Il était vers 15h, je n’avais rien à faire en quelque sorte depuis un an, je n’aimais pas vraiment sortir, même si grâce à ma meilleure amie et mon meilleur ami, j’allais mieux si on pouvait dire, mais je ne pouvais pas m’empêcher de penser à lui. Dire que j’essaye par tous les moyens de l’oublier, mais j’y arrive pas, c’est comme si qu’une partie de moi ne veut pas l’oublier. Une partie de moi ne veut pas l’oublier, c’est surement parce que je l’aime malgré moi. Faut que j’arrête de penser à ça et pour me changé les idées, je vais faire ma passion de toujours, la photographie. Je n’ai jamais réellement aimé la photographie, mais depuis un an, on dirait vraiment que c’est le seul moyen d’aller bien. Je sortie donc de l’appartement et je me dirigeai avec mon appareil photo dans la main à la place Argyle qui était très fréquenté par ceux qui habitait à Sidney, j’étais habillé d’une simple robe blanche, il faisait bon et je n’avais pas froid et fallait bien en profité car depuis quelque temps, la météo nous joue des tours. J’arrivais donc quelque minute plus tard, il y avait du monde, mais je n’aimais pas prendre des photos sans leur permission, ce qui est normal, pas vrai ? Je me dirigeai donc vers un couple qui était très mignon est leur demanda gentiment.


« Excusez moi de vous dérangé, je peux vous prendre en photo ? «
« Oui, bien sur mademoiselle ! «
« Super, merci ! «
 


Je pris donc mon appareil photo et pris plusieurs photo de ce couple qui avait l’air vraiment heureux, comment j’aurais eu envie d’être à leur place avec Damien, mais malheureusement pour moi, je crois bien que l’amour n’était sans doute pas fait pour moi, je ne sais même plus si un jour, je pourrais aimer de nouveau, ça serait vraiment un miracle, non ? Puis en regardant les photos que j’ai pris, je cru voir sur ces photos Damien, ça doit être une erreur, non, non, ne me dites pas qu’il est revenue, j’avais le cœur qui battait tellement vite, ce n’était pas possible que je prenne des photos comme ça et surtout que sur la photo que je viens de prendre, je relevais la tête et je me retrouvais en face de lui, comment réagir ? Même moi je ne savais pas.

Vous a-t-on déjà menti, jusqu'à vous briser le coeur ? Cela fait si mal qu'on sent que tout est si fragile, que les racines tout au fond de la terre vont venir s'agripper à nos chevilles, nous emporter avec elles.. C'est ce même sentiment que j'avais éprouvé il y a huit années de cela. On m'avait alors caché la maladie de ma chère mère, et lorsque j'ai réalisé qu'elle avait peut-être quelque chose de grave, il était trop tard. Elle était morte le matin même. Dans ces temps-là, on se dit que plus rien de bon n'arrivera. C'est comme si on m'avait arraché à la vie. Je me sentais si seul, et voilà que l'ambiance était distante entre mon père et moi. Après avoir vécu ce tragique événement, je ne comprends pas pourquoi j'ai fais de même avec mon ex-copine. Mélodie. Qu'est-ce que je l'aimais.. Elle était tout pour moi. Et j'ai fais la pire gaffe de toute ma vie. J'avais peur, je n'étais pas habitué à une telle relation.. alors j'ai décidé de partir. Si j'avais su à quel point je serais brisé.. À chaque journée, depuis un an, je pense à elle. Au fond de mon coeur, j'espère qu'elle n'est pas blessée, qu'elle a continué de vivre, pas comme je l'ai fais.

Aujourd'hui, j'ai décidé qu'une sortie s'imposait. Depuis mon retour, je ne suis pas sortie beaucoup, espérant que je ne croiserais pas Mélodie. Mais je dois revenir à la réalité et sortir de mon lit pour être courageux. À peine les pieds posés au sol, je sens un étrange sentiment m'envahir. Pas étonnant, avec toute cette alcool que j'ai complètement englouti. Mes pas sont chancelants jusqu'à la salle de bain, où une bonne douche me réveille. Après ma routine quotidienne, je sors enfin à l'extérieur. J'ai toutefois prévu le coup, et le soleil ne m'agresse pas grâce à mes Ray-Ban. J'ai opté cette fois pour un look ordinaire. Jeans && t-shirt bleu. Il fait chaud et la chaleur est bonne. Je me rendis donc à la place Argyle, me promenant lentement, prenant le temps d'admirer cette ville que j'aimais tant, et qui m'avait tant manqué. Qui sait, peut-être que Mélodie serait là. Après tout, ils venaient souvent ici avant, quand tout était rose et qu'ils vivaient encore le grand amour, celui avec un grand A, c'est pas peu dire. Mais comment savoir avec toutes ces personnes présentes ? Tant pis. Si ils se rencontraient, cela serait un hasard. Sinon, il continuerait ses recherches le lendemain.. mais il faut croire que la chance était en sa faveur. Quoi que..

Elle était là, debout au loin, prenant une photo d'un couple. Un vent de nostalgie me frappa de plein fouet. Ce sourire, ce regard si pétillant.


Flash Back

Nous étions sortis en grand pour notre premier anniversaire en tant que couple. Je l'avais emmené dans un restaurant chic, et plus tard, on se retrouvait chez elle, dans sa chambre. Je percevais l'amour autour de nous. Nous nous étions étendus sur son lit, et on était maintenant face à face. Nos mains étaient entrelacées et on ne bougeaient plus. On aurait pu entendre un insecte voler dans la pièce. Mes yeux ne cessaient d'admirer les siens. Je n'avais pas besoin de la toucher plus pour lui faire savoir que je l'aimais. Puis, tout d'un coup, les mots sont sortis de ma bouche.

« marie-moi. je veux dire, pas maintenant, on est jeune, mais un jour. je veux t'appartenir. je t'aime. »


Fin de Flash Back

J'avais besoin de Mélodie. Elle était ma vie, et je l'avais laissé tombé, comme ça, sans raison apparente. Je m'approchai doucement, tranquillement, comme pour ne pas l'effrayer. Lui faire voir que c'était bien moi, et qu'elle ne rêvait pas. Lorsque je fus plus près d'elle, je me risquai à lui parler.

« mélodie.. je suis désolé.. j'ignore quoi te dire.. »

C'était vrai, et je me sentais bien idiot. J'étais là, devant elle, et je me sentais.. intimidé ? Peut-être bien. Après tout, je n'allais tout de même pas revenir après un an en sautant dans ses bras et en lui avouant que j'avais fait la pire connerie de toute ma vie, non ?

