| Sujet: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 14:08 | |
| © crédit.❝ AARON JEFF WELLES ❞ feat. Channing Tatum .
SURNOM(S) :Ronron AGE : 24 ans GROUPE : The Fray METIER/ETUDES : Ancien militaire, acteur. SITUATION AMOUREUSE : Célibataire.
Can I ask you some questions ? AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: Oui. Mais mon ancien métier a rendu les choses très difficiles réduisant ainsi le nombre d'histoires (de vraies histoires du moins) que j'ai pu vivre. Je ne suis pas un cœur d'artichaut et je suis conscient qu'il en faut beaucoup pour me plaire. POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: Je suis revenu ici afin de tourner un film. Le premier de mon nouveau départ. Il compte énormément pour moi et marque une rupture entre ma vie d'avant, mes problèmes, et ma nouvelle existence. La France me manque assez, mais j'y retourne de temps en temps donc bon. AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: Comment ne pas l'aimer? Devant les caméras à ne plus être soi-même, se mettre dans la peau de quelqu'un d'autre et tout oublier pendant quelques instants. Auparavant, J'étais sous les balles attendant l'assaut ennemi pour tirer. Je vivais dans l'adrénaline.
NOM ET/OU PSEUDO : Lise AGE : Dix sept ans et demi RÉGION : 21 FILLE OU GARÇON : Fille QUE PENSES-TU DU FORUM ? : Evidement il est Suppperrr ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : / AUTRES : Je suis le DC de capri L. Hemingway
Dernière édition par Aaron J. Welles le Dim 20 Mar - 22:44, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 14:11 | |
| PLUS ONE
Sur le bord de la cassette était marqué, en grosses lettres et au feutre noir: "Aaron 8/12 ans". « Alors, Aaron peux-tu nous raconter comment tu as été amené à tourner dans ce chef d'œuvre. Sois pas timide. Eh bah en fait, l'année dernière, quand j'avais donc dix ans, j'ai rencontré les réalisateurs par hasard grâce à mon oncle. Il a trouvé que j'avais... une bonne tête pour le rôle. J'ai été passé euh les auditions et il m'a pris. C'est donc un grand avenir qui t'attend. Tu aimes faire du cinéma ? Tu vas surement continuer dans cette voie plus tard ? Oui j'ai bien aimé mais moi je veux être militaire. Donc je n'continuerais pas le métier d'acteur. Cela c'est sûr. Bien. Cher public retrouvez nous dès demain, même heure sur cette même chaine. Notre invité sera Bastien Millepieds le new frenchy du moment ! »
Je me trouvais là, nostalgique ? Non peut être pas. Choqué? Oui c'était surement le mot. J'étais mal en point tant physiquement que psychologiquement. Un professionnel me voyait régulièrement entre quelques scènes de tournages. Il avait l'habitude des cas comme moi. Aujourd'hui, c'était la séance de mes cassettes audio. Il voulait à tout prix que je les réécoute non sans mal, il en était conscient. Il était là, face à moi, l'air grave. Il griffonnait sur son petit carnet marmonnant des mots. Je n'écoutais pas tellement ce qu'il me disait, redoutant l'arrivée des enregistrements audio. «Major Aaron Jeff Marsden. 24 ans. Affectation: Armée française. Je viens d'être récompensé pour mon action sur le terrain. Plusieurs de mes hommes sont morts là-bas et j'en suis navré. Demain, nous partons pour l'Est du monde où des combats éclatent et des frères sont tombés. Je me promets de revenir avec tous mes hommes sans quoi je m'en voudrais toute ma vie. Le 23 novembre 2010. »
Je serrai les poings. Ma respiration s'accélérait peu à peu tandis que j'analysais, je percevais chaque mot que j'avais dit. Je semblais tellement me plaire dans ce milieu. Même si j'y avais connu des déboires, rien ne semblait pouvoir m'enlever cette envie de me battre pour ma nation, mon pays. Nous étions comme une grande famille.
«Laissons les affectations et grades de côté. Ce n'est pas ce que nous croyions là-bas. Notre plus grande préoccupation est à ce jour d'éviter les prises d'otages. Nous n'avons plus une très grande avance sur les forces ennemies et mes hommes faiblissent peu à peu. Je tente de leur redonner le moral mais sans très grande réussite. Aujourd'hui ils auraient dû être chez eux à fêter la nouvelle année, et moi également. Comment leur faire oublier cela ? C'est impossible, nous le savons tous. Le 1er janvier 2011. »
Des larmes me montèrent aux yeux. Je savais qu'à l'instant où j'avais prononcé ces mots, je n'avais pas cessé de penser à elle. Celle qui m'avait donné la force de me relever à chaque blessure. Celle pour qui j'étais heureux de rentrer en France. Mais, moi comme les autres, je n'avais pu vivre l'avènement d'une nouvelle année en compagnie de la personne la plus chère à mes yeux. Je revoyais son visage tellement précis. Chaque pore de sa peau me semblait détaillée. Elle était comme une autre partie de moi. Contrairement aux apparences, nous n'avions pas d'histoire d'amour. Rien ne nous liait vraiment mis à part l'osmose qui s'opérait entre nos deux états d'esprits. Je ne l'avais pas revu depuis mon départ. Lors de mon retour, j'avais perdu toute trace d'elle, tout contact. Un désastre de plus dans ma vie : la disparition d'un être cher qui vraisemblablement m'en avait voulu pour une quelconque raison...
