’eux arriver vers moi, qui était assise contre le mur de la ruelle encore terroriser par ce qui venait d’arriver : « Mademoiselle Rosie, c’est bien sa ? » Je fis un signe de la tête qui voulait surement dire oui. « Rosie, que c’est-il passait ? ». Je le regardais dans les yeux, mes yeux plein de larmes et après une respiration je … « J’étais la quand il pointait un … un couteau sur Jake alors j’ai voulu protéger mon ami … ». Il prenait des notes de tout ce que je pouvais dire durant cette sorte d’interrogatoire. « Oui, je comprends mais pourquoi ne pas l’avoir blessé » . « Je n’en sais rien, après tout ce que j’avais subit je ne pouvais contrôlais très bien mon esprit. ». On aurait dit qu’il ne voulait pas comprendre, je venais de me faire attaquer par un fou dans la rue et il s’en foutait royalement, au loin j’apercevais Jake prés du corps et je ne souriais pas au gens mais à Jake. « Il n’a pas de papier sur lui » lui criait un collègue, je regardais l’homme et répliquait : « Il s’appelle Mike, Mike O’connor. » Il me regardait d’un air étrange, se demandant comment je savais tout sa. « Comment cela se fasse que vous connaissait son prénom et son nom de famille Rosie ? ». Un léger silence puis. « Il me draguait en boite donc oui je connais son nom, au cas ou vous l’aurait oublié je viens limites de me faire violer donc vos question idiote vous les garder pour vous ou pour vos idiot de collègues ! ». Je n’avais jamais répondue comme ceci a un agent de police et encore moins a quelqu’un du FBI. Il fit un pas en arrière et partait vers Jake et ces amis me laissant seule, contre mon mur. Je ne croyais plus en rien, surtout pas que j’avais le droit de vivre après ceci. J’enlevais d’abord la veste de Jake et la posait par terre, je me retrouvais en maillot de bain, mais cette fois ci, le jour c’était levée et le soleil brillait de mille feu. A coté de moi, l’arme de Jake, je la prenais dans ma main et regardais Jake qui parlais avec ces collègues dont celui qui m’avais interrogeait, il devait surement lui raconter ce que je venais de lui dire, ainsi que ma gentille parole de la fin. J’avais les larmes aux yeux, l’arme dans la main, je me levais et j’étais désormais au centre de la ruelle. Je pointais l’arme sur mon fronda quand un ami a Jake lui disait : « JAKE, TON AMI, ROSIE VA SE TUER … ELLE VA SE SUICIDER AVEC TON ARME DE SERVICE. JAKEEEE ». Il tournait la tête vers moi et le regardant mes yeux plein de larme je répliquais : « Je suis désolé Jake, je ne peux plus rester de ce monde après ce que je viens de faire. Je t’aime ne l’oubli jamais. ». J’approchais de plus en plus le pistolet de ma tempe, et me préparer à tirer. Je comptemplais une dernière fois le ciel et les rues ainsi que Jake et je l’approchais encore plus, il était complètement collée a ma tempe.