Je ne m’étais pas réellement remis de ma séparation très brutale avec Damien, même je crois bien qu’il serait sans doute pour toujours dans mon cœur, c’était ma première histoire d’amour qui dura tellement longtemps, deux ans, ce n’est pas rien, pas vrai ? Une histoire tellement magique, mais qui c’est terminé très brutalement et ma réaction pendant un an était sans doute exagérer, mais je n’étais vraiment rien sans lui et de le voir en face de moi en ce moment même, je ne savais pas du tout quoi lui dire, surtout que la seule chose que j’ai envie de faire, c’est de lui foutre une claque pour qu’il comprend le mal qui m’a fait en partant en me laissant ce mot tellement débile qui voulait dire tout simplement oublie moi et refait ta vie. Je l’ai pris comme ça, il devait surement plus m’aimer pour me laisser du jour au lendemain, mais pourtant, un jour avant, il voulait qu’on se fiance et tout, franchement, je ne connaitrais surement jamais la raison de son départ, mais de l’avoir en face de moi, j’avais le cœur qui battait tellement vite, ça faisait longtemps que je n’avais pas ressentie ce sentiment tellement magique et intense, mais je ressens aussi de la souffrance, à qui la faute ? Damien sans doute, il hésitait donc à me dire quelque chose, puis même pas deux secondes plus tard, il me disait.



« mélodie.. je suis désolé.. j'ignore quoi te dire.. «


Il était désolé et il ignore quoi me dire ? Mélodie garde ton calme, respire et surtout reste de zen, c’Est-ce que je me disais en ce moment même. Il est désolé, il est vraiment sérieux, il est désolé de quoi, de m’avoir fait souffrir, de m’avoir lâché comme une merde, d’être partie du jour au lendemain ? S’il savait comment je lui en veux, sans doute, il n’aurait pas parlé, je lui répondis d’une voix froide.


« Tu es désolé de quoi ? De m’avoir abandonné lâchement, il y a 1 an ? De m’avoir brisé le cœur ? De m’avoir fait souffrir ? Si c’est pour ça, garde les tes excuses, j’en veux pas, il ne servirait sans doute pas car le mal que j’ai ressentie quand tu es partie est tellement fort, que même toi tu n’imagines pas comment j’ai pu être pendant un an, si tu savais comment je t’aimais sans doute, tu n’aurais pas parlé et sans doute tu n’aurais jamais du me parler pour me dire que tu étais désolé. «



J’avais tout simplement dit ce que je ressentais en ce moment même, enfin, pas tout réellement, je n’avais pas dit que je l’aimais comme une folle, que sans lui je n’étais rien que de le voir aujourd’hui me fit un bien fou, juste de le voir, sans doute j’ai de nouveau le sourire, mais la souffrance est tel que je veux qu’il comprend qu’il a fait la pire erreur de sa vie en partant sans me donné de nouvel.

Revoir Damien, ça faisait tellement bizarre de l’avoir en face de moi. J’avais qu’une seule envie, c’était de le prendre dans mes bras, mais je ne pouvais, il m’était interdit maintenant. Je ne pouvais plus me blottir contre lui, je ne pouvais plus l’embrassé de ces douces lèvres, mais pourtant je l’aimais d’un amour incontrôlable. Je savais que je ne pouvais lui pardonné, j’en étais incapable, il m’avait trop détruite, pourtant j’avais un espoir, juste un petit qui voulait dire que quoi qu’il arrive, je pourrais l’aimer toute ma vie, même si je refaisais ma vie avec quelqu’un d’autre, mais j’en étais incapable, malheureusement pour moi. Je le regardais, je lui avais dis ce que j’avais sur le cœur, mais pourtant je n’avais surement pas tout dit. Il me disait.


« je ne suis pas ici pour te demander quoi que ce soit. Je sais très bien que j'ai fais de graves erreurs, et je n'ai pas besoin de toi pour me le rappeler. J’avais seulement envie de te revoir. Je n'étais pas prêt à tout ça. Et même si je sais que tu m'en veux énormément, ce que je comprends parfaitement, je suis heureux de te voir enfin. Ne crois pas que cela a été facile pour moi. J’ai souffert, moi aussi. Mais j'étais obligé. Autrement, j'aurais sans doute pu tout foutre en l'air, bien plus encore que je ne l'ai fais. Lorsque j'ai réalisé que mon cœur était déchiré, je suis allé au bord du lac et j'ai crié. J’ai crié tout le mal que j'avais, de te savoir si loin de moi, de comprendre que j'avais fait une bêtise, que tu étais celle qui faisait battre mon cœur, qui remplissait mes poumons d'air, qui me donnait un deuxième souffle, un sens à ma vie. J’aimerais tant être un grand poète pour tout t'expliquer ce que j'ai ressenti, que tu puisses voir que tu as toujours été la seule. »


Je l’écoutais attentivement, je ne voulais surement pas qu’il voit ce qu’il venait me dire, m’avait touché. Je savais qu’il y avait eu quelque chose pour qu’il soit partie comme un lâche, mais pourtant, pour moi c’était évident, il devait sans doute plus m’aimé et ça me faisait mal de me l’avoué, mais c’était simplement la vérité. Je le regardais pendant un petit moment avant de baissé les yeux et de lui dire.


« Je veux savoir pourquoi tu es partie ? Pourquoi ? Qu’est-ce que j’ai fais de mal ? Toutes ces questions sans réponse Damien ! Pendant un an, j’étais perdu sans toi, je ne sortais même plus, je n’avais plus de vie, c’était comme si que tu avais pris une partie de moi, je m’en suis toujours pas remis, pourtant je n’ai jamais cessé de t’aimé depuis tout ce temps. «


Je le regardais à présent dans ces yeux si bleu, mais je ne pouvais pas me remettre avec lui, j’avais trop souffert pour lui accordé de nouveau ma confiance, je ne pouvais pas lui accordé de nouveau mon cœur, c’était bien trop dur pour moi.

L’amour, ce sentiment si fort et intense, mais qui me fait souffrir jour après jour ! Pourtant, Damien était pour moi, l’homme de ma vie. Je ne pouvais plus tomber amoureuse, il avait prit mon cœur et il me l’avait arraché. J’avais une partie de moi qui me manquait et tout ça par sa faute. Pourtant, j’avais envie de le prendre dans mes bras et de lui dire au combien je l’aimais et combien je ferai tout pour repartir à zéro, mais j’en étais incapable! Il m’avait trop détruite, j’étais trop anéanti. Je le regardais, ces yeux bleus que j’aimais tant, il me disait.

