Mauvaise rencontre et crépage de chignons !

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Il y avait un ami que j'appréciais aller voir, il s'agissait d'Ansfrid, un ami que j'avais rencontré à la faculté lors de mes études. Me levant ce matin après avoir passé une nuit horrible sur un homicide. Un tragique accident qui bien sure je trouvais alors avant tout stupide, mais bon, les humains sont parfois idiots et bêtes. Le type avait tué sa femme puis ses enfants, et voilà qu'il se donnait la mort en permettant aux policiers de faire leur travail. Bien sure après être arrivé sur la scène de crime et après avoir parlé aux voisins qui n'entendent jamais rien ! Je me rends compte qu'au final, ils entendent que se qui les arrangent ! Vous me direz alors qu'il n'est pas bien grave de rester alors dans le doute et dans le suspens. Mais je vous répondrais qu'il ne fallait pas que j'oublie de vous raconter ma nuit.

Début du flash back :

J'avais finis ma journée, j'allais rentrer chez moi, puis je pensais qu'après une bonne semaine active j'allais pouvoir me reposer un peu. Mais il a fallut qu'on est un appel des collègues, ils avaient besoin d'aide. Ayant mon manteau sur le dos, je prenais donc le temps de me préparer, partant en vitesse avec mes collègues. Le lieu du méfait allait avant tout être plus proche que prévue. La maison était bien plus qu'immense, un vrai château à elle toute seule ! En pénétrant dans la propriété, un silence de mort ce faisait alors plus présent, comme ci, on sentait que l'inévitable allait avant tout arriver. Les snipers étaient bien positionnés sur les toits des environs. Les habitants chez eux, j'observais alors les gens comme s'ils étaient des fervents des choses bien faites.

Je me rappelle le type, je l'avais alors interrogé pour qu'il puisse me dire se qu'il était arrivé à sa femme. Alors que je ne l'avais vu que le matin même, je ne pensais pas que je serais obligé de le voir la nuit. La situation était avant tout assez complexe mais bon, il ne fallait pas oublier que j'avais bien sentis alors que l'homme avait fait une erreur et bien entendu. Personne ne pense qu'il y a toujours le mari en criminel. Suivant alors mon intuition, j'avais alors dans l'idée de suivre mon instinct. Le type furieux avait une arme de gros calibre dans ses mains, il avait un air bien méchant sur la face, et il avait alors dans l'idée de tirer sur tout le monde ! Tirant à tout bout de champ ! Une balle me frôla la tête pour aller se mettre dans un tronc d'arbre. Furieuse, je faisais alors une grimace. Mon collègue riant que je sois de nouveau alors dans tous mes états. Le type se montra alors à la fenêtre, je me disais bien que je pouvais faire un autre effort.

- « Allez-vous en ! Où je tire sur tout le monde !!!!! »

Le type criait de tout son cœur ! Il était bien plus furieux qu'avant. Tirant alors à tout bout de champ. Puis se rapprochant de la fenêtre je vis qu'il avait mis son arme sur la tête de son fils. Lui tirant dans la tête. Je vis l'homme qui se dirigeait vers la fenêtre. Je me cachais une fois de plus pour ne pas qu'il me voit. Et un autre coup de feu se propageait alors de l'étage du dessus. Attendant le signal pour rentrer dans la maison. Je voyais mon collègue venir vers la porte. La crochetant, on rentré alors dans la maison. Prenant alors la direction de l'étage. On se doutait, bien qu'il fallait qu'on fasse un geste pour empêcher ce type de faire quelque chose qu'il ne fallait pas. Dans le couloir, mon collègue vit que les autres revenaient alors par l'autre bout du couloir. Le type dans la pièce suivante, avait alors son arme le long de son corps.

- « Allez-vous en ! Tirez-vous d'ici ! »

Mon collègue lui répondait alors.

- « Lâchez votre arme. »

Ouvrant la porte, je vis un point rouge sur la tête de l'homme. Puis un BANG et un bruit sourd qui montre l'homme qui se retrouve sur le sol. Un silence bien calme, mais une sensation qui va avant tout montrer le calme qui reste. Me levant du sol, je tournais la tête vers le type, il avait toujours dans sa main son arme. Attendant le médecin légiste, je prenais le temps de descendre pour aller rejoindre mon supérieur hiérarchique. Il était bien triste et malheureux par la situation, mais bon, comme on dit, on a avant tout, une idée bien triste de la vie. Me disant que je devais aller voir les voisins. Je prenais les dépositions les unes après les autres. Finissant mon travail à 4 h du matin. Je pouvais aussi rentrer plus tôt mais j'aime bien lorsque je finis mon travail comme il faut. Rentrant chez moi, je me couchais dans l'idée de me reposer un peu

Fin du flash back :

Chez moi en ce matin bien lent pour moi, je me demandais bien se que je ferais alors par la suite. Ansfrid, je ne l'avais pas vu depuis un petit moment, j'avais dans l'idée de lui rendre visite. Prenant un thé bien chaud et mon petit déjeuné, je faisais mon sac en même temps. Un petit jour de congé ou seulement la matinée, à vrai dire je ne me souvenais plus trop se qu'avait dit mon supérieur. L'appelant, je lui posais la question.

- « Bonjour, comment allez-vous monsieur ? Je ne me souviens plus se que vous m'avez dit hier. »

- « Et bien je vais bien et vous, vous avez votre matinée pour vous reposer un peu. A plus tard. »

- « Merci monsieur. »

Raccrochant, je prenais mes clés de voiture, mes affaires, et bien sure comme je me sentais bien. Je partais alors pour aller rendre visite à Ansfrid. En arrivant là-bas, je me demandais pourquoi est-ce que je voyais alors Valentina devant moi ! Quelle peste celle-là ! En sonnant, j'ai vu sa misérable tête devant moi ! Rien que de la voir j'avais une envie de la mettre au poste de police pour « état d'ivresse de haine » ! Mais bon, mon pauvre Ansfrid, je ne comprenais pas trop pourquoi est-ce qu'il fallait qu'il se maris avec cette pouffe !