Peu de temps après, il avait appelé ses collègues. Si tout allait pour le mieux, elle n’irait pas en prison, après tout, l’autre allait tuer Jake si elle ne l’avait pas arrêté.
Légitime défense ? Pas vraiment. Mais Jake n’avait pas le choix, ils n’allaient tout de même pas partir en laissant le corps inerte au sol.
Ses collègues arrivèrent très rapidement, il leur expliqua la situation tout en défendant complètement son amie, évidemment il ne parlait pas du fait qu’elle aurait put tout simplement le blesser, ou autres choses pouvant défavoriser Rosie.
Jake leur demanda de la laisser quelques temps pour se remettre de ses émotions mais ils insistèrent, et Jake n’eut le choix que de les laisser l’interroger.
Après tout, si elle n’avait pas été son amie, il les aurait laissé l’interroger sans problème.
Ils lui pausèrent tout un tas de questions inutiles, que Jake avait d’ailleurs déjà donné la réponse plus tôt en racontant ce qu’il s’était passé, évidement, ses collègues lui reposèrent tout un tas de questions.
La connaissant, il se doutait bien qu’elle ne supportait pas cet interrogatoire, Jake les regardait un peu plus loin entendant tout de même chaque question que posaient ses collègues. Il jeta un coup d’œil au corps que les ambulanciers transportaient, il soupira alors qu’une infirmière soignait la blessure qu’avait eut Jake lors de son combat avec Mike.
Pour Jake, une mission réussite était une mission où le criminel se faisait arrêter et que la victime se remettrait rapidement de ses blessures que ce soit physique ou mentale.
Cette fois-ci, ce n’était pas réellement le cas.
Le criminel s’était fait tuer et la victime vivrait pour le restant de ses jours avec ce sentiment de culpabilité mélangé à un dégout compréhensible de ce qui lui était arrivé.
Rapidement, ses collègues cherchèrent à avoir quelques informations sur le criminel, certainement pour prévenir ses proches.
Un de ces collègues remarqua alors que l’homme n’avait aucun papier sur lui et Rosie répondit en donnant le nom et prénom du jeune homme.
Jake la regarda puis eut un gros soupir… Honnêtement, il aurait préféré qu’elle ne sache rien de lui, ça devenait tout de suite beaucoup plus suspect lorsqu’elle avait des informations sur lui.
Evidement, Rosie répondit méchamment à ses collègues en ayant assez de toutes ces questions. L’un d’entre eux vint alors voir Jake, lui expliquant qu’elle pourrait avoir des ennuis si elle n’accepte pas de collaborer et qu’elle était tout simplement le suspect idéal.


« On va devoir l’emmener au poste.
- Pas question, je reste avec elle.
- Mais Jake—
- J’ai dis ‘non’, je ne veux pas qu’elle revive tout ça encore une fois, elle est innocente, c’est elle la victime ! Elle ne ferait pas de mal à une mouche ! Pas question de l’emmener au poste.
- Ca c’est ce que toi, tu crois. Elle a tiré de sang froid sur un homme.
- Un criminel qui avait essayé de la violer ! Il allait me tuer si elle n’était pas intervenue… Elle reste avec moi.
- Mais— »

Son collègue n’eut même pas le temps de répliquer, qu’un autre cria à Jake que Rosie allait mettre fin à ses jours. Jake se retourna rapidement se retrouvant face au pire scénario possible. Rosie pointait l’arme de service de Jake à sa tempe pleurant toutes les larmes de son corps.
Jake mit un certain temps à réagir ne réalisant toujours pas ce qu’il voyait. Rosie répliqua alors qu’elle était désolée, qu’elle ne voulait plus rester en vie et qu’elle l’aimait… Jake s’approcha lentement d’elle puis tendit sa main vers elle :


« Rosie, ce n’est pas la solution. Je sais ce qu’il s’est passé, j’étais là, et je sais que tu n’avais pas le choix Rosie. Il allait me tuer. Si tu n’étais pas arrivé, je serais mort maintenant, tu devais le faire. Ne fais pas ça, s’il te plait. Je ne me le pardonnerai jamais… »

Il s’approcha un peu plus d’elle, insistant :


« S’il te plait. » répéta-t-il d’un ton très sérieux.

Rosie était l’une de ses plus proches amies, si elle mourrait maintenant, il ne s’en remettrait pas. Déjà qu’il s’en voulait affreusement d’avoir laissé son arme au sol, de ne pas l’avoir protégé, de l’avoir fait vivre tout ça, si en plus elle se tuait maintenant, Jake ne pourrait pas le supporter.
Après une grande hésitation, elle posa enfin lentement l’arme dans la main de Jake.
Un des collègues de Jake se rapprocha d’eux, insistant :


« Elle doit venir avec nous au poste maintenant. »

Jake secoua la tête à présent agacé. Il se tourna vers son collègue et répondit sèchement :


« J’ai dis ‘non’.
- Jake, c’est ton travail, peu importe si la victime est ton amie ou non, elle doit être interrogé, on doit avoir plus d’informations. C’est ce que tu es censé faire, ta vie privée ne doit pas affecter ton travail, peu importe les circonstances. »

Jake le regarda quelques secondes puis baissa les yeux vers son arme, avant de prendre la main de son collègue et de lui la donner :


« Et bien alors ça sera sans moi… J’arrête tout. »

Il prit sa plaque de police puis la donna à son collègue.