« Je pourrais te dire que je ne t'aimais plus, mais ça serait trop facile. La vérité, c'est que je t'aimais trop. Tout allait si vite que j'en ai perdu le fil. J’avais si peur de te perdre, qu'il t'arrive quelque chose. Je ne voulais pas me retrouver seul, sans toi. Pourtant, j'ai cru que ce serait la meilleure décision. Tu me faisais peur, dans un certain sens. Jamais je n'avais éprouvé quelque chose d'aussi fort avant. Et je n'étais pas certain de bien pouvoir gérer cet amour. Je suis donc partie en croyant qu'ainsi, je ne souffrirais plus de ma crainte de te voir partir. Mais c'était pire. Crois-moi, si j'avais su, je serais resté. À chaque jour, loin de toi, je me demandais comment tu réagissais, comment tu allais. Étais-tu malade ? Avais-tu un nouveau copain dans ta vie ? Étais-tu morte ? Après une année de réflexion, je n'en pouvais plus, et je suis retourné dans mon lieu d'origine, ici, où notre histoire a commencé. J’ai compris que je devais t'avoir près de moi, qu'ainsi, je devais profiter des moments sans penser à ce qui pourrait arriver. »


Oh mon dieu, ce n’est pas possible. Il est partie car il m’aimait trop et qu’il avait peur, peur de quoi ? Il avait cru que c’était la meilleure solution, il avait cru que c’était mieux ainsi, mais au combien c’était une erreur, si seulement, il m’en aurait parlé, peut-être que j’aurais pu l’aidé, je ne sais pas. Je l’aimais et je voulais que tout redevienne comme avant, mais j’en avais pas la force de toute recommencé. Je n’étais plus capable de vivre une nouvelle histoire d’amour. Même si c’était avec Damien, c’était lui qui m’avait brisé le cœur et je ne pourrais pas m’en remettre s’il partait comme il l’avait fait, je le regardai toujours dans ces beaux yeux bleus et je lui répondis.

« Tu aurais pu m’en parlé, Damien ! Tu aurais pu me le dire et on aurait essayé de voir le problème, mais non tu es partie ! Je n’ai pas réussi à refaire ma vie, je ne peux même plus aimer, t’es le seule que j’aime, j’ai jamais aimé quelqu’un comme toi, tu m’obsède, ça me fait peur de t’aimé comme ça, si tu savais ! Pourtant, je ne sais pas si je pourrais tout recommencer avec toi Damien, j’ai peur de te perdre à nouveau ! «

Je le regardais dans les yeux, j’avais une folle envie de l’embrassé, mais c’était impossible, il ne m’appartenait plus, je n’étais plus sa copine, même s’il m’aimait encore, nous deux c’est maintenant impossible, malheureusement pour nous !

Je ne pouvais pas céder, je ne pouvais pas tout simplement retomber dans ces bras. J’avais tellement peur qu’il me blesse à nouveau. Tellement peur qu’il part sans donner de nouvelle. Je l’aimais, malheureusement pour moi et tout simplement je sais bien que je ne pourrais rester en face de lui sans rien faire, c’était bien trop dur. Je le regardais toujours, comment on en ai arrivé là ? Pour gagné de nouveau ma confiance, il faudra du temps, ça j’en suis sur. Il me répondit.


« Si seulement tu savais. J’aurais aimé pouvoir te le dire, mais je n'en avais pas la force. Mais maintenant, je suis fort et je suis prêt à prendre mes responsabilités, et à t'aimer comme j'aurais dû le faire. Je sais, qu'au fond, il n'est pas trop tard. On peut encore réparer les blessures. Il suffit que tu y croies, toi aussi. »


Que j’y crois aussi, il m’a brisé le cœur, j’en souffre atrocement de l’avoir plus près de moi, mais je ne pouvais pas céder, c’était inconcevable. Je n’avais pas le droit, je ne pouvais pas. Je ne voulais plus souffrir, je ne voulais plus avoir cette peur au ventre. Oui, j’avais peur qu’il parte de nouveau, j’avais peur qu’il me laisse encore une fois, je le vis se rapproché de moi, j’avais le cœur qui battait tellement vite, j’avais les mains moites, il me regardait dans mes yeux, il me disait.


« Je t'aime Mélodie. Rien ne pourra jamais effacer cela »


À ces paroles, mon cœur battait encore plus vie, j’avais chaud et je ne savais vraiment pas quoi faire, il se rapprochait de plus en plus avant de m’embrassé. Qu’est-ce que ça m’avait manqué de l’embrassé, de sentir ces douces lèvres sur les miennes, j’étais au ange, mais je ne pouvais pas me laissé allé, je n’arrivais pas à me détendre, je le repoussais légèrement en lui disant.

« Désolé Damien, mais c’est bien trop tôt et je ne peux pas ! Je t’aime ça c’est sur, mais j’y arrive pas, je voudrais tellement me laissé aller et te faire de nouveau confiance, mais j’y arrive plus. «

Je m’approchais de lui et le prit dans mes bras, c’était la seule chose que j’était capable de faire rien d’autre, je n’étais pas prête pour l’embrassé ou quoi que ce soit d’autre, mais j’avais besoin de sa présence contre moi, de le sentir contre moi, je le serré fort, je ne voulais pas qu’il part, pas maintenant, je voudrais rester comme ça, le reste de ma vie, j’aimais tellement être dans ces bras.

Je ne pouvais pas le laissé m’embrasser alors qu’on était plus ensemble, même si j’en avais tant rêvé de ce moment, je ne pouvais pas. C’était comme si qu’il y avait un blocage, mais comment j’ai aimé la façon qu’il m’a embrassé, j’avais le cœur qui battait la chamade. Dire qu’il est le seul pour qui je ressens ça. J’aurais tellement voulu lui refaire confiance et de tout recommencé, mais est-ce que mon cœur en aie capable, j’en doute. Il me disait.


« Je t'attendrai. Tu pourras toujours compter sur moi désormais. »


Il m’attendrait et je pouvais compter sur lui désormais, je souris pendant un petit moment, j’aimais l’avoir près de moi comme ça, je l’aimais et je ne pouvais pas le nié et je ne pouvais pas nier qu’il m’avait énormément manqué pendant tout ce temps, pourtant, je ne sais pas, mais j’ai envie de rattrapé le temps perdu. Il me disait ensuite.


« Alors, qu'est-ce que tu es devenue depuis tout ce temps ? »


Mais avant de me dire ça, je m’étais détaché de lui et il m’avait amené sous un arbre tout près et on s’assit à coté, qu’est-ce que j’étais devenue depuis tout ce temps, franchement, je n’en sais rien, je ne sais même pas ce que je suis devenue, c’est grave, non ? Je le regardais dans les yeux et lui répondis.


