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ELLIOT • satellite heart, DONE.

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ELLIOT • satellite heart, DONE. Vide


MessageSujet: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 0:16


ELLIOT • satellite heart, DONE. Img-221244fydfi
© psychozee.
_____
sully-bowell elliot catherine - 22 ans
feat. ashley greene.

love always remains ♣

â g e ♣️ vingt deux années au compteur de rides, si la vie n'est pas magnifique ? Allons donc nous ne sommes jamais content de toute façon.
g r o u p e ♣️ the script.
m é t i e r / é t u d e s ♣️ cette ancienne championne de patinage artistique s'est vue arrêter très tot sa carrière dû à une maladie cardiaque qui la contraint à mettre fin à ses projets dans ce domaine. Aujourd'hui elle entraine quelques adolescents pour les mener aux compétitions nationales et internationales, un boulot où elle croule sous les demandes. Cependant, elle poursuit des études par correspondance en littérature.
s i t u a t i o n a m o u r e u s e ♣️ célibataire, bien que la situation demeure compliquée.


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The news item weckly
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Le New Item Weekly pour toi c'est...
♣️ quelque chose de flou []
♣️ un journal dont tu ne manquerais pas un seul article []
♣️ un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça [x]
♣️ un journal dans lequel tu écrirais volontiers un article []

Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique...
♣️ vie quotidienne []
♣️ sport [x]
♣️ cinéma[]
♣️ meurtres et enquêtes policières []
♣️ politique de quartier []
♣️ musique [x]
♣️ mode []
♣️ autre []

Si tu devais rajouter une rubrique ça serait...
♣️ culture.
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ELLIOT • satellite heart, DONE. 2vj3gnk
TOI TOI &TOI
icon by MISERY ANGEL ♥
NOM ET/OU PSEUDO : blue bird.
AGE : de voter bigsmile
RÉGION : perdue dans le fart west de l'univers xD
FILLE OU GARÇON : fille, of course urock
QUE PENSES-TU DU FORUM : sublime, j'aime beaucoup le contexte ainsi que le design bravo magicmoment
ETTTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : l'ami bazzart


Dernière édition par Elliot Sully-Bowell le Sam 27 Mar - 19:20, édité 2 fois
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ELLIOT • satellite heart, DONE. Vide


MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 0:16


ELLIOT • satellite heart, DONE. Img-234200j7cxg
BY PSYCHOZEE.

TE PARLER DU BON TEMPS QU'EST MORT ET JE M'EN FOU, TE DIRE QUE LES MECHANTS C'EST PAS NOUS. QUE SI MOI JE SUIS BARGE CE N'EST QUE DE TES YEUX, CAR ILS ONT L'AVANTAGE D'ETRE DEUX ...

