KAYLE ♦ she's livin' a life just like a movie star.

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SANDERS Kayle Olivia - 19 yo
feat. Alexis BLEDEL ♥

love always remains ♣

â g e Dix-neuf ans. Encore toute jeune la demoiselle, qui est née un six avril, à New York.
g r o u p e The script. En effet, la demoiselle a déjà eu le coeur brisé, une seule et unique fois dans toute sa vie. Et cette fois fut de trop. Depuis, elle a repris sa petite vie de fille volage, qui ne s'attache pas, et préfère largement blesser que d'être blessée.
m é t i e r / é t u d e s Kayle est étudiante en langues vivantes étrangères. Elle sait donc parler cinq langues différentes, dont le russe, l'anglais, le français, l'allemand et l'espagnol. Ca impressionne toujours.
s i t u a t i o n a m o u r e u s e Elle est pour le moment libre comme l'air, ne voulant plus s'attacher à qui que ce soit depuis son ex petit-ami. Elle joue avec les hommes, en résumé.

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The news item weckly
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Le New Item Weekly pour toi c'est...
quelque chose de flou []
un journal dont tu ne manquerais pas un seul article []
un journal comme les autres, t'y attaches pas plus d'importance que ça []
un journal dans lequel tu écrirais volontiers un article [X]

Si tu devais écrire dedans ça serait rubrique...
vie quotidienne [X]
sport []
cinéma[]
meurtres et enquêtes policières []
politique de quartier []
musique []
mode []
autre []

Si tu devais rajouter une rubrique ça serait...
Probablement la rubrique potins/amour. Sur les dernières rumeurs à Sydney, et les derniers couples célèbres ou non formés. Je suis assez calée dans ce domaine, et je pense que ce serait bien d'avoir cette rubrique.
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TOI TOI &TOI
icon by MISERY ANGEL ♥
NOM ET/OU PSEUDO : GODDESS.
AGE : 15 ans.
RÉGION : Derrière mon ordinateur *out*
FILLE OU GARÇON : Fille
QUE PENSES-TU DU FORUM : MAGNIFIQUE
ETTTT, TU L'AS TROUVÉ PAR QUEL MOYEN ? : Par PRD.

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I'd like to make myself believe
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Citation :

Cher Journal,

C'est encore moi. D'ailleurs, ça va bientôt faire deux ans que je te tiens tous les jours, il faudra penser à fêter ça. Mais aujourd'hui, mon coeur n'est absolument pas à la fête. Si je t'écris, aujourd'hui, c'est pour t'annoncer une terrible nouvelle. Je ... Je ne sais même pas où je trouve la force de te dire ça, vraiment. Ce matin, j'ai retrouvé ma mère, en larmes, en bas de l'escalier. Elle cachait son visage dans ses mains, et semblait dévastée. Va savoir pourquoi, je me suis approchée d'elle, voulant tout connaître de son mal. Posant ma main sur son épaule, je lui ai demandé ce qui n'allait pas, et là, j'ai lu la tristesse et le désarrois dans son regard. J'ai presque automatiquement compris. Même si mon coeur me disait le contraire. Hochant négativement la tête, je fondis en larmes à mon tour. Ma mère ne m'avait pas encore coupée, ne m'avait pas encore rassurée, sur cette nouvelle que je craignais tant. Et soudain, elle ouvrit les bras, et me serra fort contre elle, m'étouffant presque, histoire d'évacuer son mal-être. Et à mon tour, je sentis mon monde s'effondrer autour de moi. Il était parti. Le seul homme qui ait jamais compté. Mon père m'avait quittée, moi, sa petite fille. Il m'avait promis de se battre, de rester parmi nous, de ne jamais me quitter. Et pourtant, il l'avait fait. Je ne verrai plus jamais son visage me sourire, ses yeux rieurs, ses bras m'enlacer en me racontant une histoire que j'avais déjà entendue des dizaines de fois. Non, plus rien de tout ça. Et tu sais, ma mère, après m'avoir enlacée, m'a regardée, dans les yeux, perdue. Nous n'avions jamais eu l'habitude de nous retrouver toutes les deux. Mon père arrivait toujours, et je m'en allais avec lui. Lui m'avait toujours comprise, au contraire de ma mère. Non pas qu'elle ne m'aimait pas, mais va comprendre, les filles s'entendent peut-être mieux avec leurs pères. Quoi qu'il en soit, maman et moi devions continuer de vivre, sans cet homme qui avait tellement compté. Cette fichue maladie l'avait finalement emporté, bien qu'il se soit longuement battu. Tu sais, ça fait trois jours que je n'arrive pas à dormir. Depuis l'enterrement, je réalise qu'il n'est plus là. Pour de vrai, qu'il ne passera pas la porte, non, il ne le fera pas. (...) Pardonne-moi, les mots sortent difficilement ce soir, au contraire de mes larmes, qui elles, m'accompagnent dans ces longues nuits. Maman a beau me dire de ne pas m'en faire, qu'il est heureux où il est et qu'il voudrait que l'on fasse de même, mais je n'y arrive pas. Peut-être qu'avec le temps, qui sait. Je vais te laisser, il se fait tard. Tu sais mon cher Journal, te parler, ça fait du bien. Enormément.