[color:fdb9=rosy brown]« Ce que je suis devenue, une photographe aimé et toi depuis tout ce temps ? «


Je lui souris, je le regardais dans les yeux et je me rappel d’un souvenir, c’était notre première fois en tant que couple, c’était tellement magique peut-être que j’aurais du me laissé allé car maintenant, j’ai une folle envie de l’embrassé, oui, je veux l’embrassé, mais je préfère attendre un peu. Je le regardais et m’approchais de lui pour me blottir contre lui. Je voulais tout simplement rattrapé le temps perdu, surtout pour l’avoir contre moi, c’Est-ce que je voulais à présent, je le regardais dans les yeux et sans doute sans le vouloir réellement, mais plus tôt car j’étais trop tenté, je m’approchais de lui et déposait mes lèvres sur les siennes, ce n’était pas le même baisé que tout à l’heure, il était bien plus amoureux et fougueux, je passais, mes mains autour de son cou et il les plaça sur ma taille, je prolongeais le baisé, mais il devenait bien plus sauvage qu’au début, ça m’avait manqué de ne plus l’embrassé comme ça.

« Photographe ? Ça ne m'étonne pas de toi, tu fais de si belles photos, personne ne peut rester de glace devant ton talent. Moi ? Et bien, je suis toujours aux études, en littérature. J’aimerais bien me laisser tenter par l'enseignement. J’ai toujours rêvé d'apprendre ce que je sais aux plus jeunes, et que je leur fasse découvrir ma passion. Mais bon, on verra bien ce qui arrivera. Sinon, je suis barman le soir. »


Ce qui me répondit, il avait que ça à me raconté. J’avoue que je n’aurais pas trop envie qu’il me raconte si il avait eu des copines ou des histoires d’un soir, ça ne m’intéressais pas et je ne voulais sans doute pas du tout savoir car pour moi, ça me ferai plus de mal qu’autre chose. J’en ai eu des histoires d’une nuit, mais ce n’est tout pas plus. Je n’ai pas eu de petit copain, je m’amusais plus tôt à cumulé les conquêtes, malheureusement pour moi, je répondis !


« Oui, photographe, mon rêve quoi ! Ho merci beaucoup Damien (l). Littérature, ça ne m’étonne pas, tu as toujours aimé l’enseignement, j’en suis sur que tu vas réussir, enfin je l’espère pour toi ! «


Je lui souris avant d’avoir une pulsion et de l’embrassé très passionnément ce qui n’était pas vraiment mon genre, mais j’en avais tellement envie que je ne me contrôlais même plus ce qui peut être bizarre car j’étais une coincé si on pouvait dire quand je sortais avec Damien et là, je ne l’étais plus, je l’avoue. Je ne sais pas ce qui me prit, c’étais surement mes hormones qui me travaillait, il m’allongeait sur l’herbe lui sur moi, mes jambes autour de sa taille, si on aurait été dans un autre endroit, j’aurais peut-être fais plus, mais je ne voulais pas qu’on nous voit surtout pour faire ces choses pas catholiques du tout, je sentis sa main passait en dessous de ma robe et sur ma fesse, je me retenais de ne pas céder complètement, je me détachais de lui, j’étais légèrement gênée, mais surtout essoufflé de notre baisé, je le regardais et me mis en califourchu sur lui et lui murmura.


« Ce n’est pas une bonne idée Damien, surtout dans l’herbe ! Désolé d’avoir agi comme ça, mais je ne me suis pas controlée ! «


Je restais comme ça sur lui et profité de ce moment, même si maintenant je crois bien qu’’on est de nouveau ensemble, je ne voulais pas m’envoyé en l’air devant tout le monde, je suis encore pudique vous !

Qui aurait cru que j’allais avoir envie de lui ? Surtout qu’on ne s’était toujours pas remis ensemble. J’ai jamais eu de réelle pulsion comme ça, mais c’était Damien, je l’aimais et on peut dire qu’il avait réussit à me redonné envie en quelque sorte. Je savais qu’il allait mal le prendre, mais ce n’était pas ma faute, il y avait beaucoup de monde qui passait et plusieurs personne nous avait fusillait du regard en quelque sorte. Je le regardais sans vraiment comprendre car il me dit.


« Suis-moi »


Il m’emmena dans un hôtel pas très loin Il savait ce qu’il voulait en tout cas. Je le vis payait une chambre d’hôtel et on se dirigea vers celle-ci. On arriva devant la porte de l’hôtel et il me fit entré la première. La chambre était simple, mais très luxueuse comme même. Je le vis s’approché de moi et il ne perdait même pas de temps, il commençait à m’embrassé dans le cou, qu’est-ce que j’aimais ces baisé dans le cou, je frissonnais à chaque baisé qu’il déposait, il ne se gênait surtout pas pour baladé ces mains sans scrupule sous ma robe. L’envie montait en moi petit à petit. Il retira ensuite ma robe, j’étais en sous vêtement devant lui. Il me regardait et il me dit.


« Fais-moi l'amour, je t'en pris »


Que répondre à ça franchement. Il voulait que je lui fasse l’amour, je ne m’attendais surement pas qu’il me le demande. Je le regardais intensément et je me rapprochais de lui, comblant les quelques centimètre qui nous séparait et me collait contre lui et l’embrassait fougueusement, en passant mes mains en dessous de son tee-shirt avant de lui retiré. Je le poussais sur le lit. Je me mis en califourchu et continuai de l’embrassé très passionnément, sans quitté ces lèvres, j’essayais tant bien que mal de déboutonnais son jean, mais je n’y arrivais pas. Pas facile de l’embrassé et d’essayé de déboutonner son jean. Je détachais quelque chose mes lèvres des siennes et défis la ceinture de son jean avant de lui retiré complètement. Maintenant, on était à égalité ! Je commençais donc à l’embrassé sur son torse, profitant de ce moment tellement magique et intense. Je sentais ces mains se balader sur tout mon corps, qui montait de plus en plus l’envie de sentir sa peau contre la mienne, de le sentir en moi. Toujours sur lui, il dégrafa mon soutien gorge et il m’avait fait basculé sur le lit, lui sur moi, mes jambes autour de sa taille, me collant contre lui, profitant de ces caresses …

Nous n'étions toujours pas ensemble, mais il faut croire que nos pulsions étaient trop fortes. Dans les films, on voyait souvent des couples faire l'amour après une longue dispute. Dans notre cas, c'était plutôt le manque du corps de l'autre, de notre passé.. tout en sachant que ce n'était pas un engagement. Soit, c'est à ce moment que je la "supplia" de me faire l'amour. En temps normal, je ne lui aurais pas demandé. Après tout, on savait tous les deux ce qu'on venait faire ici, dans cette chambre. Seulement, je voulais lui faire comprendre par ces mots que je ne partirais pas, qu'elle était importante pour moi et que les gestes que l'on poseraient ne me seraient pas indifférents, qu'ils avaient une certaine valeur à mes yeux. Et puis, elle pouvait comprendre par là que ce n'était pas rien qu'une petite histoire qui allait se finir bien vite. Après tout, il y a une grande différence entre "faire l'amour" et "baiser". Je baise lorsque je sors et que je trouve une fille. Je n'ai fais l'amour qu'avec Mélodie.