Pourquoi chercher à connaitre les origines du destin, celles qui nous échappent toutes ou presque ? Avions nous vraiment une raison valable pour croire que l’infiniment grand demeurait au final infiniment petit ? La réalité d’un fait ne mettait pas forcément tout le monde sur la bonne ou la mauvaise route, c’était ainsi et pas autrement. Longtemps, Elliot c’était interrogée sur les causes mystérieuses du destin, celles qui conduisaient certains individus sur le chemin imminent de la mort alors qu’ils étaient si jeunes, si vivants. Mais aucune raison propice à ses attentes ne répondaient à ses questionnements incessants. En ce jour pluvieux de novembre, alors que les premières neiges avancées de l’hiver venaient jouer dans la brise d’un vent glacé et frigorifiant, un amas de gens vint s’attrouper autour d’un énième cercueil à mettre en terre. Un enterrement de plus à mettre sur le compte du hasard et de la faiblesse humaine. Là, une petite fille vêtue d’un manteau de saison bleu marine tenait la main d’un homme, qui a première vu de ressemblance pointilleuse devait être son paternel. Ce dernier donna une légère pression sur la main de la gamine afin de lui faire signe de partir, mais rien y fit durant quelques minutes, la douce et silencieuse enfant demeurait là, présentement immobile, son regard améthyste scrutait la vision macabre de ses souvenirs, de sa tendre figure maternelle, qui désormais était abonnée au registre angélique et croyant du ciel, ce paradis très certainement inventé de toute pièce par certains hommes d’églises. L’homme abordant une veste noire de deuil, se baissa à sa hauteur, lui prit les mains - un geste destiné à la mettre en confiance comme à la rassurée - et répliqua sur un ton murmuré et calme. « Elie, je sais que c’est difficile d’autant plus pour toi, mais nous devons y allés maintenant. ». Levant ses prunelles noisettes et intenses, la dénommée Elliot plus connue sous l’appellation coutumière d‘Elie, toisa son père d’un regard catégoriquement négatif. Secouant son visage de bohème égalant celui de la porcelaine, elle soupira en silence priant pour que son médecin de père réalise qu’elle désirait rester encore un peu en solitaire avec l’esprit naturel de celle qui l’avait mise au monde. Le vent souffla alors dans sa chevelure d’écorce aux nombreux reflets de miel, un vent qui apportait avec lui l’odeur habituel d’un vieil ami, ce petit vieux avec lequel, elle avait pour habitude de jouer aux échecs. Le « vagabond », comme elle l’appelait de temps à autre, présenta dès lors ses condoléances au chef de la famille Bowell puis d’une œillade entendue s’avança vers la petiote de huit années. D’apparence mal fagoté, l’ancien enseignant à la retraite lui dit. « Nous en sommes tous là Elie, mais je tenais à être présent. ». Un silence d’une minute s’installa, puis elle répondit sur une intonation ayant perdue de sa joie de vivre. « Je l’ai vue. ». Fronçant sérieusement les sourcils, le vieillard s’approcha un peu plus de son interlocutrice et l’interrogea derechef. « Qu’est ce que tu sous entends par là, ma grande ? ». Yeux fixant amèrement l’horizon, elle reprit. « J’ai vue ma mère mourir sous mes yeux et je n’ai rien pu faire. Je suis responsable de son décès professeur. Tout est de ma faute. ». Ces paroles étaient tellement nonchalantes et mélancoliques, que le parent qu’il demeurait au font de lui, comprit tout de suite là où elle voulait en venir. Cette gamine avait un potentiel de fatalisme démesuré, alors que personne ne se doutait de quoi il en retournait derrière ces sourires majestueux et communicatif. Voila pourquoi à de nombreuses reprises, elle tentait de le convaincre sur certains de ses faits et gestes, et aussi pourquoi son calme et froideur la rendait encore plus mature. « Ne te rend pas responsable Elie. Ce sont des faits qui arrivent et malheureusement nous y sommes pour rien. Tu ne pouvais rien faire pour elle, mais tu peux faire une chose qui la rendrait certainement heureuse en cet instant. ». Elie se retourna vers son adversaire et ami d’échecs et baissa son regard vers le par terre blanc et humide du cimetière. « Vivre ma grande. Vivre ! Elle t’aimait tellement que tu dois faire ce qu’elle aurait désirée Elie. ». Elliot hocha doucement sa frimousse mystérieuse et esquissa un maigre sourire sur ses lèvres.

ELLIOT • satellite heart, DONE. Img-152227b225n
BY PSYCHOZEE.

TRYING TO MAKE A MOVE JUST TO STAY IN THE GAME, I TRY TO STAY AWAKE AND REMEMBER MY NAME. BUT EVERYBODY'S CHANGING & I DON'T FEEL THE SAME.