EXTRAIT DU JOURNAL DE KAYLE SANDERS, 11 ANS.

« Finalement, c'est donc vrai, derrière tous les princes charmants se cache un crapaud. »

« Bonjour beauté fatale. » Se réveillant doucement mais sûrement, Kayle se redressa, et put enfin voir l'homme qui venait de lui parler. Etant encore probablement fatiguée, elle ne remarqua pas de suite la grande nouvelle, et pourtant, et pourtant. « Bonjour beau gosse. (...) Tu m'en passes une ? » Prenant volontiers la cigarette qu'il lui tendait, elle se la fit allumer, et la fuma, tranquillement. Un réflexe qu'ils semblaient tous deux avoir. Oui, c'était peut-être mal, mais sa cigarette, on ne pourra jamais la lui enlever. Elle faisait partie d'elle, point. Tout comme ces souvenirs bien encrés, au fond, de leur enfance à tous les deux. Mais je m'emballe probablement. Se rapprochant de lui, elle passa ses bras autour de lui, et posa sa tête sur son épaule. Un geste qu'elle faisait souvent, affectueux probablement. Et c'est alors qu'elle remarqua, à son cou, une chaîne, qui lui disait vaguement quelque chose. L'attrapant délicatement dans ses doigts, elle ne put s'empêcher d'être indiscrète. « Dis-moi, cette chaîne, qui te l'a donnée ? » Interloqué, le jeune homme répondit. « Oh, je dois t'avouer que je ne m'en rappelle plus. » N'étant pas dupe, la jeune femme répliqua. « Si tu ne t'en rappelais plus, tu ne l'aurais pas gardée. On ne garde pas quelque chose qui ne nous tient pas à coeur. » Riant légèrement, le bellâtre reprit. « Très bien, je vois que nous avons une perspicace. Pour tout te dire, cette chaîne me vient d'une ... amie, que j'ai connue, il a bien longtemps de cela maintenant. » Premier choc. La première partie semblait parfaitement aller aux souvenirs qui bombardaient l'esprit de notre jeune demoiselle. « Et, hum, comment s'appelait cette fille ? » « Pourquoi tu veux savoir ça ? C'était il y a tellement longtemps, elle a dû oublier depuis le temps, tout comme moi j'essaie. » « Ca m'étonnerait. » Se retournant brusquement afin de la regarder face à face, il continua. « Mais, serais-tu jalouse ? Je t'assures que ... » Et c'est alors qu'elle lui montra. La fameuse bague. Qu'il lui avait donné, il a maintenant onze ans de cela. Avec, gravé à l'aide d'un compas, K + C = . Tous deux restèrent sur le cul, pardonnez l'expression. C'était donc eux, après tant d'années. Et il fallait qu'ils se retrouvent de la sorte, bordel de Zeus. Kayle osa la première briser le silence. « Ch ... Chuck ? » Relevant la tête, elle comprit de suite qu'elle ne s'était pas trompée. « Purée de cacahuètes, bon sang ! Mais qu'est-ce que, enfin, t'aurais pas pu me parler avant qu'on, enfin tu vois ?! » « Oh oh oh, on se calme ma belle. Premièrement, c'est pas entièrement de ma faute, parce que tu m'as pas dit non plus que t'étais, bah toi. Et de deux, vu notre état hier soir, ça m'étonnerait qu'on se rappelait de nos prénoms respectifs. Alors on se calme, et analyse rationnellement la situation. » Faisant la moue, la jeune femme reprit. « Oh, mais j'ai une analyse rapide de la situation : on s'est connus et aimés petits, perdus de vue, et on s'est retrouvés en couchant ensemble. Pas plus compliqué. » « Merci de ta délicatesse. » « Je t'en prie. Et puis tu sais très bien que ça n'a jamais été mon fort. » Levant les yeux au ciel, Chuck semblait aussi bouleversé que Kayle. D'ailleurs, cette dernière, montrant la chaîne des yeux, lui demanda. « Alors, tu l'as vraiment gardée ? Tu as vraiment pensé à moi en la regardant, toutes ces années ? » Répondant presque du tac au tac, Chuck prit la parole, ne voulant pas montrer à quel point cette situation l'affectait. « Pff, tu parles, je l'ai juste, hum, trouvée jolie, et puis, elle va super bien avec mes vêtements habituels, donc ... Non mais attends, à quoi on joue là ? Ca fait déjà onze ans qu'on a fait une croix sur nous, et puis c'était qu'un jeu de gamins. » Se levant brusquement, Kayle sortit de ses gonds. « Un jeu de gamins ? SEULEMENT un jeu de gamins ?! Je, tu, argh ! Tu m'énerves. » Et la tête haute, elle partit, emportant le drap avec elle, s'habilla tant bien que mal. Elle voulait partir. Chuck, qu'elle avait rêvé de revoir durant toutes ces années, la retrouvait, pour lui dire qu'elle n'avait été qu'un jeu. Bon sang qu'elle l'aimait. Et lui, gros débile qu'il était, avait tout gâché. Prête, elle le regarda, et lui l'était aussi. Sans un mot, elle quitta la chambre, et ne se retourna pas. Sur l'oreiller, elle avait laissé un mot, avec un numéro. Si un jour, ton jeu de gamins voudrait devenir un jeu d'adultes. Sourire aux lèvres, Chuck le prit, et le mit dans sa poche, en observant, depuis la fenêtre, Kayle, appeler un taxi. Elle était parfaite à ses yeux. Pas question de la laisser partir une autre fois. Cependant, elle voulait jouer, et bien, ils joueraient. Qui a dit que l'amour était simple ?