Je voyais à son regard qu'elle n'allait pas arrêter, alors je n'eus pas de craintes qu'elle stoppe encore tout. Mélodie se rapprocha donc de moi et m'embrassa avec passion. Je la laissai me retirer mon t-shirt et me retrouvai rapidement allongé sur le lit. La regardant dans les yeux, j'eus un petit sourire alors qu'elle venait se mettre à califourchon sur moi. J'adorais ses baisers, ils m'avaient tant manqué. C'était de simples détails qui apparaissaient pourtant si importants à mes yeux depuis que je les avais perdus. Avant, je n'en était pas conscient. J'étais amoureux mais l'habitude avait caché quelques détails qui me revenaient enfin. Alors qu'elle m'embrassait, je pouvais sentir ses mains sur mon jean, tentant de le détacher. J'allais l'aider lorsqu'elle stoppa le baiser pour mieux se concentrer. Mon attention entièrement porté sur elle, je souris alors qu'elle avait réussi et frissonna sous ses baisers sur mon torse, j'adorais cela. Pendant ce temps, mes mains continuaient de se balader sur son corps et j'en profita pour aller dégrafer son soutien-gorge, lui retirant pour le laisser ensuite tomber sur le sol. Je bascula alors sur le lit pour me retrouver sur elle, voulant reprendre les choses en main. Mes lèvres se promenaient sur son cou, descendant sur l'un de ses seins, profitant de cette "pause" pour jouer avec son corps, faire monter le désir en elle tout comme il le faisait en moi. Pendant ce temps, j'aventurais une main sur l'une de ses jambes qui était autour de ma taille. La dirigeant jusqu'à ses fesses, doucement, je me recula afin de lui retirer son dernier vêtement, et le mien par la même occasion. Nous étions donc tous les deux dans une tenue d'Adam et d'Ève. Sous une forte pulsion, je revins me coller contre son corps, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus un seul millimètre qui nous sépare. Mes lèvres se joignirent aux siennes chaudement. L'atmosphère avait changé. J'avais envie d'elle comme jamais, elle pouvait d'ailleurs le sentir entre ses cuisses. On resta ainsi pendant quelques minutes. Je souhaitais profiter pleinement de ce moment alors je m'éloigna et la regarda dans les yeux tandis que je descendais sur son corps pour en arriver à sa meilleure zone érogène. La laissant languir, je posai mes lèvres sur l'intérieur de sa cuisse, m'approchant très lentement de son sexe. Ma langue la caressa enfin et je m'appliquai à lui donner assez de plaisir pour la préparer à me recevoir, pour éveiller tous ses sens.

Qui aurait cru qu’on allait avoir envie l’un de l’autre comme ça. Moi, je ne l’aurais pas cru, mais pourtant c’est ce qui se passe en ce moment même. Je ne sais pas pourquoi, mais j’en avais besoin. J’avais besoin de l’embrassé, de l’avoir contre moi. On ne s’était toujours pas remis ensemble et on va coucher ensemble, est-ce pas un peu abusé, non ? Pourtant, pour moi, si ça l’es, mais j’en aie tellement envie que la tentation est bien trop forte pour le repoussé ou quoi que ce soit d’autre. On était deux à en avoir tellement envie. On s’embrassait déjà bien passionnément, je voulais que ce moment dur des années, je ne voulais pas du tout que ça s’arrête. On continua de nous embrassé et on se déshabillait de plus en plus, je me retrouvais en dessous de lui et je profitais du plaisir de ces caresses sur mon corps. J’en mourrais d’envie qu’il continuait, je me contrôlais le mieux que je pouvais pour ne pas gémir ou tout simplement poussé un soupir de plaisir. C’était plaisant de savoir qu’il avait autant envie que moi. On était à présent nu, tenue d’Eve et Adam. Je voulais que ce moment s’arrête tellement que c’était bon, on se regardait pendant un long moment dans les yeux, surement parce que ça voulait dire qu’on était sincère dans nos gestes et ça prouvait qu’on s’aimait réellement. Il se rapprochait de moi, il était à quelque centimètre de moi et je pouvais sentir qu’il en pouvait pu, mais pourtant, il faisait tout son possible pour que je le supplie, je vis qui descendais sur mon corps pour en arriver à ma zone érogène, il posa ces lèvres sur l'intérieur de ma cuisse, m'approchant très lentement de son sexe. Sa langue la caressa enfin et m'appliquai à me donner assez de plaisir pour la préparer à me recevoir, pour éveiller tous mes sens. Je me retenais le mieux que possible de poussé un long soupire, mais je ne pus retenir trop longtemps, je soupirais de plaisir et murmurais.


« Damiiiiennnnnn ! «


J’en pouvais plus, je le voulais maintenant tout de suite, je le vis ensuite remonté à mes lèvres et de m’embrassé le plus amoureusement possible, je voulais qu’il rentre en moi, qu’il me fasse l’amour, j’en avais envie, je le voulais tout simplement. Je prolongeais le baisé et sans que je m’y attend surtout, il rentra en moi tout doucement et il commençait ces va et viens que j’aimais tant, je m’agrippai du mieux que je pouvais à lui, me collant contre lui pour ressentir encore plus de plaisir, il continuait ces va et viens qui devait de plus en plus vite et je pouvais m’empêché de soupirai et crié son prénom, je n’avais jamais cru dire ça un jour, mais j’aime m’envoyé en l’air avec Damien, il m’avait tant manqué et de le retrouvé dans toute les formes, j’en avais besoin.

Si, c'était abusé, mais notre attirance pour l'autre, tout du moins physique, avait survécu à notre rupture. J'aurais pu me retenir mais, Mélodie en ayant tout autant envie que moi, et étant un homme aux hormones assez fragiles, je ne l'ai pas fait et c'est ainsi que l'on se retrouva dans ce grand lit confortable, nus, m'amusant avec son corps. Au lit, je n'étais pas égoïste, loin de là. J'adorais procurer du plaisir à l'autre et ce, sans en demander davantage. Juste voir la personne en extase me comblait. D'ailleurs, continuant toujours, gardant les yeux levés vers elle pour voir ses réactions, je ne pus m'empêcher de sourire de satisfaction en la voyant se retenir, quoique ce ne fut pas bien long.