FLASH BACK.
La musique à certainement le pouvoir d’adoucir les mœurs comme une tolérance doucereuse. La musique a la magie de l’imagination dans une moindre mesure, que cela soit dans le rêve de l’illusion ou encore sur le domaine de la glace. Debout sur le centre de la patinoire, l’adolescente à l’allure svelte et mince effectuait un énième mouvement en vu des compétitions à venir. La prestance de son corps charnelle ne perdait aucune grâce lorsque son enchainement même rapide en devenait insaisissable pour l’œil nu. Mains sur la rambarde de la piste de glace, son entraineur la toisait d’un œil protecteur et bienveillant - après tout en tant qu’oncle cela ne pouvait se passer autrement -. Il la laissa encore quelques instants s’échauffer et finit par lui faire signe de venir le rejoindre. La brune s’avança vers lui. « J’ai fait un mauvais enchainement aujourd’hui, je suis désolée oncle Tom. ». Sa parole était emplit d’une certaine amertume mêlée à une déception véridique. Déposant une main sur son épaule pour la rassurer, le grand brun soupira avec une gêne qui n’avait guère échappée à l’œillade observatrice de la jeune lycéenne. « Tu fais de ton mieux, Elie alors ne sois pas si sévère avec toi-même ! Mais la question réelle est que tout le monde se fait du souci pour toi. Tu ne te reposes pas, tu fonces corps perdu dans la compétition sans ménagement et tu sais ce que cela peut te couter à la fin ! ». Dégageant son regard sur le coté, la Sully-Bowell savait parfaitement que cette attitude coutumière pouvait lui couter sa propre vie, et mettre un frein grandissant dans sa carrière de petite prodige de la glace, mais elle n’en avait cure. Elle ne faisait que suivre le conseil de son vieil ami le « vagabond », à savoir vivre sa vie telle qu’elle devait l’être. « Je sais que ce n’est pas raisonnable oncle Tom, mais j’ai besoin de cette compétition et de cet énergie pour ne pas penser. Je m’entraine durement pour parvenir à ce championnat international … Alors s’il te plait ne dis rien à personne ?! Je vais bien, je te le promets. ». Quand bien même son mensonge ne pouvait tromper son oncle, ce dernier la serra doucement dans ses bras, un geste destiné à lui prouver qu’il la soutenait même à contre cœur. Son talent pour le patinage artistique lui venait très certainement de sa propre mère déjà championne à son époque. Pour autant, ce fut avec une larme d’espoir trop grande, qu’Elliot comprit que tout avait une limite.

FLASH BACK END.
L’ombre obscure ne faisait qu’empiéter sur ma vision. Plus rien ne répondait à mes sens, car seule un trou béant se creuser en moi, que cela soit dans ma mémoire, ou encore dans le muscle primaire d’un être humain. La difficulté de répondre exactement à mon identité n’était pas si complexe, et je me rendais alors compte de la teneur de la gravité. Mon ambition et ma volonté m’avait menée beaucoup trop loin, et j’en payée encore le prix aujourd’hui. J’étais encore dans cette vague de brume, si étrange et si mystérieuse à la fois que je me demande encore très souvent ce qui peut en être la cause. La nuit était sombre et peu claire. A en croire mon imagination débordante je devais me situer dans un corridor, celui de l’antichambre de la mort peut être, voguant entre deux eaux troubles, deux eaux impossible. A en croire ma raison - qui m’a toujours été d’une grande aide - je devais ouvrir les yeux et voir la réalité véridique en face et ne plus jamais replonger dans les vagues de l’ignorance. Facétieuse en demeurait cette demande, car je n’étais pas vraiment sur de pouvoir satisfaire cette assertion. Les yeux clos, j’attendais que le moment opportun sonne pour partir à mon tour, mais il semblerait que cet instant n’arrive guère encore. Essayant d’émerger à la surface de cette brume épaisse, je tentais de recouvrir mes sens, afin d’entendre un bruit témoin de mon état actuel. Bip bip bip. Bip bip bip. Encore, je reconnaissais ce son strident et interminable. L’éclipse brumeuse qui voilait mes prunelles améthystes se dissipèrent et doucement mais certainement je recouvrais la vision nette et claire d’une chambre d’hôpital aux teintes claires et unies. Ma main gauche retenait une perfusion - une douleur désagréable mais peu en comparaison du reste -, tandis que la droite était tenue par une autre main qui m’était familière. Lorsque mes yeux s’ouvrirent enfin, je reconnu le visage de mon oncle celui avec qui passer du temps était un véritable terrain de jeu et de compréhension. La panique m’envahit alors bien que les tranquillisants qui alimentaient la perfusion ne me maintiennent entièrement groggy. J’avais l’impression de me retrouver dans un mauvais épisode pour séries médicales telles qu‘ « urgences ». La lumière était dès lors revenue et je devais derechef expier mes fautes. Après tout dire à dieu à sa carrière ne voulait pas pour autant dire, quitter définitivement le domaine artistique du patinage.

ELLIOT • satellite heart, DONE. Img-163008b6bu8
BY PSYCHOZEE.

THERE'S PART IN ME YOU'LL NEVER KNOW, THE ONLY THING T'LL NEVER SHOW. HOPELESSLY I'LL LOVE YOU ENDLESSLY.


