ROMEO ★ ne chercher pas plus loin votre prince charmant (à) ; under

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© CYCY-CYCY
ROMEO SAMUEL JOHANSON ♣ 22 ANS.
feat. Nico Tortorella.

love always remains ♣

ÂGE : vingt deux ans
GROUPE : Ici.
METIER/ETUDES : étudiant en art
SITUATION AMOUREUSE : célibataire

♣ Can I ask you some questions ?
AS-TU DEJA ETE AMOUREUX ? :: oui. Et malheureusement pour moi cela m'a été fatale. Bien sûr pas physiquement car sinon je ne serais pas encore là. Mais j'ai beaucoup souffert. Être amoureux n'est pas chose facile, car une fois que vous l'êtes, rapidement vous pouvez également déchanter. C'est si facile de briser le cœur d'une personne. J'ai été trop naïve et a souffert de cela. Dorénavant je n'envisage pas de tomber de nouveau amoureux d'une personne, même si cela ne se commande pas.
POURQUOI ES-TU EN AUSTRALIE, A SYDNEY ? :: parce que c'est ville chaleureuse. Depuis que j'y vit, je m'y sens bien et en sécurité. Cela fait plusieurs années maintenant et je ne compte pas m'en aller de sitôt. Et pourquoi suis-je venu ici ? Parce que je connaissais de la famille qui vivait à Sydney, et suite à certains évènements, je suis venu y vivre.
AIMES-TU TON EMPLOI/ETUDES ACTUEL(LES) ? :: l'art c'est toute ma vie, alors si j'aime mes études ? Bien évidemment étant donné que chaque jour j'en découvre plus sur ma passion qui me dévore. C'est une bénédiction que d'être étudiant en Art. Malgré que je sois un jeune adulte rebelle et que je sèche énormément, cela ne m'empêche pas d'être désireux d'un grand avenir. Sûrement dans la photographie d'ailleurs.

TOI TOI &TOI
icon by MISERY ANGEL ♥
NOM ET/OU PSEUDO : appelez moi GOD ça suffira (à)
AGE : j'ai pas d'âge, je suis immortel MOUAHAHA #sbaff#
RÉGION : le pôle nord *-*
FILLE OU GARÇON : hermaphrodite
QUE PENSES-TU DU FORUM ? : <= ceci exprime ce que j'en pense (à)
ET, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : le pape du gland xP
AUTRES : oui je sais, on m'aime

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♣ I'd like to make myself believe

« Mais qu'est ce que tu fous ? » « Je la protège, chose que j'aurais du faire depuis des années mais que ma corpulence ne le permettait pas ! » « Pousse toi de là gamin, tu as vu sur quel ton elle me parle ? » « MAIS VA TE FAIRE F**** » « Mais regarde là tu vois bien qu'elle est complètement saoul !! » . Et là le coup partit. Le père venait de frapper son fils devant sa femme complètement déchirée. Le jeune garçon se releva et fixa son père du regard. Un regard si profond et noir qu'on n'arrivait à peine à distinguer la véritable couleur de ses yeux, qui sont à la base d'un bleu clair, pure et innocent. Le coup que celui-ci venait de donner fut le coup de trop pour ce gamin habitué à des scènes de violences depuis son plus jeune âge. Son comportement impulsif lui disait de cogner à son tour, mais la raison lui disait de renoncer, d'éviter de déclencher un surplus de coup et que cela se termine en un bain de sang. Il préféra la fuite, mais regretta rapidement son geste qui à ses yeux était faible. Laisser sa mère en bas avec une telle brute ne présageait rien de bon. Mais le jeune garçon craquait. Il ne supportait plus cette vie. Il s'allongea à plat ventre sur son lit et enfouit sa tête dans l'oreiller afin d'étouffer les cris de la dispute qui faisait rage l'étage en dessous. D'un coup le silence régna. Une porte claqua, sûrement son père qui sortit. Sans attendre le jeune garçon dévala les escaliers. Il y trouva sa mère gisant dans une légère flaque de sang. Par réflexe il prit le téléphone et appela les urgences. « Oui allô, venez vite, c'est ma mère, mon père vient de la frapper et, et je sais pas se qui c'est passé en tous cas elle est inconsciente ! Y a du sang partout, faites vite je vous en supplie ! ». Dès qu'il raccrocha il s'agenouilla à côté de sa mère. Elle était toujours vivante car son cœur battait encore, mais faiblement. Habituellement n'étant pas le genre à pleurer, quelques larmes perlaient malgré tout sur la joue du jeune garçon. Très rapidement la tristesse laissa place à la colère, à la rage. Jamais le jeune homme n'avait ressentit une telle haine envers un être humain. Lui qui a toujours été un enfant discret, sage et sérieux. Le voilà en train de ressentir de la haine pure et dure. L'envie de vengeance était forte et à la vue de sa mère à l'agonie, cette envie de vengeance ne faisait que s'amplifier. Mais il ne pouvait la laisser seule. Alors il resta à ses côtés. L'ambulance mit une vingtaine de minutes à venir, un temps trop long pour Samuel qui commençait à perdre patience. Quand les médecins furent sur place, ils embarquèrent la pauvre femme en demandant des explications au jeune homme et en lui avouant qu'elle se trouvait dans un état critique. Il essaya de leur donner le plus d'information avant de les voir partir en emmenant sa mère. Le garçonnet de seize ans avait du mal à réaliser la situation. Il se trouvait seul, dans une maison délabrée dans le quartier le plus pauvre de Paris. La haine qui le hantait était toujours présente mais dorénavant il arrivait à la contrôler. Il prit alors une douche froide avant de se changer et de faire ses bagages. Il prit quelques vêtements, de l'argent, de quoi manger avant de sortir de la modeste demeure dans laquelle il a grandi. Le jeune garçon passa à l'hôpital. Et le verdict tomba. « Je suis désolé monsieur, nous avons fais tous notre possible ! ». C'est avec un certain dégoût que le jeune homme quitta l'hôpital. Le dégout mais surtout le regret de n'avoir rien fait, d'avoir fuit au lieu d'abattre l'enfoiré qui venait de tuer sa mère. Il prit place dans le siège du conducteur de la vieille carcasse de son père qui lui servait de voiture et après un long soupire démarra le moteur. Il regarda une dernière fois la ville de son enfance et roula. Il roula vers une vie qu'il espérait meilleur. Mais comment à seize ans on peut savoir comment va se passer l'avenir ? L'Australie nous le dira.