« Damiiiiennnnnn ! »

S'en était trop. Je n'en pouvais plus, je voulais me retrouver en elle, sentir la chaleur autour de mon membre, ne former plus qu'un avec Mélodie. Alors, pour nous combler tous les deux, je revins sur elle et l'embrassai amoureusement. Je sentais sa poitrine contre mon torse, son bassin contre le mien. Facilement, me souvenant parfaitement de son corps, je n'eus pas de mal à me positionner pour entrer en elle. Les va-et-vient étaient lents pour le début, alors que j'en profitais pour poser mes lèvres sur sa poitrine. Tout était naturel, comme si nous n'avions jamais été séparés. Je ressentais un bien fou alors que je continuais d'accélérer les mouvements. Je la sentais s'aggriper à moi, si bien que je pouvais parfois sentir quelques ongles érafler la peau de mes épaules et de mon dos. Mélodie criait mon prénom, c'était bon. Une mince couche de sueur commençait à se répendre sur nos corps. C'est alors que je me retourna dans le lit pour qu'elle soit sur moi, pouvant ainsi glisser une main entre nous pour aller jouer avec son clitoris pour lui faire atteindre le septième ciel. Vers la fin, épuisés, je sentis son entre chaud et humide se contracter autour de mon sexe, et au gémissement qu'elle poussa, je compris qu'elle venait d'avoir son orgasme. Assez fier de moi, et parce que son plaisir augmentait le mien, je ne tarda pas non plus à venir en elle.

C'est juste alors que je compris que quelque chose n'allait pas. J'ignorais si Mélodie s'en était apperçu. Et le préservatif ? Oh non. J'attendis qu'elle se retire et qu'elle s'étende dans le lit, à mes côtés, pour me redresser. Je passai ma main dans mes cheveux humides et soupirai gravement avant de me lever afin de me rendre dans la salle de bain. Je n'en ressortis que quelques minutes plus tard, le visage pâle, et j'enfilai mon boxer pour m'asseoir sur le lit, où Mélodie n'avait pas bougé.

« dis-moi.. tu prends la pilule, hein ? »

Si elle n'avait pas comprit, elle n'allait pas rester de glace devant cette question.

La pire erreur de ma vie, c’est d’avoir sans doute coucher avec Damien sans protection. On n’avait pas réalisé pendant l’acte, mais après j’avais compris qu’il y avait un problème et j’avais tout simplement ressentit quand il s’était évacué en moi. Il s’était levé et il était partie dans la salle de bain et je repensais ce qu’on avait fais, on aurait jamais du. Surtout que j’ai peur de tombé enceinte maintenant. Oui, vous l’avez compris, je ne prenais plus la pilule depuis quelque temps parce que je ne pensais pas avoir de rapport, mais je me suis bien trompé, j’avais honte de moi et surtout j’avais peur. Pourquoi, j’avais envie de lui ? Je ne suis pas comme ça d’habitude, je suis loin d’être une fille qui aime s’envoyé en l’air, mais c’était trop tentant avec Damien, je l’aimais et j’en avais surement terriblement envie. Même si je ne suis pas prêt à lui redonné ma confiance, le faite d’avoir fait ça avec lui, ça m’a prouvé que c’était sans doute le seule ou je prenais sans doute mon pied. J’étais toujours allongé sur le lit dans mes pensées quand j’entendis Damien arrivé et me demandé.


« Dis-moi. Tu prends la pilule, hein ? »


Oh mon dieu ne me dite pas qu’il vient de me posté cette question. Comment va-t-il réagir quand il va apprendre que je ne la prends plus et que surtout, je suis susceptible de tombé enceinte et surtout de lui. Pourquoi ça m’arrivai qu’a moi, c’est genre de chose, j’avais changé de regard, on pouvait voir de la peur et surtout du stresse, je ne savais pas vraiment comment lui dire, mais je devais être sincère, je me levais pour remettre mes sous-vêtements et ma robe, je n’aimais pas resté toute nu devant lui, mais bon, je m’assis sur le lit, je baissai la tête et lui répondit d’une toute petite voix.


« Je ne la prends plus depuis une semaine, je ne croyais pas avoir une relation sexuelle, mais je me suis bien trompé, t’inquiète pas, je vais faire un test et si c’est positif, je te tiendrais au courant et surtout j’avorterais, je ne veux pas te faire fuir encore une fois, désolé … «


J’avais toujours là tête baissé, honteuse de ne pas l’avoir pris et surtout j’aurais du lui dire qu’il se protège au lieu de ça, maintenant si je tombe enceinte, j’assumerais tout simplement, je ne suis pas une gamine, mais je n’ai que 21 ans et assumé un enfant, c’est peut-être bien trop tôt surtout avec Damien, non ?

Je m'en voulais terriblement. Je n'oubliais jamais de mettre un préservatif. Même en deux en tant que couple avec Mélodie, je ne l'avais jamais oublié, sauf lorsque l'on s'était mis d'accord pour ne plus en mettre. Mais ce n'était plus pareil, et je m'inquiétais. Avant, je savais qu'elle prenait la pilule, et qu'elle ne pouvait donc pas être enceinte, mais maintenant, peut-être cela avait-il changé.

« je ne la prends plus depuis une semaine, je ne croyais pas avoir une relation sexuelle, mais je me suis bien trompé, t’inquiète pas, je vais faire un test et si c’est positif, je te tiendrais au courant et surtout j’avorterais, je ne veux pas te faire fuir encore une fois, désolé … »

Cette déclaration me choqua totalement. Nous en avions déjà parlé dans le passé, et je croyais qu'elle s'en souvenait, mais il faut croire que non. Je pris un moment avant de lui répondre. Je n'étais plus certain de rien.. Oui, je l'aimais, mais avoir un enfant.. Enfin, j'étais prêt à être père, mais je souhaitais une relation stable avant. Et la situation n'était pas du tout idéale pour que l'on ait un bébé. Après tout, un enfant, il faut s'en occuper tout le temps. Fini les nuits complètes et les sorties le week-end. Soit. Toujours assis sur le lit, je m'approchai un peu d'elle, doucement, et passai quelques doigts sous son menton pour lui relever avec tendresse.

« je t'en pris, ne fais pas ça.. n'avorte pas.. je serai là. je serai toujours là, quoi qu'il arrive. je suis capable d'assumer et, si tu ne veux pas de ce bébé, je le garderai. et si tu ne veux absolument pas être enceinte, je serai là pour toi, pour t'aider.. et ne soit pas désolé, c'est autant de ma faute. j'aurais dû porter un préservatif, alors on est tout les deux impliqués dans cette histoire. »

Je savais qu'elle ne me ferait pas confiance de si tôt, mais c'était important pour moi de lui montrer que je resterais toujours, que je n'allais pas fuir seulement car elle était enceinte. Et même si elle ne l'était pas, je ne partirais pas. Je l'aime, et je n'ai pas dit mon dernier mot.