Personne ne connaissait vraiment le fin mot d’une histoire ni même son sens premier. C’était un peu comme lire de la littérature ancienne et grecque tout banalement, et cela vous parait un charabia grandissant au fur et a mesure de la lecture. Mais derrière ce tendre et ardu parcours de dires et d’expressions se cachait un message dont il fallait comprendre une morale, une leçon. Une leçon présentée sous forme de généralité accessible d’un commun accord a l’ensemble du vivant. Malheureusement pour certains mais avantageusement pour d’autres, quelques gens - tout comme un message caché- se fondaient dans l’ensemble d’un décor pour n’être que poussière d’étoile brillant vaillamment aux yeux du monde. Ces êtres là, étaient d’une rareté effarante pour les yeux et d’une douceur extrême pour l’art de littérature. D’eux se dégageaient une prestance charnelle et une expression dépourvus d’émotions qui s’emparaient de leur visage, tels des anges tombés du ciel figé dans le marbre et l’argile. La jeune Bowell faisait partit de ceux dont le mystère plane constamment sur son personnage, la personne qu’elle est devenu.

Elle regardait le monde qui l’entourait en feintant de passer inaperçu, mais manque de chance pour elle, cela tombait toujours à l’eau. Le solitarisme dont elle faisait preuve - quelques fois -ne faisait qu’accentuer ce coté mystérieux et taciturne de sa personnalité. Des lors, le seul remède salutaire à son fatalisme avait raisonné en son don musical et sa ténacité envers sa carrière professionnelle. L’apaisement de la partition qu’elle jouait présentement transportait son tourbillon de pensées au sommet de sa mémoire qui laissait surgir autour lui, des bribes de souvenirs mélancoliques telle une danse macabre de chandelles moqueuses. Ses doigts rythmés parcouraient seuls les touches lisses et froides du clavier de l’instrument. Elle était enfin en accord avec lui-même, dans son univers où la portance de l’art musical prenait enfin forme dans son existence non désirée. Chaque touches avaient son lot de résonnance et chaque son lui remémorait le triste passé qui lui courrait après voila bientôt treize années. Le pauvre mystère qu’elle était devenue ne songeait qu’à attendre patiemment l’heure où le malin viendrait prendre enfin sa vie. Rien ne retenait sa présence si ce n’était ses proches. Une vague amère vint la secouer des lors qu’elle entendit le bruit fort et catégorique de la porte se refermait derrière lui.

Ce brun audacieux et protecteur qui lui servait de frangin. Son ainé avait été des plus heureux lorsque la plus jeune de ses sœurs lui avait dit qu’elle venait s’installer à Sydney pour quelques temps - bien que cela soit pour affaire -. « Alors comment ca va ce matin ? ». Esquissant un rire amusé face aux paroles quotidiennes de son frère, la douce répliqua. « Bien comme toujours Clyde ! En revanche ça n’a pas vraiment l’air d’être ton cas, je me trompe ? ». Se levant de son reposoir, l’américaine s’accouda au comptoir de la cuisine en toisant le grand gaillard d’un air interrogateur. « Alors ?! ». Il servit deux tasses de cafés, en tendit une à sa cadette et répliqua. « C’est le cas Emilie aujourd’hui ! ». « Encore ? Mais qu’est ce que tu as avec elle ? ». Elle rigola derechef sachant très bien que la discussion n’aboutirait à rien. Après quelques minutes de conversation comique avec son lien fraternel, Elliot entendit la sonnerie de son cellulaire retentir sur la table basse du salon. Elle partit donc le chercher sur un pas pressé, et une fois le téléphone en main, elle ne fut pas surprise de découvrir l’identité de son expéditeur: Alexander. Elle soupira alors, ne prenant même pas la peine de lire son message vocal. La mystérieuse passa une main dans sa chevelure rebelle, et sa conscience facétieuse vagabonda alors de nouveau dans le cercle de ses souvenirs.