« Alors quoi maintenant, tu vas m’arrêter ? » Ironisa-t-il.

Il se tourna vers Rosie, prit la veste au sol, l’entoura avec et posa son bras autour d’elle quittant la ruelle alors que les autres agents de police les regardaient bouche bée :


« On a plus rien à faire ici Rosie. » répliqua-t-il partant de la ruelle avec son amie.

Après tout ce qui venait de ce passait durant ces quelques minutes, c'est-à-dire, Mike, mon viol, sa mort, la blessure de Jake, rien de tout sa n’avait pas vraiment d’importance, j’étais encore plus sous le choc désormais. Comment Jake avait pu faire ceci ? Je connaissais Jake depuis bien longtemps, un ami, un tout, quelqu’un sur qui on peut compter n’importe quand. Je marchais avec lui en direction de la sortie de la ruelle. Puis je m’arrêtais sans la prévenir, lui tapais légèrement dans le dos et répliquais :

« Jake, comment peut tu faire ceci ? Sérieusement, on se connait depuis longtemps, et je te connais comme si c’étais moi qui t’avais fait petit ange ! Et il a une chose dont je suis sur; tu aimes ton métier encore plus que je ne sais pas quoi, alors ne gâche pas tout, tu n’as pas le droit de faire sa, surtout pour des bêtises comme celle-ci. »

Puis, je retournais sur mes pas, le regardant quelque fois au loin en espérant qu’il ne parte pas et qu’il m’attend normalement. J’arrivais devant ces collègues et tout sa allait devenir plus compliqué que prévu : « Bonjour messieurs ». Un léger silence entre nous, le temps qu’il me regarde sans que je ne dise rien. « Mademoiselle Vanderosieren, que pouvons nous faire pour vous ? ». « En réalité messieurs, oui. Je voudrais récupérer la plaque de monsieur Daniels s’il vous plait ». « Je suis vraiment désolé Rosie, mais nous ne pouvons vous donnais sa plaque; il est le seul et l’unique a pouvoir la récupérais ». Je poussais un léger soupir et les regardait droit dans les yeux : « Écoutez- moi bien messieurs, notre ami que nous avons en commun est juste derrière nous a m’attendre au fond de la ruelle, alors je vous prie de bien vouloir me croire, je ne veux pas être policier et surtout encore moins comme vous, je préférer garder ma place actuelle alors une dernière fois je vous demande sa plaque afin de pouvoir lui redonnais. ». Dans les yeux, je l’ai regardait et reprenais la plaque qui était posé sur une veste d’un des collègues de Jake. Cependant, un d’eux me pris par la main et m’arrêtais dans mon chemin, je me retournais presque collais contre lui et répliquais : « Je peux faire quelque chose pour vous ? ». « Oui, vous voulait la plaque de Jake, il va falloir me rendre un léger service ». « Je vous écoute … ». Il lâchait ma main se rapprochant encore plus de moi et il me chuchotait dans l’oriel : « Vous savait vous et moi dans un lit ». Je tournais ma tête vers Jake, qui n’entendais rien de tout ce que je pouvais dire, et puis je détournais mon regard de nouveau vers Newton son collègue et acquiescer de ma tête d’un signe qui voulait dire oui. Il me rendait enfin la plaque de Jake me chuchotant dans l’oriel : « A ce soir ma beauté et surtout, laisse ton maillot de bain, rien que sa avec un petit manteau pour le fun. ». Je me détournais et marchais dans la direction de Jake revenant vers lui je lui pris la main et mis sa plaque dans la tienne. Dans les yeux je lui disais :

« Écoute, je t’aime beaucoup mais je ne laisserais jamais personne te détruire surtout pas moi. Alors prend cette plaque, j’ai négocié avec tes collègues et je n’irais pas au commise ria d’accord. Fais-moi plaisir, tu reprends le travail demain d’accord ! Je lui souriais, puis le prit par la main et enfin nous sortons de la ruelle. Alors, je voulais te remercier mon Jake chéri ».

Je le regardais en attendant une réponse de sa part, et je me tournais regardant Newton qui me fit un signe de la main pour me dire de ne pas oubliais et de lui téléphoné. Puis je me retournais vers Jake, qui n’était au courant de rien.