Tombait enceinte à 21 ans, ce n’est pas la mort pourtant, mais tombé enceinte de ton ex petit ami car tu n’as pas su te contrôlé devant lui, je suis 100 % coupable et si je tombe enceinte, je devais sans doute assumer, mais je ne me vois pas me remettre avec lui car je suis enceinte et c’est lui le père, il ne faut pas exagérer, moi je dis ! Pourquoi a-t-il fallu que je couche avec lui ? Pourtant, d’habitude, je sais me contrôler, je crois bien la première fois que je fais une erreur pareil. J’avais toujours la tête baissé, puis il me la releva et me regardait dans les yeux et il me disait.


« Je t'en pris, ne fais pas ça. N’avorte pas. Je serai là. Je serai toujours là, quoi qu'il arrive. Je suis capable d'assumer et, si tu ne veux pas de ce bébé, je le garderai. Et si tu ne veux absolument pas être enceinte, je serai là pour toi, pour t'aider. Et ne soit pas désolé, c'est autant de ma faute. J’aurais dû porter un préservatif, alors on est tout les deux impliqués dans cette histoire. »


Il ne veut pas que j’avorte, il me dit qu’il sera là pour moi. Désolé, mais je ne peux pas le croire, je n’ai sans doute plus du tout confiance en lui tout simplement, il ne comprends pas qu’on se mettra sans doute plus jamais ensemble, c’est bien beau de rêvé, mais le faites que je n’ai plus confiance en lui et tant qu’il me redonne confiance, je sens que ça ne pourrait jamais ce faire, je l’aime certes, mais l’amour sans confiance, pour moi, ce n’est pas de l’amour, je lui répondis.


« Je suis prête à être mère à 21 ans, mais avec toi, je ne sais plus Damien ! Je t’aime certes, mais sans la confiance, je ne peux pas ! Désolé, mais il me faudrait vraiment du temps pour que je te crois, qui me dit que tu ne partiras pas une seconde fois sans me donné de nouvel et si je suis enceinte et tu pars, qu’est-ce que je vais faire ? Je ne peux pas l’assumé toute seule, ça s’est sur ! J’en aie marre, je veux te refaire confiance … «


Je lui avais tout simplement répondu ça, je ne savais pas pourquoi, mais je devais sans doute lui dire ce que j’avais sur le cœur, même si il pouvait s’énervé à l’entente de ces mots, il devait surement savoir que pour ravoir ma confiance, il faudrait qu’il me prouve par tous les moyens qu’il est près de me récupéré, mais j’en doute …

J'en avais assez, tout simplement. J'aurais aimé pouvoir passer un test devant elle qui aurait prouvé que je ne mentais pas. Qu'elle puisse lire dans mes pensées. N'importe quoi pourvu que cela fonctionne. Mais il n'y avait rien à faire.. Après tout, comment regagner sa confiance ? Je n'étais pas un maître là-dedans. Je n'avais aucune idée de comment faire. Si seulement ma mère était encore vivante. J'aurais pu lui demander des conseils.. mais ce n'était plus le cas, malheureusement. Soupirant, j'écoutai Mélodie parler.

« je suis prête à être mère à 21 ans, mais avec toi, je ne sais plus Damien ! je t’aime certes, mais sans la confiance, je ne peux pas ! désolé, mais il me faudrait vraiment du temps pour que je te crois, qui me dit que tu ne partiras pas une seconde fois sans me donné de nouvel et si je suis enceinte et tu pars, qu’est-ce que je vais faire ? je ne peux pas l’assumé toute seule, ça s’est sur ! j’en aie marre, je veux te refaire confiance … »

Ces paroles me choquèrent. Bien que je savais déjà qu'elle n'avait plus confiance en moi, cela me faisait toujours mal de l'entendre. Alors, elle croyait vraiment que j'allais partir alors qu'elle serait enceinte ? J'étais énervé qu'elle me croit comme cela. Je n'étais pas quelqu'un de mal, bon sang ! J'avais seulement fait une erreur. Qui n'en fait pas ? Et, quand c'est l'autre qui fait une erreur, pourquoi s'acharne-t-on sur lui ? Mélodie en a fait des erreurs dans sa vie, même lorsque nous étions un couple, et je suis toujours passé par-dessus. Me levant du lit, j'enfilai mes vêtements rapidement et marchai vers la porte, dans l'intention de partir. Je n'avais plus rien à faire ici. Alors que j'empoignais la poignée de la porte, dos à Mélodie, je pris un instant. Je ne pouvais pas encore partir comme ça.. Pourquoi tout abandonner maintenant ? Je devais me montrer fort. Pour elle. Pour moi. Pour nous. Soupirant, je lâchai la poignée et me retournai vers Mélodie.

« que faut-il que je fasse, hein ? pour te faire comprendre à quel point je t'aime, et que cet amour m'empêche de partir à nouveau ? je ne veux pas refaire un couple avec toi parce que tu risques d'être enceinte. tu es la seule au monde que je veux. sans toi, je suis perdu. j'ai fais une erreur, oui, mais tout le monde en fait. et puis, pourquoi serais-je ici, à essayer de me racheter auprès de toi, à souffrir parce que tu ne veux plus de moi, si ça serait pour repartir encore et te faire la même chose ? je ne suis pas idiot. si je voudrais quitter une fille ainsi, j'en prendrais une autre que toi, je ne m'acharnerais pas pour ça. c'est ça l'amour ; il faut savoir pardonner et oublier. bien sûr, je ne te demande pas de tout oublier du jour au lendemain, ce n'est pas ce que je veux. la seule chose qui m'importe, c'est d'avoir ta confiance, que cela commence au minimum mais que ça soit déjà ça. si tu savais à quel point je te veux du bien, tu ne douterais pas une seconde. »

Il ne comprend pas que je ne sais plus du tout où j’en suis. Pendant un an, je m’imaginais qu’il reviendrait et j’imaginais sans doute ma réaction, mais jamais j’aurais cru que ça allait être comme ça. Je n’ai pas envie de me disputé avec lui, mais pourtant, je sais bien qu’il m’aime et qu’il veut tout faire pour se pardonner, mais moi dans tout ça ? Personne n’a compris qu’il m’a détruite, que je ne sais plus du tout celle que je suis, je me demande même si je suis encore en vie, peut-être physiquement, mais moralement, je ne préfère, mais pas dire comment je suis, je le vis se rhabillé vite et de se dirigé vers la porte, si il sort de cette chambre, j’assumerais tout seule et qu’il ne vient pas me dire qu’il veut que tout soit comme avant car pour moi, ce qu’il venait de faire, me mit hors de moi, il se retourna à la dernière minute et me dit.