FLASH BACK.
Main dans la main, ils déambulaient comme autrefois dans les rues de Sydney comme au premier jour de leur entente, au début de leur relation. Les rires d‘Alexander, les œillades souriantes d’Elie auraient pus valser d’un revers de cartes, les difficultés qui faisaient de l’ombre à leur histoire qui peut être pourrait avoir une fin - un jour comme un autre -. La fin de l’après midi s’annonçait tranquille et joviale pour la pair qu’ils formaient et la suite de la journée raisonnée comme un requiem pour un rêveur, mais ce fut sans compter sur l’appel que reçu dès lors le jeune homme. Son cellulaire dans la poche de son jeans, Alexander s’en saisit avec une moue interrogative mais sans surprise face au correspondant qui révélait son quotidien quelques peu antérieur. Décrochant l’appel tout en tenant la main d’Elliot de l’autre, il répliqua. « Tiens je suis surpris de recevoir un de tes appels ? ». A en juger par l’expression faciale du jeune blond, sa correspondante n’était pas dans ses petits papiers. La conversation téléphonique semblait passer d‘un appel de courtoisie à un règlement de compte. La Sully finit pas s‘arrêter, et son camarade en fit de même. Elle fronça quelques peu les sourcils tenant à comprendre ce qui se passait. Les termes qu‘employer le Lockart n‘était guère dénué de sens, bien au contraire la compréhension de la situation lui était évidente. « Ecoute je suis occupé tout de suite, mais on en reparle plus tard ! ». Il mit fin à l’appel, sans un mot les yeux azuréens scrutant les prunelles améthystes de la jeune femme. Cette dernière croisa les bras sur sa poitrine, attendant une explication. Rien. Un silence pesant s’installait entre eux. Contre toute attente, c’est Elliot qui brisa la glace. « Tu vivais déjà une histoire alors ? ». « C’est compliqué à expliquer Elie, mais je t’en prie essaie de comprendre ?! ». « Comprendre quoi Alex ? Que tu me fais passer pour ce que je ne suis pas. J’avais confiance en toi ! ». Il tenta de la prendre dans ses bras, mais elle recula catégorique. « Je crois qu’on a plus rien à se dire … ». Elle recula de quelques pas, et marcha en direction de sa voiture laissée un peu plus bas sur le macadam, et ce sans se retourner. « Elie ! ».

FLASH BACK END.
« Elie !? ». La voix rauque de son frangin la ramena à ses pensées et laissa son cellulaire tomber sur le canapé en cuir noir du salon. Clyde apparut à l’encadrement de la porte et mains dans les poches il l’interrogea. « C’était qui ? ». « Oh euh … une erreur de numéro. ». Ses yeux se perdirent alors dans le paysage qu’offrait la fenêtre principale de la pièce et c’est sur une note de sentiments inavoués et enfouis qu’elle refusait tout appels ou visites du dénommé Alexander. Un moyen de lui facilité la tache mais aussi de se protéger contre le sentiment amoureux, une sensation que jusque là elle c’était interdit.


Dernière édition par Elliot Sully-Bowell le Sam 27 Mar - 19:18, édité 7 fois
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ELLIOT • satellite heart, DONE. Vide


MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 0:23

    super choix d'avatar I love you
    merci de ton inscription et bonne chance pour ta fiche fireflies
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Jane Rosebury
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MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 0:24

    Spoiler:

    bienvenue (à)
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ELLIOT • satellite heart, DONE. Vide


MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 0:27

maxyme, merci beaucoup & taylor est un très bon je te retourne le compliment I love you
alexander, magicmoment magicmoment groopie merci I love you
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Jemma Clifft
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MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 0:28

Bienvenue parmi nous. magicmoment
Bonne continuation pour ta fiche. lovelovelove
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MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 16:18

Alec & nina urock
peut on me réserver le role ?

EDIT, merci pour la réservation I love you
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ELLIOT • satellite heart, DONE. Vide


MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 16:20

    Bienvenue. Rolling Eyes bulle
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MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 16:42

merci beaucoup caché slarp
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MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 19:21

désolée du DP mais je pense avoir terminée (:
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Jane Rosebury
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MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. EmptySam 27 Mar - 19:30

han magnifique fiche magicmoment lovelovelove
je te VALIDE ♥️
bon jeu à toi (:
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ELLIOT • satellite heart, DONE. Vide


MessageSujet: Re: ELLIOT • satellite heart, DONE. ELLIOT • satellite heart, DONE. Empty

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