« Sérieusement Jake, suis du genre à me laisser faire ? Ne répond pas à cette question finalement. Crois- moi, je te jure, ils ne m’ont rien demandé je te promets d’accord. J’ai seulement usait de mon sourire pour avoir ce que je veux, tu devrais me croire, tu es mon meilleur ami alors crois moi s’il te plait ». Bien sur, cette phrase sonnait faux, surtout venant de ma bouche mais je ne voulais pas que Jake s’inquiète pour moi, il en avait déjà assez fait pour moi aujourd’hui, même si il ne pouvait comprendre le choix que j’avais fait, il le fallait, il en avait besoins, plus que sa propre vie, plus que ma propre fierté. Je lui prenais la main, et je commençais a marché avec lui sans qu’il se doute de rien, puis dans un élan, je l’arrêtais et lui déposait un bisou sur sa joue et repris : « Oui Jake, je tiens à te remercier parce que sans toi je serais encore dans les bras de ce fou, sans comprendre ce qui m’arrive. Sans toi je ne serais plus la même a cette instant et ce n’est pas de ta faute si j’ai du tirer sur lui, je te remercie plus que tout mon ange. Comme on se l’est promis, plus que ma propre vie, je ne laisserais jamais quelque te blesser, tu t’en rappelle ? Et bien, ce matin, tu m’as prouvé tout ce que je voulais, je suppose que sa veut dire que tu tiens quand même a moi. ». Pour une fois, qu’on passait une soirée ensemble et un début de matinée c’était plutôt bien réussit, bien sur que non. Après une bonne semaine sans se voir voila comment on retrouve son meilleur ami, on reprenait la route vers la sortie de la ruelle quand mon portable commençait a sonnée, je le regardais dans les yeux : « Excuse-moi deux secondes d’accord ? ». Je m’éloignais de lui histoire de répondre, et le seul mot qu’il a pu entendre devait être : « Pas de problème, a ce soir ». Inutile de dire que c’était son collègue qui m’avait appelé. Je revenais vers Jake comme si de rien n’étais, je lui souriais en inventant une excuse nul, comme quoi c’était mon patron vu que j’étais stagiaire ect … Je continuais a avancer avec lui quand le bruit retentissait a nouveau, mais cette fois-ci, c’était autre qu’un message d’un numéro inconnue mais le même que tout a l’heure, je l’ouvrais alors que j’étais encore a coté de Jake et lit : « 207 ouest-padigton, ne soit pas en retard. Quatrième porte à droite et tu me trouveras nu dans mon lit, en train d’attendre une fille ultra bonne. PS : n’Oublie pas la chose sexy. Newton. ». Jake venait de voir le message et je le regardais dans les yeux, dedans, je voyais surement la déception de lui avoir menti, la colère qu’il avait contre moi et son collègue, la peur dans ces yeux, et la fureur. Je me mis devant lui et répliquais : « Jake, reste calme, reste avec moi. , je restais devant lui, le tenant par les épaules, essayant de le résonnait pour qu’il n’aille pas taper son collègue qui travailler dans la police on ne sait jamais ce qui pouvait se passer. Jake, Jake, reste la, on va s’en aller doucement de la ruelle sans se souciait d’eux d’accord, tranquillement, prend ma main et on y va. Je suis sincèrement désolé de t’avoir menti mais je ne voulais pas que tu t’inquiète pour moi, tu t’inquiète déjà beaucoup trop pour moi, tu as tes problèmes avant les miens d’accord? ». Je prenais sa mains, essayant de le tirais avec moi hors de la ruelle mais il devenait plus criasse que moi. « Jake, sa suffit maintenant, tu m’écoutes et tu me suis. Tu obéis a tata Rosie » Une légère touche d’humour même si rien ne paraissait marrant dans la situation a laque nous étions fasse mais je ne savais vraiment plus quoi faire, nous n’allions pas restait dans la ruelle toute la journée, je crois que j’ai passé le temps suffisant pour connaitre la peur, je déteste cette ruelle, surtout que je n’aimerais pas être au milieu de cette rue avec une veste FBI et un maillot de bain comme seule vêtement. Je le regardais dans les yeux, lui souriais en espérant que pour une fois il allait m’écouter.