« Que faut-il que je fasse, hein ? Pour te faire comprendre à quel point je t'aime, et que cet amour m'empêche de partir à nouveau ? Je ne veux pas refaire un couple avec toi parce que tu risques d'être enceinte. Tu es la seule au monde que je veux. Sans toi, je suis perdu. J’ai fais une erreur, oui, mais tout le monde en fait. Et puis, pourquoi serais-je ici, à essayer de me racheter auprès de toi, à souffrir parce que tu ne veux plus de moi, si ça serait pour repartir encore et te faire la même chose ? Je ne suis pas idiot. Si je voudrais quitter une fille ainsi, j'en prendrais une autre que toi, je ne m'acharnerais pas pour ça. C’est ça l'amour ; il faut savoir pardonner et oublier. Bien sûr, je ne te demande pas de tout oublier du jour au lendemain, ce n'est pas ce que je veux. La seule chose qui m'importe, c'est d'avoir ta confiance, que cela commence au minimum mais que ça soit déjà ça. Si tu savais à quel point je te veux du bien, tu ne douterais pas une seconde. »


Il me demandait ce qu’il fallait faire pour me faire comprendre à quel point qu’il m’aimait, certes, il m’aimait et ça j’en doutais même pas une seconde, mais comment le croire, oui, je suis perdu en ce moment même. Je ne sais plus du tout quoi faire, je me levais et me dirigeai vers lui et posais ma main sur la sienne et lui répondit.


« Tout le monde fait des erreurs ? La mienne, c’est sans doute de ne pas arrivé à te refaire confiance, je ne te promets rien, mais j’essayerai de te faire confiance à nouveau car sans toi je ne suis rien et je ne veux pas te perdre une seconde fois, mais pour que je te pardonnes, je ne pense pas que je pourrais maintenant ou même dans deux ou trois mois, même si je t’aime, mon cœur refuse de te pardonné, mais me laisse te donné une dernière chance et sans doute la dernière. «

Je n'en pouvais plus. Je voulais sortir de cet chambre. L'ambiance n'était plus du tout la même. Qu'est-ce que j'aurais donné pour que tout soit comme avant. Je voulais me retrouver à nouveau dans ce lit, la prendre dans mes bras, l'embrasser aussi. Que la suite de ce moment soit plus magique qu'elle ne l'était maintenant. Toute la magie avait disparue pour laisser place à une grande discussion. J'allais partir lorsque je me retins de le faire. Je n'allais quand même pas recommencer ! M'interdisant de le faire et d'affronter Mélodie, c'est ce que je fis. À la fin de mon discours, je soutins son regard. Je t'en pris, ma belle, lis au plus profond de mon âme que je ne mens pas.. Elle venait vers moi, doucement. Je ne bougeais pas. Je sentis sa main se poser sur la mienne.

« tout le monde fait des erreurs ? la mienne, c’est sans doute de ne pas arriver à te refaire confiance, je ne te promets rien, mais j’essayerai de te faire confiance à nouveau car sans toi je ne suis rien et je ne veux pas te perdre une seconde fois, mais pour que je te pardonnes, je ne pense pas que je pourrais maintenant ou même dans deux ou trois mois, même si je t’aime, mon cœur refuse de te pardonné, mais me laisse te donné une dernière chance et sans doute la dernière. »

« tu ne regretteras pas ton choix »

Ses paroles avaient apaisé les déchirures de mon coeur. Je ne flottais pas totalement, mais j'étais mieux. Ainsi, elle me donnait une chance, une dernière. Certes, elle ne me faisait pas toujours confiance, mais elle m'avait promis d'essayer. Elle avait fait le bon choix. Maintenant que nous en étions rendus là, je n'avais surtout pas l'intention de prendre la porte et de fuir comme un idiot. Sans prendre la peine de me demander si c'était la bonne façon d'agir, je l'attirai doucement vers moi et posai ma main libre sur sa hanche après avoir repoussé quelques mèches de ses cheveux dans son visage. Puis, je l'embrassai, avec passion et tendresse en même temps. Je souffrais tellement de ne plus pouvoir dire qu'elle était à moi. Elle me manquait tant. À la fin de ce baiser, je lui souris, confiant, et la ramenai sur le lit où l'on s'étendit sous les couvertures. J'avais besoin de me retrouver seul avec elle. Gardant l'une de ses mains dans la mienne, j'entrelaçai nos doigts ensemble, comme en signe d'engagement.

« dis-moi, j'ai raté beaucoup de choses dans ta vie, cette dernière année ? »

Je voulais tout savoir sur elle. Rattraper le temps perdu.

Je lui ai donné une dernière chance, est-ce une bonne idée ? Je verrais bien par la suite, mais je l’aimais et je ne pouvais vivre sans lui. Même si lui refaire confiance ne sera pas facile, j’y arriverais avec le temps enfin j’espère, enfin en espérant que je ne tombe pas enceinte. De toute façon on verra avec le temps, non ? Je le regardais et il m’avait répondu.


« Tu ne regretteras pas ton choix »


J’espère sincèrement que j’ai fais le bon choix que je ne vais pas être blessé de nouveau ou encore souffrir, je sais comment il m’aime, mais l’amour ne fait pas tout et sans la confiance, on peut vraiment arriver à rien, mais je sais si je me laisse allé peut-être que je pourrais enfin faire de nouveau confiance à Damien, enfin j’espère. Je ne m’attendais surement pas qu’il allait m’embrassé, mais il le fit et pour tout dire, ça ne me dérangeait pas du tout, je prolongeais bien évidement le baiser avant qu’on se détache, j’étais tout souriante, il m’emmena sur le lit et je me blottis contre lui, qu’est-ce que ça m’avait manqué, si vous savez de ne plus l’avoir contre moi, c’était une vraie torture, il me demanda.


« Dis-moi, j'ai raté beaucoup de choses dans ta vie, cette dernière année ? »


Oh que oui, il avait raté beaucoup de chose, mais pourtant ce n’était pas des choses si importante que ça, toujours contre lui, je le regardais en souriant, regardant nos mains, ce qui me fit encore plus sourire, être amoureuse c’est beau, mais de le ressentir c’est encore mieux, je lui répondis.


« Oui, tu as raté beaucoup de chose ! Pas besoin te dire pour la photographie, mais tu te rappelle j’aimais beaucoup chanter et bien depuis quelque temps je recommence à chanté, ça m’aidé à évacué ma peine en quelque sorte, sinon, je ne vois pas ce qui à vraiment changé dans ma vie et toi ? «


Je lui souris et attendis sa réponse, pas beaucoup de chose avait changé dans ma vie, normal car je ne sortais très peu, même si maintenant ça va changer parce qu’il est de retour et parce que je lui donne une chance de se racheté.