«Je viens de rentrer au camp. Je ... je ne sais trop quoi dire... Je viens d'être pris en otage par les forces du pays. Un autre homme était avec moi mais... il n'est pas rentré. Je m'en suis sorti en les leurrant comme j'ai pu... Je ne comprends pas... L'homme me suivait, nous étions... à couvert et... BASINGER ! Oui ? Oh mon dieu! Les gars venez vite ! Il ne peut plus respirer ! Déchirez sa chemise. Un deux trois quatre... vingt-deux, vingt-trois, vingt-quatre, vingt-cinq. Relevez-lui le menton. C'est bon, il respire mieux. On va appeler la base. Non. Je ne... vous laisserai pas. Je... Je ne peux pas. Oh croyez-moi, vous le pouvez. »
Ce fut la pire des parties de l'écoute. S'il voulait me faire revivre le même incident que lors de l'enregistrement, c'était gagné... Je sentis comme un picotement dans le cœur, comme si je ne pouvais plus reprendre ma respiration. Un impression que je m'étouffais moi-même. J'inspirais de plus en plus d'air. Des flash m'assaillirent. Je la voyais, elle, puis mes hommes étaient devant moi, au front. Je ne pouvais vraiment pas me calmer. Tandis que je continuais de parler sur le magnétophone, le psychologue ne faisait rien. Il me regardait sans agir. Il croyait que j'allais pouvoir m'en sortir tout seul? Peut être avait-il raison. Après tout, les médecins avaient décelé un grave problème cardiaque dans des situations intense, très stressante. Il était au courant. « Vous êtes courageux, tenace ce sont là vos plus grande qualités. Faites en preuve, là, maintenant. » Je le regardai tant bien que mal puis tout devint noir... Comme plusieurs fois par semaine l'angoisse m'avait submergé...
Dernière édition par Aaron J. Welles le Dim 20 Mar - 22:24, édité 12 fois |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 14:11 | |
| Rebienvenuuuuuuuuue Tu sais déjà ce que je pense de ton avatar je te le réserve Bonne continuation pour ta fiche !
Dernière édition par Théodora S. Vanderk le Dim 20 Mar - 14:17, édité 1 fois |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 14:15 | |
| Merci de m'avoir donné cette idée :O
Et merci |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 14:24 | |
| Bienvenue =)
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 14:41 | |
| Rebienvenue ! Channing Tatum *-* et célibataire ! il nous faudra un lien ! |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 15:00 | |
| Merci !
Oui avec plaisir ;D |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 15:06 | |
| Ahhh Channing dans Dear John, je l'aaaaaime Bienvenue, merci beaucoup pour ton inscription |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 16:37 | |
| J'le préfère dans sexy dance, perso *__* Bienvenuuuuuuuuue! Bon courage pour ta fiche |
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Jane RoseburySKYDEN ☂ it's difficult to love me.
◮ messages : 1582 ◮ date d'inscription : 30/01/2010 ◮ occupation : SERVEUSE DANS UN STARBUCKS, BIENTOT SECRETAIRE CHEZ UN NOTAIRE ◮ envie : DE NE PLUS AVOIR LE COEUR BRISE ?
◮ copyrights : (C) HEART LINES ◮ pseudo : ALMOST EASY
| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 18:36 | |
| re-bienvenue |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 19:01 | |
| - Citation :
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SURNOM(S) :Ronron Ahahhahaha ! Non, pas frapper
Donc (re) bienvenue et avatar tout juste orgasmique XD ! Mais, je pense que tu le sais déjà ! |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 22:45 | |
| Merci !
Mdr!
J'ai fini ;D |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save Dim 20 Mar - 23:00 | |
| Je trouve ta fiche très intéressante, on perçoit nettement le malaise qu'éprouve Aaron, et je t'avoue que ça m'a beaucoup fait penser à Dear John, mais j'adore ce film Bref, tu as compris, je te valide une nouvelle fois |
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| Sujet: Re: AARON | No turning back on what you can't save | |
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