« SOME ARE CALLED PERFECT, SOME ARE CALLED PRETTY, SOME ARE CALLED BITCHES. »

« Mais t'es qu'une garce Sanders ! » Le refrain que la jeune Sanders connaissait déjà par coeur. Bon nombre de filles le lui ont déjà sorti, à croire que cette chanson passe sur toutes les ondes. Il fallait dire qu'elle méritait son statut de garce qu'on lui attribuait. Elle, elle jouait. Elle prend, puis elle jette. Comme on l'a déjà fait pour elle. Le regard fier, la tête haute, elle passe à côtés de ces insignifiants comme elle dit, et leur répond. « Tout à fait. » Elle ne cherche même pas à contester ce fait, qui s'est avéré vrai de nombreuses fois par le passé. Mais où est passée la gentille petite fille du départ ? Et bien elle est partie, bien loin. Bien enfouie au plus profond d'elle-même, et croyez-moi, elle n'est pas prête de la laisser sortir une nouvelle fois. Trop de douleurs, trop de fissures dans son âme, l'empêchant de se montrer telle qu'elle est. De peur d'être de nouveau brisée. Manipulatrice, menteuse, hypocrite, tous ces mots reviennent à chaque fois. Ce qui fait d'elle une populaire, car dans ce genre de bitchratie dirons-nous, il faut mieux faire partie des amis que des ennemis. Les ennemis, elle les mange tout crus. Alors, par bonne logique, tout le monde préfère se ranger dans son camp. Elle aime prendre soin d'elle pour attirer le plus de garçons, surtout un très cher Kenzo. Elle le veut, et l'aura. Non pas qu'elle l'aime, avec de vrais sentiments, mais elle le veut, comme un nouveau trophée dirons-nous. Les sentiments, elle les a mis au placard il y a bien longtemps, et aimer, pour de vrai, elle pense en être incapable. Ou plutôt, s'en cache. Souffrir, non. Et cet imbécile de Kenzo semble s'attacher à lui, et avec le retour de Wendy, le tout risque d'être plutôt drôle. Kayle n'est donc pas une si méchante que cela dans le fond, mais il faut bien chercher. En tout cas, elle n'a pas peur de se défendre, et de remettre les autres à leur place. Une forte tête, surmontant un magnifique corps. D'accord, je sors.